Les entreprises de la semaine en Audit et Conseil

Découvrez cette semaine les derniers avis des salariés et ex-salariés pour l’Audit et Conseil :

accentureAccenture : 9 avis

Accenture est une entreprise internationale de conseil en management, technologies et externalisation.Combinant son expérience, son expertise, ses capacités de recherche et d’innovation, développées et mises en œuvre auprès des plus grandes organisations du monde sur l’ensemble des métiers et secteurs d’activités, Accenture aide ses clients – entreprises et administrations – à renforcer leur performance.

bdoBDO France : 5 avis

BDO, 5ème réseau mondial d’audit et de conseil, est présent dans 119 pays et regroupe près de 47 000 personnes.BDO a été recréé en France en décembre 2007.Le cabinet a été fondé par six associés qui ont fusionné leurs cabinets respectifs :ABPR ,Léger & Associés et Patrick Giffaux.BDO continue son développement en 2010, avec l’acquisition de Cristalis, cabinet spécialisé en systèmes d’information, et la fusion avec FIDEA, un des leaders sur le marché Grand Ouest.

cour des comptesCour des Comptes : 10 avis

La Cour des comptes a pour mission de s’assurer du bon emploi de l’argent public et d’en informer les citoyens (selon l’article 47-2 de la Constitution).Juridiction indépendante, la Cour des comptes se situe à équidistance du Parlement et du Gouvernement, qu’elle assiste l’un et l’autre.La Cour rend publics et met en ligne sur son site internet tous ses travaux (sauf exigence particulière de confidentialité).

deloitteDeloitte : 25 avis

Un des leaders mondiaux de l’audit et des services professionnels
En France, 6 500 collaborateurs servent des entreprises multinationales, françaises et étrangères, des institutions publiques, ainsi que des dizaines de milliers de petites et moyennes entreprises.Deloitte mobilise un ensemble de compétences diversifiées pour répondre aux enjeux de ses clients, de toutes tailles et de tous secteurs – des grandes entreprises multinationales aux microentreprises locales, en passant par les entreprises moyennes. environnement.

eyErnst & Young : 37 avis

Depuis le 1er juillet 2013, Ernst & Young est devenu EY et rassemble aujourd’hui 167000 associés et collaborateurs à travers le monde, dans près de 150 pays. Les 737 bureaux de notre réseau – dont 14 en France – sont répartis dans quatre grandes zones de marché au sein desquelles nos professionnels entretiennent des relations privilégiées et partagent méthodes et expertises.Grâce à ce réseau, dont le niveau d’intégration et l’ampleur internationale sont gages d’une même excellence partout dans le monde, EY conforte sa position de leader mondial de l’Audit, du Conseil, des Transactions, de la Fiscalité et du Droit.

grantGrant Tornton : 12 avis

Grant Thornton rassemble en France 1300 associés et collaborateurs dans 24 bureaux et se place parmi les leaders des groupes d’audit et de conseil en se positionnant sur 5 métiers : Audit, Expertise Conseil, Conseil Financier et Opérationnel, Finance Transformation & Outsourcing et Conseil Juridique, Fiscal et Social. Les membres de Grant Thornton International constituent l’une des principales organisations mondiales d’audit et de conseil.Chaque membre du réseau est indépendant aux plans financier, juridique et managérial.

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«Le master CCA constitue la filière universitaire d’excellence de l’expertise comptable», Heraud Bernard et Pasquet Philippe, Responsables du Master CCA de l’IAE de Limoges, 2014

Est-ce que vous pouvez nous présenter le Master Comptabilité Contrôle Audit ?
Le Master CCA a été créée en 2004. Il émane de la précédente MSTCF (Maîtrise des sciences et techniques comptables et financières – 3ième et 4ième année post bac) qui, lors du passage au format LMD (Licence Master Doctorat), a ainsi naturellement évolué vers ce master.
Ce master a lui-même profondément évolué durant ses 10 années du fait des réhabilitations successives et des dispenses des épreuves du DSCG (Cf. ci-dessous).

Combien avez vous de promotions ?
Le master existant depuis 2004, il s’agit actuellement de sa 11ème promotion, avec un effectif évoluant autour d’une soixantaine d’étudiants pour les deux années cumulées. Nous avons diplômé, l’an dernier, la première promotion d’étudiants ayant réalisé le Master, dans sa globalité, en apprentissage.

Quel est l’objectif de la formation ?
Le master CCA constitue la filière universitaire d’excellence de l’expertise comptable. Il prépare les étudiants aux métiers de l’expertise comptable et du commissariat aux comptes, et leur permet d’acquérir une solide maîtrise des problématiques liées à la comptabilité des sociétés et des groupes, à la finance, au contrôle de gestion et au droit. Les étudiants titulaires du master sont dispensés de 5 des 7 épreuves du diplôme d’expertise comptable DSCG (Diplôme supérieur de la comptabilité et de gestion), diplôme d’accès à la profession d’expert-comptable. Nos étudiants diplômés, peuvent ainsi commencer leur stage d’expertise comptable.
Voir : http://www.futurexpert.com/Media/Fichiers/Plaquette_MasterCCA_Sept2012_coupe-2

Quels sont les points forts du programme ?
Le programme couvre l’essentiel des techniques des métiers du chiffre sans oublier les disciplines juridiques ou linguistes. Mais surtout, pour pouvoir se nommer Master CCA, il doit impérativement respecter le programme (détails sur le site www.compta-online.com) cadré par la profession. Il existe actuellement une quarantaine de masters CCA en France.
Rappelons que l’obtention du master CCA donne dispense pour 5 UE (2, 3, 5, 6 et 7) du DSCG.

Quels sont les profils des étudiants ?
Pour les deux années de master, les éléments sont assez similaires. En effet, une bonne part émane de l’année précédente en local, soit respectivement la licence de gestion et le master 1 CCA pour les masters 1 et 2 CCA. L’autre part émane le plus souvent soit de profils identiques – licence de gestion et master 1 CCA mais provenant d’autres université soit de la filière classique de l’expertise comptable (DCG/DSCG).
Comment est composé le corps enseignants ?
On compte trois types d’intervenants : les enseignants chercheurs (Professeurs des Université et Maître de Conférences), des enseignants du secondaire agrégés (PRAG) et des professionnels (représentant près de la moitié des intervenants) dont bien entendu de nombreux expert-comptables et commissaires aux comptes mais aussi des contrôleurs de gestion, avocats, inspecteurs des impôts, auditeurs, etc…

Quelles sont vos relations avec les entreprises ?
Le master bénéficie, comme tous les diplômes de l’IAE de Limoges, des nombreux partenariats de l’IAE
– ordres (experts comptables et commissaire aux comptes) et fédérations professionnels ;
– organismes institutionnels : Conseil Régional ;
– organismes consulaires ;
– entreprises et organismes du secteur sanitaire et social, du secteur bancaire et financier, du secteur comptable, secteur du BTP et de la filière bois, et de nombreuses entreprises d’autres secteurs d’activités.
Une personne Kevin Kiffer (kevin.kiffer@unilim.fr) est dédiée à cette relation IAE (Master CCA) – cabinets / entreprises.

Que deviennent vos anciens ? Est-ce que vous avez des exemples ?
Si le débouché naturel de la formation est donc l’expertise comptable et le commissariat aux comptes, dans des cabinets locaux ou au sein des « big four », il n’est pas rare de voir les étudiants s’insérer comme auditeur, contrôleur de gestion ou encore responsable administratif et financier.
Nos anciens étudiants, qui ne sont pas expert-comptables, ont des postes de responsabilité dans le domaine administratif et comptable au sein de structures comme Legrand, Norisko, Général Motors, Michelin… mais aussi dans nos PME locales comme Madrange, Fabrègue, Valade…

Est-ce que votre formation est accessible également en formation continue ?
La formation a toujours été ouverte en formation continue mais, depuis l’an dernier, en raison du succès rencontré par la formation continue, nous avons ouvert une voie différenciée, pilotée par Bernard HERAUD, réservée à l’alternance (en apprentissage). Il y a ainsi un groupe en formation initiale qui suit un rythme où le stage succède aux enseignements, et un groupe d’apprentis alternant tout au long de l’année entre l’Université et le cabinet / entreprise l’accueillant.
Le Master CCA de Limoges est l’un des rares à ouvrir la formation à l’alternance dès la 1ère année permettant ainsi de faire le Master complet en alternance. Il constitue le « chapeau » d’une filière universitaire de l’expertise comptable intégrée, presque entièrement en alternance, au sein de l’Université de Limoges (D.U.T. / Licence professionnelle / master CCA).
Comment procédez vous pour faire évoluer votre programme ?
L’IAE est doté d’un conseil d’administration (présidé par un professionnel et où figure des étudiants représentants) qui pilote la stratégie globale de l’institut, laquelle est ensuite déclinée dans chaque formation par le ou les responsables en concertation avec l’ensemble de l’équipe pédagogique concernée et les étudiants du master dans le cadre d’un conseil de perfectionnement. Deux réunions pédagogiques sont a minima prévues chaque année – en pratique, nous essayons en tant que responsables d’avoir une rencontre formelle mensuelle – pour chaque formation. C’est l’occasion d’évoquer les points forts / faibles et les pistes d’amélioration. Ainsi et par exemple, la répartition des cours (flux moins irrégulier) ou encore les modalités de contrôle de connaissance (plus de contrôle continu) ont récemment évolué.
Pour ce qui concerne le programme pédagogique à proprement dit, comme évoqué plus haut, nous nous consacrons à suivre les recommandations de la profession en la matière.
Nous précisons enfin que l’IAE possède une certification QUALICERT, gage de qualité et point commun des membres du réseau des IAE.

Interview du 13/11/2014


PASQUET Philippe – Né en 1971, Docteur en Sciences de Gestion, je suis Maître de conférences à l’IAE de l’Université de Limoges. J’y fus d’abord Chef de Département et ai eu l’opportunité d’occuper des responsabilités de diplôme (Licence et Master). Mes enseignements se concentrent principalement autour du contrôle de gestion, de la stratégie et du management. Je fus expert AERES durant les campagnes des vagues A et D, Licence et Master. Pour la partie recherche, Je suis membre du laboratoire CREOP (Centre de Recherche sur les entreprises, les organisations et les patrimoines, EA 4332) et mes axes principaux de recherche sont le management stratégique et la gouvernance.

HERAUD Bernard – Né en 1969, titulaire d’un DESS en comptabilité et d’un DEA en sciences de gestion, je suis Professeur agrégé de gestion. J’ai créé et piloté des formations universitaires (Licence professionnelle dans le domaine du management des entreprises de BTP …) ainsi que des formations continues dans le domaine de l’expertise comptable (préparation au DSCG …). Je suis l’initiateur et le coordinateur de la section d’apprentissage au sein du Master CCA. Mes enseignements se concentrent autour du la comptabilité financière et du contrôle de gestion.

«Plus de 60% avaient reçu une promesse d’embauche avant même d’être diplômé!», Mmes Brial, Palas-Saltiel et Rousselet, Responsables du Master Banque et Assurance de l’UPEM, 2014.

Est-ce que vous pouvez nous présenter le diplôme ?
Le Master Banque et Assurance de l’UPEM a pour vocation de former les futurs directeurs d’agence bancaires, les futurs conseillers clientèles professionnelles ou chargés d’affaires des réseaux bancaires et d’assurance.

Il a été créé en septembre 2011. C’est donc une formation récente. L’idée du lancement de ce Master part d’un constat simple : le nombre de recrutements annuel dans la banque de réseau. En effet, 24 000 recrutements ont eu lieu dans les banques en 2013 dont 62% dans le réseau. Ce sont dans 64% des cas des jeunes de moins de 30 ans, et plus de 40% de Bac+4/5. Six recrutements sur dix se font en CDI.

Combien avez vous de promotions ?
Nous avons diplômé notre deuxième promotion en juillet 2014. Aujourd’hui, donc deux mois après leur sortie, 80% d’entre eux sont dores et déjà en CDI, et plus de 60% avaient reçu une promesse d’embauche avant même d’être diplômé !

Quel est l’objectif de la formation ?
Comme je le disais, le Master Banque et Assurance de l’UPEM a pour vocation de former les futurs directeurs d’agence bancaires, les futurs conseillers clientèles professionnelles ou chargés d’affaires des réseaux bancaires et d’assurance. L’objectif de la formation est donc de préparer les étudiants à prendre à charge ces postes en fin de formation mais nous avons éaglement pour objectif de développer leur potentiel pour pouvoir évoluer professionnellement au sein des réseaux bancaires.

Quels sont les points forts du programme ?
Ce programme permet une excellente insertion professionnelle. Cela est dû certes au marché de l’emploi dans le secteur mais aussi à d’autres facteurs. Un de ses facteurs est que le master est en apprentissage. Par ailleurs, l’enseignement dispensé a été pensé et est chaque année amélioré avec les futurs employeurs. Il est tourné autour de quatre compétences identifiées comme fondamentales par les enseignants comme les praticiens : la gestion de la relation client, le management d’équipes, le pilotage d’un centre de profit et la gestion des risques bancaires.

Quels sont les profils des étudiants ?
Les étudiants sont admis en M1 après l’obtention d’une licence en économie gestion ou de façon plus exceptionnelle d’une licence professionnelle en banque. Les titulaires d’autres licences peuvent également être admis sous condition de démontrer une motivation très forte pour le secteur. Le fait d’avoir une première expérience en banque ou en assurance est un atout.
Comment est composé le corps enseignants ?
Le corps enseignant est composé de 55% d’enseignants-chercheurs et 45% de praticiens.

Quelles sont vos relations avec les entreprises ?
Nous sommes en contact étroit avec les entreprises. Nous avons trois entreprises partenaires : Société Générale, LCL et BNP Paribas. Nous organisons plusieurs fois par an des réunions pour faire un point individuel sur le développement de chaque étudiant apprenti mais aussi du master. Nous recherchons de nouveaux partenaires et pour cela entretenons des contacts avec d’autres banques.
Enfin, comme nos étudiants sont en apprentissages, nous les visitons sur leur lieu de travail une ou deux fois par an. Nous sommes ainsi directement en prise avec des problématiques de terrain.

Que deviennent vos anciens ? Est-ce que vous avez des exemples ?
Les anciens de la promo 2014 sont devenu dans environ 45% des cas directeurs d’agence bancaire, 25% sont chargés de clientèle professionnelle et 15% ont des postes de back office en marketing ou en stratégie.

Est-ce que votre formation est accessible également en formation continue ?
Notre formation est accessible en formation continue. Elle agit ainsi en accélérateur de carrière pour des cadres de la banque de réseau ou dans les assurances.

Comment procédez vous pour faire évoluer votre programme ?
Nous organisons tous les ans des comités de perfectionnement de la formation dans lesquels nous impliquons des étudiants, des maîtres d’apprentissage et des enseignants. Ceci nous permet de faire évoluer le contenu pédagogique de la formation.
Les étudiants doivent également remplir deux fois par an des questionnaires d’évaluation des enseignements.

Enfin, des réunions ont lieu avec les délégués de classe pour faire remonter des points de fonctionnement qui peuvent s’avérer bloquants.
Notre master est membre du réseau IAE, et, en tant qu’Ecole Universitaire de Management, il nous ait demandé d’améliorer notre offre d’enseignement en permanence.

Interview du 13/10/2014


Présentation des trois responsables pédagogiques :

Bérangère BRIAL
Maître de conférences en marketing, elle enseigne, entre autre, le marketing bancaire. En tant que chercheur à l’Institut de Recherche en Gestion, elle mène des recherches sur les clients des banques.

Valérie PALLAS-SALTIEL
Maître de conférences en sciences de gestion, elle enseigne principalement le contrôle de gestion et le pilotage de la performance. Ses recherches portent sur les problématiques d’organisation et de contrôle des banques (contrôle interne, management par les processus, gestion des connaissances) mais aussi sur la responsabilité sociale des banques en matière de financement.

Evelyne ROUSSELET
Maître de conférences, elle enseigne principalement le management stratégique des organisations l’histoire du secteur bancaire. Ses recherches portent sur la dynamique concurrentielle, les problématiques stratégiques des banques et leurs salariés.

«Il constitue, de surcroît, une première étape pour devenir associé de cabinet ou cadre dirigeant.», Enrico Prinz, Responsable du Master 2 «Audit Financier et Opérationnel» à l’EM Strasbourg, 2014.

Est-ce que vous pouvez nous présenter le diplôme? Le Master 2 « Audit Financier et Opérationnel » constitue l’un de nos plus anciens Masters qui a été créé en 1994 sous la forme d’un DESS à l’Institut d’Administration des Entreprises (IAE) de l’Université Robert Schuman de Strasbourg (aujourd’hui intégré à l’EM Strasbourg Business School, composante de l’Université de Strasbourg).
Le parcours a pour finalité de former des cadres de haut niveau maîtrisant toutes les facettes de l’audit interne, externe et du commissariat aux comptes, tant au niveau national qu’à l’international. Il constitue, de surcroît, une première étape pour devenir associé de cabinet ou cadre dirigeant.
La formation prépare aussi bien à l’exercice de fonctions de responsabilité dans les services d’audit interne de groupes industriels, bancaires ou de service et des collectivités territoriales qu’aux missions variées dans les cabinets d’audit externe.

Combien avez vous de promotions ? Le parcours « Audit Financier et Opérationnel » a fêté l’an dernier ses 20 ans et nous avons tout récemment accueilli la 21ème promotion.
Quel est l’objectif de la formation ? L’objectif du parcours est d’offrir aux étudiants des enseignements spécifiques leur permettant d’acquérir les techniques et concepts relatifs à l’audit et de développer une capacité forte de réflexion et d’analyse. Outre ces compétences techniques et d’analyse, les étudiants bénéficient de plusieurs cours dispensés intégralement en langue anglaise ce qui leur permet également de valoriser leurs connaissances dans un environnement international attractif et évolutif.
La préparation, à la fin du parcours, d’un mémoire visant à apporter des réponses à des problématiques concrètes du monde des auditeurs au travers une analyse scientifique permettra aux étudiants d’appliquer « sur le terrain » les outils et techniques acquis en cours et de développer une compétence recherchée à nos jours : la capacité de synthèse.
Quels sont les points forts du programme ? Sa particularité fut déjà à l’époque et l’est toujours à être l’une des rares formations en France offrant un cursus qui dépasse l’enseignement des facettes de l’audit « classique » puisqu’il forme également des experts à mêmes de réaliser des audits « opérationnels » dans les domaines de la production ou de l’informatique, par exemple. Cette double-compétence constitue un avantage non négligeable pour nos étudiants qui facilite leur insertion professionnelle.
Au vu de la position géographique de l’EM Strasbourg Business School et des missions trans-frontalières de bon nombre de nos intervenants professionnels, la formation constitue, par ailleurs, un bon tremplin pour démarrer une carrière intéressante en Suisse, au Luxembourg ou en Allemagne.
Quels sont les profils des étudiants ? Les candidats intégrant la formation disposent généralement d’un diplôme de niveau Bac+4 en finance, comptabilité ou droit, ou encore de parcours généralistes tels que sciences de gestion ou AES.
Le parcours est, par ailleurs, également accessible en formation continue ce qui constitue une possibilité pour les personnes ayant déjà des expériences professionnelles de se réorienter ou encore d’enrichir leur profil par l’acquisition de compétences complémentaires.
Comment est composé le corps enseignants ? L’équipe pédagogique est composée tant d’universitaires spécialisés dans les domaines comptabilité, audit, finance ou droit que de nombreux intervenants professionnels hautement qualifiés (commissaires aux comptes, experts comptables, associés et directeurs de cabinet, auditeurs, juristes, contrôleurs de gestion).
Parmi les professionnels, les cabinets locaux sont aussi bien représentés que les « Big 4 » (Rem. : KPMG, PriceWaterhouseCoopers, Ernst & Young et Deloitte), ce qui offre aux étudiants de belles opportunités pour nouer des contacts, trouver un stage et préparer ainsi leur carrière professionnelle future. Quelles sont vos relations avec les entreprises ? Le parcours bénéficie de très bons contacts avec les cabinets d’audit et d’expertise comptable locaux, nationaux et internationaux. Ces relations sont, par ailleurs, régulièrement intensifiées par l’organisation d’un forum annuel d’audit auquel s’ajoutent d’autres événements comme, par exemple, des visites d’entreprise ou de cabinets.
Grace à ces contacts, les étudiants trouvent généralement sans difficultés des cabinets ou entreprises pour réaliser leur stage.
Dans ce contexte, il faut également noter que les étudiants ont accès aux événements organisés par l’Antenne Est de l’Institut Français des Auditeurs et Contrôleurs Internes (IFACI) où ils peuvent échanger avec les professionnels sur des thèmes d’actualité ou encore chercher conseil pour leur carrière future.
La qualité des contacts se reflète finalement par le taux élevé d’étudiants trouvant avant même la fin officielle du parcours un emploi, dont une grande partie dans les sociétés dans lesquelles ils ont effectué leur stage.
Que deviennent vos anciens ? Est-ce que vous avez des exemples ? Après leurs études, plus de la moitié de nos diplômés exerce les fonctions d’auditeurs juniors dans les cabinets d’audit locaux et nationaux ou devient auditeur interne dans les entreprises industrielles ou les collectivités locales. Une partie démarre également leur carrière professionnelle directement dans les grands cabinets à l’étranger.

Témoignage d’étudiants :

«Souhaitant me réorienter vers les métiers de la finance et de la comptabilité, j’ai intégré le Master AFO en formation continue après une expérience de plusieurs années en entreprise. J’ai choisi cette formation pour sa bonne insertion professionnelle, en particulier auprès des grands cabinets d’audit de la région.
L’enseignement, dispensé majoritairement par des professionnels, couvre l’essentiel des fa-cettes de l’audit interne et de l’audit externe et permet d’être rapidement opérationnel lors du stage de fin d’études. Ce stage, que j’ai réalisé dans un cabinet, m’a permis d’appréhender les différents aspects du métier d’auditeur financier au travers de missions particulièrement variées. Cette première expérience dans l’audit aura été déterminante puisque seulement quelques semaines après la fin de mon stage j’ai été recruté en tant qu’auditeur externe par le groupe Deloitte.»
- Cyril ABDICHE (promotion 2013/2014)

«Mon parcours.
Après un baccalauréat ES, j’ai effectué quatre années à l’Institut d’Etudes Politiques (IEP) de Strasbourg en Economie et Entreprises, avant de faire ma dernière années au sein du Master 2 Audit Financier et Opérationnel (AFO) de l’Ecole de Management de Strasbourg (EMS). Je suis maintenant auditeur financier chez le cabinet PwC à Luxembourg, spécialisé dans l’audit de fonds d’investissement en infrastructure et immobilier, depuis octobre 2013. J’ai reçu ma première promotion en juin dernier et j’ai la possibilité de devenir senior d’ici juin 2015, soit à peine deux ans après mon entrée en cabinet. Mes missions sont assez variées, puisqu’en dépit de ma spécialisation, j’interviens non seulement sur des fonds d’investissement, mais aussi sur des structures holdings et des sociétés opérationnelles (industrie).

L’apport du M2 AFO.
Le M2 Audit Financier et Opérationnel de l’EMS m’a permis, dans le contexte de mon par-cours personnel, de préparer mon entrée sur le marché du travail en cabinet d’audit. C’est une formation de qualité qui m’a permis d’acquérir tout le vocable et les notions essentielles à un praticien de l’audit pour exercer son métier. Les cours sont eux-mêmes assez variés et permettent aussi bien de renforcer des acquis en comptabilité, notamment en normes interna-tionales (IFRS) et en consolidation, que de se familiariser avec les concepts de l’audit légal ou d’autres formes d’audit (ressources humaines, production) et d’approfondir certains aspects de la finance (instruments financiers, dérivés). Une proportion appréciable de ces cours est dispensée par des professionnels du secteur, dont des associés et directeurs des grands cabinets (PwC, KPMG et Deloitte), ce qui permet aussi d’y apporter une dimension pratique et connectée aux problématiques de terrain. De fait, c’est une formation qui combine avec efficacité de solides bases théoriques avec la pratique quotidienne en cabinet. C’est un master qui propose un bon rapport qualité-prix, car moins cher que les alternatives comme la forma-tion de l’Ecole de Management de Lyon, tout en acquérant les compétences nécessaires à la pratique de l’audit. Il est à noter que d’autres se sont aussi orientés vers l’audit interne ou le contrôle de gestion. Les débouchés vont donc au-delà du simple audit externe en cabinet.

M2 AFO et insertion professionnelle.

Le M2 Audit Financier et Opérationnel de l’EMS ouvre les portes du monde professionnel : un salon de l’audit est tenu en septembre/octobre à l’EMS qui réunit des professionnels du secteur, aussi bien venus des cabinets basés à Strasbourg (locaux ou internationaux) que de Paris ou Luxembourg. C’est une phase au cours de laquelle la grande majorité des étudiants trouvent un stage dans ces structures, car le M2 comprend un stage de 4 mois de janvier à avril. Le stage est d’autant plus intéressant qu’il débouche quasi-automatiquement sur une offre en CDI à l’issue du diplôme. Parmi ces cabinets figurent évidemment les Big Four (PwC, KPMG, Deloitte et EY), mais aussi des structures locales comme FIBA, Gross Hugel, etc. Les résultats du M2 à cet égard sont probants ; la plupart des mes camarades de promotion se sont insérés très rapidement sur le marché du travail. J’ai moi-même obtenu mon CDI chez PwC Luxembourg en novembre 2012, soit un an avec mon début en octobre 2013.

Pourquoi l’audit ?
L’audit est un secteur à l’épreuve de la crise ; le commissariat aux comptes reste une obliga-tion légale et est de ce fait plus contra-cyclique que d’autres pans du secteur des services financiers comme la banque d’investissement ou le marketing. L’audit est une porte d’entrée pour beaucoup de jeunes diplômés qui n’ont pas de mal, après deux à quatre ans dans le sec-teur, à se reconvertir dans d’autres positions. L’audit lui-même constitue une option de carrière intéressante avec des promotions rapides et des rémunérations attractives (ainsi qu’un package : voiture en leasing, mutuelle à prix cassé, bonus, plans retraite, etc.), ainsi que des problématiques intéressantes et un contexte professionnel stimulant. A fortiori, c’est un type de carrière encore plus attractif au Luxembourg où les rémunérations, les possibilités de carrière et la qualité de vie sont extrêmement alléchantes. Le M2 est aussi reconnu au Luxembourg et a encore permis cette année à certains de ces étudiants de venir travailler ici.» – Flavien TULLIEZ (promotion 2012/2013)

Est-ce que votre formation est accessible également en formation continue ? Le parcours est accessible tant en formation initiale qu’en alternance sous forme de formation continue ou de contrat de professionnalisation.
Comment procédez vous pour faire évoluer votre programme ? Le parcours est régulièrement évalué dans le cadre de réunions pédagogiques visant une amélioration continue de la qualité des enseignements ainsi qu’une adaptation aux évolutions récentes dans les domaines de l’audit et du contrôle interne.
Outre ces réunions pédagogiques, les étudiants évaluent chaque année les enseignements, l’objectif étant de vérifier si ces derniers leur ont permis d’atteindre les objectifs pédagogiques du programme. La participation du maître de stage à la soutenance des mémoires permet, de surcroît, d’avoir un feedback direct des praticiens sur la qualité du programme.

Propos recueilli le 01/10/2014


Enrico Prinz est enseignant-chercheur en finance à l’EM Strasbourg Business School. Outre le Master « Audit Financier et Opérationnel », il est responsable du Master « Management transfrontalier franco-allemand ». Ses travaux de recherche portent sur des questions de gouvernance d’entreprises telles que la rémunération des dirigeants, l’efficacité du conseil d’administration et la création de valeur. crédit photo © Marie Faggiano

Access Masters : Salon des Masters, MBA & MS le 27 septembre

Access Masters : Salon des Masters, MBA & MS

Visez de nouveaux sommets !

Paris, Samedi 27 Septembre 2014
De 12h30 à 17h30
Le Méridien Etoile,

Entrée gratuite, inscription obligatoire.

Découvrez les meilleurs programmes de Masters, MBA & MS des Grandes Ecoles de Commerce françaises et internationales lors de la 11ème édition du Salon Access Masters à Paris le Samedi 27 Septembre 2014 !

Les moments forts du salon :

• Workshops thématiques : marketing, finance, management, relations internationales, ingénierie…
• Rencontres personnalisées avec les Directeurs des Admissions des écoles
• Sessions d’orientation individuelles animées par les consultants Access Masters
• Programmation des RDV sur place et assistance d’hôtesses dédiées
• Conférence interactive « Comment bien choisir son Master Spécialisé »
• Nouveau Guide Access Masters – inclus son supplément MBA – offert à chaque participant

Le salon s’adresse aux titulaires de Bac+3 (Licence ou équivalent) à Bac +4/5 et jeunes diplômés, toutes filières, qui souhaitent se spécialiser dans un domaine précis, acquérir une double compétence, bénéficier de la notoriété et du réseau des écoles, faciliter leur mobilité internationale, optimiser leur salaire à l’embauche, ou encore faire la différence face aux recruteurs.

Les écoles participantes au salon figurent parmi les plus renommées, et proviennent des quatre coins du monde, EDHEC, Hult International Business School, IE Business School, Babson College, Henley Business School, Rotterdam School of Management, Toulouse Business School… et bien d’autres.

N’attendez pas la rentrée ! Inscrivez-vous dès maintenant pour recevoir votre invitation gratuite et horaire d’arrivée sur www.accessmasterstour.com

Seuls les candidats préinscrits peuvent obtenir des RDV avec les écoles.

«La demande en cadres spécialisés en gestion des risques a explosé au début des années 2000 et demeure très forte», Jean-Jacques Lilti, Responsable du Master 2 Finance Gestion des Risques à l’IAE de Rennes

Est-ce que vous pouvez nous présenter le Master 2 Finance Gestion des Risques ?

Le Master 2 Finance Gestion des Risques a été créé dans les années 2000 pour répondre aux besoins de recrutements des entreprises et des institutions financières dans le secteur de la gestion des risques. La demande en cadres spécialisés en gestion des risques a explosé au début des années 2000 et demeure très forte pour des raisons économiques (crise financière par ex) et réglementaires (réglementation Bale 2-3, solvency, etc)

Combien avez-vous de promotions ?

15 promotions

Quel est l’objectif de la formation ?

Le Master a pour objectif de former et d’insérer des étudiants immédiatement opérationnels, spécialisés en gestion des risques en couvrant les risques financiers (marché, crédit, liquidité) et opérationnels. Ce diplôme, initialement en formation initiale depuis 2000, a ouvert en sept 2014 en alternance. Ce point garantit une insertion immédiate des étudiants à l’issue de leur année.
Le caractère opérationnel du diplôme provient également du fait que plus de 50% des intervenants sont des professionnels de la gestion des risques.

Quels sont les points forts du programme ?

– Formation en alternance

– 50 % des cours assurés par des professionnels du secteur

– Certification AMF intégrée et gratuite

– Préparation au certificat PRM (Professional Risk Manager) de PRMIA (www.prmia.org)

– Salaire d’embauche élevé

– Demande très forte des entreprises

– Passage du Bloomberg Aptitude Test

Quels sont les profils des étudiants ?

Etudiants titulaires d’un Master 1 en : Banque, Finance, Economie, gestion, Ecole de commerce, mais également cursus scientifique

Nombre d’étudiants dans la promotion 2013/14: 15

Nombre de candidatures reçues pour entrer dans cette promotion et conditions d’admission : 85 candidats, Dossier et entretien

Comment est composé le corps enseignants ?

Universitaires de l’IAE de Rennes, professionnels du secteur de la gestion des risques (banques, cabinet de conseils, assurance, etc)

Quelles sont vos relations avec les entreprises ?

Relations étroites et constantes, dans le cadre des stages et du suivi de l’insertion professionnelle des étudiants :

– Pourcentage d’étudiants recrutés dès la sortie, six mois après la sortie : 100 % en moins de six mois, 75% à l’issue du stage

– Taux de chômage à 1 an : 0%

– Secteurs d’activités : secteur financier

– Salaires moyen d’embauche : 35 K EUR

– Date de l’étude et taux de répondants : Mars 2012, 94% de taux de réponse

Que deviennent vos anciens ? Est-ce que vous avez des exemples ?

Exemples de premier emploi :

– Analyste crédits (BPCE)
– Analyste risques opérationnels (Arkea)
– Analyste risques et engagements entreprises (CEBPL)
– Ingénieur Produits structurés (SG CIB)
– Gestionnaire Middle Office (HSBC)
– Analyste risque et performance (BNP Paribas)

Est-ce que votre formation est accessible également en formation continue ?

Possible dans un cadre modulaire avec Validation des Acquis de l’Expérience (VAE).

Comment procédez-vous pour faire évoluer votre programme ?

Evolutions du programme en fonction des décisions du conseil de perfectionnement, des avis de l’ensemble des intervenants, des évolutions réglementaires et sectorielles


Professeur Agrégé des Universités à l’IGR-IAE de Rennes
Responsable du M2 Finance Gestion des Risques
Responsable de l’axe Macro Economie Finance du CREM (UMR CNRS 6211)

«C’est un double diplômes en partenariat avec l’Université d’Etat d’Economie de Saint Petersburg», Olivier Charpateau, Responsable du Master Finance et Contrôle – Internal Audit and Risk Management à Dauphine.

Est-ce que vous pouvez nous présenter le diplôme ?
Le programme « Finance and Contrôle – Internal Audit & Risk Management » est un parcours double diplômes en partenariat avec l’Université d’Etat d’Economie de Saint Petersburg (Russie).

Ce partenariat étranger est le plus ancien de l’Université Paris-Dauphine. Nous avons fêté ses 20 ans d’existence en 2013. L’Université d’Etat d’Economie de Saint Petersburg est la plus grande université Russe en économie, finance et gestion.

Durant cette période il a évolué en fonction des orientations stratégiques des deux institutions et au gré des attentes du marché du travail. Aujourd’hui le programme permet aux étudiants ayant validé les différents examens d’obtenir un Master 2 Russe en finance généraliste et un Master 2 en Contrôle Audit Reporting – option Internal audit & risk management de Paris-Dauphine.

La totalité de la formation se déroule sur 7 mois à Saint Petersburg en Russie occidentale. Cette immersion permet l’apprentissage d’un environnement nouveau pour des étudiants occidentaux, l’apprentissage du russe (pour les français) et du français (pour les russes) mais aussi de prendre conscience du potentiel de développement de la Russie.
Combien avez vous de promotions ?
Nous avons une promotion par an d’environ 25/30 étudiants.

Quel est l’objectif de la formation ?
Les étudiants doivent acquérir les connaissances techniques et organisationnelles nécessaires à l’identification, le pilotage et la maîtrise des risques au sein d’une organisation. Cela intègre donc de l’outillage (risk management, audit interne/externe, contrôle interne), des comportements, des normes professionnelles, du relationnel et une excellente compréhension des processus transversaux dans les entreprises. Une partie de la formation est consacrée au contexte russe.

Quels sont les points forts du programme ?
La formation a été totalement repensée en 2013 afin de prendre le problème de la gestion des risques sous l’angle opérationnel des organisations. Au-delà des cours spécifiques de risk management et d’audit, les autres unités d’enseignement (telles que la responsabilité sociale des entreprises, la gouvernance, le contrôle de gestion, la fraude….) sont systématiquement articulés autour de la gestion des risques. En d’autres termes nous avons décloisonnés les thématiques et inscrit comme fil conducteur au programme le pilotage de la performance par la maîtrise des risques.
L’autre point fort est évidemment la délocalisation des cours qui permet une immersion dans une culture souvent peu connue.

Enfin la totalité de la formation et des évaluations se fait en anglais.

Quels sont les profils des étudiants ?
Nous avons trois profils d’étudiants. D’une part les étudiants francophones en formation initiale. D’autre part les étudiants russophones en formation initiale. Enfin des salariés russophones déjà en activité venant approfondir leurs connaissances. Cette mixité des profils est un très grand atout. En effet la gestion des risques nécessite des analyses croisées issues de perceptions différentes d’un même phénomène. Dans chaque promotion, la variété des profils permet cette mise en situation. Nous sélectionnons des étudiants issus des filières de gestion ou d’économie, parfois des filières ingénieurs et marketing.
Dans tous les cas, un très bon niveau d’anglais, une excellente culture générale des organisations, un sérieux bagage en gestion et une réelle capacité d’adaptation intellectuelle sont recherchés lors des épreuves de sélection.

Comment est composé le corps enseignants ?
Le corps enseignant est composé à 50 d’enseignants-chercheurs (français et russes) et à 40 % de praticiens de haut niveau.

Quelles sont vos relations avec les entreprises ?
Nous avons engagé cette année un partenariat avec KMPG Russie qui doit nous permettre de développer à court terme un programme d’interventions d’entreprises russes. Nous avons également des relations étroites avec le Cercle Kondratieff qui promeut les relations économiques franco-russes, et qui nous permet d’organisation des rencontres avec des entreprises ayant réussi leur implantation en Russie.


Que deviennent vos anciens ? Est-ce que vous avez des exemples ?

Nos anciens sont essentiellement en poste en entreprises russe ou française dans des fonctions financières ou d’audit. Le nouveau programme orienté sur le risk management est trop récent pour donner des éléments statistiques.

Est-ce que votre formation est accessible également en formation continue ?
Comme expliqué précédemment, ce programme est ouvert à toute personne salariée ou en fin de parcours universitaire (Première année de master validée). La seule contrainte pour un candidat salarié est la possibilité de passer 7 mois à Saint Petersburg.

Comment procédez vous pour faire évoluer votre programme ?
Nous avons une gouvernance bicéphale du programme : toute décision d’évolution est prise par les deux directeurs, russe et français, dans le cadre des orientations stratégiques de leurs institutions respectives.


Olivier Charpateau est Docteur en Sciences de gestion. Après 18 ans en qualité de contrôleur de gestion, auditeur interne et Secrétaire Général en entreprises privées, il devenu Maître de conférences à l’Université Paris-Dauphine en 2010. Aujourd’hui, ses travaux portent sur l’éthique, les valeurs dans les organisations et l’audit. Il dirige le parcours de Financial Control du Master 2 en Management et co-dirige le programme de double diplôme Internal Audit and Risk Management en collaboration avec l’université FINEC de Saint Petersburg en Russie. Il est également co-directeur scientifique de la chaire de recherche « Ethique et Gouvernement d’Entreprise » au sein de la Fondation Dauphine.

«Nos relations avec les entreprises sont très poussées et excellentes», Alexandre Levillain, Reponsable du Master Management et Gestion des actifs patrimoniaux à l’IPAG.

Est-ce que vous pouvez nous présenter le Master 2 Management et gestion des actifs patrimoniaux?
Le diplôme a été crée en mars 2011, à PARIS, (première rentrée en octobre 2011) et répondait à la volonté de la direction générale de l’IPAG Business School, d’une diversification de ses filières de M2.
Le M2 ouvrira en octobre 2014 sur le site de Nice, également.
Le M2 Management et Gestion des Actifs Patrimoniaux est axé autour de 3 pôles:
– gestion de patrimoine générale,
– gestion des produits financiers et de la bancassurance,
et gestion immobilière.

Combien avez vous de promotions ?

Nous avons un groupe sur Paris et un sur Nice. Il s’agit de groupe de moins de 30 étudiants.

Quel est l’objectif de la formation ?
Elle prépare les étudiants à des postes de cadres dans les 3 domaines visés ci-dessus, en mixant l’acquisition de connaissances académiques et une forte pratique professionnelle.
Certains créent leurs cabinets.

Quels sont les points forts du programme ?
Ce programme est assez généraliste et propose des enseignements très diversifiés, innovants et évolutifs.
Ses autres points forts sont les suivants:

– enseignements en phase avec la réalité du marché,

– étude de cas très pratiques et opérationnels,

– ouverture vers la gestion de patrimoine à l’international,

– mémoire de recherche très poussé sur une problématique liée à cette filière.

Quels sont les profils des étudiants ?
En principe, les étudiants viennent d’une filière Finance de 4° année mais les profils juridiques …..et autres, sont admis si le projet professionnel est élaboré et en phase avec la gestion de patrimoine.

Comment est composé le corps enseignants ?
Le corps enseignant est mixte: enseignants chercheurs de l’IPAG BS et professionnels de haut-niveau.

Quelles sont vos relations avec les entreprises ?
Elles sont très poussées et excellentes. Nous sommes à l’écoute des besoins du marché. Nous avons tissé des partenariats avec des fédérations, établissements financiers et compagnies d’assurance.

Que deviennent vos anciens ? Est-ce que vous avez des exemples ?
Nos anciens sont employés dans les 3 grands domaines de ce secteur: régies foncières, établissements financiers-banque privée- , compagnies d’assurance, cabinets de gestionnaires de patrimoine indépendants …

Ex: conseiller banque privé LCL, immobilier d’entreprise BNP-Paribas Real Estate, gestionnaire d’actifs financiers Société Générale …/…
A compter d’octobre prochain, sera mis en place un club des anciens de la formation : IPAG PATRIMOINE CLUB.

Est-ce que votre formation est accessible également en formation continue ?
Oui sous la forme d’un Executive M2.

Comment procédez vous pour faire évoluer votre programme ?
Les enseignements sont évalués chaque année par les étudiants et l’équipe pédagogique a une réunion semestrielle de travail. Nous consultons nos entreprises partenaires.

Pour la rentrée 2014, par exemple, a été mis en place un nouvel enseignement: Marketing des Métiers du Conseil.


M. Alexandre LEVILLAIN, est avocat au barreau de Paris, spécialisé en droit patrimonial de la famille. Il est responsable du département droit et comptabilité à l’IPAG Business School et notamment des M2 Management et Gestion des Actifs Patrimoniaux (sur les sites de Paris et Nice) et M2 Management des Réseaux Commerciaux et de la Franchise (Paris).
Il est Docteur en Droit International Privé et titulaire d’un M2 en Finance.

«Les diplômés deviennent membres de l’Institut des Actuaires s’ils soutiennent avec succès devant le jury des Actuaires leur mémoire d’Actuariat» Marc Hoffman, Responsable du master MMD-MA Spécialité actuariat à l’Université Paris Dauphine.

Est-ce que vous pouvez nous présenter le Master MMD-MA Spécialité ACTUARIAT ?

Le master actuariat est la continuation du DESS d’actuariat créé en 2001 dans le contexte du développement des filières de mathématiques appliquées à la finance et à l’assurance, développement favorisée par l’accroissement de la demande du monde professionnel pour des spécialistes dans ce domaine. Compte tenu de sa tradition et de son
expertise, l’Université Paris-Dauphine constituait évidemment un environnement favorable à cette création.
Des contacts suivis avec l’Institut des Actuaires ont permis la reconnaissance de la formation par cet institut. Les diplômés deviennent membres de l’Institut des Actuaires s’ils soutiennent avec succès devant le jury des Actuaires leur mémoire d’Actuariat.
  L’évolution de la formation d’Actuariat en 3 ans avec la création en 2014 d’un concours commun (le BCEAS) avec les autres formations comme l’ISUP, le DUAS (Strasbourg),  l’EURIA (Brest), l’ISFA (Lyon) au niveau L3 pour la formation d’Actuaire font que le Master M2 Spécialité Actuariat devient la troisième année de la formation d’Actuariat de l’Université Paris-Dauphine. De fait, la formation actuarielle de MIDO s’étend sur trois années (L3, M1, M2) avec un parcours et un choix d’options spécifiques.

Combien avez vous de promotions ?

A ce jour, il y a eu 13 promotions, la première étant celle de l’année académique 2001-02.

Quel est l’objectif de la formation ?

Former des actuaires, ingénieurs du risque pour l’assurance et la finance.

Quels sont les points forts du programme ?

Le premier point fort consiste en une solide formation en mathématiques appliquées, notamment en probabilités et
statistique. Cette formation est complétée de manière synergique par des enseignements nécessaires à la formation
d’un actuaire : informatique, économie, comptabilité, droit, anglais, ce qui constitue le deuxième point fort du
programme.


Quels sont les profils des étudiants ?

Les étudiants sont essentiellement issus du M1 majeure actuariat de MIDO de Dauphine. Ils ont réussi auparavant le L3 parcours Actuariat du MIDO, intégré via un L1-L2 à Dauphine ou bien après la réussite du concours commun pour les élèves des classes préparatoires, concours mis en place cette année. Des passerelles existent et permettent l’admission de quelques étudiants de formations équivalentes extérieures à l’Université Paris-Dauphine.

Comment est composé le corps enseignants ?

Environ la moitié des enseignants de la deuxième année du master Actuariat sont des professionnels en activité.
L’autre moitié est composée d’universitaires.

Quelles sont vos relations avec les entreprises ?

Les entreprises interviennent à plusieurs niveaux dans la formation :
– Elles accueillent les étudiants durant le stage de fin d’étude, d’une durée de 6 mois minimum. Au cours de ce
stage l’étudiant prépare son mémoire d’Actuariat sous la supervision d’un tuteur de l’entreprise, généralement
actuaire, et d’un tuteur académique de l’Université.
– Comme indiqué plus haut, environ la moitié des enseignants de la deuxième année du master Actuariat sont des
professionnels en activité. En plus des cours, quelques conférences sont organisées, ce qui permet à des praticiens
de faire partager leur expérience sur des thèmes ciblés.
– Les entreprises recrutent les diplômés du master Actuariat, souvent avant la fin du stage.
– Les entreprises apportent un soutien financier au master Actuariat par l’intermédiaire de la taxe d’apprentissage.

Que deviennent vos anciens ? Est-ce que vous avez des exemples ?

Les anciens élèves s’insèrent généralement dans des compagnie d’assurance, des cabinets de conseil et des organ-
ismes financiers.

Est-ce que votre formation est accessible également en formation continue ?

Non.

Comment procédez vous pour faire évoluer votre programme ?

L’évolution des programmes est le fruit d’une réflexion d’un conseil de perfectionnement du Master, constitué par des enseignants et des professionnels. Il est aussi alimenté par des réunions avec la commission scientifique de l’Institut des Actuaires, qui élabore notamment le Core Syllabus (c’est-à-dire l’ensemble des compétences et des matières que doit étudier un actuaire). Par exemple, dès la rentrée 2014, le Master M2 fait évoluer ses enseignements d’informatique et de statistique afin de mieux préparer ses futurs actuaires aux enjeux que constituent la « data science » qui touche de plein fouet le monde de l’assurance.