Les nominations de la semaine en banque, finance, assurance

« Rubrique réalisée en partenariat avec Nomination : 1er service d’informations et de veille sur les décideurs. »

Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC) : Directeur adjoint en charge du budget et des financements

Madame Céline David est nommée directeur adjoint en charge du budget et des financements du Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC), à ce poste depuis mars 2013, en remplacement de Madame Aude Accary-Bonnery.

Elle est sous la responsabilité directe de Madame Aude Accary-Bonnery, directeur financier et juridique.

Céline David, 30 ans, HEC (2007), a réalisé le parcours suivant :

* 2012-2013 : Cabinet du ministre de l’Egalité des territoires et du Logement, Cécile Duflot, conseiller technique affaires budgétaires et fiscales.

* 2010-2012 : Direction du budget, en charge des secteurs ferroviaire et aérien et de la tutelle budgétaire de la SNCF et de Réseau ferré de France.

* 2007-2010 : Direction du budget du ministère du Budget, des Comptes publics et de la Réforme de l’Etat, adjoint au chef du bureau Justice et médias, en charge du suivi des secteurs de la presse, du cinéma, de la radio et des télécommunications.

Semardel : Directeur financier

Madame Christine Gonnet est nommée directeur financier du groupe Semardel, à ce poste depuis février 2013. Elle est sous la responsabilité directe de Monsieur Marc Rajade, directeur général.

Christine Gonnet, DECF du CNAM Paris (1992), DUT de gestion de l’université Paris-XI Paris-Sud (1990), a réalisé le parcours suivant :

* 2012-2013 : Groupe Beaumanoir, responsable financier pour la marque Morgan.

* 2012-2012 : Baobaz, directeur administratif et financier.

* 2009-2012 : Agora Distribution (groupe Eram), directeur administratif et financier.

* 2004-2009 : Claire’s, directeur financier.

* 1998-2003 : Toys »R »Us, directeur financier adjoint.

Renault : Directeur de l’immobilier et des services généraux

Madame Cécile de Guillebon est nommée directeur de l’immobilier et des services généraux au sein de Renault, à ce poste depuis mars 2013.

Elle est sous la responsabilité directe de Madame Mouna Sepehri, directeur délégué à la présidence. Elle remplace Monsieur Frédéric Goupil de Bouillé.

Cécile de Guillebon, 51 ans, HEC, CBMP de JP Morgan, université PPR, a réalisé le parcours suivant :

* 2006-2013 : AOS Studley, directeur général France.

* 2004-2006 : GE Commercial Finance Real Estate France, directeur des acquisitions.

* 1989-2004 : Groupe PPR, directeur du développement, puis directeur assurances et immobilier.

* 1988-1989 : Marceau Investissement, différentes responsabilités financières.

* 1983-1988 : Début de carrière chez JP Morgan.

KP1 : Directeur administratif et financier

Monsieur Pierre Diesler est nommé directeur administratif et financier de KP1, à ce poste depuis septembre 2012, en remplacement de Monsieur Patrice Lehman.

Il est sous la responsabilité directe de Monsieur Hani Samaha, directeur général de l’activité Entreprise de KP1. Il est membre du comité de direction.

Pierre Diesler était depuis 1998 secrétaire général d’Isobox France.

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Dossier 2013 – L’ alternance en banque & assurance : + de 20 000 offres d’alternance à saisir

L’intérêt de poursuivre une formation en alternance ou de réaliser un stage de longue durée n’est plus à prouver pour réussir son intégration sur le marché de l’emploi et en particulier dans le secteur de la banque et de l’assurance.

Le stage et la période d’alternance restent le meilleur moyen pour découvrir un secteur, un métier et tester sa vocation. Ils sont également indispensables pour rendre votre CV plus attractif auprès des recruteurs potentiels.

Cette année nous avons recensé plus de 30 000 offres de stages et d’alternance à saisir parmi les principaux recruteurs du secteur banque et assurance.

La période de recrutement des alternants a déjà démarré pour certaines banques ou groupe d’assurance et va démarrer très bientôt pour les autres.

Elle se terminera normalement en juin. Une très grande variété de missions vous sont proposées en alternance que cela soit pour des fonctions commerciales ou des fonctions supports.

Vous pouvez également trouver des opportunités d’alternance dans des activités diverses comme la banque de réseau, la banque d’investissement et de financement, la gestion d’actifs et l’assurance.

Les profils demandés vont de bac+2/3 à bac +4/5 en fonction des missions. Les durées moyennes d’alternance s’étalent sur une durée de 12 à 36 mois selon la formation.

Les principaux recruteurs du secteur proposent des milliers d’opportunités en alternance. La Poste a prévu cette année de recruter 3600 alternants, le Groupe Crédit Agricole 3000, le Groupe BPCE 2000, BNP Paribas 1550, Société Générale 1400, AXA 1200, Natixis 400, AG2R La Mondiale 100…

Pour les étudiants intéressés par les métiers de la gestion d’actifs, Amundi Asset Management devrait cette année également proposer de très nombreuses missions en alternance. Natixis a prévu de recruter des alternants sur l’ensemble de ses activités de niveau bac +2/3 et bac +4/5.

En ce qui concerne la rémunération, de nombreuses gratifications supplémentaires peuvent venir s’ajouter à votre rémunération légale comme des tickets restaurant, la prise en charge de vos frais de transport ou encore d’autres avantages du comité d’entreprise….

Pour ceux qui n’ont pas la possibilité de suivre une formation en alternance, de nombreuses opportunités de stages sont à saisir également toute l’année. Les opportunités offertes cette année devrait également vous permettre de découvrir l’ensemble des métiers de la banque et de l’assurance.

Parmi les principaux recruteurs, on retrouve BNP Paribas, Société Générale, HSBC, Allianz, Crédit Agricole… qui proposent des milliers d’offres de stages en 2013. Les périodes de stages varient de 4 à 6 mois.

Les politiques d’encadrement des stagiaires vont différer selon les recruteurs. Certains n’hésitent pas à prévoir une formation ainsi qu’un suivi et une évaluation régulière par un maître de stage. De nombreux recruteurs pratiquent également des enquêtes de satisfaction pour s’assurer de la bonne intégration de leurs stagiaires.

Si vous avez des questions concernant l’alternance ou les stages en banque et assurance, n’hésitez-pas à contacter l’équipe linkfinance à candidats [at]linkfinance[dot]fr. La rédaction fera son possible pour vous répondre dans les plus brefs délais.

À lire

« L’alternance, une démarche prioritaire pour Société Générale : 1400 contrats proposés pour 2013 », Laurence Lavanant, Responsable du pôle sourcing – recrutement, Société Générale

« Natixis et ses filiales accueillent chaque année plus de 400 alternants », Oléma Caminhante, Chargée de recrutement VIE, Alternance

« LCL a pour objectif de recruter 600 alternants en 2013. C’est un enjeu important de pré-recrutement pour nous », Caroline Cohen Vilain, Responsable recrutement, LCL

« Nous avons prévu de recruter 1550 alternants cette année », Isabelle Sachot-Moirez, Responsable recrutement, BNP Paribas

« Nous avons donc au total 130 étudiants par an en alternance », Pierre Mantilaro, Responsable pôle emploi carrières, BRED

« Nous maintenons une politique ouverte vis-à-vis des jeunes », Guillaume d’Argenlieu, Responsable relations écoles-universités, Amundi

« Natixis et ses filiales accueillent chaque année plus de 400 alternants », Oléma Caminhante, Chargée de recrutement VIE, Alternance

Combien d’alternants avez vous prévu de recruter cette année ? Quel est l’enjeu pour Natixis ?

Natixis et ses filiales accueillent chaque année plus de 400 alternants, que se soit en contrat d’apprentissage ou de professionnalisation, et nous prévoyons de recruter plus de 300 alternants pour cette rentrée 2013.

L’enjeu pour Natixis est de former des jeunes en entreprise afin qu’ils puissent acquérir une réelle expérience professionnelle.

De véritables missions attendent les alternants au sein de Natixis pour leurs permettre de renforcer leurs compétences et d’être opérationnels dès la sortie de l’école.

Natixis est également une entreprise handi-accueillante et met en place des actions spécifiques pour intégrer dans ses équipes des étudiants en situation de handicap.

Nous avons d’ailleurs un partenariat avec l’ESSEC et participons à différents forums spécialisés comme celui organisé par Tremplin.

Quels sont les profils recherchés ? Est-ce que vous privilégiez certaines formations ?

En terme de profil, nous recherchons des alternants motivés par le monde du travail et ayant envie de s’investir dans un environnement financier. Nous recherchons des étudiants qui manifestent une énergie, un professionnalisme, un bel esprit d’équipe et une ouverture d’esprit afin d’évoluer au sein de notre entreprise.

Natixis ne privilégie pas de formation particulière, nous souhaitons accueillir des étudiants de divers horizons allant du BTS au Master 2 en université, en école de commerce ou d’ingénieurs.

C’est avec cette diversité que nous faisons la richesse de notre entreprise.

Quels sont les métiers concernés et les types de missions que vous proposez en alternance ?

Nous proposons des missions variées sur toutes nos activités, ce qui permet d’intégrer différents profils.

Nous recherchons ainsi des ingénieurs en informatique, des juristes, des comptables, des contrôleurs internes/risques, des assistant(e)s de manager, des gestionnaires de back office….

Les missions sont liées à ces différents métiers et les alternants sont intégrés au quotidien du service, tout en tenant compte de leur rythme d’alternance.

Quelles sont les caractéristiques de vos contrats d’alternance (encadrement, définition des missions….) ?

Nos contrats d’alternance sont accompagnés tout le long de leurs parcours en entreprise par leurs maîtres d’apprentissage et par notre service RH.

Le maître d’apprentissage (ou tuteur) définit en amont les missions confiées à l’alternant et est présent pour guider l’alternant tout le long de sa mission.

Un suivi RH régulier est également réalisé et nous recevons, en entretien de mi-parcours, chacun de nos alternants afin de faire le point sur ses missions et sur son intégration au sein de l’équipe. C’est également un moment privilégié pour échanger sur les souhaits d’évolution de l’alternant (poursuite de l’alternance, recherche de VIE…).

Que deviennent vos alternants ? Est-ce que vous avez des exemples ?

Natixis est reconnue pour la diversité de ses métiers et nous proposons de nouvelles missions au sein d’autres services pour les alternants qui continuent leurs études. Certains alternants réalisent, en effet, leurs cinq années d’études au sein de Natixis.

Les titulaires d’un Master 2, peuvent être recrutés sur un VIE, avec possibilité de déboucher sur un poste local ou à Paris.

Les dernières missions de VIE à New York ont été pourvues par nos alternants.

Est-ce que la sélection est rude pour vos postes en alternance ?

Nous recherchons des profils de qualité et pour certains métiers techniques, comme les gestionnaires de back office (DUT GEA), et les assistant(e)s de manager, nous faisons passer des tests d’aptitude qui nous permettent de réaliser une première sélection. Un entretien avec les RH et les opérationnels est ensuite organisé.

En ce qui concerne les profils Bac+3 à 5, après sélection des CV, nous rencontrons l’alternant dans le cadre d’un entretien RH approfondi, et, proposons les meilleurs profils aux opérationnels pour un deuxième entretien.

Est-ce que vous avez des conseils à donner aux candidats qui voudraient faire leur alternance chez Natixis ?

Il est essentiel que le candidat définisse son projet pour que nous puissions identifier très vite ce qu’il recherche.

Il faut que le candidat soit clair dans sa recherche et qu’il précise le type de poste recherché. S’il postule à une de nos offres, il faut également bien noter la référence de celle-ci.

A cela s’ajoute un CV actualisé faisant apparaître la formation à laquelle l’alternant s’est inscrit ainsi qu’une lettre de motivation nous permettant de positionner les candidats sur les postes adaptés.

Les candidats peuvent d’ores et déjà nous envoyer leurs candidatures via notre site Internet www.natixis.com.

« L’alternance, une démarche prioritaire pour Société Générale : 1 400 contrats proposés pour 2013 » – Laurence Lavanant, Responsable du pôle sourcing – recrutement, Société Générale

Combien d’alternants avez vous prévu de recruter cette année ? Quel est l’enjeu pour la Société Générale ?

Société Générale a recruté en 2012 plus de 1.100 alternants. Nous avons atteint le quota de 4% requis par la législation.

En 2013 le groupe prévoit de recruter 1400 jeunes en alternance. Nous continuons à nous engager dans une démarche volontariste en matière d’insertion professionnelle des jeunes, et développons une politique dynamique de recours à l’alternance.

L’alternance représente un véritable tremplin pour les jeunes qui souhaitent commencer leur carrière dans le Groupe.

Quels sont les profils recherchés (formations) ? Est-ce que vous privilégiez certaines formations ? Quels sont les métiers concernés et les types de missions proposés en alternance ?

Nous recrutons des alternants préparant un diplôme ou une qualification en alternance de niveau Bac +2 à Bac +5 (BTS, DUT, Licence, Master 1 et 2.

Les jeunes préparant un diplôme Bac +2 pourront accéder aux métiers de commerciaux dans le réseau de banque de détail (Chargé d’Accueil et Conseiller clientèle multimédia) en obtenant un BTS -Banque ou un BTS Négociation Relation client ou à d’autres fonctions non commerciales en obtenant un BTS Assistant Manager ou un DUT GEA.

1. – Les jeunes préparant un diplôme Bac+2/3 pourront accéder à des métiers non commerciaux (gestionnaire back office Financements, comptables, informaticiens).

2. – Les jeunes préparant un diplôme Bac +4/5 seront quant à eux préparés aux métiers commerciaux de Chargé d’affaires Professionnels ou Entreprises, de Directeur d’Agences ou de Conseiller en Gestion de Patrimoine en préparant les diplômes de Master 1 et 2. Ils auront aussi la possibilité d’être préparés à des métiers de fonctions supports (Communication, Ressources humaines …) ou bien à des métiers d’Assistant Maîtrise d’Ouvrage, de Contrôleur de Gestion, d’Ingénieur Études et Développement, d’Ingénieurs Systèmes, d’Ingénieurs Telecom, d’Assistant MOA, d’Administrateurs base de données ou de Chargé des Opérations de Marché par exemple.

Il existe un large choix de formations en alternance (Banque, Finance, Audit, Achats, Informatique, Droit, Ressources Humaines, Communication, Marketing…), la plupart des Écoles de commerce et Universités proposent maintenant leurs formations en Alternance.

Quelles sont les caractéristiques de vos contrats d’alternance (durée, encadrement….) ?

Le Groupe a recours aux deux types de contrats d’alternance : le contrat d’apprentissage et le contrat de professionnalisation. Le type de contrat dépend de l’organisme de formation dans lequel l’étudiant est inscrit.

Le contrat d’apprentissage offre une formation initiale en alternance et permet d’obtenir un diplôme. L’alternant doit être âgé(e) de 16 ans révolus à 25 ans. Lors de cette formation, le contrat proposé est un CDD de 12 à 36 mois.

Le contrat de professionnalisation offre une formation en alternance qui vise à l’insertion ou réinsertion dans le monde du travail et permet d’acquérir une qualification professionnelle. L’alternant doit être âgé(e) de 16 ans révolus à 25 ans révolus ou demandeur d’emploi âgé d’au moins 26 ans et inscrit(e) à Pôle Emploi. Lors de cette formation, le contrat proposé est un CDD de 6 à 12 mois (exceptionnellement renouvelable jusqu’à 24 mois).

L’alternant est encadré par un tuteur ou un maitre d’apprentissage.

Son rôle est d’accompagner l’Alternant toute la durée de sa formation, dans l’entreprise et dans l’élaboration de son mémoire. Il définit ses missions et l’accompagne dans la gestion de ses sujets au quotidien. Il a un rôle d’accompagnement dans l’apprentissage du métier.

Est-ce que vous avez des conseils à donner aux candidats qui voudraient faire leur alternance à la Société Générale ?

SG propose un large choix de métiers ouvert à l’Alternance. Le cursus en alternance vous permet de développer vos compétences, d’acquérir une expérience professionnelle significative et donc d’accroitre votre employabilité dans le monde professionnel.

Le secteur bancaire est en profonde transformation avec d’importants défis à relever. Y faire son alternance au sein de Société Générale, c’est devenir acteur de cette transformation, c’est apporter sa pierre à l’édifice et apporter sa contribution au monde demain.

Vous aimez les challenges et le travail en équipe ? Rejoignez un groupe qui sait valoriser les talents et faire grandir ses collaborateurs pour qu’ils se réalisent personnellement et professionnellement.

« LCL a pour objectif de recruter 600 alternants en 2013. C’est un enjeu important de pré-recrutement pour nous », Caroline Cohen Vilain, Responsable recrutement, LCL

Quel est l’intérêt pour un jeune aujourd’hui d’envisager une carrière en banque de réseau ?

Etre conseiller bancaire aujourd’hui c’est exercer un métier dynamique et stimulant, comportant des aspects relationnels et de conseil très importants.

La banque est au cœur de l’économie. Ses conseillers participent au développement de la région et accompagnent les projets de leurs clients.

Les banques comme LCL forment leurs conseillers et favorise leur évolution de carrière.

Combien d’alternants avez vous prévu de recruter cette année ? Quel est l’enjeu pour LCL ?

LCL a pour objectif de recruter 600 alternants en 2013. C’est un enjeu important de pré-recrutement pour nous.

Avec l’alternance, nous préparons les embauches de demain et formons nos futurs conseillers.

Quels sont les profils recherchés (formations) ? Est-ce que vous privilégiez certaines formations ?

Nous recherchons principalement des étudiants préparant un BTS, une licence ou un Master 2.

Nous privilégions les formations qui préparent aux métiers bancaires.

Quels sont les métiers concernés et les types de missions proposés en alternance ?

Les principaux métiers concernés sont ceux de conseillers (conseiller particuliers, professionnels ou clientèle entreprise).

Les missions sont liées à la formation préparée et au métier : elles évoluent tout au long de la période d’alternance pour préparer l’alternant à tenir le poste à l’issue de ses études.

Quelles sont les caractéristiques de vos contrats d’alternance (durée, encadrement….) ?

Nos contrats en alternance ont une durée de 12 à 24 mois et sont encadrés par un tuteur.

Est-ce que vous avez des conseils à donner aux candidats qui voudraient faire leur alternance chez LCL ?

Il est important que l’alternant s’intéresse en amont à l’entreprise qu’il va intégrer. Il peut se rendre en agence pour interroger un conseiller ou aller sur notre site lcl.com rubrique « recrutement » pour s’informer sur les métiers de la banque.

Il pourra enfin postuler auprès d’une de nos écoles partenaires (liste sur le site) et en parallèle sur l’une de nos offres d’alternance.

« L’agent général est un entrepreneur qui développe sa propre activité », Christine Dumoulin, Direction distribution, Swiss Life

Pouvez- nous présenter brièvement / en quelques mots le métier d’agent général ?

L’agent général est un entrepreneur qui gère et développe son centre de profit avec l’appui d’une société aussi bien sur les aspects techniques, commerciaux, comptables ou encore de la gestion des sinistres.

C’est un entrepreneur qui a des qualités à la fois de commercial et de manager.

Commercial terrain, il va vendre nos produits d’assurance avec un statut d’agent général, plus sécurisant que la franchise. Swiss Life l’accompagne dans le développement de son activité en menant par exemple, avec lui, des actions commerciales ou en prenant en charge la gestion des sinistres pour ses clients.

Autre point important, l’agent général chez Swiss Life commence son activité avec un portefeuille existant qui génère dès le début des commissions. Avec l’aide de la compagnie, il se concentre sur la prospection pour développer son portefeuille et augmenter son revenu.

Quelles sont les spécificités de Swiss Life ?

Nous nous positionnons à la fois comme un assureur gestion privée, acteur de référence en assurance de personnes. Swiss Life est une compagnie à taille humaine. Il y a un vrai suivi des agents généraux. Nous sommes sur toute la France mais nous ne sommes pas sur représentés. Nos implantations sont aussi bien en milieu rural, qu’en milieu urbain ou en grande ville.

Quels sont les avantages du statut d’agent général ?

C’est un entrepreneur qui va manager son point de vente. L’un des avantages du statut est qu’il ne va jamais être vraiment seul. En effet, il peut s’appuyer sur les ressources de la compagnie. Nous avons ainsi des directions régionales de proximité qui vont le soutenir.

L’agent a également des inspecteurs métiers à ses côtés. Nous avons 2 inspecteurs régionaux par agent. Comme je le disais : nos agents généraux ne sont jamais isolés. De plus, lors de son installation, nous avons un inspecteur agence qui va accompagner l’agent général. Si celui-ci souhaite ouvrir une seconde agence, nous allons l’aider pour l’étude de marché, pour le choix de l’emplacement ainsi que pour le recrutement de ses collaborateurs.

L’agent général valorise également son portefeuille client. Quand il démarre son activité, il achète son portefeuille. Swiss Life lui rachètera son portefeuille lorsqu’il décidera d’arrêter son activité. L’agent général réalise donc une plus value financière s’il développe le portefeuille.

Quelles sont les motivations pour devenir agent général ?

La motivation première est la recherche de l’entreprenariat et l’autonomie, l’envie de travailler pour soi. Le profil typique du candidat est un salarié qui connaît « la crise de la quarantaine ».

Sur nos recrutements avons très peu d’échecs : deux échecs pour 30 recrutements d’agents..

Combien d’agents généraux avez-vous prévu de recruter cette année ?

Cette année nous avons prévu 20 recrutements. Nous avions beaucoup recruté l’année dernière avec 30 recrutements. En 2014 nous devrions être à nouveau sur 30 recrutements.

Quels profils ciblez- vous en priorité ?

Nous recherchons en priorité des commerciaux qui ont une expérience confirmée de terrain et des qualités entrepreneuriales. C’est très important. Nous ne ciblons pas des directeurs commerciaux par exemple.

Il faut savoir décrocher le téléphone, rencontrer les clients, c’est vraiment la clé pour être autonome dans son activité. Il n’est pas nécessaire de venir de l’assurance, nous proposons une formation complète qui prend en compte l’ensemble des aspects métiers.

« Il faut avoir un goût pour la prospection et l’envie d’entreprendre », Christophe Bernier, agent général Swiss Life à Lacanau

Pouvez- vous nous présenter brièvement votre carrière ? Qu’est-ce qui vous a décidé à rejoindre Swiss Life comme agent général ?

J’ai une carrière commerciale plutôt classique. Après des études en école de commerce, j’ai démarré dans le secteur automobile, en tant qu’attaché commercial puis Directeur de région. J’y suis resté vingt ans et y ai appris l’animation de points de vente et le management de cadres commerciaux..

En 2010, j’ai donné une nouvelle orientation à ma carrière et décidé d’évoluer vers le statut d’entrepreneur. Je cherchais dans le secteur de l’assurance et me suis renseigné auprès de l’AGEA et d’agents généraux de diverses compagnies. Je voulais intégrer un groupe à taille humaine, doté d’une ligne stratégique claire. Swiss Life répondait à ces critères.

Quels sont les avantages à démarrer sa propre activité sous le statut d’agent général ?

Quand on veut devenir entrepreneur, il est plus simple de démarrer son activité en s’appuyant sur un grand groupe, ce que permet le statut d’agent général. Nous avons un mandat de la compagnie d’assurance et à ce titre, nous bénéficions d’un soutien commercial et logistique ; cela permet de limiter les risques. Partager ses connaissances avec d’autres agents généraux est également indispensable afin d’éviter l’isolement toujours préjudiciable.

N’étant pas issu du secteur de l’assurance, la formation de 4 mois a été pour moi capitale. En achetant un portefeuille de clients composé de particuliers et de professionnels, devons maîtriser une vaste gamme de produits et l’ensemble est souvent très technique. Cela prend du temps.

Quelles sont les spécificités de Swiss Life sur son secteur ?

Swiss Life est une compagnie d’assurance au positionnement haut de Gamme et possède un véritable savoir-faire en assurance de personnes, particulièrement en vie, prévoyance et santé. Nous proposons également une gamme généraliste en assurance dommages et multi pro indispensable pour bien capter le client final.

J’apprécie les contacts avec mes interlocuteurs du siège. Il faut oser se déplacer, aller à leur rencontre. En retour, j’ai bénéficié sur certains dossiers d’une écoute certaine : ils m’ont identifié et je les connais.

Swiss Life soutient également le travail des agents généraux sur le terrain. On peut s’appuyer sur des ressources internes comme la plateforme d’appels téléphoniques régionale. L’aide des inspecteurs Vie et Dommages est également importante. Tout ceci permet de se concentrer sur le développement de son activité. Le réseau d’agents Swiss Life est la vitrine du Groupe auprès de la clientèle et il existe des potentiels de développement pour qui cherche à s’étendre.

Quelles sont les qualités pour réussir dans ce métier ?

Il faut avoir un goût pour la prospection et l’envie d’entreprendre et savoir organiser le fonctionnement de son agence. Je conseille également de ne pas délaisser la gestion des sinistres qui demeure un acte commercial, notamment en milieu rural. Enfin une importante capacité de travail pour développer son fonds de commerce est naturellement nécessaire.

Quels conseils donneriez-vous à des professionnels qui voudraient devenir agent général ?

Il faut s’assurer de ses motivations et évaluer ses forces et faiblesses. Il est important de s’assurer que ce choix de vie est validé avec sa famille. Un nouvel agent général devra passer du temps à comprendre son marché local, c’est vraiment la clé pour développer son agence.

Quel bilan faites-vous après cette première année de création de votre activité ?

J’apprécie cette liberté nouvelle d’avoir quitté le statut salarié qui était pesant pour moi sur la fin. Le choix de Swiss Life me convient bien. Il n’y a pas eu de mauvaise découverte. J’apprécie l’entrepreneuriat au quotidien qui est un investissement sur le long terme.

Dossier les commerciaux en assurance 2013 – Les recruteurs sur le secteur de l’assurance recrutent à la fois des jeunes diplômés mais aussi beaucoup de profils expérimentés

Le secteur de l’assurance recrute encore fortement en cette année 2013. Certains profils sont plus recherchés que d’autres. Le recrutement se fait majoritairement dans la fonction commerciale.

L’assurance est un secteur porteur, notamment pour les jeunes dus à des départs massifs à la retraite. 40 000 départs à la retraite sont attendus entre 2008 et 2015. Il faut savoir que l’assurance est un secteur traditionnellement recruteur avec l’intégration de 10 000 à 14 000 nouveaux recruteurs chaque année.

La fonction commerciale est la première famille des métiers de l’assurance avec plus de 30 % du total des effectifs.

Les recruteurs sur le secteur de l’assurance recrutent à la fois des jeunes diplômés mais aussi beaucoup de profils expérimentés. Selon un rapport publié en 2011 sur les métiers des salariés de l’assurance (Roma 2011), la part des moins de 26 ans parmi les nouveaux entrants s’élève à 37,8% soit 3,3 points de plus qu’en 2008.

Même si on peut s’attendre à un certain ralentissement des recrutements sur la fonction commerciale en assurance comparativement aux années précédentes, les demandes pour les profils d’inspecteurs régionaux et directeurs commerciaux devraient rester fortes pour les compagnies et les mutuelles à la fois pour les profils expérimentés et jeunes diplômés.

Dans un contexte plus difficile, les profils expérimentés sont moins présents sur le marché du travail. On peut donc anticiper que les recruteurs vont privilégier les profils juniors.

Le marché des commerciaux restent très compétitifs, puisque toutes les sociétés d’assurance mais aussi les banques recherchent les mêmes profils.

La majorité des réseaux commerciaux d’assurance vont recruter en 2013.

AXA a annoncé pour 2013 le recrutement de 900 personnes en CDI dans ses réseaux commerciaux. Groupama va réduire ses embauches cette année mais a décidé d’augmenter la part de ces commerciaux dans ses recrutements qui devraient représenter jusqu’à 80%.

Allianz envisage d’intégrer cette année 1 000 commerciaux supplémentaires pour ses réseaux de distribution. Allianz cible en priorité des personnes avec trois ans d’expérience mais semble s’ouvrir depuis quelque temps aux débutants.

Amaguiz prévoit le recrutement d’une quinzaine de commerciaux sans niveau de formation exigé.

A lire

« Nous avons prévu cette année le recrutement de 40 Conseillers Patrimoniaux en CDI », Eric Rosenthal, Directeur Commercial & Marketing, Legal & General (France)

« Les sociétés d’assurance continuent à recruter des commerciaux car c’est vraiment le nerf de la guerre », Francine Aufray, Kelly Services

« Chaque année nous recrutons sur l’ensemble de nos filiales françaises, plus de 120 commerciaux », Emilie Bertrand, Responsable Emploi & Image Employeur, April

« Il faut avoir un goût pour la prospection et l’envie d’entreprendre », Christophe Bernier, agent général Swiss Life à Lacanau

« L’agent général est un entrepreneur qui développe sa propre activité », Christine Dumoulin, Direction distribution, Swiss Life

« Nous avons plusieurs réseaux commerciaux complémentaires », Frédérique Bouvier, Directrice du recrutement, AXA France

« Sur le marché des professionnels, nous avons prévu de recruter plus de cent conseillers commerciaux en 2013 sur toute la France », Taous Sehad, Responsable recrutement, AG2R La Mondiale

« Chaque année nous recrutons sur l’ensemble de nos filiales françaises, plus de 120 commerciaux », Emilie Bertrand, Responsable Emploi & Image Employeur, April

Quelles sont les spécificités du réseau commercial d’APRIL ?

Nous avons chez APRIL deux familles de commerciaux : Les animateurs réseaux et les conseillers en point de vente.

Les animateurs réseaux ont pour missions de donner envie à nos réseaux de distributeurs (courtiers) de travailler avec nous plutôt qu’avec nos concurrents. Il faut savoir se rendre incontournable par sa proximité, sa réactivité, son professionnalisme bref par sa qualité de service. Animer un réseau c’est savoir faire vendre nos partenaires grâce à nos idées innovantes, notre anticipation de ses besoins et les outils que nous mettons à sa disposition.

Les conseillers point de vente travaillent en agence et ont pour missions de développer le chiffre d’affaires sur un secteur géographique localisé. Le groupe a un réseau de 200 boutiques réparties en France. Les conseillers point de vente accueillent en boutique et effectuent des actions de prospection terrain pour développer leur porte feuille client qui sont majoritairement des particuliers mais aussi des professionnels (artisans, commerçants, professions libérales, etc.).

Combien de commerciaux avez-vous prévu de recruter cette année ?

Chaque année nous recrutons sur l’ensemble de nos filiales françaises, plus de 120 commerciaux.

Quels sont les profils recherchés et pour quels types de poste ?

Les profils varient selon plusieurs critères : le type de produits concernés, la cible de prospects/clients, le niveau de responsabilités managériales, etc.

Aussi, pour des postes en points de vente, nous sommes ouverts à des profils bac à bac +2 qui ne sont pas forcément des spécialistes de l’assurance. Nous leur assurons les formations et l’accompagnement nécessaire à leur prise de poste.

Pour d’autres postes, en revanche, il nous est nécessaire d’avoir des spécialistes de l’assurance ayant une expérience dans ce domaine.

L’univers de l’assurance a longtemps été un univers « froid » où l’assuré n’était qu’un numéro de contrat ! Si APRIL a été pionnier en matière de sens client depuis son origine, le groupe s’efforce de maintenir une remise en question perpétuelle de ses pratiques pour que sa relation client incarne les valeurs de l’entreprise et réponde aux attentes des clients qui nous font confiance.

Au moment du recrutement, nous allons donc porter une attention toute particulière au savoir-être et à la compatibilité du candidat avec les valeurs de l’entreprise (Simplicité, convivialité, imagination, responsabilité).

Quelles sont les régions concernées ?

Partout en France puisque notre réseau de points de vente et nos filiales en général couvrent l’ensemble du territoire.

Quels sont les avantages à être commercial chez APRIL (statut, commission….) ?

Sur ce point, chaque filiale a mis en place ses outils / avantages pour accompagner le travail des commerciaux : Smartphones, tablettes, véhicules. Pour la partie rémunération, le système de commissionnement est propre à chaque filiale selon ses particularités.

Est-ce que vous avez des exemples de parcours chez APRIL ? Quelles sont les possibilités de carrières pour un commercial jeune diplômés ou expérimenté ?

Les exemples de parcours et d’évolution sont nombreux. Globalement, chaque filiale accompagne ses collaborateurs dans leur parcours professionnel et certaines ont mis en place des « filières métiers » permettant de valider des niveaux d’expertise et de maitrise d’un poste avant évolution professionnelle.

De manière transversale, des comités de mobilité mensuels permettent aux recruteurs du groupe d’évoquer des collaborateurs qui ont la volonté d’évoluer sur d‘autres fonctions, sur une autre filiale.

Sur la population managériale, le groupe a initié en 2012 le projet RISE Network. Il s’agit d’un réseau d’intelligence collective au niveau mondial constitué de personnes identifiées à potentiel. Il rassemble ainsi des « promotions annuelles » de 15 personnes de tout pays, métiers, et cultures différentes qui vivent un an d’expériences nouvelles à travers des apprentissages variés au sein du Groupe.

Le caractère innovant de ce projet repose sur le fait de faire vivre un réseau international de potentiels sans pour autant tomber dans la démarche classique de talent management qui instaure des parcours de développement de type formation.

Dans le cadre du projet, les « Risers » :

– Travaillent ensemble sur des business case réels d’autres entités que celle d’origine,
– Partagent la vie d’une autre entité, d’un autre métier à travers les JOB Swap sous le parrainage d’un dirigeant,
– Jouent le rôle d’ambassadeurs d’APRIL dans les conférences externes, les relations avec les écoles et la presse
– Partagent leur expérience avec les salariés nouveaux, d’autres managers et directeurs au sein de l’université d’entreprise : parcours d’intégration de jeunes, formation managériale des responsables d’équipe
– Jouent le rôle de « béta testeurs » dans certaines innovations produits, process, communication ou dans des comités de pilotage d’opérations.

C’est une démarche d’enrichissement réciproque qui permet de générer de la fluidité entre les sociétés et de capitaliser sur les intelligences individuelles.

Comment a évolué le métier de commercial en assurance ces dernières années ?

L’assurance est un univers réglementé, technique, concurrentiel, dans lequel les commerciaux peuvent facilement « perdre » leurs clients par un discours complexe et confus. Aussi, les commerciaux du groupe s’efforcent au quotidien d’être transparents, simples, accessibles dans leur approche client.

La relation client se personnalise, se professionnalise. Nous sommes dans une véritable relation de service, de conseil. Il faut avoir un rôle d’accompagnement particulièrement prononcé car nous intervenons dans des moments importants de la vie de nos clients, parfois des moments graves. Il est donc fondamental d’avoir conscience de la responsabilité que l’on a sur les épaules lorsque l’on vend un contrat d’assurance, c’est comme cela qu’APRIL conçoit le métier de commercial aujourd’hui.

« Les sociétés d’assurance continuent à recruter des commerciaux car c’est vraiment le nerf de la guerre », Francine Aufray, Kelly Services

Quelles sont les tendances 2013 pour les recrutements de commerciaux en assurance ?

Les sociétés d’assurance continuent à recruter des commerciaux car c’est vraiment le « nerf de la guerre ». C’est grâce à eux qu’elles vont pouvoir se développer.

Ce type de recrutement est difficile car le plus important c’est la personnalité du candidat et ce n’est pas évident à évaluer lors d’un entretien. Le candidat doit avoir envie de réussir, de gagner, il doit rester toujours optimiste, aller de l’avant, ne jamais se décourager sachant que les barrages et les refus font partie intégrante du métier. Or, c’est sur le terrain que l’on peut vraiment juger si le candidat a une vraie fibre commerciale.

Est-ce que vous voyez des besoins accentués sur certaines compétences ou produits d’assurance ?

Les sociétés développent beaucoup l’assurance prévoyance aussi bien individuelle que collective (contrats souscrits par les sociétés pour leurs salariés qui permettent de se prémunir contre les risques de l’existence comme la maladie, l’arrêt de travail, l’invalidité, l’incapacité, le décès…et de venir en complément des sommes versées par la Sécurité Sociale qui ne couvrent ces risques que de façon partielle).

Les courtiers de toutes tailles recrutent, en raison de la mondialisation du marché de l’Assurance, de plus en plus de profils commerciaux, en particulier dans le cadre de la souscription de garanties dommages et Responsabilité Civile, avec des compétences linguistiques. La langue de prédilection reste toujours l’Anglais.

Quelles sont les structures les plus actives sur le marché (groupe d’assurance, mutuelles….) ?

Nous constatons de manière générale que les structures de moins de 100 personnes sont particulièrement actives. Elles sont souvent dirigées par des patrons qui ont créé leur entreprise, sont extrêmement dynamiques et qui ont l’envie de développer leur business.

Est-ce qu’il y a une carrière type pour un commercial en assurance et comment gérer sa carrière ?

Il n’y a pas de carrière type. Les commerciaux sont très sensibles à la rémunération et n’hésitent pas à changer si on leur fait des propositions intéressantes. Ils attendent un salaire fixe raisonnable avec un variable attractif.

Certains évoluent vers des postes de directions commerciales. Certains professionnels évoluent vers d’autres fonctions moins commerciales comme les fonctions supports. Ce sont des métiers très difficiles pour les recrutements. Il faut savoir tenir ses objectifs, ce qui n’est pas toujours simple.

Il y a eu beaucoup de demandes en 2012 pour des conseillers en gestion de patrimoine.

Comment ont-évolué les réseaux de commerciaux en assurance ?

On constate la création de nombreuses plateformes téléphoniques avec des télé-conseillers chargés de vendre des produits au téléphone ou d’obtenir des rendez-vous pour les commerciaux terrain. Le « porte à porte » existe de moins en moins.

Est-ce que le niveau d’exigence (montée en compétences patrimoniales….) s’est accru pour les commerciaux en assurance ?

Les sociétés d’assurance demandent une plus grande technicité de leurs commerciaux : ils doivent avoir une vraie connaissance des produits proposés. Ils ont d’ailleurs souvent des formations de plusieurs semaines prévues avant d’intégrer leur poste.

Les candidats recrutés doivent avoir également une expérience auprès d’une certaine clientèle (PME/PMI, clientèle haut de gamme, Grands comptes…).