Les documents de synthèse de l’entreprise

les documents de synthèse« …une approche à la fois exhaustive et pédagogique… » Jean-Claude Thomas. CFPB, directeur des diplômes, titres et certifications

Les documents de synthèse de l’entreprise – Aide à la lecture de la liasse fiscale et à l’analyse financière regroupe les différents tableaux normés de la liasse fiscale, dont l’obligation déclarative en fait un document central non seulement vis-à-vis de l’administration mais aussi des tiers, en particulier les banquiers.
En associant théorie et pratique, l’ouvrage constitue une véritable « boîte à outils » pour toutes celles et ceux qui sont amenés à travailler sur les comptes sociaux des entreprises : chefs d’entreprise et collaborateurs des cabinets comptables, banquiers chargés de clientèle professionnelle et entreprise, étudiants en gestion des grandes écoles et universités, lycées techniques préparant aux examens comptables.
Actualisé et enrichi au fil des éditions, ce livre est devenu la référence pour effectuer une analyse précise des comptes en vue d’établir un diagnostic économique et financier.
Plébiscité par le secteur, il accompagne les étudiants du Centre de formation de la profession bancaire (CFPB).

Pour en savoir plus

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Points forts

  • Un ouvrage qui associe à la fois la théorie et la pratique.
  • Une véritable boîte à outils pour toutes celles et ceux qui sont amenés à travailler sur les comptes sociaux des entreprises.
  • Une approche synthétique, mais suffisante, de l’analyse financière et du diagnostic des entreprises.

Les auteurs

Gervais Morel
Co-gérant de GVGM Formation Groupe GVGM Audit et chargé de cours Master Banque et Finance à la Faculté des sciences économiques de l’Université Lyon II. Il est expert-comptable, ancien membre de l’Ordre et de la Compagnie des commissaires aux comptes, et il collabore régulièrement avec le groupe de presse Les Échos.

Olivier Arthaud
Dirigeant associé du Groupe GVGM Audit et chargé de cours Master Banque et Finance à la Faculté des sciences économiques de l’Université Lyon II. Il est expert-comptable, commissaire aux comptes et vice-président de la Commission évaluation de la Compagnie nationale des commissaires aux comptes.

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Comment la finance peut-elle contribuer à la reprise ?

LA REPRISE« Comprendre et faire comprendre les professions financières »
Cette 9e édition de l’Année des Professions Financières est consacrée à la contribution que la finance peut apporter à la reprise économique. Dans un contexte caractérisé par un renforcement marqué de l’environnement réglementaire, des modalités de financement novatrices émergent, sous des formes très diverses, notamment au profit des entreprises non cotées.
À travers une vingtaine de contributions, cet ouvrage décrit ainsi différentes initiatives que l’industrie financière prend actuellement pour s’adapter à l’évolution des besoins des agents économiques. Il présente également les appréciations que des observateurs avertis portent sur ses capacités à soutenir durablement la reprise.
Comme dans les précédents volumes de cette série, les sujets traités dans cette nouvelle édition sont abordés selon des points de vue très variés, reflétant la diversité des expériences des auteurs, sans toutefois prétendre en fournir une analyse exhaustive. La spécificité de l’Année des Professions Financières consiste en effet à donner la parole à des acteurs et à des experts appartenant à tous les secteurs de la finance.

Les auteurs

Collectif sous la direction de Denise Flouzat Osmont d’Amilly et Pierre-Henri Cassou.

  • Catherine BARBAROUX
  • Marie-Anne BARBAT-LAYANI
  • Stéphane BLANCHOZ
  • Pierre BOLLON
  • Pierre-Henri CASSOU
  • Arthur CHABROL
  • Jean-Marc DANIEL
  • Philippe DUPONT
  • Denise FLOUZAT-OSMONT d’AMILLY
  • Sylvain de FORGES
  • Thierry GIAMI
  • Hervé LABBE
  • Nicolas LESUR
  • Damien LEURENT
  • Thierry LOBJOIS
  • Jean-Hervé LORENZI
  • Gautier MARIAGE
  • Robert OPHELE
  • Françoise PALLE-GUILLABERT
  • Michel PEBEREAU
  • Christian PFISTER
  • Michel ROUX
  • Gilles SAINT-MARC
  • Bruno SALMON
  • Guy SILVESTRE
  • Natacha VALLA

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Trade Finance Principes et fondamentaux

trade finance« …L’ouvrage de David Leboiteux… se présente comme une boîte à outils, facilitant la compréhension des principes et des fondamentaux, expliquant les nouvelles évolutions de ce métier dans un contexte réglementaire de plus en plus exigeant. » Gérard Worms, Président d’honneur de la Chambre de commerce ionternationale.

Le Trade Finance est une activité historique et traditionnelle des banques reposant sur la gestion, la sécurisation et le financement des transactions de commerce international. Les banques françaises sont actives dans ce domaine. Elles ont bien intégré qu’une offre bancaire élargie à l’international est un élément de différenciation concurrentielle et une source de revenus supplémentaires.

Ce vade-mecum permet de comprendre les problématiques du Trade Finance dans le financement du commerce interna-tional, ses risques et le rôle des banques. La première partie de ce guide expose l’origine du Trade Finance et les motivations des banques pour ces métiers, les spécificités de la chaîne documentaire, et leur rôle dans ces transactions commerciales. Un volet est plus particuliè-rement consacré aux enjeux de la conformité et aux aspects réglementaires de ces opérations.

La seconde partie présente les outils traditionnels du Trade Finance et leur utilisation : la remise documentaire, le crédit documentaire ainsi que les garanties internationales. La troisième partie est centrée sur les offres de financement à l’international du poste-clients.

Cet ouvrage synthétique s’adresse à un public professionnel (banques et entreprises) et universitaire (étudiants en commerce international, économie, finance et gestion).

Pour en savoir plus

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Points forts

Un vade-mecum pratique et pragmatique des opérations de financement du commerce international du point de vue des banques.
Cet ouvrage, conçu par un professionnel, spécialiste de ce métier, offre des clefs de lecture sur les mécanismes de financement des transactions commerciales dans un environnement international, tant du point de vue de l’exportateur que de l’importateur.
Ce guide décrypte les produits traditionnels de Trade Finance que sont, entre autres, la remise documentaire et le crédit documentaire. Il met en perspective toute la chaîne du Trade Finance, et notamment, aspect moins connu : celui de pouvoir assurer et structurer le financement de la transaction commerciale.

L’auteur

David Leboiteux est Directeur Général Délégué de BGFI International. Professionnel de la banque depuis 25 ans, il est en charge du Département Trade & Export Finance après avoir occupé différentes fonctions de Trade Finance et de Management au sein de HSBC France.
Il est diplômé de l’École Supérieure du Commerce Extérieur (ESCE) et titulaire d’un Master « Commerce International » de l’IAE Poitiers.

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Le conseil en gestion de patrimoine Tout savoir sur la méthode de l’approche globale

conseil patrimoineFace aux attentes de la clientèle et à la législation en vigueur, cette méthode de travail est désormais le standard de qualité minimum exigé dans la relation aux clients ciblés moyen et haut de gamme. Illustré de nombreux cas et d’exemples, ce livre est divisé en deux parties : les informations pratiques relatives au processus de la découverte des situations, de leur analyse, du diagnostic des problématiques patrimoniales et leurs solutions.
Les problématiques spécifiques du chef d’entreprise sont également traitées ; un développement du champ des connaissances techniques indispensables pour poser les bonnes questions, bien utiliser les réponses des clients et maîtriser les conséquences des préconisations émises. Somme de vingt ans d’expérience dans le conseil patrimonial, cette 88 édition, à jour de l’ensemble des modifications fiscales de 2014, est entièrement tournée vers les pratiques contemporaines de la gestion de patrimoine.
Le lecteur y trouvera l’ensemble des savoir-faire et des connaissances techniques indispensables à la fonction généraliste du conseiller en organisation et en stratégie patrimoniale.

L’auteur :William Dosik

William Dosik est Family Officer, ancien directeur associé chez Société Générale Private Banking.Il conçoit et anime des formations sur les thèmes de la méthodologie de l’approche patrimoniale globale, du conseil patrimonial aux chefs d’entreprise et aux investisseurs immobiliers. Il est consultant pour le CFPB et EFE et co-directeur du Master « Gestion du patrimoine privé et professionnel » à Paris 2 Panthéon-Assas

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Management de la banque Des nouveaux risques aux nouvelles formes de gouvernance

le management de la bqL’ouvrage traite de l’ensemble des aspects du management bancaire, du contexte à l’évolution des marchés et métiers. Il présente le secteur et ses spécificités (marchés financiers, marketing, RH). A travers l’émergence de la fonction Conformité, il analyse les risques et l’exigence accrue de normes auxquels le monde de la banque est confronté. Dans une perspective d’optimisation du pilotage, il aborde les nouveaux défis à relever tant en termes d’organisation interne que d’offre de produits et services.
Le propos est illustré par de nombreux exemples et éclairages techniques ainsi que par une dizaine d’études de cas. L’exposé est enrichi d’un glossaire de plus de 70 termes. Ce manuel s’adresse : aux étudiants des universités, de la licence au master ; aux élèves des grandes écoles ; aux praticiens. « [La crise] met, en effet, en relief les failles d’un système de libéralisation sans limite et oblige à repenser à la fois la gouvernance de l’économie mondiale et l’encadrement des métiers de la finance.
C’est dans ce contexte global qu’il faut analyser les apports du manuel de Michel Roux qui a le mérite de mettre le risque au cœur de l’analyse du management bancaire », (extrait de la préface d’Olivier Pastré, professeur à l’université Paris 8, membre du Cercle des économistes).

L’auteur :Michel Roux

Michel Roux est ancien doyen de la faculté de sciences économiques et de gestion de l’université Paris 13 et directeur de masters en banque, finance et comptabilité-contrôle-audit. Il est également membre du Centre d’économie Paris-Nord (unité de recherche mixte – CNRS) et directeur de la valorisation de l’université. Professionnel de la banque, il a publié de nombreux articles et ouvrages sur le management de la banque et la finance éthique.
Il est cofondateur du Groupe international de recherche en éthique financière et fiduciaire basé à Montré
UFR de sciences économiques et de gestion, Université Paris 13 :
Directeur
Maître de conférence

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Principes de Finance d’Entreprise Corporate Finance. Création de valeur

principes de FinanceLe modèle Corporate Finance dessine un cadre théorique et pratique pour l’analyse financière des entreprises, indépendamment de leur mode de contrôle et de leur structure. La Finance d’Entreprise est une mécanique de création de valeur, au sens large, par l’ensemble des parties prenantes : valeur économique (opérationnelle) et « transformation » en valeur actionnariale. Adopté par tous les « financiers » : investisseurs, évaluateurs, analystes, créanciers financiers, managers, régulateurs… ce modèle universel est le référentiel fondé sur un raisonnement en termes d’investissement et d’allocation du capital financier.
Par son approche internationale, et à partir d’exemples, ce manuel permet de comprendre la logique financière centrale de la valeur, sa mesure et les moyens de sa réalisation par les entreprises pour les investisseurs.
Composé de 5 chapitres, son plan suit un enchaînement progressif des principes et concepts sur la création de valeur et le Corporate Finance, version contemporaine de la gestion financière des entreprises :

l’entreprise : l’investissement des actionnaires ;
l’approche empirique de la création de valeur ;
la création de valeur par la gestion des capitaux employés ;
la création de valeur par la gestion des capitaux investis ;
généralisation du modèle Corporate Finance.

Ouvrage de référence à vocation pratique, ce Master s’inscrit dans la doctrine définie pour le CFA (Chartered Financial Analyst) Program, dont il couvre une partie du programme Corporate Finance.

Après le succès de l’ouvrage originel, paru dans la collection « Essentiel de la Banque et de la Finance », cette nouvelle édition, enrichie et augmentée, est publiée dans la collection « Master Finance ».

Points forts

Cet ouvrage présente le modèle Corporate Finance (finance d’entreprise et gestion financière) de manière complète et accessible, en respectant une rigueur technique dans l’exposé des concepts et de leur application.
expose, à partir d’exemples, la logique financière centrale de la valeur, sa mesure et les moyens de sa réalisation par les entreprises pour les investisseurs.
répond aux besoins des étudiants et des professionnels qui présentent l’examen du CFA (Chartered Financial Analyst) sur la partie du programme Corporate Finance.

L’Auteur

Docteur ès Sciences de Gestion (spécialité Finance), titulaire d’un Master en Finance, Philippe THOMAS est Professeur de Finance à ESCP Europe. Il y enseigne les disciplines Corporate Finance (analyse et évaluation financières, fusions-acquisitions, ingénierie financière).
Il est directeur scientifique du MS Finance ESCP Europe à Paris et à Londres et directeur académique du MSc Finance & Banking de l’École Supérieure des Affaires à Beyrouth.
Il exerce également des fonctions de consultant dans le domaine des fusions-acquisitions et du Private Equity.
Philippe THOMAS a occupé différents postes dans le secteur financier, puis dans le groupe Reuters.

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Pratique des Produits Bancaires Banque et fiscalité du particulier : techniques, conseil et astuces

LIVRE1Ce guide présente de façon très pratique et concrète les produits bancaires.

S’appuyant sur plus de 200 exemples commentés, il constitue un outil indispensable pour le conseiller bancaire, mais aussi pour le particulier désireux de mieux comprendre les produits qui lui sont proposés.

Pratique des produits bancaires aborde les sujets les plus importants sur lesquels les particuliers souhaitent un accompagnement efficace et pragmatique :

Les produits d’épargne bancaire : Quels sont les bons critères de choix des livrets? Comment fonctionne exactement la fiscalité sur ces livrets ?

Les enveloppes fiscales (PEA, assurance-vie, PERP, contrat Madelin, etc.) : Pourquoi autant de produits ? Pour qui sont-ils réellement intéressants ?

Les prêts immobiliers : Quelles sont les clés d’une négociation de prêt immobilier ? Quels sont ces montages qui font gagner de l’argent à la banque et au client ?

Les régimes matrimoniaux, donations et successions : Comment s’appliquent les barèmes de donations et de successions, concrètement, à chaque situation ? Comment anticiper au plus juste l’impact du choix du régime matrimonial ?

L’impôt sur le revenu : Comment fonctionne le système de plafonnement du quotient familial ? Quelles sont les astuces à connaître dans la déduction des frais réels ? Comment calcule-t-on exactement l’impôt sur le revenu, les plus- values immobilières ?

Sommaire

Les produits d’épargne bancaire
Les enveloppes fiscales
Les prêts bancaires aux particuliers
Régimes matrimoniaux, donations et successions
L’impôt sur le revenu du particulier

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La banque en ligne et le droit

la banque en ligne et le droit linkfinanceLe recours à l’Internet pour les relations entre les banques et leurs clients se diffuse dans toutes les sphères de la société, dans un contexte concurrentiel et de plus en plus européen. En France, près de 2 millions de personnes sont déjà clientes des « cyberbanques » – les pure players – et plus de 68 % des clients de banques consultent leurs comptes en ligne. À côté des services traditionnels, émergent de nouveaux produits, plus risqués : crédit à la consommation, ouverture de compte, assurance vie, etc.

L’équilibre entre les contraintes à respecter et les stratégies de conquête client est parfois délicat, l’ensemble devant être pondéré par une approche fondée sur le risque. Aussi, faut-il bien appréhender les questions complexes comme l’iden- tification du cocontractant, la valeur juridique des preuves électroniques, la traçabilité des opérations et la conservation des dossiers et des contrats souscrits par la clientèle.

Structuré en deux chapitres – l’ouverture et l’utilisation des services de banque en ligne –, cet ouvrage s’inscrit dans une optique de clarification du corpus réglementaire qui s’applique souvent de manière complémentaire, parfois antagoniste. Synthétique et pratique, il permet au lecteur de prendre connaissance des grandes problématiques juridiques de la Banque en Ligne et de faire un point sur l’état actuel des réponses juridiques et jurisprudentielles données en termes de conformité et de sécurité des transactions et des données.

Sous la direction de Eric A. Caprioli : Pascal Agosti,Isabelle Cantero,Ilène Choukri,François Coupez

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 » Le livre s’adresse en priorité aux directions générales et aux directions financières en charge d’anticiper et de gérer les crises économiques et financières « 

Rencontre avec David Brault, auteur de l’ouvrage « Gérer les crises financières dans les entreprises… Se préparer et anticiper ! », paru aux Editions de Boeck, Juin 2013.

Vous publiez un nouvel ouvrage sur la gestion de crise dans les entreprises. Tout n’a-t-il pas déjà été dit ou écrit sur la gestion de crise ? À qui s’adresse cet ouvrage ?

Le livre s’adresse en priorité aux directions générales et aux directions financières en charge d’anticiper et de gérer les crises économiques et financières.

La plupart d’entre eux ont déjà survécu aux différentes crises : crise financière en 2008/2009, économique ensuite puis la crise de l’Euro et celle des états souverains (2011/2012), etc.

La nouveauté de l’ouvrage c’est que les dirigeants d’entreprises doivent maintenant faire avec LES crises (au pluriel) c’est-à-dire travailler tous les jours à plus d’agilité pour pouvoir passer d’une crise à l’autre. Car on ne parle plus de crise mais de crises. Les crises s’enchaînent sous des formes diverses : crise de confiance, crise de management, crise de liquidité, crise de solvabilité, etc.

Le livre présente les facteurs clés et les différentes étapes à respecter qui permettent de franchir les écueils pour sortir de la crise et surtout d’anticiper pour éviter de retomber ensuite dans une nouvelle crise. Le livre présente un certain nombre de bonnes pratiques tirées de l’expérience du terrain.

De nombreux business cases sont également analysés dans l’ouvrage et dans ses compléments pédagogiques en ligne sur le site que l’éditeur a dédié à l’ouvrage crisesfinancieres.deboeck.com.

De plus nous avons enrichi le contenu de la partie papier de l’ouvrage par une quinzaine de témoignages vidéo de personnalités de la finance et du management.

Si tout n’a pas encore été dit sur la crise alors tout a été dit sur la gestion par le CASH ?

Beaucoup d’entreprises et de dirigeants ont besoin de se rappeler régulièrement les fondamentaux de la gestion par le cash. Le livre récapitule de manière synthétique sous forme de fiches pratiques illustrées d’exemples quelques fondamentaux (les 7 péchés capitaux de la gestion du CASH ; les 12 recettes pour sécuriser sa trésorerie ; les 15 leviers pour optimiser sa trésorerie, etc.).

L’ouvrage présente les outils indispensables (la balance âgée, la prévision de trésorerie, les procédures amiables de prévention des difficultés des entreprises, etc.). Mais le livre va bien au-delà car il témoigne de la créativité de nombreux dirigeants …

Nous en rencontrons plusieurs centaines chaque année à l’occasion de nos missions de management de transition. Il ne se passe pas une semaine sans que nous ne découvrions sur le terrain une nouvelle bonne pratique…

Le livre rend hommage à ces dirigeants anonymes qui sont confrontés au quotidien avec des problématiques de trésorerie et qui, il faut bien le reconnaître, s’en sortent très bien.

Quel est le rôle de la direction financière dans la gestion des crises ? Ce rôle évolue-t-il au fil du temps ? Au fil des crises ?

Piloter, coordoner, encourager, alerter… Tout doit être préparé, mesuré… tant d’un point de vue financier que d’un point de vue humain. Le moral des troupes compte énormément…

Le livre est centré sur les fondamentaux, la méthode, l’importance du management. Il est illustré de dizaines d’exemples et de contre exemples… Il explique des recettes gagnantes … L’ouvrage dresse dans ses derniers chapitres un portrait-robot des directeurs financiers qui réussissent à surmonter les crises… Lire notamment le chapitre 19 « Fini le bling-bling ! Le vrai travail du Directeur Financier … » et le chapitre 20 « Du métro DAF à l’über DAF ! ».

Quel est le rôle de la direction générale ?

Le livre met en parallèle le rôle de la direction générale et le rôle de la direction financière. Il insiste sur la nécessité d’alignement entre les deux directions (l’importance du binôme en action).

L’ouvrage rappelle la prédominance de la direction générale dans la conduite des opérations. Le chapitre 14 (Objectif Restructuring !) détaille en 25 étapes et autant de bonnes pratiques une opération réussie de retournement. De même au chapitre 15, le livre rappelle quelques principes de l’Art de la Guerre… À chacun de se positionner par rapport aux nombreux exemples. À chacun aussi de trouver son style de management… Il n’y a pas de bonnes ou de mauvaises réponses face à la crise …il n’y a que des décisions et des comportements que l’on peut assumer dans la durée… car personne ne sait jamais à l’avance combien de temps va durer la crise… Et le temps c’est de l’argent (du cash !)… sans compter que chaque crise est différente !

Y-a-t-il toutefois des erreurs à éviter ?

La direction générale et la direction financière doivent travailler de concert pour recréer la confiance avec les banquiers (Ch 16 : Que faire pour que mon banquier m’aime ?) mais aussi avec tout l’écosystème (les clients, les fournisseurs, les salariés…). Cela prend du temps.

Recréer la confiance passe par la production de chiffres fiables, par la tenue de ses engagements au quotidien…Le rôle du management est de fixer un cap et ensuite de s’y tenir … car un dirigeant qui n’est pas cru est cuit !

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Voir aussi – crisesfinancieres.deboeck.com


David Brault, Diplômé de Sciences Po Paris et titulaire d’une maîtrise en droit des affaires, a démarré sa carrière dans un grand cabinet d’audit anglo-saxon. Il a ensuite occupé plusieurs postes de Directeur administratif et financier/CFO dans un groupe international ou de Direction générale/Direction du développement dans des PME/PMI ou des filiales de groupes. Fondateur d’Objectif Cash, un cabinet spécialisé dans la Direction financière opérationnelle et le Management de transition, il a mené depuis 10 ans plus de 400 missions en France et à l’international, avec une équipe de 60 personnes. La plupart de ces missions ont été réalisées dans des participations de fonds d’investissement (PME/PMI) ou des filiales de grands groupes toujours sous-performantes en termes de gestion du Cash et du BFR, parfois en crise de trésorerie.

 » Le métier du contrôleur de gestion est de plus en plus un métier d’expertise « 

Rencontre avec Hélène Löning, auteure de l’ouvrage  » Le Contrôle de gestion : des outils aux pratiques organisationnelles  » paru chez Dunod, 4ème édition, 2013.

Pourquoi un ouvrage sur le contrôle de gestion ?

Le contrôle de gestion est une fonction au cœur des enjeux de performance et du pilotage des organisations, en particulier en période d’incertitudes économiques majeures comme celle que nous connaissons actuellement.

Par ailleurs, les pratiques de contrôle de gestion dans les entreprises sont essentielles pour orienter les comportements, motiver les individus et améliorer la cohérence dans l’action, renforçant ainsi également la cohésion dans l’entreprise.

Quels sont les nouveaux enjeux du contrôle de gestion aujourd’hui ?

Les nouveaux enjeux du contrôle de gestion sont largement liés aux enjeux des entreprises et organisations en 2013.

J’en citerai cinq principaux qui sont traités dans l’ouvrage, mais la liste n’est pas limitative :

– L’incertitude très forte de l’environnement, sur des marchés globalisés, avec des industries en pleines mutations technologiques, où les risques systémiques restent élevés, tant dans leur impact que dans leur occurrence, et où il est difficile (mais d’autant plus nécessaire !) de prévoir, et de fixer des objectifs ;

– Le rôle et les conséquences de systèmes d’information qui sont entrés « dans un nouvel âge » au cours des dix dernières années. Cela a des conséquences majeures pour le contrôle de gestion qui doit pour être crédible fiabiliser les chiffres dans un univers informationnel démultiplié, on pourrait parler de « magma » d’informations;

– Les mutations profondes dans l’organisation des entreprises, en particulier les grandes, qui doivent encore apprendre à concilier innovation (flexibilité) et maîtrise (des flux, des processus, des comportements) ; les structures bi- voire tri-dimensionnelles, les entreprises en réseau, l’entreprise 2.0, sont autant de défis lancés pour les pratiques traditionnelles du contrôle et du management, encore très associées à l’entreprise hiérarchique et pyramidale ;

– Le tournant vers une économie des « services » ; y compris dans les secteurs industriels, la valeur ajoutée est de plus en plus créée dans l’innovation technologique ou dans les services apportés par et autour des biens manufacturés ; ces activités de service posent des questions de pilotage de la performance bien spécifiques ;

– La responsabilité sociale et environnementale de l’entreprise est nécessaire, en partie pour prévenir les risques systémiques évoqués au-dessus ; le contrôle de gestion a un rôle majeur à jouer dans l’amélioration de la performance environnementale et sociétale, en apportant les outils de mesure qui permettront d’évaluer l’efficacité des plans d’action et la progression des entreprises en la matière.

Comment a évolué le métier de contrôleur de gestion ? Quel est son rôle dans l’organisation ?

Dans un tel contexte, le rôle et le métier du contrôleur de gestion se sont recentrés sur trois axes prioritaires, qui sont présentés en détail dans la partie 3 de l’ouvrage :

– le métier du contrôleur de gestion est de plus en plus un métier d’expertise, où il faut être crédible dans son rôle d’homme/femme du chiffre, en étant capable d’assurer :

1. la fiabilité des données dans un univers où, en dépit des systèmes intégrés de gestion, les chiffres contradictoires sont encore souvent la règle – tous n’ont pas les mêmes définitions, pas les mêmes agrégats, par exemple dans des situations de croissance externe avec intégration de sociétés jusque là indépendantes, des situations de dialogue économique avec les fournisseurs, des contextes d’organisations multi matricielles où les chiffres ne sont pas réconciliés, etc… ;

2. le choix des indicateurs les plus pertinents, en lien avec la stratégie et la veille concurrentielle ; le choix des indicateurs conditionne la vision que les dirigeants vont développer du business, de ses risques et opportunités ;

– c’est un métier où la pédagogie est le maître mot ; faire partager à tous le langage financier et économique dans l’entreprise, être le « maître » et l’enseignant des différents indicateurs financiers et de gestion (de la profitabilité à la rentabilité économique et la création de valeur en passant par la gestion du cash) ; cela suppose d’abord un rôle de « traducteur » auprès des opérationnels : il faut leur traduire, puis leur apprendre, la langue des financiers ;

– posséder une connaissance intime du business et des opérations, du métier dans lequel il/elle se trouve ; c’est ce rôle qui lui confère son titre de « Business Partner, », ou encore de « co-pilote ». Cela, loin de signifier une allégeance entière à l’opérationnel décideur, confère une crédibilité « locale » au contrôleur, et lui permet de poser les bonnes questions, d’interroger les pratiques et les décisions locales, dans un souci à la fois d’aide à l’amélioration de la gestion localement et de faire remonter une information pertinente à temps à la Direction générale sur les risques et opportunités dans le business.

Quels sont les profils et les qualités attendues du contrôleur de gestion ?

Ces évolutions et ce rôle pour le contrôleur de gestion impliquent des compétences bien précises attendues des contrôleurs de gestion :

– on l’aura compris, le contrôleur de gestion doit avoir des capacités analytiques et de synthèse, et des connaissances en comptabilité et finance d’entreprise, en systèmes d’information (y compris ERP) et gestion de projets, en langues (en particulier l’anglais qui est souvent le plus petit dénominateur linguistique commun de toutes les filiales) ;

– à ces compétences « techniques » s’ajoutent un certain nombre d’impératifs humains et comportementaux : il/elle doit aussi avoir un esprit ouvert, curieux, avec une bonne compréhension des enjeux stratégiques et opérationnels ; mais surtout, tout en acceptant de ne pas être le décideur, il/elle doit posséder des réelles qualités de communication, de pédagogie, de relationnel ; enfin, le contrôleur doit être irréprochable dans son intégrité, sa transparence et son éthique.

Bref, un vrai mouton à 5 pattes !

Est-ce que le contrôle de gestion est un passage obligé pour devenir directeur financier ?

Si on doit apporter une réponse synthétique, tous les contrôleurs de gestion ne deviennent pas directeurs financiers, mais peu deviennent directeurs financiers sans être passés antérieurement par une fonction de contrôleur de gestion dans leur parcours de carrière.

Tous les contrôleurs ne deviennent pas DAF ; certains d’ailleurs ne le souhaitent pas, préférant évoluer ensuite vers des postes plus opérationnels où ils auront l’opportunité de prendre des décisions après avoir accompagné et observé les décideurs ; de plus en plus de contrôleurs de gestion sont issus aussi de fonctions non comptables et financières, soit en provenance de la multiplicité des métiers du risque et du pilotage dans les entreprises actuelles (audit interne, direction des risques, contrôle interne), soit en provenance de secteurs plus opérationnels (supply chain, logistique, achats, DSI, etc…).

Dans ce dernier cas, le passage par le contrôle de gestion leur permet de mieux apprendre le langage économique et financier et de retourner ensuite dans les opérations en étant de meilleurs « vecteurs » de ces logiques, auxquelles leur passage en contrôle de gestion les aura sensibilisés.

La voie royale pour devenir directeur financier suppose en revanche une exposition à une diversité d’expériences : parmi celles-ci, le contrôle de gestion est majeure et très qualifiante.

Elle peut être complétée au choix par des fonctions plus exposées aux problématiques de financement et aux investisseurs (gestion du cash, trésorerie, relations investisseurs, etc…) ou des fonctions diversifiées du contrôle et de la gestion de risques (surtout dans certains secteurs, comme bancassurance, mais aussi des secteurs industriels comme l’énergie, la pharmacie, l’agro-alimentaire, etc…).


Auteurs de l’ouvrage : Hélène Löning, Véronique Malleret, Jérôme Méric, Yvon Pesqueux

Hélène Lôning est professeur à HEC au sein du département comptabilité-contrôle de gestion.

Véronique Malleret est professeur à HEC au sein du département comptabilité-contrôle de gestion.

Jérôme Méric est professeur à l’IAE de Poitiers en contrôle de gestion et gestion financière.

Yvon Pesqueux est professeur titulaire de la chaire Développement des systèmes d’organisation au CNAM.

Andreu Solé est professeur à HEC au sein du département comptabilité-contrôle de gestion

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