Les nominations de la semaine en banque, finance, assurance

« Rubrique réalisée en partenariat avec Nomination : 1er service d’informations et de veille sur les décideurs. »

Société générale (groupe Société générale) : Directeur financier délégué

Monsieur Philippe Heim est promu directeur financier délégué de la Société générale, à ce poste à compter d’avril, en remplacement de Monsieur Arnaud Jacquemin. Il est ainsi en charge du développement et de la transformation du groupe, au sein de la direction financière. Il conserve ses fonctions de directeur de la stratégie en lien avec Monsieur Frédéric Oudéa.

Philippe Heim, 43 ans, ENA (1997), IEP Paris (1993), licence de philosophie morale obtenue à l’université Paris-I Panthéon-Sorbonne (1992), ESCP Europe (1991), a réalisé le parcours suivant :

-Depuis 2009 : Société générale, directeur de la stratégie du groupe et membre du comité de direction.

-2007-2009 : Société générale Corporate & Investment Banking, banquier conseil auprès d’un ensemble de grands clients.

-2006-2007 : Cabinet du ministre délégué au Budget et à la Réforme de l’Etat, porte-parole du gouvernement, Jean-François Copé, directeur.

-2006-2007 : Cabinet du ministre de l’Economie, des Finances et de l’Industrie, Thierry Breton, directeur adjoint.

-2005-2006 : Cabinet du ministre délégué au Budget et à la Réforme de l’Etat, porte-parole du gouvernement, Jean-François Copé, directeur adjoint.

-2005-2006 : Cabinet du ministre de l’Economie, des Finances et de l’Industrie, Thierry Breton, conseiller budgétaire.

-2004-2005 : Cabinet du ministre de l’Economie, des Finances et de l’Industrie, Hervé Gaymard, conseiller budgétaire.

-2004-2005 : Cabinet du ministre délégué au Budget et à la Réforme budgétaire, porte-parole du gouvernement, Jean-François Copé, directeur adjoint.

-2004-2004 : Cabinets du ministre d’Etat, ministre de l’Economie, des Finances et de l’Industrie, Nicolas Sarkozy, et du secrétaire d’Etat au Budget et à la Réforme budgétaire, Dominique Bussereau, conseiller technique.

-2003-2004 : Cabinets du ministre de l’Economie, des Finances et de l’Industrie, Francis Mer, et du ministre délégué au Budget et à la Réforme budgétaire, Alain Lambert, conseiller technique, chargé de la politique budgétaire, de la programmation des finances publiques et de la modernisation de la gestion publique.

-2001-2003 : Ambassade de France à Singapour, conseiller commercial des services d’expansion économique.

-1998-2001 : Direction du Budget du ministère de l’Economie, des Finances et de l’Industrie, adjoint au chef du bureau Synthèses budgétaires.

-1997-1998 : Direction du Budget du ministère de l’Economie, des Finances et de l’Industrie, adjoint au chef du bureau Politique salariale et Politique de l’emploi dans la fonction publique et le secteur public.

Matmut : Directeur général adjoint comptabilité et placements

Monsieur Nicolas Gomart est nommé directeur général adjoint comptabilité et placements de la Matmut, à compter du 1er juin 2012, en remplacement de Monsieur Franck Dussoge. Il est sous la responsabilité directe de Monsieur Daniel Havis, président-directeur général. Il est membre du comité de direction du groupe.

Nicolas Gomart, 48 ans, ESSEC, a réalisé le parcours suivant :

-2010-2012 : OFI Asset Management, directeur général adjoint.

-2008-2010 : ADI (au moment de son rachat par OFI Asset Management), directeur général.

-2007-2008 : ADI Alternative Investments, directeur de la société Géa, filiale de multigestion alternative.

-2003-2010 : ADI Alternative Investments, directeur de l’activité d’incubation.

-2000-2003 : Dexia Asset Management, directeur de la gestion diversifiée et de la multigestion.

-1996-2000 : Dexia Asset Management, directeur de la gestion alternative et structurée.

-Transoptions Finance (groupe Crédit agricole), associé cofondateur.

-Début de carrière comme trader d’options à la Banque Indosuez.

Perial Asset Management (Perial AM) : Responsable du pôle Asset management au sein de la direction immobilière

Madame Céline Crestaux-Desplanche est promue responsable du pôle Asset management au sein de la direction immobilière de Perial Asset Management (Perial AM), à ce poste depuis mars 2012. Elle est sous la responsabilité directe de Monsieur Jean-Christophe Antoine, directeur général.

Elle est ainsi en charge, notamment, de la stratégie de valorisation et de relocation des actifs immobiliers, de la gestion du patrimoine immobilier et des relations avec les locataires ainsi que la gestion des risques tant locatifs qu’immobiliers. Dans le cadre de ses nouvelles fonctions, elle assurera également le management du pôle composé de 8 collaborateurs et la gestion des relations avec les experts immobiliers, les observateurs et partenaires externes.

Céline Crestaux-Desplanche, 35 ans, troisième cycle master en droit des affaires, fiscalité et management à l’ESG Paris (2002), maîtrise en droit mention droit des affaires à l’université de Caen (2000), a réalisé le parcours suivant :

-2003-2012 : Perial Asset Management, asset manager en charge plus précisément de la relocation.

-2002-2003 : Perial, en poste à la direction comptable puis à la direction juridique.

La Française AM (groupe Crédit Mutuel Nord Europe) : Directeur général de La Française AM Finance Services et La Française AM International

Monsieur Philippe Lecomte est nommé directeur général de La Française AM Finance Services et La Française AM International (groupe Crédit Mutuel Nord Europe), à compter du mois d’avril 2012. Il est en charge de la clientèle institutionnelle et du développement international. Il devient membre du comité exécutif de La Française AM.

Philippe Lecomte, 45 ans, INSEAD, maîtrise d’économie et finance de l’université de Caen, a réalisé le parcours suivant :

-2003-2012 : Schroders Investment Management France, directeur général.

-2005-2008 : Schroders Investment Management London, head of global financial institutions business.

-2002-2003 : Invesco, directeur de l’activité de distribution en Europe de l’Ouest.

-1998-2002 : Invesco France, directeur du développement en France, membre du comité exécutif.

-1994-1998 : Invesco France, directeur de l’activité institutionnelle.

-1991-1994 : A commencé sa carrière au sein d’Invesco France.

OFI Asset Management (OFI AM) : Directeur général délégué

Monsieur Maxime du Chayla est promu directeur général délégué d’OFI Asset Management (OFI AM), à compter du mois de juin 2012.

Maxime du Chayla a réalisé le parcours suivant :

-2006-2012 : OFI Mandats, président du directoire.

-NC-2006 : Ofivalmo, directeur du développement, directeur commercial, directeur général adjoint.

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« Le MSc forme des étudiants à l’optimisation des risques », Jean-Christophe Meyfredi, Responsable Master Risk and Investment Management, EDHEC Business School

Est-ce que vous pouvez nous présenter le Master Risk and Investment Management ?

Le MSc in Risk and Investment Management (RIM) est un programme part time ouvert depuis Septembre 2010 sur nos campus de Londres et de Singapour.

Initialement développé dans un cadre purement Executive ce programme s’oriente désormais vers nos étudiants de Grande Ecole, compte tenu de la très forte demande qu’ils exprimaient ; demande qui s’accroit encore, eu égard aux nombreux attraits de ce programme.

Le MSc RIM a été développé à partir des recherches menées au sein de l’EDHEC-Risk Institute, l’un des tous premiers centre de recherche internationaux en Finance.

Combien avez-vous de promotions ?

La première promotion achèvera ses cours à la fin de cette année scolaire.

Quel est l’objectif de la formation ?

Comme son nom l’indique, ce programme vise à former des étudiants à la problématique de la gestion et de l’optimisation des risques, en leur donnant toutes les connaissances, les techniques et les compétences leur permettant de faire face aux challenges actuels et à venir de /l’Investment Management/.

Grace à cette formation, nos étudiants ne sont pas seulement à même de créer de nouvelles solutions pour les investisseurs, qu’ils soient institutionnels ou privés, mais également d’évoluer dans un ensemble de fonctions pour lesquelles la formation qui est dispensée, donne un véritable avantage ; que ce soit par exemple dans les métiers des salles de marché, de l’audit ou encore M&A.

Quels sont les points forts du programme ?

Les atouts de ce programme sont nombreux. Le format tout d’abord, similaire à celui de l’apprentissage, permet à nos étudiants de réaliser leurs études tout en travaillant en entreprise. Cette volonté d’offrir une formation professionnalisante se perçoit également au travers des cours dont les thématiques sont en totale adéquation avec les besoins exprimés par le marché.

Ce MSc requerrait normalement uniquement un stage de 12 mois mais nous sommes fiers de constater que les qualités de notre formation couplées à l’excellence de nos étudiants, a permis à plusieurs d’entre eux d’obtenir un CDI, dès leur entrée dans ce MSc.

Un second atout est le caractère international du programme. Je ne parle évidemment pas uniquement ici de la langue dans laquelle les cours sont dispensés, étant donné que l’anglais est l’unique langue de nos enseignements de Master. Il s’agit ici de suivre ses cours et de travailler à l’étranger (principalement Singapour et Londres, en fonction du campus d’affectation, mais également dans d’autres pays environnant ces campus).

Le MSc in RIM permet à nos étudiants de s’enrichir d’une nouvelle expérience internationale, complétée également par la diversité des nationalités des professeurs intervenants, tout comme celle des participants (près de 60% de nos participants ne sont pas français).

Quels sont les profils des étudiants ?

Je préfèrerai parler plutôt de participants, ici, étant donné que ce programme accueille à la fois des étudiants de notre programme Grande Ecole, des étudiants étrangers disposant au minimum d’un bac+4 (mais nous accueillons également des étudiants titulaires d’un doctorat dans la promotion actuelle), ainsi que des salariés d’entreprises, venus parfaire leur formation. Nos participants ont une formation initiale en Finance ou une formation d’ingénieur et une expérience moyenne de plus de 12 mois dans le domaine de la Finance.

Comment est composé le corps enseignants ?

Nous l’évoquions précédemment. Le corps enseignant, est composé ici à près de 100% par des enseignants de nationalité étrangère, titulaires du doctorat (PhD).

Nos intervenants sont donc tous des professeurs d’un très haut niveau académique (ayant obtenu leur PhD à Chicago, Wharton, Berkeley, Oxford pour ne citer quelques uns), mais ayant un lien très étroit avec les entreprises ; ce qui répond d’ailleurs parfaitement à notre stratégie exprimée par le Credo : /EDHEC for business/.

Nous avons en effet pour ambition que notre Ecole soit utile aux entreprises, à la société en général. Cela passe par nos formations qui se doivent de répondre à leurs besoins, tout comme pour les recherches que conduisent nos professeurs.

Quelles sont vos relations avec les entreprises ?

A la fois très nombreuses et étroites. Il n’est en effet pas envisageable de développer une formation part time d’un aussi haut niveau sans de très fortes relations avec les entreprises. Celles-ci nous permettent d’aider nos étudiants à trouver des stages ou emplois correspondants à leurs souhaits et en totale adéquation avec les objectifs de nos programmes.

Cela passe également par des interventions de celles-ci auprès de nos étudiants ; que ce soit au sein des cours, ou en marge de ceux-ci. Les entreprises sont également impliquées dans le design de ce MSc, comme sur l’ensemble de ceux que nous proposons.

Ces très fortes relations nouées, depuis très longtemps, avec les entreprises sont d’ailleurs mises en avant lors de la publication des différents classements et réaffirmées encore récemment par le Magazine /Le Point/ qui nous place au premier rang pour notre insertion professionnelle, tout comme le classement réalisée par l’Express/l’Etudiant qui confirme l’importance des liens avec les entreprises, que nous évoquions précédemment.

Que deviennent vos anciens ? Est-ce que vous avez des exemples ?

Même si plusieurs de nos étudiants sont d’ores et déjà en CDI avant même d’avoir quitté nos salles de classe, il n’est pas possible de pouvoir donner des exemples au sens strict, compte tenu du fait que ce programme est dans sa première année. Nous pourrions évidemment extrapoler en prenant quelques exemples d’étudiants issus de notre MSc in Risk and Asset Management, bien moins récent, qui répondait déjà à des objectifs similaires, si ce n’est le format qui était différent.

Néanmoins j’indiquerai que nos étudiants se trouvent, dans le cadre du MSc in Risk and Investment Management, en stage ou en contrat à durée indéterminée, dans des métiers variés allant Gestion de fonds (qu’elle soit traditionnelle ou alternative) au métiers de sales/traders en passant par le risk management, que ce soit chez Barclays, Deutsche Bank, JP Morgan, RBS, pour ne citer que quelques unes des structures accueillant les participants de ce programme.

Est-ce que votre formation est accessible en formation continue ?

C’est en effet, comme nous le rappelions précédemment, une des caractéristiques importantes, puisque nous accueillons, à la fois des étudiants achevant leur cycle d’études, et des professionnels qui souhaitent développer une nouvelle spécialisation, ou encore renforcer leurs compétences dans les fonctions qui sont les leurs au sein de leur entreprise.

Comment procédez-vous pour faire évoluer votre programme ?

Comme pour l’ensemble de nos formations, nous disposons également, dans le cadre de notre filière Financial Economics, d’un Advisory Board composé de personnalités du monde de l’entreprise qui nous aident à revoir l’adéquation de nos programmes avec les attentes du marché, et d’anticiper celles-ci.

« Notre ambition est de devenir l’un des principaux leaders de la banque en ligne », Bernard Simon, Responsable ressources humaines, Fortuneo Banque

Est-ce que vous pouvez nous présenter Fortuneo Banque ?

De création récente, Fortuneo est aujourd’hui une banque en ligne proposant des produits bancaires, d’épargne et d’assurance vie à destination des particuliers. Notre ambition est de devenir l’un des principaux leaders de la banque en ligne avec un objectif de 600 000 clients en 2015. Nos tarifs sont parmi les moins chers du marché.

Nous sommes 180 collaborateurs basés à Brest et à Paris, et nous sommes également présents en Belgique. Fortuneo est une filiale du Crédit Mutuel Arkéa. Depuis 2008 nous recrutons chaque année en moyenne 30 nouveaux collaborateurs en contrat à durée indéterminée dont 70 % de femmes.

Comment se répartissent vos effectifs ?

L’âge moyen de nos équipes est de 33 ans. Nos effectifs sont composés à 45 % de BAC+2/3 et 55 % de BAC+4/5. Les BAC +2/3 occupent pour l’essentiel des postes de conseillers et de gestionnaires de clientèle. Les BAC+4/5 travaillent plus sur les fonctions supports de type contrôle de gestion, finance, juridique ou sur les activités marketing, MOA, …

Quelles sont les grandes lignes de métiers ?

Nos lignes de métiers suivent notre ligne de produits. Nous sommes positionnés sur le compte bancaire avec une quinzaine de services gratuits, dont les cartes bancaires, la bourse avec des tarifs très attractifs et une large gamme de produits financiers, l’assurance vie avec des taux performants et une sélection de fonds, l’épargne bancaire avec le livret A et un compte sur livret et enfin l’assurance auto. Vous retrouvez chez nous quasiment tous les métiers de la banque de réseau.

Quels types de postes sont aujourd’hui à pourvoir ?

Nous avons un peu moins de recrutements prévus en 2012 car nous nous sommes bien structurés depuis 2009. Nous continuons cependant le recrutement de conseillers commerciaux et quelques fonctions supports.

Est-ce que vous recherchez en priorité des jeunes diplômés ou des candidats expérimentés ? Et avec quel type de formation ?

Nous cherchons à recruter aussi bien des jeunes diplômés que des candidats expérimentés. Nous recrutons généralement de jeunes diplômés pour les fonctions commerciales mais nous avons besoin aussi d’expertise sur des profils plus ciblés. On privilégie les formations commerciales BAC+2/3 de type BTS, DUT orienté commerce et pour les BAC+5 les formations écoles d’ingénieur, écoles de commerce, universités…

Y-a t-il des compétences et aptitudes que vous recherchez tout particulièrement chez vos futurs collaborateurs ?

Nous n’avons pas de candidat type. Nous avons de multiples profils dans nos équipes. Nous recherchons avant tout des candidats dynamiques et qui peuvent faire preuve d’adaptabilité et de disponibilité. Nos collaborateurs doivent pouvoir s’adapter au changement.

Est-ce que vous recrutez également des stagiaires et des alternants ?

Nous avons des stagiaires et des alternants sur des missions au niveau du marketing, du commercial ou du web mais également des fonctions supports comme la finance.

Quels avantages y a-t-il à rejoindre Fortuneo Banque ?

Fortuneo est une société jeune, dynamique, en pleine croissance. De part nos implantations, nous pouvons offrir un environnement de travail intéressant et stable en étant adossé à un grand Groupe. Les nouveaux venus peuvent bénéficier des opportunités au Crédit Mutel Arkéa. Des transferts se font d’ailleurs régulièrement entre Fortuneo et Arkéa.

« L’association représente un véritable pilier du dynamisme du master 224 », Nicolas Aftimos Président de l’Association du Master 224, Université Paris-Dauphine

DAUPHINE1Est-ce que vous pouvez nous présenter l’association du Master 224 « Banque » ?

L’association du Master 224 de l’université Paris-Dauphine s’attache depuis 30 ans à promouvoir le diplôme auprès de professionnels du secteur bancaire et financier, à dynamiser le groupe et à maintenir le lien entre la promotion et les différentes générations d’étudiants.

L’association représente donc un véritable pilier du dynamisme du master et s’emploie à alimenter l’ « esprit 224 » au travers de l’organisation de multiples évènements et de projets académiques.

Quels sont les objectifs de l’association ?

Nous nous sommes fixés comme principaux objectifs de développer des liens forts entre les étudiants du Master 224 ainsi qu’avec le corps professoral et d’assurer la visibilité du master, sa communication et ses liens avec le monde l’entreprise. Qui plus est, nous portons, cette année, une attention particulière au renforcement du lien avec les promotions antérieures.

Combien d’étudiants y participent ? Et quels sont leurs profils ?

L’une des grandes forces de l’association du Master 224 est de faire participer activement l’ensemble des 33 étudiants de la promotion sur les différents projets que nous menons.

La volonté du Directeur de notre Master d’ouvrir le recrutement à des profils variés permet à l’association de rassembler des compétences complémentaires et, ainsi, de favoriser l’émulation et les synergies qui dopent la créativité et la productivité.

Le groupe est piloté par un bureau composé de 10 membres volontaires.

Quels sont les ateliers et manifestations que vous organisez ?

Chaque année, l’association du Master 224 organise, plusieurs fois dans le mois, des petits déjeuners avec des professionnels de la finance. Ces rencontres sont l’occasion d’échanges et de débats entre les étudiants et les intervenants sur les réalités des métiers et des problématiques d’actualité.

Nous organisons également, au Palais Brongniart, les « Caves du 224 » au cours desquelles les étudiants échangent avec des professionnels de la finance sur une thématique financière autour d’une dégustation œnologique.

Les grandes nouveautés de l’édition 2012 sont, d’une part, la création d’une newsletter mensuelle à destination des anciens du Master 224 et, d’autre part, l’organisation d’un séminaire financier d’une semaine à New-York qui se déroulera au début du mois d’avril 2012.

Enfin, nous travaillons actuellement sur la création d’une nouvelle page Internet de témoignages-vidéo afin d’informer, au mieux, les futurs candidats.

La liste des évènements que nous organisons est encore longue, je vous invite donc à visiter le site de notre association.

Est-ce que vous avez développé des relations avec les entreprises ?

L’association crée, gère et développe les relations entre le Master 224 et les banques, et ce, au bénéfice des étudiants de la promotion actuelle. Cette année, notre pool de partenaires est composé de trois banques (Crédit Agricole Corporate & Investment Banking, Société Générale et BPCE) et d’un cabinet d’audit-conseil (PwC).

Nouer des partenariats s’inscrivant dans la durée nous permet de participer à un certain nombre d’évènements (visite de salles des marchés, conférence métiers, cocktail autour d’une thématique financière etc.) et de créer les conditions de réussite de notre début de carrière.

Dans le contexte actuel, la finance reste toujours attractive pour les étudiants ?

Malgré les bouleversements économiques subis par les acteurs du secteur bancaire et le climat financier actuel, la finance demeure toujours attractive. C’est en tout cas ce que nous avons ressenti en nous présentant aux différents salons et autres forums au cours desquels le Master 224 a jouit d’un intérêt très marqué auprès des étudiants.

A mon sens, nous nous dirigeons vers un environnement financier plus sain et, même si le marché est devenu plus complexe, les étudiants en finance souhaitent participer à ce changement, d’où cette attractivité qui semble intacte.

Quels sont les métiers de la finance populaire en ce moment au sein de l’association ?

Au regard des nouvelles normes et de la régulation de certains métiers, la gestion des risques bancaires, l’inspection générale et l’audit interne deviennent de plus en plus populaires. Néanmoins, les étudiants du Master du 224 continuent de se diriger vers des métiers de gestion de portefeuille et de conseil en opérations de haut de bilan.

Est-ce que les étudiants rencontrent des difficultés particulières pour trouver des stages ou premier emploi en finance ?

Le Master 224 bénéficie d’un taux élevé d’insertion professionnelle. En 2011, 60 % des étudiants ont trouvé un emploi dans les trois mois qui ont suivi le diplôme dont 30 % avant la fin du master.

Le 224 est donc peu affecté par la crise. Cela, nous le devons, à la fois, aux efforts consacrés par notre Directeur au développement d’une formation innovante en lien direct avec les besoins des entreprises du secteur bancaire, et à l’association qui s’attache à dynamiser le réseau d’anciens et à organiser des évènements de rencontres avec des professionnels de la finance.

Les nominations de la semaine en banque, finance, assurance

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CWT France : Directeur financier France

Monsieur Arnaud Fontanille est promu directeur financier France de Carlson Wagonlit Travel (CWT), à ce poste depuis mars 2012, en remplacement de Monsieur Antoine Bayon de Noyer. Il reportera à Alan Donald, directeur financier pour la zone EMEA, et à Bertrand Mabille, directeur général France.

Arnaud Fontanille, 37 ans, ESC Bordeaux (1998), a réalisé le parcours suivant :

– 2008-2012 : Carlson Wagonlit Travel (CWT), directeur du contrôle de gestion France.

– 2006-2008 : CWT, directeur du reporting et de la consolidation au niveau monde.

-2003-2006 : CWT, responsable du reporting et de la consolidation au niveau monde.

– 2001-2003 : CWT, responsable reporting pour les zones Amérique du Nord et Amérique latine.

-1998-2001 : CWT, a assuré des fonctions au sein de la direction financière au niveau monde et France.

Criteo : Directeur financier groupe

Monsieur Benoît Fouilland est nommé directeur financier groupe de Criteo, à ce poste depuis le 22 mars 2012. Il est sous la responsabilité directe de Monsieur Jean-Baptiste Rudelle, président-directeur général.

Benoît Fouilland, 47 ans, MBA INSEAD, ESLSCA, a réalisé le parcours suivant :

-2009-2012 : SAP, senior vice president et directeur financier EMEA.

– 2008-2009 : Business Objects, vice-président senior et directeur financier.

-2006-2008 : Business Objects (à San José), vice-président du groupe Corporate Finance.

-2002-2006 : Business Objects (à Paris), vice-président finance EMEA.

-1999-2002 : Bristish Telecom, directeur de projets de fusions-acquisitions dans la cellule Corporate Development du siège, puis vice-président business development Asia Pacific, à Singapour, et vice-président venture operations, chief financial officer Asia Pacific.

-1994-1999 : Groupe Vivendi (ex-Générale de Eaux), directeur financier de Vivendi Telecom en Hongrie.

– Début de carrière chez Price Waterhouse comme auditeur financier à Paris, puis en Europe centrale.

Danone Asie-Pacifique (groupe Danone) : Finance project corporate Asia Pacific director

Madame Séverine Rod est promue finance project corporate Asia Pacific director au sein de Danone Asie-Pacifique (groupe Danone), à ce poste depuis le 1er janvier 2012. Elle est en charge de projets spéciaux pour l’Asie-Pacifique.

Séverine Rod, 41 ans, ESIAE (1994), London Business School, a réalisé le parcours suivant :

– 2009-2011 : Danone Research (groupe Danone), directeur administratif et financier.

-2004-2008 : Danone, directeur business risk management Europe, Afrique, Moyen-Orient.

– 2003-2004 : Plaster Board, directeur administratif et financier de la filiale britannique.

– 2001-2003 : Schlumberger, financial controller.

– 1999-2001 : Ernst & Young, risk manager.

– 1994-1999 : Schlumberger, spécialiste controlling, taxes et audit interne, responsable financier.

Citi France (Citigroup) : Directeur général

Monsieur Arnaud de Marmiés est promu directeur général de Citi France (Citigroup), à ce poste depuis mars 2012, en remplacement de Monsieur Jean-Claude Gruffat. Il devient l’unique directeur général de la banque en France tout en continuant d’assurer ses fonctions de responsable des activités de marché pour la France, la Belgique et le Luxembourg.

Arnaud de Marmiés, 44 ans, a réalisé le parcours suivant :

– 2011-2012: Citi France, country business head.

-Depuis 2006 : Citigroup, head of market pour la France, la Belgique et le Luxembourg.

– 1996-2006 : Merrill Lynch (à Londres), fonction dans le secteur de la dette.

– 1990-1996 : Société générale (à Paris et à Londres), fonction dans le domaine du fixed income et des produits structurés.

Compagnie financière Saint-Honoré (CFSH) : Administrateur directeur général

Monsieur Christophe de Backer est promu administrateur directeur général de la Compagnie financière Saint-Honoré (CFSH ), à compter du 23 mai 2012. Compagnie financière Saint-Honoré, holding de tête en France du groupe Edmond de Rothschild, actuellement organisée en directoire et conseil de surveillance, verra sa structure modifiée en conseil d’administration.

Christophe de Backer, 50 ans, ISG (1986), a réalisé le parcours suivant :

-Depuis 2012 : Banque privée Edmond de Rothschild (à Genève), président du comité exécutif.

– 2010-2012 : HSBC France, directeur général.

-2007-2012 : HSBC Private Bank France, président du conseil de surveillance.

– 2007-2010 : HSBC France, directeur général délégué, adjoint du directeur général.

– 2005-2007 : HSBC Private Bank France, président du directoire.

– 2001-2007 : HSBC France, directeur général adjoint, en charge de la gestion d’actifs et de l’assurance.

– 1998-2001 : CCF Securities, président-directeur général.

-1990-1998 : HSBC France, différentes responsabilités dans les marchés d’actions.

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« Nous considérons nos candidats comme des clients », David Mills, Manager, Huxley Associates

Est-ce que vous pouvez nous présenter Huxley Associates ?

Huxley Associates a été fondé en 1995. Aujourd’hui, nous sommes présents dans plus de 14 pays en Europe, Amérique du Nord, Amérique du Sud, au Moyen-Orient, en Asie et en Australie. Arrivé en France en 2008, nous sommes spécialisés dans le recrutement de cadres dans les secteurs de l’Assurance, la Banque, la Finance, la Comptabilité et l’Informatique.

Quelles sont les spécialités du cabinet ?

Nous sommes spécialisés sur des postes en CDI et freelance / prestations externes dans 4 secteurs clés : l’Assurance, la Banque, la Finance, la Comptabilité et l’Informatique.

Aujourd’hui il y a 30 consultants en recrutement tous spécialisés sur un marché spécifique.

Quels sont les profils des candidats que vous recherchez ?

Pour des informations complètes et précises je vous invite à visiter notre site http://fr.huxley.com/fr

Pour résumer, tous nos consultants en recrutement sont spécialisés sur un secteur spécifique les rendant ainsi expert dans leur domaine :

Notre équipe couvrant le marché Bancaire et Financier travaille aussi bien avec des profiles Front office que Sales mais aussi Risk management et Quant. Pour le secteur de l’Assurance, nous travaillons principalement sur des profiles d’actuaires et de souscripteurs.

En informatique, nous nous sommes spécialisés sur les compétences fonctionnelles et techniques provenant spécifiquement du secteur de la Finance. Enfin, nous couvrons la recherche de professionnels pour les directions administratives et financières du marché de la Comptabilité.

Quels types de relations développez-vous avec les candidats que vous rencontrez pour vos clients ?

Nous considérons nos candidats comme des clients.

Dans un premier temps et lors d’une première rencontre, nous prenons toujours soin de bien comprendre les compétences ainsi que les ambitions de nos candidats. Ceci nous permettra par la suite d’accompagner au mieux leur parcours professionnel.

Ces informations ainsi collectées nous permettent également d’effectuer une recherche sur mesure dans notre portefeuille de clients. Nous pouvons ainsi cibler les postes correspondants au mieux aux attentes de nos candidats.

Nous assurons un accompagnement personnalisé tout au long du processus de recrutement. Par exemple, pour chaque entretien, nous préparons nos candidats en amont puis nous débriefons après chaque rendez-vous.

Nous sommes fières de compter un grand nombre d’anciens « candidats » qui sont aujourd’hui devenus nos clients. Ceci nous conforte dans l’importance de développer un service personnalisé de qualité.

Qui sont vos clients en France ?

La stratégie d’Huxley Associates est de développer des relations privilégiées avec un nombre restreint de sociétés. Nous assurons ainsi un accompagnement personnalisé et nous capitalisons sur le long terme.

Cette liste de client s’étend de multinationales du CAC40 à des PME/PMI, donnant ainsi à nos candidats un large choix d’opportunités.

Quelles sont pour vous aujourd’hui les principales tendances du recrutement en banque, finance, assurance ?

Une récente étude de l’APEC montre que l’incertitude qui pèse sur la croissance française en lien avec le contexte international, se retrouve aussi dans la fourchette des prévisions. Ainsi, les entreprises prévoient une évolution de leur taux d’embauche compris entre -10% et +8% par rapport à 2011.

Les prévisions sont donc moins optimistes qu’en 2011 mais tout de même plus encourageantes qu’en 2009.

Cependant nous remarquons trois facteurs importants : Le nombre d’entreprises faisant appel à des agences de recrutement est de plus en plus nombreux. 30% à 40% des salariés en poste souhaitent changer de travail et aspirent à relever un nouveau challenge et avoir un meilleur salaire.

Le rendement des cadres en France est 2.5 fois plus important comparé à l’Allemagne ou au Royaume-Unis. Ces tendances nous laissent donc penser que même dans un contexte économique peu favorable, il existe toujours des besoins en recrutement.

Huxley Associates travail sur des postes clés, essentiels au bon fonctionnement de l’entreprise et nous continuons à être constamment sollicité aussi bien par nos clients existants que par de nouveaux partenaires.

Est-ce que vous avez vu émerger de nouveaux métiers en banque, finance, assurance ces dernières années ? Si oui lesquels ?

Les contraintes réglementaires telles que Bâle 2 et Solvency 2, n’ont cessé de se renforcer ces dernières années. Ces nouvelles directives et l’émergence ou le renforcement de certains risques ont amené les institutions financières et assurantielles à renforcer leurs dispositifs de pilotage des risques et du contrôle interne (risques, actuariat, contrôle permanent, contrôle périodiques, conformité, reporting, communication…).

Le trading haute fréquence (High Frequency Trading), représente une part importante des volumes échangés sur de nombreux marchés financiers. L’émergence de cette activité a amené les front office à renforcer leurs expertises en R&D en recrutant ou en faisant appel à des prestataires externes sur les métiers du développement temps réel et recherche stratégique.

Est-ce que vous avez des conseils à donner aux candidats qui hésiteraient à changer d’employeur dans le contexte actuel ?

Il est très important de se poser les bonnes questions et faire attention à toujours garder une cohérence avec votre projet de carrière professionnel : S’assurer que ce que vous faites aujourd’hui est en phase avec votre projet à court et moyen termes.

Il est aussi important de prendre en compte l’environnement global de l’entreprise que vous allez rejoindre et pas seulement l’équipe ou l’intitulé du poste.

Maintenant si vous avez besoin de conseils pour le développement de votre carrière, faites appel à nous !

« Les étudiants reçoivent une formation en finance quantitative », Stéphane Crépey, Responsable du Master 2 ingénierie financière de l’université d’Evry

Est-ce que vous pouvez nous présenter le Master 2 ingénierie financière de l’université d’Evry ?

Le Master a été créé en 1999. A cette époque il y n’y avait pas encore de master professionnel spécialisé en finance de marché. C’était le premier master pro. Le Master est en double cursus avec l’école d’ingénieurs ENSIIE. La moitié des étudiants sont des ingénieurs.

Combien avez-vous de promotions ?

Un peu plus de 10 promotions. Nous avons 25 étudiants par promotion.

Quel est l’objectif de la formation ?

La formation a pour objectif de former aux métiers de salles de marchés. Les étudiants sont formés à la finance quantitative. Ils reçoivent une formation en finance de marché, en mathématiques appliquées et au développement dans divers langages de programmation comme C++, VBA, Java.

Quels sont les points forts du programme ?

Les étudiants bénéficient d’un vrai suivi. Par ailleurs il y a beaucoup d’heures d’informatique, encadré par des professionnels du marché. Ils ont également un projet informatique à réaliser dans le cadre du cursus.

Quels sont les profils des étudiants ?

Les profils sont des ingénieurs, des étudiants du master 1 de l’université d’Evry (1 ou 2 pour chaque promotion), des étudiants en provenance d’autres masters comme mathématiques.

Comment est composé le corps enseignants ?

Le corps enseignant est composé de professionnels de l’informatique et de la finance de marché.
Il y a par exemple des cours sur la gestion des risques, la couverture des produits dérivés…

Quelles sont vos relations avec les entreprises ?

Nous avons plusieurs modes de collaboration avec les entreprises. Nous avons des entreprises qui nous prennent régulièrement des stagiaires. Nous avons d’autres entreprises qui participent aux financements de la recherche sur des thèmes spécifiques liés au programme. Enfin nous avons des cycles de conférences avec des professionnels qui sont souvent des anciens. Ils viennent présenter leur entreprise, leur métiers et échanger avec les étudiants.

Que deviennent vos anciens ? Est-ce que vous avez des exemples ?

Les étudiants vont travailler en finance de marché ou dans le secteur du IT finance chez des éditeurs, des cabinets de conseil ou des SSII.

Est-ce que votre formation est accessible en formation continue ?

Non. C’est possible par contre de suivre la formation lors d’une année de césure.

Stéphane Crépey est professeur au département de Mathématiques de l’Université d’Evry, où il dirige le master d’ingénierie financière. Ses intérêts de recherche actuels sont la modélisation financière du risque de contrepartie, la finance numérique, ainsi que les questions mathématiques connexes dans les domaines des équations différentielles stochastiques rétrogrades et équations aux dérivées partielles. Stéphane Crépey a également eu diverses activités de conseil dans le secteur bancaire et l’ingénierie financière.

« Notre taille nous permet de bien connaitre nos collaborateurs », Nathalie Guitton, Responsable recrutement Société Marseillaise de Crédit

Est-ce que vous pouvez nous présenter la SMC ?

La SMC est une grande banque régionale présente sur les régions PACA et Languedoc Roussillon.
Nous sommes depuis septembre 2010 filiale du Groupe Crédit du Nord. Notre modèle est basé sur la grande proximité relationnelle que chaque conseiller entretient avec ses clients. Un modèle totalement en phase avec celui développé par le Groupe Crédit du Nord. Fin 2012 la SMC comptera 200 agences et près de 1800 collaborateurs.

Quelles sont les grandes lignes de métiers qu’on trouve au sein de SMC ?

Banque de détail, la SMC s’adresse aux clients particuliers, professionnels et PME/PMI. Nos Conseillers sont spécialisés par segment de marché : Conseillers Clientèle Particuliers ou Professionnels, dans nos agences dédiées à ce type de clientèle. Nos Agences Entreprises, quant à elles, s’adressent particulièrement aux entreprises locales, affirmant notre positionnement d’acteur économique majeur sur son territoire.

Ces agences sont composées d’équipes de Conseillers Clientèle Entreprises, travaillant en binôme avec des Assistants Commercial Entreprises. Ce sont avant tout des métiers mêlant aptitudes relationnelles, goût de la conquête et sens de l’écoute pour bien comprendre les besoins de nos clients et les conseiller efficacement.

Quels types de postes sont aujourd’hui à pourvoir ?

Nos opportunités actuelles sont : Conseillers en Patrimoine pour les groupes d’Orange, de St Tropez, de Manosque, Directeurs d’agence sur les zones de l’Etang de Berre, du littoral gardois, de Béziers, Marseille, Toulon et des Alpes Maritimes. Nous recherchons aussi des Conseillers en Clientèle Particuliers pour nos agences de Toulon, Cavalaire, Ste Maxime, et Marseille

Est-ce que vous recherchez en priorité des jeunes diplômés ou des candidats expérimentés ? Et avec quel type de formation ?

Nous recrutons des jeunes diplômés ayant réussi un parcours d’alternance chez nous en priorité, ou dans d’autres banques, mais aussi des candidats expérimentés, venant d’autres réseaux bancaires.

Nous démarrons dès mars 2012 nos sessions de recrutement pour les alternants qui nous rejoindront dès la rentrée prochaine. Les formations qui nous intéressent le plus sont : le BTS NRC, BTS Banque, la licence Banque, les Master 2 Analyse Financière, Marché des Pros, Gestion de Patrimoine ou dernière année d’ESC.

Quelles sont vos perspectives de recrutement CDI en 2012 ? Est-ce que vous recherchez également des stagiaires ?

Nous recruterons en 2012 une soixantaine de CDI : environ 15 Conseillers Commerciaux, 15 Conseillers Particuliers, une dizaine de Conseillers professionnels, 5 à 10 Conseillers en Patrimoine et une dizaine de Directeurs d’Agence. Nous prenons également des stagiaires en Master 1 ou 2, pour des missions au Siège (au sein de la Direction Commerciale, du Contrôle de Gestion…) ou dans le réseau. Nous privilégions les stages de 6 mois, qui nous permettent de les apprécier « en situation » : avec l’objectif de les compter parmi nos futurs collaborateurs.

Quels avantages y a-t-il à rejoindre la SMC ? Est-ce que vous avez un exemple de parcours type ?

La SMC offre le double avantage d’une banque de proximité, avec ses clients comme avec ses salariés, mais aussi d’un adossement à un grand groupe bancaire, la Société Générale, via le Groupe Crédit du Nord. Nos nouveaux embauchés sont suivis régulièrement, de façon personnalisée. Concrètement, ils bénéficient d’un parcours d’intégration qui leur permet de s’approprier leur nouvel environnement et d’avoir les formations indispensables à la pratique de leur métier.

Notre taille nous permet de bien connaitre nos collaborateurs, qui sont « visibles » et reconnus. C’est un grand plus en gestion de carrières ! Des « cycles métiers » sont mis en œuvre pour accompagner les mutations, changer de métier…

Les durées de poste dans le réseau sont de 3 ans au moins, un minimum pour instaurer une relation de confiance avec ses clients, développer son portefeuille, bien gérer le risque… Après un poste de Conseiller Clientèle Particuliers réussi, nous pouvons envisager une évolution sur le Professionnel, qui permettra d’évoluer par la suite sur une Direction d’Agence.

Quelles sont les possibilités de mobilité pour vos collaborateurs ?

Elles sont nombreuses ! Mobilité professionnelle bien sûr mais aussi géographique, sur le territoire de la SMC mais aussi au plan national, dans le Groupe Crédit du Nord. Les offres d’emploi de l’ensemble du Groupe Crédit du Nord sont accessibles à chacun des collaborateurs. De quoi satisfaire les envies de ceux qui souhaitent s’épanouir et évoluer, prendre des responsabilités….

« Le groupe est principalement constitué d’anciens étudiants », Yann Hervé Beulze, Président de l’Association Supélec Finance

Est-ce que vous pouvez nous présenter l’association de Supélec Finance ?

Au sein des « groupes professionnels » regroupant les anciens élèves de Supélec par domaines d’activité, le groupe BFA fédère, comme l’indique son nom, les professionnels des domaines banque, assurances et autres organismes financiers comme les sociétés de gestion de portefeuille. Le groupe existe depuis au moins une quinzaine d’année.

Quels sont les objectifs de l’association ?

L’association a notamment pour but de créer un lien entre professionnels du même domaine, ceci afin de constituer un réseau, utile à la fois pour un échange de bonnes pratiques, une formation permanente et la gestion de son « carnet d’adresse » (ceci pouvant être utile dans le cadre d’évolutions professionnelles et de conseils sur sa carrière, de développement d’affaires ou de recherches de missions de consulting).

Elle est également intéressante pour les étudiants encore à l’école afin qu’ils puissent solliciter des membres du Groupe pour des stages ou des embauches ou simplement s’informer sur nos métiers.

Combien d’étudiants y participent ? Et quels sont leurs profils ?

Le groupe est principalement constitué « d’anciens étudiants », donc des ingénieurs en fonction dans ces domaines (au moins 400 inscrits), ce qui n’empêche d’ailleurs pas les étudiants de justement contacter des membres du groupe comme évoqué précédemment.

Lors des rencontres, je suis toujours frappé par la variété des profils : tant en termes de taille de sociétés (grand établissement ou « petit » cabinet de conseil) de domaine (banques de détail, banque d’investissement, assurances, mutuelles, société de gestion de portefeuilles, cabinets de conseil ou d’audit …) de types de métiers: ingénieurs financiers, consultants, chefs de projets IT, gérants d’OPCVM ou de patrimoine, commerciaux, risk managers, et de profil: chefs d’entreprises, managers, spécialistes…..

Les groupes professionnels fonctionnent d’ailleurs de manière souple: par exemple un chef de projet IT travaillant dans une société financière peut être inscrit à la fois au Groupe Supélec BFA et au Groupe Supélec SI et Télécom, et aussi dans le cadre d’un groupe Supélec régional ou international suivant son implantation géographique.

Quels sont les ateliers et manifestations que vous organisez ?

Le Groupe fonctionne à la fois via un « networking électronique » sur le Site de l’Association, sur les réseaux sociaux dont LinkedIN où des thèmes de discussion peuvent être lancés librement et via des manifestations plus formelles.

La formule la plus couramment utilisée pour ces dernières est une intervention d’un spécialiste de la finance (ancien Supélec ou non) sur un thème précis, suivie d’un moment d’échange informel (cocktail, déjeuner) entre membres du Groupe et si possible avec l’intervenant.

Depuis mi 2011, à l’initiative d’un noyau constitué de membres de Société Générale, BNP Paribas, Natixis, Crédit Agricole, nous organisons des manifestations à un rythme trimestriel sur des thèmes d’actualité: « la situation de l’emploi dans la finance », « l’évolution de la réglementation bancaire »; nous réfléchissons à d’autres thèmes à venir: Solvency 2, l’évolution du métier du cash management, les nouveaux marchés financiers émergents, la situation macro-économique en Europe ….

Est-ce que vous avez développé des relations avec les entreprises ?

Le lien avec les entreprises se crée naturellement car chaque participant, même si il est inscrit à titre personnel, est néanmoins forcément impliqué par son positionnement dans son entreprise, avec les sujets d’intérêt professionnels qui vont concrètement avec.

En parallèle, en 2011, a été lancée la démarche des « correspondants d’entreprise Supélec »; certains des membres du Groupe BFA (comme d’ailleurs des autres groupes professionnels) sont ainsi le « correspondant » de leur entreprise; ils sont alors le coordinateur des Supélec présents dans leur entreprise et un relais ou un point d’entrée privilégié dans leur société pour les autres Supélec : expérimentés ou encore étudiants. Les entreprises peuvent aussi se mettre en valeur en nous aidant dans l’organisation de manifestations et en proposant des intervenants de renom.

Dans le contexte actuel, la finance reste toujours attractive pour les étudiants ?

La crise que nous connaissons est la plus forte depuis les années 30 ….mais ce n’est pas la première depuis une trentaine d’année ….et ce n’est donc pas la première fois que les métiers financiers (qui ont commencé à attirer les ingénieurs au milieu des années 80 et encore récemment avant les crises) subissent une présentation non positive de la part des médias.

Même si on peut déceler parfois un certain « tassement » du nombre de vocation en là-matière, les métiers financiers restent fortement attractifs par leur variétés, leur richesse intellectuelle ……certains diront par leur rémunération (même si certains excès ont été dans leur grande majorité corrigés récemment).

Quels sont les métiers de la finance populaire en ce moment au sein de l’association ?

Comme déjà évoqué, ces métiers sont très variés: les thèmes de la finance de marché, du capital investissement, de la gestion des risques, de la gestion de portefeuille font toujours recette.

Par rapport à une dizaine d’année, où les ingénieurs financiers des BFI étaient fortement représentés, on peut constater une progression des métiers de l’assurance, des middle / back office (où les ingénieurs ont à construire …..des « usines » de traitement) ainsi que des métiers de la banque universelle comme le cash-management.

Est-ce que les étudiants rencontrent des difficultés particulières pour trouver des stages ou premier emploi en finance ?

Il est toujours difficile de donner un avis général et représentatif vis à vis d’une situation qui peut être variable selon les entreprises. Mon sentiment est que si la recherche d’un premier stage est parfois difficile (comme dans tout domaine d’ailleurs) et si la crise conduit certaines entreprises à une grande « vigilance » (voire davantage) en terme d’embauche, nos métiers sont toujours demandeurs de stagiaires de fin d’étude et de jeunes diplômés apportant leur dynamisme et leur oeil neuf.

Le profil, la formation personnelle et la motivation de chaque candidat pour les métiers de la finance sont des éléments déterminants dans la sélection des entreprises. Les stages de 1ère et de 2ème années sont toujours difficiles à trouver.

« Le but est de former des experts de la finance de marché », François Quittard-Pinon, Responsable Master Finance de Marché, EM Lyon

Est-ce que vous pouvez nous présenter le Master Finance de Marché de l’EM Lyon ?

Le mastère Finance de Marché ou Quantitative Finance a pour vocation de former des spécialistes de la finance de marché capable de concevoir et mettre en œuvre des stratégies financières complexes dans tous les secteurs où il est nécessaire d’utiliser des instruments financiers.

Il repose sur trois piliers : la connaissance des marchés et des produits, la modélisation mathématique et la maîtrise des outils informatiques ad hoc.

Quand nous avons crée ce programme il n’existait pas en France de formations rassemblant ces bases sur le même plan. Certaines développent plutôt un ou deux de ces trois piliers mais aucune les trois simultanément. Ce qui n’est pas le cas à l’étranger, en particulier aux Etats-Unis, en Grande Bretagne, en Allemagne et en Suisse. Nous avons ouvert ce master à l’automne 2008.

Combien avez-vous de promotions ?

Trois promotions achevées et une quatrième est en cours de formation.

Quel est l’objectif de la formation ?

Le but est de former des experts de la finance de marché et de la gestion de long terme, en mesure d’occuper des postes divers et variés tels que la le contrôle et la gestion des risques financiers, les métiers d’ingénieur financier ou quant, le trading, la structuration, la gestion quantitative de portefeuilles, des activités de type sales, le conseil et les fonctions de support informatique aux activités de marchés.

Les débouchés se trouvent dans les banques, les compagnies d’assurances, les sociétés de développements informatiques spécialisées en finance, le conseil et les grands groupes industriels pour les problèmes de gestion de trésorerie ou des problèmes plus spécifiques comme la gestion de matières premières ou de divers produits énergétiques.

Quels sont pour vous les points forts du programme ?

Cinq points : L’acquisition d’une triple compétence : connaissance des marchés financiers et de leurs produits, maîtrise des techniques de modélisation, maîtrise des outils informatiques associés. L’adéquation aux standards internationaux du domaine.

Une équipe pédagogique exceptionnelle reconnue pour ses recherches académiques et dont la plupart de ses membres ont eu une expérience des marchés. Le soutien des banques. L’appartenance au réseau EMLyon.

Quels sont les profils des étudiants ?

Pour 70 % des promotions les étudiants viennent de formations scientifiques, (Ecoles d’ingénieurs ou département de mathématiques, physiques ou informatiques des universités).

Pour 30 % de formation gestion (Ecoles de commerce, IAE, départements de gestion et d’économie des universités). Plus du tiers de nos étudiants sont d’origine étrangères, ce qui souligne la dimension internationale de cette formation. Le programme se déroule entièrement en anglais.

Comment est composé le corps enseignants ?

Pour partie de professeurs permanents à l’EMLyon, pour partie de professeurs étrangers, pour partie de professionnels.

Quelles sont vos relations avec les entreprises ?

Nous avons des contacts suivis avec les banques les compagnies d’assurance, les sociétés de services et conseils en informatique, les fournisseurs de données financières. Ces contacts prennent différentes formes. D’abord ce sont les stages pour nos étudiants, ensuite nous avons mis en place un cycle de conférences assurées par des professionnels de ces secteurs.

Avec des banques nous organisons des journées thématiques et des visites de salles de marché. Des représentants de ces groupes participent régulièrement aux jurys de soutenance de thèses et aux entretiens de sélection. Nous prévoyons dans le courant mars un déplacement chez Bloomberg à Londres. Nos étudiants passeront la certification Bloomberg.

Que deviennent vos anciens ? Est-ce que vous avez des exemples ?

Certains de nos étudiants occupent des postes dans les grandes banques comme, par exemple, la Société Générale, le Crédit agricole CIB ou NATIXIS, sur des fonctions de contrôle de risque, de structuration ou de trading.

Certains travaillent sur les marchés de dérivés d’énergie, par exemple l’un de nos étudiants est chez EDF à Londres où il s’occupe de trading d’électricité. Plusieurs de nos étudiants ont des stages ou des emplois à Londres, New York, Tokyo ou Singapour. Un de nos étudiants a crée une société de conseil en investissements financiers.

Est-ce que votre formation est accessible en formation continue ?

Pour le moment non, mais c’est une voie que nous n’excluons pas et que nous pourrons envisager à l’avenir.