« Ce programme repose sur un partenariat institutionnel inédit avec les 5 grandes banques de la place », Sofiane Aboura, Responsable Master Banque d’investissement et des marchés, Université Paris Dauphine

Est-ce que vous pouvez nous présenter le Master Pro Finance – Banque d’investissement et des marchés ?

Ce master forme aux métiers de la banque d’affaires. Il est né de la crise bancaire et financière de 2008, sous l’impulsion des grandes banques françaises. Il s’est rapidement imposé dans le paysage académique grâce à sa formule généraliste enrichie d’un parcours professionnel balisé et sécurisé.

Il constitue ainsi une véritable innovation pédagogique, car c’est peut-être le seul master existant qui dispose d’un partenariat institutionnel, avec tout ce que cela implique en ce qui concerne la trajectoire professionnelle de nos jeunes professionnels (les bimeurs).

D’un point de vue académique, il s’agit master généraliste (comme les MS des grandes écoles) intégralement en apprentissage qui offre une formation panoramique aux métiers de la banque d’affaires. Le programme de cours (théoriques et appliqués) représente un volume horaire de 400h dont 80% est sous la forme d’un tronc commun.

Les spécialisations (capital market, corporate banking, quantitative finance) comptent pour 20%. Les cours appliqués ont pour caractéristique d’être orienté métier ; par exemple, il y a un cours de structuration sales, un cours de coverage etc.

Combien avez-vous de promotions ?

Depuis le lancement du Master, quatre promotions se sont suivies. Chacune porte le nom d’un Président (en exercice) des banques partenaires, notamment Daniel Bouton, Baudoin Prot, Jean Paul Chifflet, Laurent Mignon.

Quel est l’objectif de la formation ?

Il y a un double objectif. Le premier est d’ordre intellectuel puisque la vocation d’un master 2 est d’approfondir la réflexion. Pour cette raison, nous disposons de cours théoriques (finance d’entreprise, finance de marché, informatique, mathématiques).

Le second est d’ordre professionnel puisque l’étudiant diplômé doit être formaté aux métiers de la BFI, c’est une prépa pour la banque d’affaires. Le fait qu’il soit salarié durant cette dernière année d’étude représente de nombreux avantages. Par exemple, après avoir passé l’agrément AMF (100% réussite) et sous réserve de l’acceptation du manager, le bimeur peut traiter directement avec les clients, ce qui est statutairement impossible pour le stagiaire.

Le rythme est très lourd, c’est le prix à payer, il n’y a aucune concession sur ce point. En entrant, les bimeurs signent une charte de bonne conduite.

Quels sont les points forts du programme ?

C’est un master de finance unique qui ne s’est inspiré d’aucun autre et qui ne peut pas être imité tant les coûts organisationnels sont élevés. Il dispose d’une relation avec les banques d’affaire qui est unique :

-un job market privatif
-une implication des patrons de métiers dans l’enseignement
-un financement total des frais de scolarité des étudiants
-un parrainage de prestige du master chaque année par le Président d’une des banques partenaires
-une aide à l’insertion professionnelle dans la mesure du possible

Quels sont les profils des étudiants ?

Les étudiants sont dauphinois pour plus de la moitié. En effet, nous disposons d’étudiants en M1 très bien formés quelle que soit leur filière (gestionnaires, scientifiques, et économistes), ce qui constitue une réserve importante de candidats.

Il est vrai que notre université a une tradition de l’enseignement de la finance. Le reste des étudiants peuvent venir de grandes écoles d’ingénieurs, de commerce ou d’universités françaises. Le taux d’admission au master navigue entre 10 et 15% selon nos besoins.

Comment est composé le corps enseignants ?

Le corps enseignant est composé de patrons de métiers et anciens patrons de banques dans les BFI partenaires pour les cours orientés métiers et d’enseignants-chercheurs à l’université pour les cours théoriques. Nous avons une relation très proche avec notre corps professoral à qui on demande beaucoup d’implication pour que le programme adhère au mieux aux exigences intellectuelles et professionnelles du terrain.

Quelles sont vos relations avec les entreprises ?

Ce programme repose sur un partenariat institutionnel inédit avec les 5 grandes banques de la place (BNP Paribas et Exane, CACIB et Cheuvreux, HSBC, Natixis, SG). De plus JP Morgan nous a rejoint en 2011 et Unicrédit en 2012. L’acceptation d’une nouvelle banque est conditionnée à l’accord des banques fondatrices. Les bénéfices pour les étudiants sont nombreux grâce aux équipes des ressources humaines qui nous accompagnent mais aussi grâce aux managers qui nous font confiance.

Enfin, depuis cette rentrée 2011, nous avons mis en place une alliance unique avec Vendôme Associés, un cabinet de recrutement parisien spécialisé, qui va aider et suivre les bimeurs dans leur trajectoire professionnelle. Ce dispositif est également unique.

Que deviennent vos anciens ? Est-ce que vous avez des exemples ?

En général, le taux d’insertion professionnel en CDD, VIE, CDI est de 50% à la fin de l’année universitaire et de 65% à la fin de l’année civile, ce qui est élevé compte tenu du contexte économique, financier et bancaire. Les autres bimeurs sont en stage soit pour changer de métiers, de banque ou même de place financière (essentiellement à New York ou Londres mais aussi à Singapour, Madrid, Sydney, Dubai ou Hong Kong).

L’insertion professionnelle dépend du contexte macro-économique qui peut affecter certains métiers. Il est à noter que l’année 2012 sera une année délicate étant donné le choc thermique subit par les banques européennes. Néanmoins, nous avons des étudiants flexibles tant d’un point de vue métier de la BFI que géographique.

Est-ce que votre formation est accessible en formation continue ?

Nous avons un projet bien précis pour la formation continue. Nous le lancerons uniquement s’il est positionné comme une formation haut de gamme pour manager. Pour cela il faut rassembler plusieurs conditions.

Comment procédez-vous pour faire évoluer votre programme ?

Le programme est presque totalement déployé puisqu’il repose à la fois sur un partenariat professionnel d’exception mais aussi sur une université exceptionnelle très bien gérée. Malgré les crises de 2008 et 2011, le Master 268 BIM s’est imposé la référence académique en matière d’apprentissage haut de gamme. Le dernier objectif en phase de lancement est l’internationalisation du programme qui est d’ores et déjà en cours de lancement.

AVIS Formation: Université Paris Dauphine, Master Pro Gestion du patrimoine, Thibault LAUNAY, Promotion 2012

Qu’avez vous pensé des cours (contenu des programmes, diversité….) ?
La formation a pour atout d’allier contenues théoriques et cas pratiques tout en englobant toutes les problématiques d’une gestion patrimoniale moderne. Un tiers des cours est axé sur le Droit, le second tiers est axé sur l’économie et la finance et le dernier tiers est davantage axé sur des cas pratiques. Le programme est relativement chargé et les cours s’étendent de septembre à mai. La particularité de cette formation est que le groupe est restreint à environ 30 étudiants et un certain nombre de cours sont dispensés en demi-groupe.

Comment évaluez-vous la qualité des intervenants ?
Globalement, je suis très satisfait de la qualité des différents intervenants qui furent des universitaires ou des intervenants professionnels. Cela permet aux étudiants d’assimiler la théorie sans oublier la réalité du terrain. Certains étudiants ont notamment pu trouver des stages plus facilement grâce aux relations développés avec les intervenants professionnels.

Est-ce que vous pensez que cette formation vous a bien préparée à votre métier actuel ?
A la fin de l’année les étudiants réalisent un stage obligatoire durant l’été. Pour ma part je l’ai réalisé à Londres dans un environnement financier mais la majorité des étudiants réalise leur stage en Banque Privée ou cabinet de gestion de patrimoine indépendant.

La formation a l’avantage de former parfaitement les futurs gestionnaires de patrimoine mais également de donner un bagage solide en droit/économie/finance aux étudiants désirant se réorienter en M2 ou travailler dans un domaine différent.
La réputation de Dauphine est un avantage indéniable dans la recherche de stage ou d’emplois. Pour ma part, j’ai décidé de créer ma société avec un ancien étudiant de HEC Paris. Nous avons crée un fonds d’investissement nommé Adventure Capital Corporation qui investit dans des projets miniers et pétroliers en Afrique. Je vous invite à visiter notre site internet www.adventurecapitalcorp.com pour en savoir plus.

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Quelle formation en IT Finance ? Découvrez le master MIAGE de l’Université Paris Dauphine avec Julien Loisy, promotion 2009.

« Tous les intervenants au sein de ce master sont des professionnels. »

Qu’avez vous pensé des cours ?

Le Master 2 SIEE (associé à la formation MIAGE de l’Université Paris Dauphine) forme des étudiants aux métiers de l’audit et du conseil en SI.

L’effectif du master est composé de moitié de Magister et profils d’ingénieur informaticiens et d’une seconde moitié d’élèves provenant de formation orientée gestion.

Elle mélange également des élèves en 5ème année d’études avec des personnes possédant déjà une certaine expérience suivant la formation continue.

Ce meeting pot de scolarité et de génération permet à ce master de ne pas sombrer dans la standardisation des esprits.

Cette formation a également la particularité de ne proposer qu’un rythme d’alternance. Ainsi, la moitié de la semaine (ainsi que tout le second trimestre) se déroule en entreprise.

Ce point est déterminant pour qualifier le master et valoriser son C.V. pour trouver un premier emploi ou pour donner une nouvelle dimension à une carrière déjà entamée.

Pratiquement tous les élèves de ma promotion ont eu au moins une offre d’emploi avant d’être diplômé.

En ce qui concerne le contenu, une mise à niveau est réalisée lors de la première semaine pour sensibiliser les profils gestionnaires à l’informatique et les profils informaticiens à la comptabilité et l’audit financier.

Ensuite plusieurs grands blocs éducatifs sont constitués : Eléments fondamentaux de l’audit et du conseil, Audit des grands projets, Audit de la fonction informatique, Gouvernance des SI, Introduction au Knowledge Management, …

Le programme forme plus particulièrement des auditeurs que des consultants mais il s’avère très complet. Les blocs éducatifs sont jalonnés de cas d’études de deux jours, demandant systématiquement une réflexion en équipe et une présentation à l’oral devant des intervenants professionnels.

Enfin une semaine à l’international est organisé chaque année permettant aux élèves d’échanger avec des étudiants étrangers (Pays-Bas, Italie, Angleterre) et de suivre les cours de l’université visitée pendant une semaine. Cela permet de mettre en pratique son anglais.

Comment évaluez-vous la qualité des intervenants ?

Tous les intervenants au sein de ce master sont des professionnels. La plupart proviennent des cabinets d’audit du Big 4 et sont membres de l’AFAI (Association Française des Auditeurs Informatiques).

Tous les intervenants possèdent au moins 5 ans d’expérience et possèdent tous des postes à responsabilités dans des grandes entreprises internationales.

Cela est un plus car les intervenants peuvent systématiquement agrémenter la théorie de leurs cours avec des exemples de cas pratiques. On sent que les cours que nous recevons sont en lien avec les problématiques actuelles des entreprises.

Est-ce que vous pensez que cette formation vous a bien préparée à votre métier actuel ?

Avec le rythme en alternance, j’ai pu mettre en pratique tout au long de mon année de formation ce que j’apprenais. Le master SIEE a une très bonne réputation au sein des cabinets d’audits et des départements d’audit et de contrôles internes des grandes entreprises.

J’ai appris énormément de techniques d’audits qui me servent encore aujourd’hui après 4 ans d’expérience. Selon le classement SMBG, il est un des meilleurs masters préparant aux métiers de l’audit et du conseil.

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Quelle formation en Banque ? Découvrez le Master 224 Banque et Finance de l’Université Paris Dauphine avec Antoine Gourmelen, Promotion 2013

« Le Master 224 Banque & Finance de l’Université Paris Dauphine est une formation très reconnue dans le milieu bancaire, ce qui représente un atout important dans le monde professionnel. », Antoine GOURMELEN, Promotion 2012.

Le Master 224 Banque & Finance de l’Université Paris Dauphine est une formation très reconnue dans le milieu bancaire, ce qui représente un atout important dans le monde professionnel.

De manière générale je dirai que la formation qu’offre ce master a bien répondu à mes attentes. Avec un tronc commun essentiel sur la culture financière bancaire (Gestion du Risque Bancaire, Stratégie Bancaire, l’Information Financière Internationale et les Technique Financière sur les Marchés de Capitaux) et un choix de matières à la carte qu’il nous était possible de choisir en fonction de nos futurs affinités professionnels, je pense avoir reçu une formation adaptée pour le début de ma carrière professionnelle.

En effet, me dirigeant vers les métiers du Corporate Finance, j’ai pu choisir des matières telles que, Evaluation Financière, la Finance d’Entreprise, les Pratiques de la Banque d’Affaire mais aussi le cours de Private Equity.

Ces matières m’ont donné l’opportunité de développer un bagage important de culture et de technique pour les métiers de Corporate Finance.

Tout au long de l’année, nous avons également eu l’occasion de côtoyer des professeurs de renom comme Hervé Alexandre, le directeur de notre Master, Guy Rico Associé dans le fonds de Private Equity Paul Capital, Guy Fleury Associé chez PWC ou encore André Levy Lang l’ancien Directeur Général de Paribas.

Ils se sont révélés très pédagogues lors de leurs interventions et nous ont apporté énormément grâce à leur expérience.

En conclusion je dirai que le Master 224 est une formation d’excellence qui prépare très bien les étudiants à leur entrée sur le marché du travail. Certes les cours peuvent être intenses notamment au premier semestre et le nombre de présentation et de dossier à réaliser peut en effrayer plus d’un, mais pour ma part je trouve que ce genre d’exercice nous ont bien préparé au monde du travail.

Je recommande bien évidemment ce master aux étudiants et plus particulièrement à ceux qui sont passionnés par les métiers de la finance.

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« Les jeunes diplômés doivent être aptes à décrypter et simplifier pour leurs clients l’environnement juridique et fiscal « , Bénédicte Granger, Responsable du Master Gestion du Patrimoine, Université Paris-Dauphine

Est-ce que vous pouvez nous présenter le Master Gestion de Patrimoine ?

L’Institut Universitaire Professionnel Banque-Finance-Assurance a été créé en 1993. Il dispensait des enseignements spécialisés en économie-finance, commerce-marketing, langues et droit-fiscalité pour la gestion de patrimoine en deuxième-troisième et quatrième année de l’université. Le diplôme de sortie était une maîtrise et un diplôme d’ingénieur-maître en gestion de patrimoine.

En 2006, avec l’application du système européen LMD, les enseignements ont évolué vers une troisième année de licence en gestion parcours gestion de patrimoine et en deux années de master gestion de patrimoine.

Combien avez-vous de promotions ?

13 promotions de maîtrise, ingénieur-maître et 7 promotions de master.

Quel est l’objectif de la formation ?

L’objectif de cette formation est de former des spécialistes de la gestion de patrimoine capables de conseiller leurs clients en termes d’arbitrage au sujet de leurs actifs et de formes de structures patrimoniales en adéquation avec leurs besoins.

Les jeunes diplômés doivent être aptes à décrypter et simplifier pour leurs clients l’environnement juridique et fiscal tout en les guidant dans l’univers des placements.

Les diplômés sont capables de travailler sur:
1- les aspects juridiques et fiscaux français et internationaux de la création, gestion et transmission de patrimoine : prévoyances, épargne, retraite.
2- Les régimes matrimoniaux et le droit de la famille.
3- La transmission du patrimoine du particulier et du professionnel.
4- L’assurance-vie et la préparation à la retraite.
5- La sélection de fonds, les stratégies de placement et la gestion de valeurs mobilières.
6- Le patrimoine immobilier et autre types de patrimoine: art, vigne…

Compétences disciplinaires spécifiques :
– Comprendre l’économie des marchés financiers
– Analyser la situation financière du client (particuliers/personnes physiques/professionnels) et réaliser un bilan de sa structure patrimoniale selon l’approche globale
– Définir avec le client ses objectifs (constitution d’une épargne, protection, transmission..) selon ses besoins (régime matrimonial, succession)
– Etablir une étude patrimoniale, proposer les cadres juridiques, fiscaux et les produits adaptés en vue d’optimiser sa situation patrimoniale et fiscale
– Déterminer une stratégie financière, conseiller en gestion d’actifs
– Orienter si besoin le client vers des spécialistes (avocat, notaire)
– Etablir ou vérifier les documents justificatifs de placement les rapports de rentabilité des produits financiers contractés et les adresser au client
– Suivre et mettre à jour les dossiers clients à chaque évènement (succession, cession de bien)
– Développer un portefeuille de clients/prospects et connaître les principes de la relation –client
– Appliquer la réglementation financière

Compétences scientifiques générales :
– Comprendre et appliquer les règles juridiques et fiscales, lire et analyser les décisions juridiques qui concernent la fiscalité française, européenne, internationale des particuliers, des entreprises et des travailleurs non salariés
– Maîtriser notamment les principes du droit civil et du droit du patrimoine professionnel qui concernent les particuliers, les professionnels et les entreprises
– Maîtriser les outils de gestion financière, calculs financiers, l’utilisation de logiciels financiers, la comptabilité générale
– Savoir analyser les risques financiers

A la fin de la formation, Le diplôme et le grade du Master permettent d’obtenir la compétence juridique appropriée, utile à certaines professions du domaine concerné.

Quels sont les points forts du programme ?

L’ensemble de la problématique de la gestion de patrimoine peut être approfondie et menée à des niveaux d’expertise car elle est étalée sur 3 ans soit en totalité 1447heures de cours sur les 3 années et simplement 871heures pour les deux années de master.

En master 2 sont dispensés des cours en responsabilité civile et pénale de la fonction, la dimension internationale du droit et de la fiscalité internationale, les actifs alternatifs comme le patrimoine viticole et l’art et enfin les problématiques du chef d’entreprise.

L’Institut Gestion de Patrimoine a des liens très forts ou partenariats avec un certain nombre d’entreprises développant des activités de gestion de patrimoine ou de fortune.

Les étudiants doivent, chaque année faire un stage, les masters 2 sont soit en stage de 6 mois soit en apprentissage ou en contrat de professionnalisation.

Quels sont les profils des étudiants ?

Les étudiants du master 2 sont à 90% des bac+4 et 10% des bac+5.

Ils proviennent à 70% de formations universitaire, à 27.5% d’Ecoles de commerce, à 2.5% d’IEP. L’IGP recrute chaque année des nouveaux éléments qui bénéficient de mise à niveau.

Ils sont soit juristes, soit financiers ou ont commencé à se spécialiser en gestion de patrimoine.

Comment est composé le corps enseignants ?

L’équipe pédagogique est composée :

– d’enseignants-chercheurs de l’Université Dauphine en économie, en droit et en finance
– d’intervenants professionnels spécialisés en ingénierie patrimoniale (avocats, notaires, banquiers privés, gestionnaires de fortune, CGPI)
– d’intervenants professionnels spécialisés sur les marchés financiers ou l’analyse comptable et financière et l’évaluation des risques (sales, traders, gestionnaire d’actifs, ingénierie financière, expert comptable…).

Quelles sont vos relations avec les entreprises ?

Relations fortes : voir les points forts

Métiers visés : Les métiers visés sont ceux de la gestion de patrimoine exercés dans les établissements financiers, les compagnies d’assurance, les caisses de retraite, les sociétés immobilières, les services financiers des entreprises, les sociétés de conseil et de gestion d’actifs : conseillers en gestion de patrimoine ou chargés de clientèle particulière ou institutionnelle, gestion privée, family office…

Taux d’insertion professionnelle promotion 2012 : à 6 mois 93.8%

Partenariat en 2011-2012 : Amundi, AGF Asset Management, Agami, Axa, B*Capital,, Banque Neuflize, Banque Palatine, Banque Postale, BNP Paribas Banque privée, Banque Privée Européenne, Bred Banques populaires, Crédit Agricole CRC AP, Crédit du Nord, Edmond de Rothschild, Expert et Finance, HSBC, La Compagnie 1818, LCL Crédit Lyonnais Banque privée, Natixis, Oddo et Cie, Pictet et Cie, Société Générale Private Banking,,..

Que deviennent vos anciens ? Est-ce que vous avez des exemples ?

Certains anciens peuvent être devenus des intervenants de la formation. Ils ont des expériences riches et diversifiées.

Est-ce que votre formation est accessible également en formation continue ?

Oui. Nous avons des étudiants de formation continue en master 1 et en master 2.

Comment procédez-vous pour faire évoluer votre programme ?

Comité de pilotage formé par des gens du métier et des enseignants-chercheurs qui se réunit au moins une fois par an.


 » Nos étudiants diplômés connaissent de très belles carrières dans le monde de la finance « , Martine Carre, Responsable du Master Économique et Ingénierie Financières Spécialisé Économie Monétaire et Financière, Université Paris-Dauphine

Est-ce que vous pouvez nous présenter le Master Économique et Ingénierie Financières Spécialisé Économie Monétaire et Financière?

Fin 2008, nous avons choisi de regrouper les deux spécialités 106 et 201 au sein d’un master mixte à double parcours « Pro » et « Recherche » (appelé « Economie monétaire et financière » qui a conservé le numéro 201). La première promotion de ce master rénové est sortie en 2010. Le master 106 existait depuis une trentaine d’année, le 201 Pro depuis 2005.

Le master est désormais au sein de la mention « Economie et ingénierie financière » qui abritent également le master 272 d’ « Ingénierie Economique et financière », et le magistère Banque Finance Assurance de Dauphine. Un certain nombre de cours sont mutualisés entre nos trois formations, au niveau M1, mais aussi au niveau M2.

Quel est l’objectif de la formation ?

Notre spécialité de Master donne une formation d’excellence en économie et en finance aux étudiants qui souhaitent faire carrière dans le secteur bancaire et financier. Elle regroupe deux parcours.

Le parcours « Professionnel » offre une formation appliquée qui suit étroitement les évolutions majeures des métiers de la finance. Les étudiants sont formés à la pratique de la finance de marché par des professionnels du domaine avec, en complément, l’apprentissage des principaux logiciels et outils utilisés dans le monde de la Finance.

Le parcours « Recherche » permet aux étudiants de se familiariser avec les différentes théories à la frontière de la recherche. Ce parcours propose une formation plus académique, dont le but est de préparer les étudiants par une formation à la recherche en les encadrant dans la rédaction d’un mémoire où les étudiants approfondissent un sujet et mettent en pratique leurs connaissances théoriques et empiriques.

La spécialité de Master propose des enseignements techniques (produits structurés, risque de taux, comptabilité analytique bancaire, droits des marchés financiers…), des cours pratiques sur logiciels (SAS, VBA, Matlab, Reuters et Eviews), des cours théoriques (intermédiation financière, économétrie) ainsi que des cours d’analyse de la conjoncture et de macroéconomie financière.

Le parcours professionnel va moins loin dans l’approfondissement théorique de certaines questions économiques et financières, mais, en revanche, il présente plus d’heures de formation sur les principaux logiciels utilisés par les professionnels aujourd’hui. Il propose un enseignement directement mobilisable sur le marché du travail, pour permettre aux étudiants d’être directement opérationnels sans aucun coût d’entrée. Le programme est élaboré en coopération avec des dirigeants et des cadres exerçant dans des organisations financières et bancaires. Il suit étroitement les évolutions majeures des métiers concernés.

L’intérêt d’un master mixte est la présence de cours communs aux deux parcours qui enrichissent les deux formations. Le parcours recherche propose ainsi quelques cours plus appliqués dispensés par des professionnels et des professeurs associés qui ouvrent la formation académique au milieu professionnel et permet d’ancrer les connaissances dans la réalité des marchés financiers. Le parcours professionnel propose des cours fondamentaux qui donnent une assise, une culture économique, un cadre de pensée qui permettra aux étudiants de s’adapter aux transformations de la finance de demain.

Quels sont les points forts du programme ?

1.La qualité de notre formation est reconnue par le très sélectif CFA Institute. Nos étudiants ont donc la possibilité de concourir aux trois niveaux de certification donnés par cette institution.

2. La professionnalisation des étudiants et leur insertion professionnelle, au cœur de nos préoccupations tant dans le parcours « Professionnel » que dans le parcours « Recherche », prend des formes diverses :

– Acquisition de savoirs et de compétences techniques directement valorisables sur le marché du travail (formation sur les principaux logiciels utilisés dans les institutions financières, anglais financier)

– Equipe pédagogique composée de nombreux enseignants venant du milieu de la finance et des institutions monétaires non académiques.

– Mobilisation du réseau des anciens (Association des étudiants du master 201, cocktail de rentrée qui réunit l’ensemble des promotions passées du master, site internet avec présentation des stages des anciennes promotions, réseau Alumni des anciens de Dauphine…)

– Stage de 6 mois dans une institution financière pour les étudiants du parcours « Professionnel », avec soutenance d’un rapport en présence du maitre de stage en entreprise.

– Coaching individuel des étudiants pour leur entrée dans la vie professionnelle

3. Des échanges internationaux avec l’Université Bocconi à Milan.

Quels sont les profils des étudiants ?

De nombreux étudiants viennent de Dauphine (M1 de la mention Economie et Ingénierie Financière), d’autres viennent des grandes universités parisiennes (Paris 1, Paris 2…), d’écoles de commerce ou d’ingénieur. La grande majorité vient de formations en Economie mais les étudiants avec une bonne formation mathématique de type MASS réussissent aussi brillamment.

Comment est composé le corps enseignants ?

Le premier pilier de l’équipe pédagogique est composé de treize enseignants chercheurs dauphinois ainsi que de plusieurs professeurs associés. Le deuxième pilier est constitué par une équipe de professionnels non académiques de haut niveau (Banque de France, Amundi, BNP, DEXIA-AM…), qui est très impliquée et disponible. La parfaite entente dans l’ensemble de l’équipe sur nos attentes et nos objectifs, ainsi que nos nombreux échanges sont très certainement une des forces de notre master. Nous avons là une véritable contribution de ces enseignants d’entreprise ; nous en tirons nombre de conséquences bénéfiques.

Le parcours recherche bénéficie de plus de la présence dans notre master de nombreux professeurs renommés, qui publient régulièrement dans les meilleures revues internationales, et qui ont à cœur de diriger ou conseiller les étudiants dans leurs premiers pas dans le monde de la recherche. Enfin, le pôle Stratégies et Dynamiques Financières du laboratoire d’Economie de Dauphine reçoit chaque année des professeurs invités qui assistent aux ateliers d’aide à la préparation des mémoires de recherche des étudiants. Pour les deux dernières années, nous pouvons citer l’implication de Paul Beaudry de l’université de Vancouver, et Fabrice Collard de l’université de Bern.

Quelles sont vos relations avec les entreprises ?

Nous avons la chance d’avoir au sein de notre master des professeurs associés très impliqués qui sont des relais importants entre les enseignants dauphinois et les entreprises et institutions financières. Le temps des stages est aussi un moment privilégié où je peux rencontrer en tant que directrice de la formation les maîtres de stage et échanger avec eux sur le contenu de la formation et les évolutions des métiers. Les stages font partie intégrante de la formation. Ils doivent finaliser la formation par une mise en pratique des savoirs et jouer leurs rôles de tremplin vers la vie professionnelle. Un master 2 consacre le cursus universitaire et ouvre la voie de la vie active. Il ne peut se concevoir sans étroites relations avec les entreprises du secteur.

Que deviennent vos anciens ? Est-ce que vous avez des exemples ?

Nos étudiants diplômés connaissent de très belles carrières dans le monde de la finance.

Un grand nombre d’entre eux vont traditionnellement en front office, en salle de marché de grandes institutions bancaires (Société générale, HSBC, BNP..), d’autres se dirigent vers l’analyse et la gestion des risques (de défaut, de marché sur le portefeuille obligataire, de pays…), d’autres encore se tournent vers la gestion de portefeuille, ou la gestion de fortune. Plus récemment, les étudiants privilégient le conseil, les services des études, la stratégie, ou la finance d’entreprise. Les profils sont très variés. La raison en est très certainement que la maîtrise des outils et des logiciels quantitatifs (économétrie…) ouvre de nombreuses portes.

Certains étudiants du parcours Recherche intègrent le service recherche d’une grande institution telle que la Banque de France, ou encore Natixis.

Nos anciens étudiants sont majoritairement restés en Ile de France (61%), mais des étudiants sont partis à Londres, Singapour, Bruxelles, ainsi qu’au Liban.

Quelques exemples :
Scott Kiman (Promotion 2009, parcours Pro): Surveillance de marché, NYSE Euronext

Thomas Julien(Promotion 2009, parcours Pro):, US Economist at Natixis North America

Saqib Mullick (Promotion 2012, parcours Pro) : Structureur Retail, Amundi-IMMO

Medhy Souidi (Promotion 2012, parcours Pro) : Economiste – Chargé d’études chez Agence Française de Développement

Benoît Vu (Promotion 2012, parcours Pro), Sales Assistant Forex chez Société Générale CIB

Est-ce que votre formation est accessible également en formation continue ?

Non.

Comment procédez-vous pour faire évoluer votre programme ?

Deux principales réunions pédagogiques se tiennent chaque année. Une première réunion réunit plus spécifiquement les principaux intervenants du parcours « Professionnel » et en particulier les intervenants extérieurs. Une deuxième réunion a pour objet de coordonner les enseignants du parcours « Recherche » et d’organiser les ateliers d’aide à la préparation du travail de mémoire, où les étudiants présentent leurs travaux préliminaires. Ces réunions ont pour but de contribuer à perfectionner continuellement la formation.


J’ai soutenue ma thèse de doctorat à l’U. de Paris 1 sous la direction d’A. d’Autume. J’ai passé le concours d’agrégation en 2000. J’ai été ainsi nommée Professeur à l’U. de Caen en 2000, puis à l’U. de Cergy en 2004, et enfin à l’U. de Paris Dauphine en 2010. J’ai accepté au cours de ma carrière la direction de plusieurs masters 2 Recherche et Professionnel, ainsi que la direction de l’école doctorale pluridisciplinaire en Mathématiques, Economie, et Gestion de Cergy. De 2006 à 2009, j’ai effectué un détachement au Centre d’Economie Prospective et d’Informations Internationales où j’ai pris la direction des programmes de Macroéconomie Internationale. J’ai publié plusieurs articles de recherche dans des revues académiques internationales.

«Le programme du Master s’est adapté aux évolutions du marché de l’audit, tout en conservant un positionnement spécifique», Jean-François Casta, Responsable du Master 229 Audit and Financial Advisory, Université Paris Dauphine

Est-ce que vous pouvez nous présenter le Master Audit and Financial Advisory ?

Le Master (ex DESS) 229 Audit financier a été créé en 1982 avec le concours de la Compagnie Nationale des commissaires aux comptes et l’Inspection Générale des Finances afin d’appuyer le développement de la profession d’auditeur en France sur un marché en pleine expansion. L’expertise des cabinets internationaux a constitué un benchmark et les cabinets membres des Big Eight ont été, dès la création de la formation, les partenaires du projet.

Combien avez-vous de promotions ?

En 2013 ce sera la 40 ème !!!

Quel est l’objectif de la formation ?

Depuis lors, le programme du Master s’est adapté aux évolutions du marché de l’audit, tout en conservant un positionnement spécifique :

a) le master 229 propose à des étudiants en fin de cursus une spécialisation à finalité professionnelle centrée sur les métiers de l’audit financier, mais aussi sur ceux du conseil associé aux activités support (Financial advisory).

Les métiers auxquels prépare la formation de la spécialité Master 229 sont, en premier emploi :

– principalement : auditeur externe (financier) et, après quelques années les métiers supports (financial advisory) ou transactions services,

– de façon plus limitée : auditeur interne / secteur Banques et assurances (audit interne, middle office/ département opérations de marché, contrôle prudentiel)

b) Alors que la plupart des masters CCA sont positionnés soit sur le segment « middle market » de l’expertise comptable, soit sur l’audit interne, la spécialité « Audit & Financial Advisory » fait l’objet d’un positionnement spécifique. Elle pour objet de former des auditeurs débutants sur le segment « Grands comptes/sociétés cotées » de l’audit externe et du conseil (Financial advisory), qui correspond au domaine d’intervention des réseaux internationaux d’audit.

Ce positionnement au regard des sociétés cotées et du secteur bancaire légitime l’intégration, depuis sa création, de la spécialité « Audit & Financial advisory » dans la mention Finance, ainsi que le recrutement d’étudiants issus de Master 1 Finance (ou équivalent).

Quels sont les points forts du programme ?

a) son positionnement stratégique sur le segment de marché « audit externe/ sociétés cotées/ cabinets internationaux ».

b) la qualité du programme et des équipes pédagogiques du Master Finance de l’université Paris Dauphine (accréditée EQUIS) dont il fait partie et du centre de recherche auquel il est adossé (DRM Finance, UMR CNRS, classée A+ par l’AERES).

c) le caractère étroit des partenariats noués, depuis plusieurs décennies, avec les grands réseaux internationaux (département Audit/Grands comptes).

d) un pilotage de la formation guidé par les impératifs d’anticipation des besoins du marché et par les objectifs de management de la carrière professionnelle.

e) des méthodes pédagogiques actives associant (cours / TD, travail en petits groupes sur des thèmes tirés de la vie des affaires, présentation et discussion de dossiers techniques, simulation d’expertise par la méthode des cas, jeux de rôle sociétés/commissaires aux comptes, …).

Le Master 229 a été primée, en 2012, à l’occasion des TROPHEES DE LA PEDAGOGIE SMBG – CLASSEMENT DES MEILLEURS MASTERS (note de 4,6/5).

f) Un stage dans les grands cabinets internationaux complètement intégré au processus d’apprentissage. La planification du stage sur mi décembre/ mars permet de couvrir les phases caractéristiques d’une mission d’audit. Cette organisation du cursus relève tant d’objectifs pédagogiques que d’une stratégie de pré-recrutement très performante.

Dans la catégorie « Audit externe», la spécialité « Audit & Financial advisory / Audit financier – Master 229 » est régulièrement classée, depuis 2004, au 2ème rang, entre les Mastères spécialisés (M.S.) de l’ESCP et d’HEC.

Quels sont les profils des étudiants ?

Ce programme s’adresse en particulier :

– aux étudiants ayant une formation de gestion : Master 1 (finance ou contrôle), diplômés d’Ecoles de commerce, Master CCA, Master 1 de sciences économiques (option Finance).

– aux étudiants de formation scientifique (Ecole d’ingénieurs) ou Maths appliquées

Le Master 229 offre une formation spécifique aux métiers de l’Audit et de Financial advisory, très différente de l’offre de formation du marché : elle attire une certaine diversité de candidatures : 50% des étudiants sont issus de formations en finance, 30% d’écoles de commerce/IEP, 15% de filières scientifiques (informatique de gestion, mathématiques appliquées, écoles d’ingénieurs), 5% de juristes d’affaires.

Comment est composé le corps enseignants ?

La professionnalisation des étudiants est assurée à deux niveaux :

– par l’intervention de « grands » professionnels dans le cadre d’accord de partenariat avec les cabinets d’audit internationaux,

– par un corps d’enseignants permanents, pour l’essentiel, diplômés d’expertise comptable/commissaires aux comptes/actuaires, alliant la compétence académique et la connaissance des milieux professionnels de l’audit « Grands comptes »

55% des enseignements (sur un total de 370 H) sont assurés par des intervenants « grands » professionnels.

Quelles sont vos relations avec les entreprises ?

Partenariat avec des entreprises :

Le fonctionnement du Master 229 repose, depuis la création, sur des accords de partenariats institutionnels qui mobilisent, sur le long terme, des acteurs majeurs du secteur professionnel comme : Pricewaterhousecoopers, Ernst & Young, Deloitte, KPMG-Audit, Mazars, Association française d’Audit et du Conseil informatique.

Que deviennent vos anciens ? Est-ce que vous avez des exemples ?

a) A la sortie, en ce qui concerne la formation initiale : Les diplômés de M 229 (formation initiale), sont essentiellement recrutés à la sortie comme auditeur junior dans les cabinets d’audit internationaux (près de 90%, à Paris ou à Genève), pour le reste en Financial Advisory ou audit bancaire.

Le suivi de la qualité de l’insertion professionnelle est confié annuellement à l’APEC.

b) Analyse du devenir des étudiants diplômés :

– Les étudiants diplômés de la filière Master 229 sont regroupés dans l’association « Dauphine Audit 229 ». Il y a plus de 750 diplômés depuis 1983.

– Le passage par l’audit est perçu par les étudiants, dans le cadre d’une stratégie active de carrière, comme un moyen efficace d’évoluer vers des postes de responsabilité en entreprise, avant qu’ils ne découvrent la diversité des métiers proposés par les grands cabinets internationaux.

– Au-delà des quatre premières années d’expérience acquises dans le département « Audit » des grands cabinets internationaux, plus de la moitié des candidats d’une promotion (1) a migré vers les départements « Financial advisory », « Transaction services » ou « systèmes d’information » de ces cabinets ou (2) exerce une activité en entreprise (direction financière, audit interne, contrôle de gestion, middle/back-office, …) avec une nette prédominance pour le secteur bancaire et assurance (audit et contrôle interne).

Est-ce que votre formation est accessible également en formation continue ?

Le Master 229 accueille, avec un parcours sur mesure, depuis sa création des personnels, dans le cadre de plans de formation d’entreprise. Depuis une quinzaine d’années, le M 229 (anticipant la réforme du management public) forme à l’audit, par ex., les cadres des corps de contrôle des Armées. Il a largement contribué a former l’ossature du service central d’audit des armées. Des anciens du Master 229 sont, à ce titre, passés à l’Inspection générale des Finances, à la Comptes des Comptes ou à la Direction de l’Audit de grandes entreprises (par ex. Aéroport de Paris).

Comment procédez-vous pour faire évoluer votre programme ?

Un comité de perfectionnement a en charge de mener une réflexion sur l’adéquation des programmes du Master 229. Il comprend des professionnels reconnus, appartenant aux organisations professionnelles : Haut Conseil du Commissariat aux Comptes (H3C), Compagnie Nationale des Commissaires aux Comptes, Association Française de l’Audit et du Conseil Informatique (AFAI), Autorités de Marchés Financiers (direction des affaires comptables), Conseil National de la Comptabilité, Institut Français des Auditeurs et Contrôleurs Internes (IFACI), Conseil Supérieur de l’Ordre des Experts Comptables, Fédération Internationale des Experts Comptables Francophones(FIDEF), ainsi qu’un représentant de chaque des cabinets partenaires (PricewaterhouseCoopers, KPMG Audit, Ernst & Young et Deloitte).

Le comité de perfectionnement a pour mission d’éclairer l’équipe pédagogique de la spécialité sur les évolutions majeures du marché de l’audit et du contrôle, ainsi que d’anticiper leurs conséquences en matière de besoins de formation. Il est réuni une fois par an afin d’établir un bilan de l’insertion professionnelle.

«L’éventail des connaissances proposées permet à nos étudiants de répondre à la demande des secteurs de l’Assurance et de la Finance», Florence Legros, Directrice du Master Assurance et Gestion des Risques, Université Paris Dauphine

Est-ce que vous pouvez nous présenter le Master Assurance et Gestion des Risques ?

Le DESS 218 « assurance et gestion du risque » a été créé en 2000. A cette époque, la Direction du Master s’est appuyée sur un noyau de professeurs spécialistes des questions liées à la gestion du risque au sein de l’Université Paris-Dauphine et sur un panel de professionnels de haut niveau, actifs dans les institutions et compagnies d’assurance de la place. Il est devenu « Master 218, assurance et gestion du risque » en 2005 dans le cadre de l’adéquation au système européen d’équivalence des diplômes de l’enseignement supérieur.

Depuis 2006 nous avons un accord avec Supélec qui permet à de futurs ingénieurs d’avoir une double formation.

Combien avez-vous de promotions ?

Nous avons 13 promotions à ce jour. Nous avons célébré en octobre 2012 la 13è leçon inaugurale, prononcée par une personnalité reconnue du monde de l’assurance. C’est l’occasion, à chaque rentrée, d’accueillir la nouvelle promotion et de remettre les diplômes à la promotion sortante.

Quel est l’objectif de la formation ?

Le Master « assurance et gestion du risque » a pour objectif de former des cadres de l’assurance, de la finance, du courtage, de la prévoyance, des mutuelles, …. Qui sauront appréhender, prévenir, contrôler, modéliser, financer et gérer tous les aspects du risque que ce soit les risques traditionnels physiques, les risques financiers mais aussi les nouveaux risques de type environnementaux et industriels.

Quels sont les points forts du programme ?

Le Master « assurance et gestion du risque » assure une formation universitaire de référence qui permettra au futur cadre de maîtriser le risque sous tous ses aspects financiers, économiques, industriels, environnementaux et sociétaux.

L’éventail des connaissances proposées, particulièrement ouvert, combine les notions de la théorie du risque, du droit et de l’économie de l’assurance, de la théorie et des outils de la finance comme de l’actuariat. Il aborde également les risques les plus variés que ce soit en finance ou en assurance à proprement parler.

Cette polyvalence permet à nos étudiants de répondre à la demande des secteurs de l’Assurance et de la Finance. Le diplôme propose une formation suffisamment large pour intéresser non seulement les sociétés d’assurance, de réassurance et de courtage, les mutualistes et les institutions de prévoyance mais aussi les banques et sociétés financières, les entreprises confrontées à différents risques suivant leur activité. Le haut niveau de l’enseignement permet à nombre d’étudiants d’intégrer des sociétés de conseil.

En outre l’accent est mis sur l’international par des cours en anglais, des voyages pédagogiques (la promotion actuelle prépare activement son séjour à Singapour), l’incitation aux stages à l’étranger.
Du point de vue du corps professoral, il y a certes prédominance de professionnels non académiques comme dans nombre de masters professionnalisant mais nous accordons un poids important à la formation académique de haut niveau permettant recul et adaptabilité dans un monde extrêmement évolutif.

Quels sont les profils des étudiants ?

Les étudiants, français et étrangers, ayant validé un parcours Bac+4 sont issus de filières très diverses : mathématiques appliquées, Economie, Finance, Droit, Ecoles de commerce, Ecoles d’ingénieurs, instituts d’études politiques, universités étrangères…

Le cursus est également aménagé pour favoriser l’inscription des salariés en activité.

Comment est composé le corps enseignants ?

Il est composé de professeurs des universités, d’enseignants chercheurs, de professionnels de l’assurance non académiques de haut niveau en activité au sein de structures variées. C’est cette diversité qui fait la richesse reconnue et l’ouverture du programme.

Quelles sont vos relations avec les entreprises ?

Le Master « assurance et gestion du risque » a noué dès son origine des partenariats officiels avec une soixantaine d’entreprises proches du secteur de l’assurance et de la gestion des risques. Ces partenariats assurent un soutien pédagogique (conférences, présentations métiers, accueil en stage…) et financier qui contribue largement à la réputation et à l’employabilité de nos promotions. Ils sont souvent représentés au Forum entreprises de Dauphine et dans les grands rassemblements du secteur.

Que deviennent vos anciens ? Est-ce que vous avez des exemples ?

Nos anciens assurent un réseau influent pour nos promotions au sein de leur entreprise. Par des propositions de stage ou d’emploi qu’ils nous diffusent, par leur témoignage lors des « présentations métiers » de nos partenaires, …

De leur côté, ils sont tenus informés des évènements du Master. L’association des diplômés du master a longtemps « vivoté » mais renaît aujourd’hui ce qui permettra un suivi de long terme de nos étudiants. A court terme, nous savons que les étudiants trouvent aisément un emploi à un salaire très confortable.

Les étudiants que nous avons suivis ont des emplois différents : ils ont pu fonder leur entreprise de communication aux investisseurs institutionnels, sont devenus actuaires, spécialistes value at risk, ou chargés de grands comptes dans une entreprise d’assurance ou encore ont intégré les inspections générales de grandes entreprises du secteur.

Est-ce que votre formation est accessible également en formation continue ?

Pour l’instant seulement en formation initiale ; néanmoins les horaires ont été adaptés pour un accès aisé à des salariés actifs, en outre ceux-ci peuvent la faire financer dans le cadre du Fongecif . J’en profite pour vous livrer un « scoop » : dans le cadre de son institut de l’assurance, l’université Paris-Dauphine créée un executive MBA « Risk and insurance management » (RIM) qui sera tout entier dédié à la formation continue de cadres de haut niveau.

Comment procédez- vous pour faire évoluer votre programme ?

La direction du Master est attentive à garantir la parfaite adéquation des programmes avec l’actualité et l’évolution du secteur mais aussi avec l’évolution constante des techniques et des connaissances quant à la gestion des risques.

En période de croisière, un conseil d’orientation est réuni régulièrement. En période de préparation des plans quinquennaux durant lesquels nous revoyons en profondeur la maquette du master, le directeur multiplie les contacts et les prises de conseils.


Titulaire d’un doctorat de sciences économiques et agrégée de l’université, Florence Legros est professeur à l’université Paris-Dauphine. Recteur de l’académie de Dijon, chancelière de l’université de Bourgogne de 2008 à 2011, elle est régulièrement intervenue auprès d’organisations internationales (Banque Mondiale et commission européenne notamment) et d’entreprises ou d’institutions françaises en tant qu’experte en matière de retraite, d’épargne, de finance et de protection sociale. Elle a également été directeur-adjoint du CEPII de 2001 à 2003, vice présidente du CIREM (club d’information et de réflexion sur l’économie mondiale) et directeur adjoint du programme européen AIM (adéquation of pensions) de 2003 à 2008.

Spécialiste des questions relatives aux systèmes de retraites, à l’épargne et aux marchés financiers, elle a siégé au Conseil d’orientation des retraites au titre de personnalité qualifiée de 2000 à 2004. Elle a été nommée à la Commission économique de la Nation en 2007. Ses publications sur le thème des retraites sont nombreuses et variées.

«Le point fort du Master est la double expertise informatique-finance», Maude Manouvrier et Flavien Balbo, Responsables du Master 2 MIAGE-IF, Université Paris Dauphine

Combien avez-vous de promotions ?

Le Master MIAGE-IF est ouvert depuis 2009 en Formation Initiale et depuis 2010 en Formation par Apprentissage. Quelques étudiants de Formation Continue (environ 1 par an) et de V.A.E. (Validation des Acquis par l’Expérience – 1 par an environ également) sont intégrés la promotion de la formation initiale.

Quel est l’objectif de la formation ?

Le Master MIAGE-IF a pour objectif de former des professionnels de l’informatique spécialisés en Finance (Finance des marchés, Gestion de Portefeuilles et Actuariat). Cette spécialisation leur permet de maitriser les problématiques spécifiques à ce domaine et de produire des solutions adaptées.

Nos étudiants ont ainsi une formation pluridisciplinaire leur permettant d’accéder à différentes fonctions tout au long de leur carrière : maitrise d’œuvre, maitrise d’ouvrage, architecte technique et/ou fonctionnel, responsable de projets, etc.

Quels sont les points forts du programme ?

Le point fort du Master est la double expertise informatique-finance qui permet aux étudiants de maîtriser à la fois les technologies demandées dans le secteur de la finance et de l’assurance (JavaEE, Hibernate, C++, C#, XML, Services Web etc.) ainsi que les fondamentaux conceptuels et mathématiques de la finance (Black-Scholes, Monte-Carlo, EDP, etc.).

Des projets tuteurés par des experts professionnels de la Finance permettent également de mettre en pratique cette double-expertise. Les étudiants sont ainsi capables de comprendre le domaine complexe dans le lequel ils sont amenés à réaliser leur carrières et à devenir force de proposition dans l’évolution / l’utilisation des technologies informatiques.

Un autre point fort est l’organisation conjointe, en formation initiale et continue, du Master MIAGE-IF avec deux autres Masters, ID (Informatique Décisionnelle) et SITN (Systèmes d’Information et Technologies Nouvelles). Les étudiants ont ainsi la possibilité de colorer leur formation en choisissant des options plus BI (Business Intelligence) ou plus SI (Systèmes d’Information) parmi les cours offerts par les deux autres Masters.

Dernier point fort : le contexte de Dauphine qui permet à nos étudiants de bénéficier de cours de Finance de haut-niveau et de pouvoir avoir accès à des logiciels tels que Reuters. Ce label de qualité, reconnu dans le domaine de la finance, est un vrai plus pour trouver un emploi.

Quels sont les profils des étudiants ?

Les étudiants du Master MIAGE-IF proviennent de M1 MIAGE de toutes la France ou d’écoles d’ingénieurs (Mines, EISTI, Télécom, ENSIMAG, ENSEIRB-MATMECA, …) ainsi que des étudiants venant de l’étranger (ex. ESI ex. INI Alger).

Comment est composé le corps enseignants ?

Le corps enseignant est composé pour moitié d’enseignants-chercheurs en informatique ou mathématiques de Paris-Dauphine, membres des laboratoires de recherche CNRS LAMSADE et CEREMADE, et de professionnels du secteur banque/assurance, spécialistes des problématiques des applications et systèmes d’information dans le domaine de la Finance.

Quelles sont vos relations avec les entreprises ?

En premier lieu, nos étudiants sont accueillis en stage ou en apprentissage dans des entreprises (banque, fonds, SSII, éditeurs de logiciels spécialisés) qui renouvellent leur confiance chaque année. En apprentissage, chaque étudiant organise au sein de son entreprise la visite de son tuteur enseignant afin qu’il échange avec son maître d’apprentissage.

De plus, nous organisons chaque année avec les entreprises plusieurs séminaires métiers auprès de nos étudiants sur des thématiques telles que : les métiers IT et les opportunités dans le secteur bancaire, le fonctionnement des sociétés de conseil et les carrières en Finance des Marchés, l’informatique haute-performance en finance des marchés, les reportings bâlois. Certaines entreprises organisent également des simulations d’entretiens pour nos étudiants.

Que deviennent vos anciens ? Est-ce que vous avez des exemples ?

Depuis l’ouverture du Master, il y a 3 ans, nos étudiants ont trouvé des emplois aussi bien dans de Grandes Banques de Finance et d’Investissement (35% en FI), que dans des SSII spécialisées en Finance (45% dont 64% sont consultants dans des BFI) ou chez des éditeurs de logiciels financiers (10%). Certains sont consultants indépendants (10%). 53% des anciens diplômés de formation initiale occupent un poste de développement (Ing. d’étude et développement, MOE) et 47% occupent des postes plus fonctionnels.

Leur rémunération est élevée : moyenne de 40,5 K€ et médiane de 38,5K€ pour la promo 2009-2010 et moyenne et médiane de 38,5K€ pour la promo 2010-2011.

Les postes occupés par nos anciens montrent que les principaux débouchés du Master sont :

– Maitrise d’œuvre : conception/développement en finance de marchés (intégration de progiciels financiers, IT « Commando », IT Quant, automates de trading…) principalement.

– Maitrise d’ouvrage sur des systèmes Front Office.

– Consultant / Ingénieur Conseil en IT-Finance.

Les emplois de nos anciens sont donc en adéquation avec les objectifs de la formation. Quelques anciens occupent également des postes plus orientés Finance, comme assistant portfolio manager ou se sont orientés vers l’audit financier.

Plusieurs de nos anciens (entre 1 et 2 par promotion) partent également en V.I.E. (à Londres, New-York, Luxembourg, Hong-Kong) suite à leur stage de Master.

Est-ce que votre formation est accessible également en formation continue ?

La formation est accessible en formation continue et en V.A.E.

Comment procédez-vous pour faire évoluer votre programme ?

Nous étudions régulièrement le marché de l’emploi en informatique pour la finance et interviewons nos anciens ainsi que nos enseignants-chercheurs et enseignants et partenaires professionnels. Ceci nous permet de petits ajustements réguliers du programme (ajout de nouveaux enseignements ou ajustement du programme de certains enseignements existants).

Nous organisons également un conseil de perfectionnement tous les 2-3 ans pour valider le programme du Master.


Maude Manouvrier est Maître de Conférences en Informatique à l’Université Paris-Dauphine depuis 2000. Elle y enseigne les bases de données, la persistance objet-relationnel/Hibernate et les langages de programmation (C++/Python) à tous les niveaux de formation (L1 à M2). Ses recherches portent sur la composition de services Web transactionnels, les structures d’index et la similarité d’images. Elle est responsable du Master 2 MIAGE – Informatique pour la Finance (Formation Initiale et Continue) depuis la date de création du Master en 2009.

Flavien Balbo est maître de conférences habilité en informatique de l’université Paris-Dauphine. Il enseigne l’intelligence artificielle et différents langages de programmation. Il est responsable du Master 2 MIAGE – Informatique pour la finance depuis 2011 (formation en apprentissage) et coresponsable de l’informatique en première année de gestion à l’université Paris-Dauphine. Ses travaux concernent l’utilisation de l’intelligence artificielle pour la conception de systèmes d’aide à la décision pour le transport et il est l’auteur de plus de soixante articles.

«L’idée est de former des étudiants à l’ensemble des métiers et des activités bancaires et financières», Hervé Alexandre, Directeur du Master 224 Banque et Finance, Université Paris Dauphine

Est ce que vous pouvez nous présenter le master 224 Banque et Finance ?

Le master 224 a été créé en 1981.  Nous avons plus de 950 anciens diplômés sur 30 ans d’existence. Nous avons créé un groupe sur Linkedin où nous avons pu contacter plus de 350 anciens.

Combien avez-vous de promotions ?

Nous sommes à notre 32ème promotions.

Quel est l’objectif de la formation ?

L’idée est de former des étudiants à l’ensemble des métiers et des activités bancaires et financières. Les étudiants sont formés pour occuper des postes d’inspection générale, d’audit et de contrôle interne dans le milieu bancaire. Pour ceux qui s’orientent en finance, ils occuperont des postes en gestion d’actif ou en finance d’entreprise.

Quels sont les points forts du programme ?

C’est la diversité des enseignements ! Nous avons des cours de stratégie bancaire, de marchés de capitaux, de gestion actif-passif, de contrôle de gestion des institutions financières ou encore de financement d’infrastructure…

Quels sont les profils des étudiants ?

Les étudiants sont soit titulaires d’un M1 Economie Gestion, soit des étudiants de Sciences Po ou d’écoles d’ingénieurs. Nous sommes assez ouverts pour attirer des étudiants qui ont une bonne connaissance en banque et finance, avec de fortes capacités d’adaptation, créatifs et enthousiastes.

Comment est composé le corps enseignants ? Quelles sont vos relations avec les entreprises ?

Nous avons 17 enseignants professionnels  de la banque et de la finance et 5 universitaires. Nous avons de nombreux partenariats avec de grandes institutions financières comme la Société Général, le Crédit Agricole, le Groupe BPCE mais aussi avec de grands cabinets d’audit comme PwC.

Nous organisons également « Les P’tits Dej du 224 » plusieurs fois dans l’année, c’est l’occasion pour les étudiants d’échanger et de débattre avec des professionnels du secteur de la finance.

Nous avons un historique de stage assez important. Les étudiants ont la possibilité de faire leur stage dans une banque, un établissement de crédit, une entreprise d’investissement ou au sein d’une direction financière d’entreprises.

Que deviennent vos anciens ? Est-ce que vous avez des exemples ?

Nous avons par exemple 50 anciens qui travaillent chez BNP Paribas. D’autres sont des responsables risques dans des banques. Notre parrain pour cette année 2012 est le Directeur Général Adjoint de la Caisse des Dépôts et consignations (CDC).

Est ce que votre formation est accessible en formation continue ?

Oui, notre formation est accessible en formation continue.

Comment procédez-vous pour faire évoluer votre programme ?

1 à 2 fois par an, nous réunissons un comité de perfectionnement où nous faisons intervenir les professeurs.  On discute des métiers émergents compte tenu des évolutions professionnelles de la banque et de la finance. On adapte aussi le diplôme par la mise à jour des cours.