Les nominations de la semaine en banque, finance, assurance.

Caisse des dépôts : Directeur des investissements au sein de la direction du développement territorial et du réseau

Monsieur Christian Costrejean est promu directeur des investissements au sein de la direction du développement territorial et du réseau de la Caisse des dépôts, à ce poste depuis septembre 2013. Il est sous la responsabilité directe de Monsieur Stéphane Keïta, directeur du développement territorial et du réseau.

Christian Costrejean, 44 ans, DESS de finance d’entreprises et marchés internationaux de capitaux de l’IEP Paris, a réalisé le parcours suivant :

* 2010-2013 : Caisse des dépôts, directeur du département de la planification et du pilotage stratégique au sein de la direction de la stratégie.

* 2009-2010 : FSI (groupe Caisse des Dépôts), adjoint du directeur des finances et de la stratégie.

* 2007-2009 : Caisse des dépôts, en poste au sein du département de la stratégie et du développement.

* 1998-2007 : Caisse des dépôts, différentes fonctions au sein de la direction comptable, notamment adjoint du responsable du département de la consolidation du groupe.

* 1996-1998 : Début de carrière comme commissaire aux comptes au sein du cabinet Mazars.

Devoteam : Chief financial officer

Monsieur Grégoire Cayatte est promu chief financial officer de Devoteam, à ce poste depuis septembre 2013, en remplacement de Monsieur Gérald Berge.

Il est sous la responsabilité directe de Monsieur Stanislas de Bentzmann, coprésident du groupe. Membre du comité de direction, il continuera de gérer les opérations de haut de bilan et supervisera les directeurs financiers du groupe.

Grégoire Cayatte, 43 ans, Polytechnique (1990), a réalisé le parcours suivant :

* 2000-2013 : Groupe Devoteam, directeur corporate finance en charge de la stratégie et du développement.

* 1997-2000 : Paribas, M&A associate.

* 1995-1997 : Banque Lazard, capital markets analyst.

AKDV : Responsable administratif et financier

Madame Cécile Roustit est nommée responsable administratif et financier d’AKDV, à ce poste depuis septembre 2013. Elle est sous la responsabilité directe de Monsieur Jean-Pierre Lefebvre, président fondateur. Il s’agit d’une création de poste.

Cécile Roustit, IESEG, DESCF, a réalisé le parcours suivant :

* Top Chrono, directeur administratif et financier.

* Cabinet Martin, mémorialiste.

* Début de carrière au sein de l’agence Cofigex.

Geodis Wilson (groupe Geodis – SNCF) : Directeur financier

Monsieur Georges Azevedo est promu directeur financier de Geodis Wilson (groupe Geodis – SNCF), à ce poste depuis juillet 2013.

Il est membre du comité de direction.

Georges Azevedo, 44 ans, Executive MBA HEC (2009), DESCF de l’université Paris-Dauphine, a réalisé le parcours suivant :

* 2008-2013 : Geodis Wilson, directeur financier de la division Projets industriels.

* 2005-2008 : Geodis (groupe SNCF), différents postes financiers.

* 1998-2005 : Début de carrière chez AT Kearney comme senior manager.

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Quels recruteurs en Assurance ? Découvrez COFACE avec Arnaud Ramir, un chargé de clientèle Assurance – Crédit.

« Points forts de l’entreprise : Sa notoriété tout d’abord. »


Ma mission à Coface :

J’étais gestionnaire de compte en binôme avec un autre gestionnaire de compte expérimenté. Nous nous partagions le même portefeuille. Cela me permettait ainsi de pouvoir continuer mon cursus scolaire en alternance qui faisait que je passais une moitié de semaine à Coface, et l’autre moitié en cours.

Outre la gestion de portefeuille ordinaire où il faut répondre aux questions contractuelles de l’assuré ou de son courtier, j’ai tout particulièrement travaillé sur les renouvellements de police. C’est-à-dire que je devais étudier la rentabilité de la police pour l’assureur-crédit en tenant compte des sinistres déclarés et aux possibilités de récupérations par la cellule recouvrement de Coface. Ces dossiers en renouvellement étaient ensuite débattus en comité et je devais défendre la position que je voulais faire appliquer à mes dossiers :

– statu quo sur les conditions salariales pour les polices ayant un taux de rentabilité dans la norme

– hausse de taux sur la prime d’assurance pour les polices peu rentables du fait d’une forte sinistralité

– baisse de taux sur la prime d’assurance ou mise en place d’une participation bénéficiaire (sur la prime en cas de faible niveau de sinistre déclaré) pour les polices sans sinistre

Le bilan de ces années Coface : Très bon. J’ai pu découvrir le milieu de l’assurance-crédit et me faire une expérience significative dans ce domaine qui m’a permis de rebondir dans une autre compagnie de ce milieu une fois le diplôme obtenu.

Compétences développées :

Essentiellement la maîtrise des paramètres d’un contrat d’assurance-crédit, que ce soit au niveau de l’arbitrage, du recouvrement, du calcul de prime, du calcul des frais et bien sûr la classique relation commerciale avec des interlocuteurs réguliers que sont les courtiers.

Points forts de l’entreprise :

Sa notoriété tout d’abord. La Coface est reconnue comme l’un des assureurs-crédit majeurs du secteur et le seul français. De plus l’Etat français travaille avec la Coface au niveau de l’aide à l’implantation à l’étranger des PME françaises, ce qui renforce un peu plus sa place de compagnie participant au développement commercial français.

En se recentrant sur le domaine de l’assurance-crédit pur, la Coface est la compagnie numéro un au niveau de l’information financière, ce qui lui permet ainsi d’avoir une vision sur la santé financière très précise de n’importe quelles compagnies dans le monde. Cette donnée est donc essentielle lorsqu’il s’agit d’accorder une couverture sur un débiteur à un assuré.

Ce que j’ai aimé : Rien de très original, c’est surtout l’échange que j’ai apprécié, que cela soit en externe (communication avec les assurés ou leur courtier) ou bien en interne (secteur arbitrage, secteur recouvrement, …). J’ai également aimé la liberté qui m’était accordé. J’étais certes encadré à mes débuts par un binôme qui m’a enseigné le travail de gestionnaire de compte, mais cette période de formation n’a duré que quelques temps et j’étais ensuite assez libre de gérer le portefeuille de la façon dont je le souhaitais.

+ d’avis sur Coface

« Le MSA2 Finance Banque a pour objectif de former les étudiants à un des métiers de la banque, du crédit ou de la finance. », Noël Plat, Directeur du MSA2 Finance Banque, ESM-A de Marne la Vallée.

Est-ce que vous pouvez nous présenter le MSA2 Finance Banque de l’ESM-A de Marne la Vallée ?

L’Ecole Supérieure de Management en Alternance – ESM-A – de Marne la Vallée, est une école du groupe HEMA, c’est un établissement d’enseignement supérieur privé créé en 1987, toutes les formations se font en alternance depuis 1993. 800 étudiants sont inscrits chaque année dans les différentes formations des écoles du groupe HEMA, il y a 6.000 anciens étudiants titulaires d’un diplôme délivré par les écoles du groupe HEMA.

Le Master Spécialisé en Alternance 2 ème année – MSA2 « Finance Banque » de l’ESM-A a été créé en 2001 dans le cadre de la diversification de l’offre de formations de l’école et pour répondre à un besoin des étudiants et des entreprises. L’ESM-A propose ainsi aux étudiants et aux entreprises une gamme cohérente de formations dans le domaine de la gestion et de la finance avec trois MSA2 : « Finance Banque », « Contrôle de Gestion et Pilotage des Organisations » et « Audit et Conseil ».


Combien avez-vous de promotions ?

En décembre 2013 les étudiants de la douzième promotion du MSA2 Finance Banque de l’ESM-A sortiront de l’école.

Quel est l’objectif de la formation ?

Le MSA2 Finance Banque a pour objectif de former les étudiants à un des métiers de la banque, du crédit ou de la finance. Les connaissances acquises pendant les cours et les expériences apportées par le stage en entreprise donnent aux étudiants les compétences qui leur permettent de choisir entre différents métiers ou fonctions : chargé de clientèle entreprise, gestionnaire de crédits, gestionnaire de risques, trésorier d’entreprise, crédit manager, chargé d’études de solvabilité, contrôleur de gestion des opérations financières en entreprise ou contrôleur de gestion en banque ou dans un établissement de crédit, trésorier d’entreprise.

Les étudiants peuvent également s’orienter vers d’autres activités : ingénierie financière, financement de projets et montage de plans de financement, conception et vente de produits financiers, gestion de portefeuille, valorisation d’OPCVM, conseil en fusions et acquisitions.

Quels sont les points forts du programme ?

Les points forts et les spécificités du programme du MSA2 Finance Banque sont les suivants :

 La formation se fait exclusivement en alternance, elle se déroule sur une durée de 14 mois, ce qui permet aux diplômés à la recherche d’un premier emploi de revendiquer une année d’expérience et de ne plus être classés parmi les débutants sans expérience.

 Les intervenants sont majoritairement des professionnels qui enrichissent leur cours avec leur expérience professionnelle.

 Le rythme hebdomadaire de l’alternance, deux jours à l’école suivis de trois jours en entreprise, permet aux étudiants d’être dans un continuum régulier entre les cours à l’école et la pratique professionnelle en entreprise, à l’école ils n’oublient pas l’entreprise, en entreprise ils n’oublient pas l’école

 L’école a décidé de ne pas enfermer les étudiants dans une spécialisation afin qu’ils puissent présenter à la sortie de l’école une palette de compétences aussi large que possible et optimiser ainsi leurs chances de trouver un premier emploi, les 450 heures de cours sont réparties dans 4 domaines :

• Environnement des activités financières

• Finance d’entreprise

• Finance de marché

• Fusions acquisitions


Quels sont les profils des étudiants ?

Les candidats qui veulent intégrer le MSA2 Finance Banque de l’ESM-A doivent justifier de 4 années de formation après le bac, ce critère est incontournable. En outre :

 Un parcours académique avec une dominante en gestion et en finance est recommandé mais n’est pas indispensable.

 Avoir fait des stages d’une durée significative en banque, en assurance ou en entreprise est un atout supplémentaire, les candidats peuvent présenter des attestations de stage et des lettres de recommandation des entreprises.

 L’école accueille majoritairement dans le MSA2 Finance Banque des étudiants qui viennent d’un master 1 universitaire ou d’une formation d’un niveau équivalent dans une école de management. Un dossier de candidature étayé par des relevés de notes honorables et des lettres de recommandations de professeurs qui connaissent le candidat sera pris en considération.

 L’école accueille également dans le MSA2 Finance Banque des étudiants avec un parcours en droit, en économie, en mathématiques, en informatique, ou des étudiants diplômés d’écoles d’ingénieurs, sachant qu’ils devront s’adapter aux enseignements en gestion et en finance qu’ils découvriront en intégrant la formation. Des cours de révisions et de mise à niveau sont organisés dès le début de la formation.

 Une bonne connaissance des différents métiers de la finance associée à un projet professionnel clairement défini sont utiles pour rechercher de manière efficace une entreprise d’accueil pour un stage de longue durée, la formation dure 14 mois.


Comment est composé le corps enseignants ?

Le corps enseignant.

Le témoignage d’expérience est plus convaincant qu’un exposé théorique et les pratiques professionnelles doivent occuper dans les cours la même place que les concepts. C’est pourquoi le corps enseignant du MSA2 Finance Banque est majoritairement constitué par des intervenants qui ont un vécu en entreprise : managers, professionnels, dirigeants, consultants.

Un diplôme d’un niveau au moins équivalent à cinq années de formation après le bac est requis pour enseigner dans le master, une expérience réussie de plusieurs années dans un poste de manager en entreprise est demandée. Avoir déjà animé des formations devant des professionnels ou enseigné devant des étudiants est un critère important de sélection des enseignants.

La mission des enseignants est d’apporter aux étudiants les connaissances et les compétences nécessaires à l’exercice du métier qu’ils veulent faire.

Quelles sont vos relations avec les entreprises ?

L’ESM-A a des relations régulières avec les entreprises. Dans le cadre de l’alternance des professeurs de l’école visitent les tuteurs dans les entreprises qui accueillent les étudiants en alternance. Des forums sont régulièrement organisés dans les locaux de l’école, ils permettent aux entreprises de se présenter, de proposer des missions en alternance et de sélectionner des étudiants.

Des entreprises ont l’habitude d’accueillir chaque année des étudiants de l’école en alternance. Un service de l’école est dédié aux relations avec les entreprises afin de les assister dans leur présenter des candidats pour des missions en alternance et d’aider les étudiants dans leur recherche d’une entreprise d’accueil.


Que deviennent vos anciens ? Est-ce que vous avez des exemples ?

Les diplômés du MSA2 Finance Banque sont recrutés au niveau cadre dans des établissements financiers ou des entreprises, ils se voient confier des missions qui portent par exemple sur :

 La mise en conformité avec les recommandations du Comité de Bâle.

 La cartographie des risques et mise en œuvre du contrôle interne.

 La lutte contre le blanchiment et la fraude.

 La valorisation d’OPCVM.

 Des études de rentabilité de placements.

 Le financement de projets.

 La conception et le développement de nouveaux produits financiers.

 Des études de solvabilité et le crédit management.

 La préparation des dossiers présentés au comité des risques.

 Gestion de trésorerie.

Est-ce que votre formation est accessible également en formation continue ?

L’école accueille chaque année en formation continue des salariés d’entreprises, des professionnels et des demandeurs d’emploi qui cherchent une reconversion ou une mise à niveau de leurs connaissances et de leurs compétences, ils sont intégrés dans les différents MSA2 avec les étudiants en alternance, ils doivent comme les étudiants être en stage ou en entreprise pendant la formation.

Ils sont soumis aux mêmes conditions que les étudiants pour l’obtention du diplôme : présence obligatoire aux cours et en entreprise, moyenne minimum aux examens et aux épreuves de synthèse : mémoire, grand oral.


Comment procédez-vous pour faire évoluer votre programme ?

Un conseil de perfectionnement composé de professeurs et de professionnels permet de faire évoluer le programme de la formation. Des relations en tête à tête avec des professionnels permettent d’échanger sur les besoins des entreprises et d’adapter en conséquence le programme.


Noël Plat diplômé de l’ESC Bordeaux est directeur du MSA2 « Finance Banque » de l’ESM-A – Ecole Supérieure de Management en Alternance de Marne la Vallée. Un parcours en entreprises lui a permis d’exercer des fonctions de management dans le contrôle de gestion, la trésorerie et l’audit interne, dans le pétrole, les travaux publics, la distribution (matériel électrique) et l’industrie (électro chimie), il s’est ensuite consacré à des activités de conseil et de formation dans un institut professionnel spécialisé et dans des universités (IAE de Paris, Paris 5 René Descartes) et des écoles de management en gestion des risques, en méthode et outils d’audit et en contrôle de gestion. Noël Plat dirige aussi les MSA2 de l’ESM-A Contrôle de Gestion et Pilotage des Organisations et Audit et Conseil.

Les nominations de la semaine en banque, finance, assurance.

Allianz Real Estate (groupe Allianz SE) : Head of european real estate finance

Monsieur Roland Fuchs est nommé head of european real estate finance d’Allianz Real Estate (groupe Allianz SE), à compter d’octobre 2013. Il est sous la responsabilité directe de Monsieur Olivier Piani, président.

Il est ainsi chargé de renforcer la position d’Allianz Real Estate dans le secteur du financement immobilier, en étroite collaboration avec les entités opérationnelles d’Allianz Real Estate en France, en Italie, en Allemagne et dans d’autres marchés clés d’Europe. Il devient membre du comité exécutif de la branche immobilière du groupe d’assurances.

Roland Fuchs, 51 ans, master d’économie de l’université de Köln (Allemagne), a réalisé le parcours suivant :

* 2008-2013 : Helaba France, directeur du pôle Financement immobilier France.

* 2000-2008 : Westdeutsche Immobilienbank AG, notamment responsable de l’analyse crédit pour l’ensemble des activités internationales et les activités de financement immobilier pour l’Europe continentale.

* 1993-2000 : DSL Bank, directeur du pôle Financements immobiliers internationaux.

Air France-KLM : Directeur général adjoint en charge des finances

Monsieur Pierre-François Riolacci est nommé directeur général adjoint d’Air France-KLM en charge des finances, à compter du mois de janvier 2014, en remplacement de Monsieur Philippe Calavia. Il est sous la responsabilité directe de Monsieur Alexandre de Juniac, président-directeur général.

Monsieur Philippe Calavia fera valoir prochainement ses droits à la retraite.

Pierre-François Riolacci, 47 ans, IEP Paris (1988), a réalisé le parcours suivant :

* 2010-2013 : Veolia Environnement, directeur général adjoint en charge des finances, membre du comité exécutif.

* 2007-2010 : Veolia Environnement, directeur des services financiers.

* 2003-2007 : Veolia Environnement, directeur du contrôle et des synergies au sein de la direction financière.

* 2000-2002 : Veolia Environnement, chargé de mission auprès du directeur général adjoint des finances.

* 1999-2000 : Elf, adjoint au directeur de la communication financière.

* 1998-1999 : Elf Exploration Production, contrôleur financier pour les zones Orient, CEI et Amérique latine.

* 1995-1998 : Elf Congo, contrôleur financier.

* 1991-1995 : Début de carrière chez Elf Aquitaine à la direction financements trésorerie.

EY : Associé Audit (Assurance)

Monsieur Vincent Coste est coopté associé Audit (Assurance) de EY, à ce poste depuis septembre 2013. Il effectue des missions de commissariat aux comptes (clients cotés et internationaux), d’assistance à l’audit et de conseil pour des grands comptes dans les secteurs Transportation et Power & Utilities.

Son expérience internationale est significative (acquisitions, cessions, financement de projets), notamment au Royaume-Uni et en Allemagne.

Vincent Coste, 35 ans, expert-comptable, Reims Management School (2001), a réalisé le parcours suivant :

* 2003-2013 : EY (ex-Ernst & Young), senior manager.

* 1999-2003 : Arthur Andersen (qui s’est rapproché de Ernst & Young en 2002), manager.

Foncia : Directeur du contrôle de gestion

Monsieur Antoine Viry est nommé directeur du contrôle de gestion de Foncia, à ce poste depuis juillet 2013. Il est sous la responsabilité directe de Monsieur Nicolas Chandou, directeur administratif et financier.

Il est ainsi en charge de l’élaboration des reportings, de l’analyse de la performance financière, du pilotage du processus budgétaire et du management d’une équipe de contrôleurs, au siège, en région et dans les filiales du groupe.

Antoine Viry, 35 ans, Audencia Nantes (2002), a réalisé le parcours suivant :

* 2006-2013 : KPMG, senior manager Transaction Services.

* 2002-2006 : KPMG, auditeur financier senior.

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Quel métier en banque de réseau ? Découvrez le métier de Directeur d’agence avec Sylvain Papajak, Directeur d’agence multimarché, Caisse d’Epargne Nord France.

« Le directeur d’agence est le garant de l’activité de son agence et de ses résultats. »

Pouvez vous nous présenter votre carrière en quelques mots ?

En 1999, à l’issue de mes études, j’ai intégré la Caisse d’Epargne en tant que Conseiller Commercial sur le marché des particuliers.

Mon travail se partageait entre l’accueil des clients au guichet et la réception en rendez-vous.

En 2001, je rejoins le marché des professionnels en tant que Chargé de Clientèle.

Mes principales missions étaient gérer un portefeuille de 160 clients professionnels (artisans, commerçants, professions libérales), de le développer et d’en maîtriser le risque, avec la double relation particuliers / professionnels.

En 2006, j’évolue sur ce marché des professionnels en tant que Chargé de Développement.

Mes objectifs étaient doubles :

Tisser un lien de prescription avec les apporteurs d’affaires (cabinets de cessions de fonds de commerce, chambres consulaires, experts comptables,…)

Former sur le terrain les collègues au marché des professionnels (chargés de clientèle, directeurs d’agence)

J’avais pour objectif de devenir manager, ce qui se réalisa fin 2007, en devenant Directeur de Centre Expert, au sein d’un groupe commercial de 10 agences.

Mes missions étaient d’animer, de piloter et de développer les synergies d’une unité de 7 experts sur les marchés spécialisés de la Banque de Détail (Chargés de Clientèle Professionnels, Gestionnaires de Patrimoine, Prescription Immobilière, Tutelles Professionnelles)

Mi 2009, j’intègre en tant que manager ma première agence (marché particuliers et pro) avec 7 collaborateurs.

Fin 2012, j’évolue sur un poste de manager d’une agence multi marchés avec 10 collaborateurs.

Quelle a été votre formation ?

A l’issue d’un bac scientifique, je n’étais pas réellement fixé sur ce que je souhaitais réaliser. Je me suis alors dirigé vers un DUT Gestion des Entreprises et Administrations qui me permettait d’appréhender différents domaines tels que la comptabilité, le droit, l’économie, la fiscalité.

Le DUT obtenu, j’ai souhaité dans la continuité consolider ses acquis en intégrant une MSTCF (Maîtrise des Sciences et Techniques Comptables et Financières)

En parallèle de ses cursus, j’ai réalisé des stages à la fois en cabinet d’expertise comptable, dans des administrations et en banque. Je travaillais également en agences bancaires lors des périodes de vacances. C’est ce qui m’a permis de révéler que le domaine de la banque me plaisait beaucoup.

J’ai ensuite intégré un 3ème cycle en Gestion et Droit, que je n’ai d’ailleurs pas achevé car je disposais de propositions pour être embauché en Caisse d’Epargne.

Est-ce que vous pouvez nous présenter votre métier ?

Je présenterai mon métier en six points :

Piloter et accompagner une équipe de commerciaux :

Le cœur de cette activité est de motiver et de générer de la cohésion dans l’équipe, de réaliser les diagnostics individuels afin d’assurer la montée en compétence de chacun.

Au quotidien, j’anime des réunions, je pilote l’atteinte des référentiels d’activité par chacun des commerciaux, et bien évidemment les résultats qui en découlent.

Ces constats me permettent d’orienter l’activité en fonction de la production nécessaire.

Gérer et développer un portefeuille de clients :

Au même titre que ses collaborateurs, le directeur d’agence gère et développe un portefeuille de clients dont le volume diffère en fonction de la taille de l’agence. Son activité est principalement orientée sur les professionnels.

Il est important pour moi de continuer à recevoir des clients et apporter ma « pierre » à l’atteinte des objectifs.

Piloter l’efficacité et organiser l’activité commerciale :

Pour atteindre avec sérénité les objectifs de son agence, le directeur d’agence doit veiller à l’atteinte du référentiel de nombre de rendez vous pour chaque collaborateur.

Il doit être vigilant sur la qualité des rendez-vous et sur leur diversité (épargne, crédit, bancarisation, IARD)

Le directeur d’agence doit ainsi organiser chaque semaine avec ses collaborateurs des temps d’échanges sur l’avancée du plan de contacts clients.

Piloter le Plan de Satisfaction Clients :

Les objectifs d’une agence sont quantitatifs mais aussi qualitatifs.

Un commercial doit être réactif et s’occuper de TOUS ses clients. Ceux-ci sont exigeants et les suivre au plus près de leurs attentes et leurs besoins permet souvent de faire la différence, dans un contexte concurrentiel fort.

Gérer les risques :

Les normes du métier en termes de risques doivent être respectées.

Les mouvements débiteurs doivent être traités quotidiennement.

Le directeur d’agence doit s’investir personnellement dans l’accompagnement de ses commerciaux dans le traitement des situations difficiles, doit s’assurer de la conformité des opérations réalisées dans son point de vente, effectuer les contrôles de 1er niveau et exercer sa délégation sur les dossiers de crédit.

Représenter son enseigne localement :

Pour optimiser les relations entre l’enseigne pour laquelle il travaille, les collectivités et le grand public, le directeur d’agence doit connaître les projets, les événements de la commune, et les transformer en opportunités commerciales.

Il est courant que les directeurs d’agence participent aux réunions des unions commerciales ou à des clubs d’investissement.

Quels sont les principaux attraits du métier ?

J’en citerai deux.

Celui que je mets immédiatement en tête est la relation humaine avec les collaborateurs.

J’entends souvent dire que le directeur d’agence est le garant de l’activité de son agence et de ses résultats. C’est vrai.

Mais à mon sens, il est aussi le garant de la progression des compétences de ses collaborateurs tant sur le savoir faire (technicité méthodes de vente, connaissance produits) que sur le savoir être (comportement commercial, investissement au sein de l’équipe, communication, participation à la vie de l’agence)

Il a un rôle prépondérant afin, pour chacun, de faire émerger des axes de progrès et y amener des solutions. Il doit s’occuper de TOUS les collaborateurs.

Ce qui fait la richesse de cette facette du métier est que chaque individu au sein de l’agence est différent, et qu’en conséquence, il n’y a pas de solution toute faite ou pré établie à la montée en compétences. Nous sommes véritablement sur des plans de progrès individuels « sur mesure ».

La plus belle récompense pour le directeur d’agence, au final, c’est de voir le collaborateur s’épanouir dans son environnement, progresser et évoluer vers d’autres métiers.

Dans un second temps, ce qui m’attire est l’atteinte de la performance commerciale.

La banque est une entreprise commerciale. Avoir de bons résultats, pour le directeur d’agence, est bien évidemment une satisfaction.

Mais ce qui est le plus important, dans ces moments, c’est de réunir l’équipe et de prendre le recul nécessaire afin d’analyser ce qui a permis d’atteindre les objectifs. C’est ce que j’appelle le chemin parcouru.

Est-ce que vous voyez des points négatifs ?

La pression est souvent associée comme point négatif dans les métiers de la banque. Pour moi, ce n’en est pas un.

Elle est légitime dans toute entreprise commerciale.

Tout le travail du directeur d’agence va être de la transformer en adrénaline positive, en donnant du sens et de la visibilité aux actions mises en place.

Dans ce contexte, le curseur d’exigence du directeur d’agence devra être bien positionné, en fixant un cadre à chaque métier tout en laissant l’autonomie suffisante, et en préservant un cadre de vie et d’épanouissement.

Comme vous le savez, chacun passe parfois autant de temps au travail qu’à la maison, il est donc important que chacun y mette du sien pour que tout se passe bien.

Quelles sont selon vous les qualités requises pour réussir dans ce métier ?

Je ne reviendrai sur les thèmes de sens du résultat et de développement des compétences des collaborateurs déjà abordés.

Le directeur d’agence doit savoir organiser et coordonner.

Comme nous l’avons vu, les facettes du métier sont nombreuses : animation et pilotage de l’activité, des résultats et du risque, accompagnements, réception clientèle,…

Le manager doit planifier de manière précise dans l’agenda le champ de ces actions en sachant déterminer et gérer les priorités, tant au niveau de son activité que de celle de ses collaborateurs.

Il doit savoir communiquer, écouter et faire participer.

En toute circonstance, le manager doit communiquer et faire communiquer.

Il est fondamental qu’il donne du sens à chacune des actions mises en place.Il doit expliquer les choix stratégiques que décide l’entreprise.

En effet, il n’y a rien de pire pour un commercial de ne pas avoir de ligne directrice ou de ne pas savoir pourquoi il vend tel ou tel produit.

En parallèle de cela, il est important de faire travailler les collaborateurs entre eux, de les faire participer aux plans d’actions d’agences. J’ai par habitude de dire qu’il y en a plus dans dix têtes que dans une.

Je mets en place régulièrement des ateliers où les collaborateurs travaillent sur des thèmes produits ou sur des réflexions à mener sur la stratégie à mettre en place pour réaliser un objectif. Ils se sentent ainsi impliqués, et ce sont de belles occasions pour que tous les collaborateurs s’expriment.

En résumé, un directeur d’agence qui se cantonne à un rôle de définir le combien n’est pas dans son métier, il doit avant toute chose travailler sur le comment.

Le directeur d’agence doit avoir un esprit de synthèse et d’analyse.

Dans un quotidien riche en informations descendantes externes ou internes, il doit faire émerger rapidement les principaux éléments d’un problème ou d’une situation, pour avancer dans le bon sens mais aussi pour en tenir des comptes rendus synthétisés à l’équipe.

Il doit être exemplaire.

Il doit bien évidement en premier lieu respecter les valeurs que souhaitent véhiculer l’entreprise et être le garant que les collaborateurs respectent la charte des engagements vis-à-vis de ses clients.

Pour terminer, il doit avoir une forte capacité de persuasion et de mobilisation afin que chacun adhère à son discours et aux choix opérés.

Est-ce que vous avez un conseil à donner aux candidats intéressés par ce type de carrière ?

Il est important pour moi dans la banque qu’un jeune diplômé démarre par un poste de guichetier. Il n’y a là rien d’infamant.

Je peux vous parler de mon cas.

Après mes études, j’étais motivé pour rejoindre le domaine bancaire. J’avais l’ambition d’évoluer directement vers un poste de chargé de clientèle professionnels.

La DRH m’a conseillé de faire un passage par la case guichet. Ceci a généré chez moi un peu de frustration au départ même si cette étape a été courte.

Ce n’est seulement que quelques années après que j’ai réalisé que ce passage a été fondamental. En effet, le guichet, au-delà du fait qu’il représente la vitrine de l’agence, est l’école de la banque. Et il n’y en a pas de meilleure.

Vous y êtes confrontés à tout type de clients et à des situations très diverses parfois complexes. Ceci vous servira beaucoup pour la suite.

Avant d’évoluer vers un poste de directeur d’agence, vous devez maîtriser la double compétence marché particuliers / professionnels.

Tout réseau bancaire privilégiera un candidat qui maîtrise les deux marchés et qui les a pratiqués.

Si vous n’avez pas la compétence de par vos études, vous avez la possibilité d’intégrer des cursus diplômants (en alternance par exemple).

Et pour finir, faites preuve d’authenticité et d’humilité.

+ d’avis sur le métier de Directeur d’Agence

« Le master offre aux étudiants une formation solide leur permettant une insertion professionnelle rapide », Vincent Rivoirard, Coresponsable du Master 2 Ingéniérie Statistique et Financière, Université Paris Dauphine.

Est-ce que vous pouvez nous présenter le Master ISF ?

Le Master Ingénierie Statistique et Financière (ISF) a été créé en 1994. Il prépare à des emplois de niveau bac + 5 nécessitant l’utilisation des mathématiques appliquées en lien avec les besoins des entreprises en statistique et en finance.

Il offre aux étudiants une formation solide leur permettant une insertion professionnelle rapide dans les métiers de l’industrie des services.
La spécialité ISF se décline en deux voies : voie classique et voie par l’apprentissage.

Les éléments de cette fiche ne concernent que la voie « classique ».

La formation offre deux parcours : « parcours Statistique » et « parcours Finance ».

Combien avez vous de promotions ?

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Quel est l’objectif de la formation ?

La formation a pour objectif de former des cadres d’entreprise :

– possédant une bonne maîtrise des méthodes quantitatives, de la modélisation mathématique et statistique et de l’outil informatique,

– capables d’analyser un problème, de proposer et conduire à son terme une solution, en prenant en charge le traitement numérique et informatique,

– formés aux techniques spécifiques de l’industrie des services (études économiques, marketing, gestion de la production, contrôle de la qualité, finance, assurance, etc…).

Une mention particulière concerne la réglementation bancaire ou assurancielle relié aux normes Bâle 2 ou 3 et Solvency II. Plusieurs professionnels (venant des grandes banques de la place, des sociétés d’assurance et aussi du pôle réglementation bancaire de la Banque de France) assurent des compétences très en phase avec le marché de l’emploi dans ces domaines.

Quels sont les points forts du programme ?

L’accent est mis sur la formation professionnelle avec le concours de praticiens issus du monde de l’entreprise, et sur la connaissance de l’entreprise par l’intermédiaire de stages. Les étudiants diplômés de la formation possèdent une double compétence et finance et en statistique. Ils sont également sensibilisés aux problématiques de l’assurance.


Quels sont les profils des étudiants ?

La formation s’adresse aux titulaires d’un diplôme de master 1, aux diplômés d’écoles d’ingénieurs ainsi qu’aux cadres d’entreprises recherchant à l’Université une formation approfondie en méthodes quantitatives. Environ 60% des étudiants sont issus du M1 MMD-MA du département MIDO de l’Université Paris Dauphine, certains ayant effectué une année de césure.

Les 40% d’admissions extérieures proviennent d’écoles d’ingénieur (EISTI, EPF, ISFA,…), d’universités françaises du bassin parisien (Paris 1, Paris Diderot, Paris Ouest Nanterre, Paris Descartes, Pierre et Marie Curie, Cergy-Pontoise,…). Plus marginalement, certains étudiants recrutés sont originaires d’universités de villes de province (Toulouse, Lille, Montpellier,…) ou de l’étranger (essentiellement Afrique et Asie).


Comment est composé le corps enseignants ?

Le corps enseignant est composé à part égale environ par des enseignants de l’Université Paris Dauphine et par des intervenants professionnels. Ces derniers travaillent pour la plupart dans les banques ou les sociétés d’assurance.

Quelles sont vos relations avec les entreprises ?

Les relations avec le monde des entreprises sont très fortes. Elles se déclinent selon plusieurs axes :

– La moitié du corps enseignant est issue du monde professionnel

– Les étudiants effectuent un stage de 12 semaines minimum (en pratique, tous les étudiants effectuent un stage de 6 mois). Le tuteur de stage en entreprise est invité à la soutenance de stage, ce qui permet des discussions nourries avec les responsables de la formation.

Que deviennent vos anciens ? Est-ce que vous avez des exemples ?

Les étudiants issus de la formation travaillent dans les banques, sociétés de gestion et conseil, et plus généralement dans l’industrie des services, le cas échéant dans des sociétés d’assurance en tant que statisticien par exemple.

Ces dernières années, les taux d’insertion sont très satisfaisants (supérieurs à 96%). En particulier tous les étudiants spécialisés en statistique ont peu de difficultés à trouver un emploi en région parisienne. On peut également noter que beaucoup d’étudiants trouvent leur premier emploi dans la structure qui les a recrutés comme stagiaires.

Environ 85% des étudiants salariés ont un emploi en forte adéquation à la formation, tous ont le statut de cadre dans leur entreprise.

Quelques exemples de métiers exercés par les anciens étudiants de la formation : chargé d’études statistiques, ingénieur statistique, chargé d’études marketing, consultant scoring, analyste financier, ingénieur financier, gestion ou contrôleur des risques financiers, trader, auditeur, ingénieur en modélisation financière, gérant de portefeuille, gestion actif/passif, ingénieur actuaire, etc…

Est-ce que votre formation est accessible également en formation continue ?

Non.


Comment procédez vous pour faire évoluer votre programme ?

– En prenant en considération d’une part l’évolution des métiers de la finance, de la statistique et de l’assurance et d’autre part l’évolution des secteurs porteurs du marché du travail

– En prenant en considération l’avis des étudiants des promotions passées et actuelles

– En prenant en considération les recommandations et conseils des intervenants universitaires et professionnels.


Vincent Rivoirard est professeur à l’Université Paris Dauphine depuis 2010 au sein du CEREMADE et membre de l’équipe probabilités et statistique. Il est coresponsable du Master 2 Ingénierie Statistique et Financière. Ses travaux de recherche en statistique portent sur l’utilisation des techniques non-paramétriques fréquentistes et bayésiennes en particulier pour les problèmes d’estimation en grandes dimensions. Il était auparavant maître de conférences à l’Université Paris Sud Orsay.

Quelle formation en Contrôle de gestion et audit ? Découvrez le Master CAC de l’Université Aix Marseille avec Sylvain ALFARA, Promotion 2013.

« Les cours étaient riches et variés. », Sylvain ALFARA, Promotion 2013, Comptable fournisseur Chargé de mettre en place le Contrôle de Gestion

Qu’avez-vous pensé des cours ?

Les cours étaient riches et variés. Le contrôle de gestion sous ses multiples aspects (social – calcul des coûts, …), l’analyse financière et l’audit, aussi bien dans le secteur privé (commissaires aux comptes) que dans celui du public sont les matières principales de cette formation qu’est le master 2 C.A.C (Conseil-Audit-Contrôle de gestion).

Cependant, il y avait d’autres matières toutes aussi intéressantes (stratégie des entreprises, développement de produit, …) en lien qui permet de pouvoir appréhender toutes les facettes possibles qui peuvent survenir lors de la vie d’un contrôleur de gestion.

En parallèle, il y a une formation « facultative » qui ne l’est pas vraiment, le diplôme universitaire « Advanced Cost Management » qui est plus qu’utile, car cette formation permet de voir en pratique, les méthodes et les techniques de travaux qui nous seront utiles lors de notre carrière professionnelle, telle que la programmation de Macro sur VBA, un outil Excel et bien d’autres choses encore.

De plus, la mise en place d’une simulation appelée jeu d’entreprise, permettant de gérer une société fictive de A à Z, ainsi que le stage de fin d’études d’une période de 6 mois, nous donne l’occasion de mettre à profits nos pratiques et connaissances afin de se donner un avant-goût de ce que sera certainement la vie de la plupart des personnes qui sortiront de cette formation.

Comment évaluez-vous la qualité des intervenants ?

Sur ce point là, il y avait de tout. Tous nos intervenants étaient des professionnels, mais chacun avait sa propre façon d’inculquer ses connaissances aux étudiants, chacun avait sa propre pédagogie. Et comme dans toutes les formations, cela passe de l’intervenant génial, celui qui fait participer les étudiants pour les aider à comprendre ce qu’il explique, qui permet d’apprendre tout en s’amusant et auquel tous les étudiants restent accrochés afin de ne pas rater une miette de son programme, à l’intervenant qui n’arrive pas à se faire comprendre, celui qui ne cherche pas à faire comprendre et pour lequel on n’a pas tellement envie de s’intéresser.

Personnellement, au cours de cette formation, je n’ai eu que 2 « mauvais » intervenants si je puis dire, mais bien que leur cours fût dur à suivre, si on s’accroche vraiment, leur enseignement et bénéfique et valent le coup. Mais il y a eu beaucoup plus d’intervenants qui permettaient de nous faire participer et nous donnaient l’envie d’apprendre que l’inverse.

Est-ce que vous pensez que cette formation vous a bien préparée à votre métier actuel ?

Sur ce point, je ne peux qu’acquiescer à cette question. Tout d’abord, contrairement à la plupart des autres formations de mêmes niveaux (Master 2), notre emploi du temps était très chargé. Rares furent les moments libres que nous avions, que ce soit pour réaliser des travaux de groupes, faire des recherches à la bibliothèque universitaire ou bien pour s’amuser.

Ensuite car le fait d’avoir suivi 2 formations en même temps (théorie, via le Master 2 CAC, et pratique, via le diplôme « facultatif » ADVANCED MANAGEMENT COST) permet vraiment de montrer les multiples aspects et les outils que l’on est amené à utilisé dans le quotidien de notre travail. Certes, on ne voit pas l’intégralité de tout les outils que l’on utilise ensuite, mais ce que l’on voit est un très bonne base sur laquelle on peut s’appuyer pour développer ses connaissances et pratiques par la suite.

Il faut vraiment s’accrocher pour cette formation, car bien qu’on ait eu moins de temps libre, cela ne signifie pas que l’on avait moins de devoirs, de travaux à rendre et d’oral à préparer, au contraire. Il ne faut pas compter les heures et regarder l’horloge. Et c’est exactement ce qui se passe dans la vie professionnelle d’un contrôleur de gestion, il ne faut pas se contenter des heures « normales » de travail pour espérer réaliser tout ce que l’on a à faire.

Si l’on veut vraiment réussir à déployer les projets en temps et en heures avec les résultats efficaces, il ne faut pas mesurer ses efforts. Et pour passer de projets efficaces à efficients, c’est là même histoire.

+ d’avis sur le Master Comptabilité, finances, fiscalité et patrimoine Spécialité Contrôle, Audit, Conseil (CAC)

Les nominations de la semaine en banque, finance, assurance.

TF1 Production : Directeur administratif et financier

Monsieur Jean-Emmanuel Franque est nommé directeur administratif et financier de TF1 Production, à ce poste depuis août 2013.

Il est sous la responsabilité directe de Monsieur Frédéric Mercier, directeur général.

Jean-Emmanuel Franque, 39 ans, EM Lyon (1996), a réalisé le parcours suivant :

* 2008-2013 : Publications Metro France, directeur administratif et financier.

* 2003-2007 : Lagardère Active, contrôleur financier.

* 2000-2003 : Disney Hachette Edition, responsable administratif et financier.

* 1997-2000 : Début de carrière chez Arthur Andersen comme auditeur senior.

Crédit agricole Nord de France : Responsable des affaires spéciales

Monsieur Grégoire Bénet est nommé responsable des affaires spéciales du Crédit agricole Nord de France, à ce poste depuis juin 2013.

Il est sous la responsabilité directe de Monsieur Michel Faroux, directeur général adjoint. Il succède à Madame Cécile Stachowicz.

Il est ainsi en charge du suivi des dossiers Affaires spéciales de la Caisse Nord de France.

Grégoire Bénet, 34 ans, mastère spécialisé ingénierie financière et fiscale de l’ESCP Europe (2010), DEA d’économie de l’environnement et des ressources naturelles de l’université Paris-X Nanterre (2002), ingénieur agronome INA P-G (2002), a réalisé le parcours suivant :

* 2012-2013 : Dexia, analyste, puis head of the Infrastructure group (Corporate and Project Finance) au département Risques et Agency.

* 2002-2010 : Début de carrière à différentes fonctions risques puis commerciales chez Crédit agricole Nord de France, Crédit coopératif et Dexia Crédit local.

Sogeti High Tech (groupe Capgemini) : Directeur administratif et financier

Monsieur Thomas Dillschneider est nommé directeur administratif et financier de Sogeti High Tech (groupe Capgemini), à ce poste depuis janvier 2013, en remplacement de Monsieur Gael Coenen.

Il est sous la responsabilité directe de Madame Dominique Lafond, directeur général de Sogeti High Tech.

Thomas Dillschneider occupait depuis 2011 le poste de head of corporate finance chez Sogeti.

Solucom : Responsable des opérations financières

Madame Nina Jaconelli est nommée responsable des opérations financières de Solucom, à ce poste depuis janvier 2013.

Elle est ainsi en charge du pilotage des opérations de croissance externe, de la production de l’information et de la communication financière, de la gestion de trésorerie, et du pilotage du contrôle interne.

Nina Jaconelli, 27 ans, DSCG (2011), ESCP Europe (2009), était depuis 2009 consultant en opérations financières et auditeur chez PricewaterhouseCoopers.

Camaïeu International : Directeur général adjoint Finances

Monsieur Axel Kessler est nommé directeur général adjoint Finances de Camaïeu International, à ce poste depuis avril 2013.

Il est ainsi en charge des finances, de l’informatique, de l’organisation, de l’immobilier et du développement international.

Axel Kessler, IEP Paris (1993), a réalisé le parcours suivant :

* 2005-2013 : Darty, deputy managing director finance & development.

* 2003-2005 : Carrefour, chief financial officer Europe.

* 2000-2003 : Carrefour, chief financial officer Amérique latine.

* 1994-2000 : Arthur Andersen, manager.


Louis Vuitton (groupe LVMH) : Directeur financier Espagne, Portugal et Maroc

Monsieur Christophe Arminjon est promu directeur financier Espagne, Portugal et Maroc de Louis Vuitton (groupe LVMH), à ce poste depuis juillet 2013.

Christophe Arminjon, Supélec (2001), a réalisé le parcours suivant :

* 2012-2013 : Louis Vuitton (à Milan), financial control manager pour la région Europe du Sud.

* 2010-2012 : Louis Vuitton (à Milan), contrôleur financier pour la région Europe du Sud.

* 2006-2009 : Louis Vuitton (à Paris), internal controller.

* 2003-2006 : Ernst & Young, senior financial auditor.

* 2001-2003 : Arthur Andersen, auditeur financier.

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Quel recruteur en banque de financement et d’investissement ? Découvrez la Banque de France avec le témoignage d’un analyste crédit.

« Ils savent reconnaître le travail accompli. »

Ma fonction lorsque j’étais à la banque de France était analyste crédit.

Je ne suis pas resté très longtemps à la banque de france (stage de 3 mois qui s’est prolongé en un job l’été pendant un mois), mais le bilan est excellent. Je recommande à tous les étudiants en finance d’entreprise ou en banque de demander à réaliser un stage chez eux.

La Banque de France m’a permis de développer mes compétences en analyste crédit, car ils m’ont fait confiance dès le début et m’ont laissé faire le même travail qu’un analyste crédit travaillant depuis 20 ans ou 25 ans dans l’entreprise.

Les points forts de cette entreprise sont :

– Ils allouent de vraies tâches à leurs stagiaires.

– Un savoir faire reconnu par toutes les banques (cotation des entreprises)

– Un personnel compétent et qui prend le temps d’expliquer dans le détail le travail à réaliser.

– Une vraie reconnaissance du travail accompli

J’ai particulièrement apprécié :

° l’ambiance de travail, car les autres analystes étaient très disponibles et répondaient volontiers et complètement à mes interrogations (ils prennent la peine de réexpliquer depuis le début si besoin !). Nous travaillons dans la bonne humeur (petits gâteaux, petites attentions des uns et des autres).

° La banque de France ne propose pas des stages « photocopies », mais des stages avec une vraie valeur ajoutée. Le stagiaire se sent donc valorisé. Au service économique, ils nous proposent de coter des entreprises, exactement de la même manière, avec les mêmes méthodes et les mêmes outils que les analystes confirmés de l’entreprise. Au service surendettement, les stagiaires traitent les dossiers de surendettement exactement comme un employé de l’entreprise le ferait !

° Le manager est présent si besoin et prend le temps d’expliquer. Ils savent reconnaître le travail accompli.

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BMW France : Directeur général et financier

Monsieur Stefan Hofer est promu directeur général et financier de BMW France, à ce poste depuis juin 2013, en remplacement de Monsieur Jonathan Townend.

Stefan Hofer, 44 ans, diplômé en économie de l’université de Vienne, a réalisé le parcours suivant :

* 2009-2013 : BMW Group, directeur financier et administratif Belux.

* 2001-2009 : BMW Group, consultant interne marketing et vente, puis différents postes financiers.

* 1995-2001 : Début de carrière comme consultant dans un cabinet de conseil à Vienne, notamment pour l’industrie, puis chez BSH (Bosch-Siemens Electroménager).

ESI Group : Directeur administratif et financier

Monsieur Laurent Bastian est nommé directeur administratif et financier d’ESI Group, à ce poste depuis juillet 2013, en remplacement de Monsieur Nanno Wams. Il est sous la responsabilité directe de Monsieur Alain Loriot de Rouvray, président-directeur général.

Laurent Bastian, 45 ans, ingénieur en génie civil de l’Ecole des Ponts (1995), DEA de mécanique-physique de l’ENS (1993), a réalisé le parcours suivant :

* 2009-2013 : Albioma (anciennement Séchilienne-Sidec), directeur du contrôle de gestion groupe.

* 2003-2009 : DCNS, plusieurs postes de management au sein du contrôle de gestion.

* 1997-2003 : Arthur Andersen, diverses fonctions en audit et en conseil.

* 1993-1997 : A commencé sa carrière professionnelle comme ingénieur civil chez Vinci.

Icade : Directeur financier adjoint

Monsieur Julien Goubault est nommé directeur financier adjoint d’Icade, à compter de septembre 2013. Il est sous la responsabilité directe de Madame Nathalie Palladitcheff, directeur financier. Il est ainsi en charge des financements, du corporate et des relations investisseurs.

Julien Goubault, 34 ans, IEP Paris, ENA, a réalisé le parcours suivant :

* 2010-2013 : Caisse des dépôts, responsable du secteur Immobilier, logement et tourisme au département Développement, filiales et participations.

* 2007-2010 : ONU (à New York), directeur adjoint de l’audit externe au sein du comité des commissaires aux comptes.

* 2005-2007 : A commencé sa carrière comme auditeur à la Cour des comptes.

Degrémont (groupe Suez Environnement) : Financial manager au sein de la business unit Afrique

Monsieur Didier Delbart est promu financial manager au sein de la business unit Afrique de Degrémont (groupe Suez Environnement), à ce poste depuis mai 2013.

Didier Delbart, DSCG de l’ICS (1997), a réalisé le parcours suivant :

* 2012-2013 : Degrémont Benelux (groupe Suez Environnement), chief financial officer.

* 2008-2012 : Degrémont, administrative & financial officer Eurasia business unit.

* 2004-2008 : SEA-invest, chief financial officer Africa.

* 2000-2004 : Constantin Associés (groupe Deloitte), senior auditor.

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