« Nous sommes très attachés à l’esprit entrepreneurial », Véronique Bréchet, Directeur recrutement, FIDUCIAL

Est-ce que vous pouvez nous présenter FIDUCIAL ?

Fiducial est un groupe spécialisé dans les services aux petites entreprises, professions libérales et artisans. Nous proposons à la fois des prestations comptables, juridiques, de conseil en gestion de patrimoine, des solutions informatiques et de fournitures de bureau. Nous sommes 6 300 collaborateurs en Europe présents en France, Belgique, Suisse et Espagne.

En France notre activité la plus importante est l’activité d’expertise comptable. Nous avons 580 agences et près de 4 000 collaborateurs. Chaque agence est gérée de façon très entrepreneuriale. Un Expert comptable – Directeur d’agence par exemple aura la responsabilité du développement commercial l’agence, du management de son équipe et de la supervision technique des dossiers de ses clients. Il est le garant de la bonne gestion financière et budgétaire son entité.

Quelles sont les grandes lignes de métiers qu’on trouve au sein de FIDUCIAL ?

Notre premier métier est l’Expertise comptable. Nous prenons en charge tous les aspects réglementaires et administratifs liés à l’activité de nos clients : la tenue des comptes, la révision comptable, l’établissement des déclarations fiscales et sociales, la réalisation des bulletins de paies, réalisation de tableaux de bord pour un meilleur suivi d’activité….L’idée est de simplifier la vie du chef d’entreprise et de l’aider dans sa prise de décision. Nos équipes, au-delà de la proximité géographique, développe une connaissance sectorielle de leurs clients et de leurs enjeux métiers.

Autre métier historique du groupe Fiducial, le Conseil juridique devenu Société d’avocats qui, au sein de FIDUCIAL SOFIRAL, regroupe 230 collaborateurs dont 100 avocats répartis dans 80 bureaux en France. Ils accompagnent le chef d’entreprise dans les différentes étapes de son développement, dans la structuration de son activité et le conseillent en restant au cœur de ses préoccupations.

Les missions en droit de l’entreprise, droit des sociétés, droit commercial et droit fiscal constituent le cœur de notre métier pour notre clientèle de sociétés de toutes tailles et dans tous les domaines d’activités, TPE, PME, groupe de sociétés, professions libérales. FIDUCIAL SOFIRAL a su développer une expertise dans des domaines complémentaires, le droit social, le droit patrimonial, le droit rural et le domaine judiciaire.

En complément des prestations comptables et juridiques, les Conseillers en gestion de patrimoine de FIDUCIAL CONSEIL s’impliquent aux côtés des dirigeants d’entreprise pour les aider à protéger leur entreprise et leur famille, à préparer leur retraite, à faire fructifier leur patrimoine, à organiser leur succession, à se développer et à progresser.

Editeur de logiciels métiers pour les TPE-PME, les artisans, les commerçants et les professions libérales, FIDUCIAL INFORMATIQUE développe, implémente et maintient des solutions applicatives clés en main pour ses 30 000 clients. Société en croissance, 17ème au Truffle, avec 460 personnes et plus de 25% de ses ressources consacrés à la R&D, FIDUCIAL INFORMATIQUE est un acteur incontournable en matière de conseil, d’équipement, de formation et d’assistance. Accélérateur de création de valeur pour ses clients, FIDUCIAL INFORMATIQUE met en œuvre des solutions métiers innovantes et adaptées (Saas, asp, mobilité…) pour permettre à ses clients d’optimiser leur gestion opérationnelle.

Avec près de 1 000 salariés, FIDUCIAL Office Solutions répond aux besoins de ses 50 000 clients en matière de fournitures de bureau, bureautique, mobilier de bureau et imprimés personnalisés. La spécificité des équipes de FIDUCIAL Office Solutions ? Être capable de commercialiser un large éventail de produits en développant une relation client suivie et qualitative. Structure solide, FIDUCIAL Office Solutions est un acteur de tout premier plan à la fois force de conseil, proche de ses clients et toujours à la pointe des évolutions technologiques liées à ses marchés.

Quels types de postes sont aujourd’hui à pourvoir ?

La diversité des métiers de Fiducial nous amènent à recruter des profils très variés. Les postes que nous offrons aux candidats de façon récurrente sont :

Sur l’expertise comptable nous recrutons des collaborateurs comptables, des chefs de groupes et des directeurs d’agence, des stagiaires experts comptables et des experts comptables.

Pour le cabinet d’avocats, nous recrutons des assistants juridiques, des juristes et des avocats.

Sur les métiers informatiques, nous recherchons des ingénieurs études et développement, des chefs de projets, des techniciens mais également des commerciaux terrains.

Enfin, pour notre activité fournitures de bureau, nous recrutons principalement des commerciaux terrains et des assistants commerciaux.

Est-ce que vous recherchez en priorité des jeunes diplômés ou des candidats expérimentés ? Et avec quel type de formation ?

Au-delà d’une formation initiale de Bac +2 à Bac +5, en lien avec le métier pour lequel nous recrutons, que vous soyez débutant ou expérimenté, FIDUCIAL recherche avant tout des personnalités.

Y-a t-il des aptitudes que vous recherchez tout particulièrement chez vos futurs collaborateurs ?

L’autonomie, le sens de l’engagement au service des clients et l’aisance relationnelle sont les garants de la réussite au sein des équipes dynamiques et conviviales de Fiducial.

Quelles sont vos perspectives de recrutement en 2012 ?

Nous avons recruté plus de 800 collaborateurs en 2011 sur l’ensemble de nos métiers tous types de contrats confondus. Les recrutements 2012 seront en légère progression.

Quels avantages y a-t-il à rejoindre FIDUCIAL ?

Le principal avantage pour les collaborateurs est d’appartenir à la fois à un réseau de proximité et de bénéficier des moyens d’un grand groupe. Nous gérons le back office de nos collaborateurs. Par exemple ils n’ont pas à gérer leur facturation qui est centralisée. L’appartenance à un groupe permet également d’offrir à nos collaborateurs des perspectives d’évolution de carrières et de mobilité géographique.

Les nominations de la semaine en banque, finance, assurance

« Rubrique réalisée en partenariat avec Nomination : 1er service d’informations et de veille sur les décideurs. »

Natixis : Responsable des marchés de capitaux au sein de la Banque de Financement et d’Investissement

Monsieur Luc François est nommé responsable des marchés de capitaux au sein de la Banque de Financement et d’Investissement de Natixis, à compter du mois de septembre 2012. Il est sous la responsabilité directe de Monsieur De Doan Tran, membre du comité de direction générale en charge de la banque de financement et d’investissement (BFI). Il devient également membre du comité exécutif.

Luc François, 49 ans, Ecole supérieure d’électricité, a réalisé le parcours suivant :

– 2011-2012 : Morgan Stanley, responsable monde des dérivés actions.

– 2008-2011 : Morgan Stanley, responsable des dérivés actions et actions européennes.

– 2007-2008 : Société générale, responsable monde de la division actions et dérivés actions.

– 1988-2007 : Diverses fonctions au sein de la Société générale.

– Début de carrière chez IBM en 1986.

Groupe Société générale : Inspecteur général

Monsieur Jean-Marc Giraud est promu inspecteur général du groupe Société générale, à compter du 15 juin 2012, en remplacement de Monsieur Edouard-Malo Henry. Il rejoint également le comité de direction.

Jean-Marc Giraud, 55 ans, doctorat d’économie, a réalisé le parcours suivant :

– 2008-2012 : Société générale Corporate & Investment Banking (SG CIB), directeur de la ligne métier Global Capital Markets au sein de la division Marchés de capitaux et Financements.

– 1997-2008 : SG CIB, responsable mondial des financements stratégiques et d’acquisitions.

– 1995-1997 : SG CIB, responsable mondial du secteur Loisirs et Transports pour le département du Coverage.

– 1989-1995 : Genefim (SG CIB), en poste au sein de la direction des affaires immobilières, puis responsable adjoint du crédit immobilier général.

– 1982-1989 : Société générale, en poste au sein de l’inspection générale.

– 1980-1982 : OCDE, début de carrière comme consultant.

Fnac (groupe PPR) : Directeur administratif et financier France

Monsieur Christophe Gascoin est nommé directeur administratif et financier France de la Fnac (groupe PPR), à ce poste depuis le 2 avril 2012. Il est sous la responsabilité directe de Monsieur Matthieu Malige, secrétaire général.

Christophe Gascoin, DESS de finances d’entreprise de l’université Rennes-I (1995), a réalisé le parcours suivant :

– 2011-2012 : Nouvelles Frontières, directeur financier, membre du comité exécutif.

– 2007-2011 : Nouvelles Frontières, directeur comptable et trésorerie groupe.

– 2005-2007 : Corsairfly, responsable de la comptabilité et de la trésorerie.

– 2003-2004 : Nouvelles Frontières, contrôleur financier.

– 1998-2003 : Deloitte, manager audit.

– 1997-1998 : A commencé sa carrière comme analyste crédits au sein de la direction des entreprises du Crédit lyonnais.

Swift : Chief executive officer

Monsieur Gottfried Leibbrandt est promu chief executive officer de Swift, à compter du 1er juillet 2012, en remplacement de Monsieur Lázaro Campos.

Gottfried Leibbrandt, 51 ans, MBA de l’université de Stanford, PhD en économie de l’université de Maastricht, master en économétrie et statistique de l’Université libre Amsterdam, a réalisé le parcours suivant :

-2007-2012 : Swift, directeur du marketing.

– 2005-2007 : Swift, en charge du développement de la stratégie SWIFT2010, puis responsable des standards.

– 1987-2005 : McKinsey & Company, partner au sein du bureau d’Amsterdam et coleader de la practice European payments.

Monext (groupe Crédit mutuel Arkéa) : Directeur général

Monsieur Frédéric Diverrez est promu directeur général de Monext (groupe Crédit mutuel Arkéa), à ce poste depuis mai 2012.

Frédéric Diverrez, 41 ans, ingénieur EPSI, a réalisé le parcours suivant :

– 2009-2012 : Procapital Securities Services (groupe Crédit mutuel Arkéa), président du directoire.

– 2008-2009 : Steria France, directeur de la business unit Testing Services.

– 2006-2007 : Steria France, directeur de la business unit Banque Assurance.

– 2003-2005 : Steria France, directeur de la business unit Moyens de paiements.

– 2000-2001 : Steria France, responsable des produits monétiques.

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« Décision Performance Conseil (DPC) est une société de conseil spécialisée dans le Pilotage de l’entreprise », Jean-Joseph Henry, Directeur associé

Est-ce que vous pouvez nous présenter Décision Performance Conseil ?

Décision Performance Conseil (DPC) est une société de conseil spécialisée dans le Pilotage de l’entreprise, l’optimisation des Processus et la Maîtrise des risques, le Management de projets, la Performance des Systèmes d’Information. DPC intervient auprès de groupes privés et dans le secteur public sous la forme de missions de conseil, d’assistance ou de formation ainsi que d’actions opérationnelles.

Nous apportons des compétences pointues et spécialisées, renforcées par une veille méthodologique sur nos domaines d’intervention.  Notre approche est pragmatique et tournée vers les résultats. Nous déclinons nos analyses en actions concrètes qui permettent d’obtenir rapidement des bénéfices durables pour nos clients..

Quelles sont les grandes lignes de métiers qu’on trouve au sein DPC ?

Nous intervenons sur 4 lignes de métiers :

Pilotage de l’entreprise : nous aidons à définir les indicateurs et à mettre en œuvre les systèmes de pilotage (financier, économique, réglementaire ou opérationnels : KPI) permettant de piloter l’entreprise que cela soit sur les informations du réalisé (comptable, RH, gestion) que sur les informations prévisionnelles (budget, masse salariale, investissements, financement).

Processus et Maîtrise des risques : nous aidons nos clients à cartographier leurs processus critiques et à identifier les risques associés. Nous aidons nos clients à l’optimisation des processus pour améliorer l’efficacité opérationnelle (Lean 6 Sigma…) Nous accompagnons à la mise en œuvre de plan de contrôle pour suivre et maîtriser les risques.

Management de projets : nous intervenons en amont des projets sur la mise en place et le suivi du portefeuille de projets. Nous vous assistons sur la conduite des projets depuis la construction de la démarche, la mise en place des mécanismes de gouvernance et du plan de management. Nous travaillons opérationnellement à la réussite de vos projets sur l’ensemble des métiers de votre organisation (finance, achats, ventes, supply chain, RH). Nous vous apportons également notre expérience spécifique dans le pilotage de projets de fusion ou d’acquisition.

Performance des Systèmes d’Information : nous intervenons dès l’élaboration de la stratégie SI (plan directeur, schéma directeur), jusqu’au pilotage opérationnel (tableau de bord SI, élaboration et suivi du budget, amélioration du fonctionnement études, production, …) afin d’améliorer la gouvernance et la performance de la DSI. Nous apportons nos bonnes pratiques et nos benchmarks pour transformer vos processus IT.

Quels types de postes sont aujourd’hui à pourvoir ?

Décision Performance Conseil recrute tout au long de l’année des profils à forte valeur ajoutée, essentiellement des Consultants confirmés et seniors qui ont vocation à intervenir  sur des missions liées à nos domaines de compétences : Pilotage de l’entreprise,  Processus et Maîtrise des risques,  Management  de projets, Performance des SI.

Est-ce que vous recherchez en priorité des jeunes diplômés ou des candidats expérimentés ? Et avec quel type de formation ?

Notre équipe se compose de consultants tous expérimentés, ayant acquis leur savoir-faire en entreprise et /ou en cabinet. Nous recrutons en général des consultants ayant 3 à 10 ans d’expérience avec une formation BAC + 4/5 issus d’école de commerce ou d’Ingénieurs. Nos consultants disposent d’une expérience de plusieurs années dans nos domaines d’expertise : ils ont le plus souvent déjà vécu les situations similaires à celles traitées dans nos missions de conseil.

Est-ce que vous avez des difficultés à recruter certains profils ?

DPC étant amenée régulièrement à conduire des missions à l’international, nous recherchons des candidats mobiles (Asie, US, Europe) parfaitement bilingues et capables d’assurer les missions avec un haut niveau d’autonomie.

Y-a-t-il des aptitudes que vous recherchez tout particulièrement chez vos futurs collaborateurs ?

Les aptitudes particulièrement recherchées sont liées à l’apport de valeur ajoutée, la facilité du contact client, le pragmatisme, l’autonomie, les capacités d’analyse et de synthèse, l’adaptabilité, l’investissement personnel… Sont valorisées l’esprit d’entreprise , l’esprit d’équipe indispensable à la réussite de projets qui nécessitent des talents variés et complémentaires, la recherche de l’excellence, clé de succès auprès de nos clients, l’indépendance qui nous permet d’exercer notre métier en toute objectivité, sans autre motivation que l’intérêt de nos clients.

Quelles sont vos perspectives de recrutement en 2012 ?

Nous recrutons régulièrement des candidats sur nos offres ainsi que des profils d’experts en CDD. Nous offrons également des postes de stagiaires qui accompagnent les consultants sur certaines missions.

Quels avantages y a-t-il à rejoindre DPC ?

DPC est une entreprise à taille humaine, dynamique et formatrice. Nos engagements étant liés à notre stratégie et à la satisfaction client au travers de nos valeurs, la politique de gestion de nos ressources humaines est au coeur de notre organisation : Affirmer nos valeurs, Développer les potentiels par la formation et Partager nos expériences, nos méthodes et outils.

Après un premier poste, quels sont les parcours classiques ? Est-ce que vous avez un exemple ?

Après un premier poste au sein du cabinet en tant que consultant confirmé on peut prétendre après quelques années d’expériences à un poste de consultant senior. En fonction des capacités à développer l’activité du cabinet, les consultants ont la possibilité d’évoluer vers des postes de managers de mission ou d’activités.

Les nominations de la semaine en banque, finance, assurance

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Société générale Corporate & Investment Banking (SG CIB) : Senior banker International financial institutions (IFI)

Monsieur Laurent Morel est nommé senior banker International financial institutions (IFI) au sein de Société générale Corporate & Investment Banking (SG CIB), à ce poste depuis le 2 avril 2012. Il est en charge des institutions financières mondiales : World Bank Group, EBRD, EIB, CEB, AFD, AfDB, ADB, etc.

Laurent Morel, 45 ans, ECAM Lyon, EM Lyon, a réalisé le parcours suivant :

– 2008-2012 : Société Générale Corporate & Investment Banking (SG CIB), responsable mondial marché primaire actions.

– 2007-2008 : SG CIB, responsable mondial de l’origination marchés capitaux de dette pour les entreprises.

– 2006-2007 : SG CIB, responsable de l’origination marchés capitaux de dette pour la France et le Benelux.

– 2001-2006 : SG CIB (à Paris), chargé de l’origination pour les entreprises au sein du département marché de capitaux de dette.

– 1997-2001 : SG CIB (à New York), responsable de relation sur des filiales américaines de grandes entreprises françaises.

– 1994-1997 : Groupe Société générale (à Lyon), responsable commercial d’un portefeuille de petites entreprises dans le réseau France.

Unibail-Rodamco : Directeur général de la finance

Monsieur Jaap L. Tonckens est promu directeur général de la finance au sein d’Unibail-Rodamco, à compter du 1er juillet 2012, en remplacement de Monsieur Peter Van Rossum.

Jaap L. Tonckens, 49 ans, diplômé de l’université de Leiden aux Pays-Bas et de l’Emory University d’Atlanta (Etats-Unis), a réalisé le parcours suivant :

– 2009-2012 : Unibail-Rodamco, directeur général des investissements, membre du directoire.

– 2008-2009 : Endurance Capital (à New York), directeur général.

– NC-2008 : Morgan Stanley, directeur général Leverage & Acquisition-Finance à New York.

– 1994-NC : Morgan Stanley, a assuré différentes fonctions à Londres.

– 1989-1994 : Shearman & Sterling (à New York et à Paris), associate.

Natixis : Inspecteur général

Monsieur Hervé Housse est promu inspecteur général de Natixis, à compter du mois de septembre 2012. Il devient à ce titre membre du comité exécutif de Natixis.

Hervé Housse, 50 ans, ESC Dijon, master en finance et administration des entreprises, a réalisé le parcours suivant :

– 2011-2012 : Natixis, chief executive officer de la plate-forme Asie-Pacifique de la BFI.

– 2006-2011 : Natixis Singapour, senior country manager de Natixis Singapour, en charge de l’Asie du Sud-Est (Singapour, Indonésie, Malaisie et Thaïlande).

– 2006-2006 : Natixis (à Shanghai), senior country manager.

– 2005-2006 : Volvo Financial Services France, président.

– 2002-2005 : GE Capital European Equipment Finance, directeur général délégué.

– 1999-2002 : GE Capital European Equipment Finance, directeur crédit et risques pour la France.

– 1997-1999 : Crédit lyonnais (à Paris), directeur du centre d’affaires Grandes Entreprises des Champs Elysées.

– 1995-1997 : Crédit lyonnais (à Stockholm), directeur des risques Europe du Nord.

– 1988-1995 : Crédit lyonnais Luxembourg, différentes responsabilités (asset management, correspondant banking puis ingénierie financière).

– 1987-1988 : A commencé sa carrière en tant qu’adjoint du directeur finance & administration de la société Sorepark.

Fédéris Gestion d’Actifs (FGA) : Directeur général et responsable des gestions

Monsieur Philippe Aurain est nommé directeur général et responsable des gestions de Fédéris Gestion d’Actifs (FGA), à ce poste depuis avril 2012. Il est sous la responsabilité directe de Madame Anne Courrier, président du directoire. Il est membre du comité du directoire.

Philippe Aurain, 47 ans, MBA de l’ESCP Europe (2007), 3ème cycle de finance de l’université Paris-Dauphine (1993), membre titulaire de la SFAF, a réalisé le parcours suivant :

– 2010-2012 : Fonds de réserve pour les retraites (FRR), directeur financier.

– 2003-2010 : FRR, successivement directeur d’investissement, responsable de la gestion déléguée, et directeur financier délégué.

– NC-2003 : Ixis, chargé de la gestion actions européennes pour compte propre.

– Etablissement public CDC, gérant actif-passif (dates précises inconnues).

– Caisse des dépôts et consignations (CDC), responsable des études sur l’épargne et des relations avec les réseaux au sein de la direction des Fonds d’épargne (dates précises inconnues).

DC Advisory Partners : Directeur au sein de l’expertise Banque d’affaires dans le secteur des TMT

Monsieur François Prioux est nommé directeur au sein de l’expertise Banque d’affaires dans le secteur des TMT de DC Advisory Partners, à ce poste depuis mars 2012. Il est ainsi en charge des secteurs Techno, Médias et Télécoms.

François Prioux, 36 ans, ESSEC (1998), a réalisé le parcours suivant :

– 2007-2012 : UBS (à Londres et à Paris), directeur dans l’équipe M&A.

– 2005-2007 : Prisma Presse (groupe Bertelsmann), codirecteur du nouveau site Capital.fr.

– 1999-2005 : Début de carrière comme cofondateur de la société Firstinvest.com (revendue au groupe Bertelsmann en 2005).

The Royal Bank of Scotland (RBS) : Directeur général France, Belgique et Luxembourg

Monsieur Sébastien Rozès est promu directeur général France, Belgique et Luxembourg de The Royal Bank of Scotland (RBS), à compter du 1er juillet 2012, en remplacement de Monsieur Pascal Poupelle. Il sera membre du comité de direction de RBS Markets & International Banking pour l’Europe et le Moyen-Orient.

Par ailleurs, il sera nommé dirigeant responsable vis-à-vis des autorités de régulation (ACP, FSA, DNB) dans les prochaines semaines. La division RBS Markets & International Banking (M&IB) est un partenaire bancaire de référence pour les grandes entreprises, les institutions financières et les organismes publics, présent dans le monde entier (38 pays). M&IB propose une large gamme de produits et services, dans les financements bancaires et obligataires, les activités de marché, la gestion des risques, les produits pour les investisseurs, le conseil en financement et la gestion des flux.

Sébastien Rozès, 44 ans, ESSEC, a réalisé le parcours suivant :

– Depuis 2008 : The Royal Bank of Scotland (RBS), responsable des relations avec les clients grandes entreprises pour la France, la Belgique et le Luxembourg et membre du comité exécutif (suite au rapprochement avec ABN Amro).

– 2006-2008 : ABN Amro, responsable des relations avec les clients grandes entreprises et membre du comité exécutif.

– 2003-2006 : ABN Amro Rothschild France, directeur à Londres puis à Paris.

– 2000-2003 : Merrill Lynch (à Londres), directeur des clients français et belges pour l’activité Equity capital markets.

– 1997-2000 : Paribas (à Hong Kong), en charge des clients asiatiques en equity capital markets.

– 1994-1997 : Paribas (à Paris), membre, puis directeur du syndicat Equity.

– 1992-1994 : Paribas (à Paris), chargé de mission au sein de la direction Gestion.

– 1990-1992 : Paribas (au Luxembourg), analyste crédit.

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« Notre cabinet est fortement ancré dans les secteurs de la Banque, de la Finance et de l’Assurance », Franck Boucherie, Directeur exécutif chez Experis

Est-ce que vous pouvez nous présenter Experis ?

Experis est une filiale à 100% de ManpowerGroup dédiée au recrutement de cadres, au management de transition et aux services professionnels dans l’informatique et les télécoms. Présente dans 50 pays, la marque a, par exemple, réalisé $1.5 Mds. de CA en Europe l’année dernière.

Au sein de cette structure, l’entité Experis Executive, dont je suis Directeur associé, est un cabinet de chasse de cadres experts et dirigeants fort d’une cinquantaine de consultants et chargés de recherche, qui opère sur tout le territoire français avec une présence en régions. Ce cabinet, dont la marque a été lancée l’année dernière, est le fruit du regroupement de plusieurs cabinets dont l’ex-Manpower Professional.

Quelles sont les spécialités du cabinet ? Combien avez-vous de consultants ?

Notre cabinet est fortement ancré dans les secteurs de la Banque, de la Finance et de l’Assurance. Dans le seul domaine de la Banque, notre équipe de 5 consultants et chargés de recherche a réalisé plus de 75 recrutements en 2011.

En tant que cabinet « multi-spécialiste » — un terme qui s’oppose à « généraliste »– nous couvrons tous les métiers des secteurs que nous abordons, mais nos consultants sont fortement spécialisés par secteur. A ce titre, nous recrutons pour tous les postes de cadres en Banque, en Direction financière (finance d’entreprise), et en Assurance, et nous positionnons donc comme un acteur dynamique du marché.

Quels types de relations développez-vous avec les candidats que vous rencontrez pour vos clients ?

A priori, d’excellentes… ! Les leviers de croissance de nos clients, ce sont eux … Comme nous croyons que notre valeur ajoutée n’est pas simplement de trouver des compétences (cela, c’est la base, tout cabinet spécialisé sait le faire), mais de regarder bien plus loin que le CV, en direction du potentiel du candidat, mariage de ses motivations et de sa capacité d’apprentissage, nous nous devons de très bien connaître nos candidats. Donc obligatoirement d’établir avec eux des relations de confiance et un suivi de long terme.

D’ailleurs, notre process de recrutement a été imaginé non pas comme une série « d’étapes » mais comme une expérience que va vivre le candidat (« candidate journey ») et que nous souhaitons la plus riche et avantageuse pour lui que possible.

Nous intégrons de manière formelle, dans nos process de recrutement, des étapes d’évaluation, de motivation et d’intégration, grâce à des outils d’assessment, un séminaire de management, et un outil d’on-boarding. Plus généralement, notre rôle vis-à-vis d’eux est d’échanger sur leur secteur d’activité, les conseiller parfois, et surtout les aider à mettre leur talent au cœur de leur projet professionnel.

Qui sont vos clients en France ?

Dans la Banque, nous intervenons pour des banques de détail, des banques privées, des établissements de financement pour particuliers et professionnels (crédit à la consommation et leasing). En assurance, pour les grands acteurs, mutuelles et établissements de prévoyance. Enfin, pour les entreprises de toutes tailles recrutant des cadres financiers.

Quelles sont les tendances actuelles du recrutement en banque, finance, assurance ?

On a pensé fin 2011 qu’il y allait avoir un gel des recrutements dans ces secteurs, or aujourd’hui je parlerais plutôt d’une situation contrastée selon les métiers, et d’une période d’attentisme. J’en veux pour preuve la validation des budgets de recrutement pour l’année qui a été repoussée à mars dans beaucoup d’établissements. Pendant ce temps et depuis, les recrutements ont continué.

Les fonctions impactées par la crise ont bien sûr été en priorité celles des banques d’affaires et des activités de marché, qui ont pu mettre en place des plans de départ. Dans les grands groupes, une partie de ces salariés a été reclassée, freinant, par ricochet, les besoins en recrutement de ces derniers d’une manière générale.

Il a donc une situation contrastée selon la nature des établissements : les grands acteurs bancaires détenant des filiales opérant sur les marchés financiers ont gelé certains recrutements, mais d’autres, qui ne sont pas exposés de la même manière, sont plutôt dans une dynamique de développement et de restructuration.

Mais il y a également eu une modification structurelle des recrutements. Dans la banque précisément, sous l’effet des concentrations d’activité au sein des groupes ou des rachats, nous avons constaté une modification du profil du salariat en middle management. Dans un objectif de rationalisation des coûts et d’économies d’échelle, les fonctions support dans ce que nous appelons le « middle-market » sont passées de 20 à 40 % des salariés, et parallèlement les fonctions commerciales de 80 à 60% des salariés. Au global, donc, un jeu de vases communicants, et une certaine stabilité, mais avec un focus sur différentes fonctions.

Cela s’explique aisément : sous la pression de la rationalisation de coûts et des contraintes imposées par Bale III, les structures ont aujourd’hui un besoin permanent d’optimiser leurs process, et cherchent à internaliser les profils en MOA ou en organisation qu’ils externalisaient jusqu’alors auprès de cabinets du Big Four, par exemple. Les profils venant du conseil ont été surtout ciblés par les établissements de financement.

Est-ce que vous avez vu émerger de nouveaux métiers en banque, finance, assurance ces dernières années ? Si oui lesquels ?

On ne peut pas véritablement parler de nouveaux métiers mais plutôt, par exemple dans la Banque, d’un nouvel engouement pour les profils statistiques chargés d’étudier la chaîne de crédit, de l’octroi au recouvrement, pour l’optimiser commercialement, et aussi pour optimiser la gestion du risque de crédit.

Il y a même eu une partie non négligeable de création de postes sur les problématiques de risque crédit, MOA, organisation. La nouvelle tendance sécuritaire, de protection contre l’imprévu, de l’étude du prévisionnel, de la rationalisation et de la mutualisation des ressources explique la montée de ces profils dans un contexte d’instabilité financière.

Est-ce que les candidats sont prêts à changer de poste dans le contexte actuel ?

Comme dans le cas des clients, on s’attendait à plus de frilosité qu’il n’y en a eu finalement. Beaucoup de candidats sont à l’écoute de nouveaux challenges, donc la situation n’est pas aussi alarmante que prévue. Nous n’avons pu constater aucun impact de la crise sur les délais de recrutement.

A l’inverse, plutôt, ceux qui ont été impactés par la volatilité des marchés financiers ou simplement les contraintes de réductions de coûts dans certaines activités sont en ce moment demandeurs. Ils sont prêts à se tourner vers des activités à l’abri des turbulences, pour aller vers des activités connexes ou vers le financement. En quittant la banque d’investissement pour rejoindre des établissements de financement, l’assurance ou la banque de détail, ils capitalisent sur leurs acquis pour vivre un nouveau challenge.

« Le master droit pénal financier est un master de compliance officer », Anne-Dominique Merville, Responsable du Master 2 professionnel Droit pénal financier de l’Université de Cergy-Pontoise

Est-ce que vous pouvez nous présenter le Master Droit Pénal Financier?

J’ai créé le master il y a 6 ans. Je ne voulais pas créer un nouveau master de droit. J’avais identifié un besoin en discutant avec des avocats et des banques. Le Master est en partenariat avec l’ESSEC.

Nous sommes le seul master avec cet intitulé. Cette formation est axée sur le développement des compétences en droit bancaire et boursier, en droit pénal des affaires, en comptabilité privée, ainsi qu’en déontologie et conformité. Nous pouvons dire que le master droit est un master de compliance officer en alternance.

Combien avez-vous de promotions ?

Nous avons 5 promotions. Ce sont des promotions de 30 étudiants. Je préfère avoir des petits effectifs.

Quel est l’objectif de la formation ?

Le master vise à former des juristes spécialisés tant dans la prévention et la détection, que dans la répression de la délinquance financière.

Quels sont les points forts du programme ?

Le master 2 Droit pénal financier propose des enseignements dispensés par des universitaires et des professionnels spécialistes du droit des marchés financiers, du droit pénal des affaires, de l’analyse financière, de la comptabilité, de la conformité, de la lutte anti-blanchiment d’argent et de la sécurité financière.

Ce master permet aux étudiants provenant de formations de droit d’acquérir de nombreuses compétences nécessaires à l’exercice de l’activité économique et financière.

Quels sont les profils des étudiants ?

Ce sont des juristes. Ils sont tous en alternance dans des services de conformité : anti-blanchiment, sécurité financière. Ils ont des cours à la fac et travaillent en banque.

Quelles sont vos relations avec les entreprises ?

Nous avons de très nombreux parrains comme la Société Générale, Oddo, JP Morgan…Nous avons développé de fortes relations avec les entreprises. J’ai été bien accueilli. Nous organisons également régulièrement des conférences à l’étranger. Nous allons à Bruxelles pour assister à des conférences à la commission européenne, à la Banque Centrale Européenne à Francfort. Nous allons aussi visiter des banques d’affaires à Londres.

Que deviennent vos anciens ? Est-ce que vous avez des exemples ?

Ils sont très bien placés dans des banques françaises ou des banques étrangères comme Exane, Société Générale, AXA IM, l’AMF, Amundi, CASA…. Nous avons des étudiants également en VIE à l’étranger.

Les nominations de la semaine en banque, finance, assurance

« Rubrique réalisée en partenariat avec Nomination : 1er service d’informations et de veille sur les décideurs. »

Banque populaire Rives de Paris (groupe Banque populaire) : Directeur général

Monsieur Yves Gevin est nommé directeur général de la Banque populaire Rives de Paris (groupe Banque populaire), à ce poste depuis le 2 mai 2012, en remplacement de Monsieur Jean Criton. Monsieur Jean Criton a fait valoir ses droits à la retraite.

Yves Gevin, 53 ans, MBA de l’EM Lyon (1982), INSA Lyon (1981), a réalisé le parcours suivant :

– 2008-2012 : Foncia, président du directoire.

– 2002-2008 : Banque populaire Atlantique (suite à la fusion Banque populaire Anjou Vendée et Banque populaire Bretagne-Atlantique), directeur général.

– 1998-2002 : Banque populaire Anjou Vendée, directeur général.

– 1994-1998 : Banque populaire de Franche-Comté, du Mâconnais et de l’Ain, directeur général adjoint.

– 1987-1998 : Banque populaire de Franche-Comté, a assuré différentes fonctions d’organisation et d’informatique.

– 1982-1987 : A commencé sa carrière au sein d’Andersen Consulting Lyon.

Trocadero Capital : Président

Monsieur Philippe Bruneau est nommé président de Trocadero Capital, à ce poste depuis mai 2012.
Philippe Bruneau, 43 ans, ISG (1991), a réalisé le parcours suivant :

– 2007-NC : Tikehau Investment Management, associé.

– 2006-2007 : Crédit Agricole Private Equity, directeur associé au sein de la division Mezzanine.

– 1999-NC : Via Banque (groupe Paribas), notamment création du département financements structurés.

– 1991-1999 : Banque Hervet (groupe HSBC), évolue dans des activités de retail banking principalement dans une filière PME-PMI.

Oney Banque Accord (groupe Auchan) : Directeur financier groupe

Monsieur Gilles Marion est promu directeur financier groupe d’Oney Banque Accord (groupe Auchan), à compter du 1er juillet 2012, en remplacement de Monsieur Julien Cailleau. A ce titre, il est membre de la direction générale groupe.

Gilles Marion, 48 ans, ENSAM, mastère de finance de l’ESSEC, a réalisé le parcours suivant :

– 2009-2012 : Oney Banque Accord (groupe Auchan), directeur général France.

– 2006-2009 : Cetelem Grèce, directeur général.

– 2001-2006 : Cetelem, directeur de la filiale polonaise.

– 2000-2001 : En poste au sein de Cetelem (groupe BNP Paribas).

– 1990-2000 : A commencé sa carrière au sein du groupe Compagnie bancaire; Paribas, successivement contrôleur de gestion et planification, responsable de la planification, du contrôle de gestion et du système d’information de la Sinvim (Société d’investissements immobiliers), et responsable de la communication financière et des relations investisseurs.

ING Real Estate Finance France (groupe ING) : Head of finance & operations

Madame Chloé Wu est nommée head of finance & operations d’ING Real Estate Finance France (groupe ING), à ce poste depuis avril 2012. Elle est sous la responsabilité directe de Monsieur Frédéric Ciuntu, general manager.

Elle est ainsi en charge des fonctions de secrétariat général, de reportings financiers et réglementaires, de contrôle de gestion et du back-office. Elle est membre de tous les comités d’ING Real Estate Finance France.

Chloé Wu, 33 ans, DESS en finance de l’université Paris-Dauphine (2004), a réalisé le parcours suivant :

– 2004-2012 : Début de carrière au sein du cabinet KPMG en tant qu’auditeur, spécialiste dans les secteurs bancaire et immobilier.

European Capital : Directeur d’investissement

Monsieur Thomas Deck est promu directeur d’investissement au sein d’European Capital, à ce poste depuis avril 2012.

Thomas Deck, 29 ans, IEP Strasbourg, HEC, était depuis 2007 chargé d’affaires au sein d’European Capital.

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« La sélection du corps enseignant est au coeur de la stratégie du Master », Olivier Ramond, Responsable Master Pro. Ingénierie Financière, IAE Gustave Eiffel

Est-ce que vous pouvez nous présenter le Master Pro. Ingénierie Financière ?

Créé en 1994, à l’époque de l’essor des métiers de l’ingénierie financière en France, le Master 2 Ingénierie Financière offre, en une année, une formation intensive et professionnelle aux techniques spécifiques de l’ingénierie financière.

Il a pour objectif de former des spécialistes de ces métiers : aptes à maîtriser les techniques financières modernes et les aspects juridiques et fiscaux des opérations financières complexes, préparés à intégrer la dimension globale des problèmes à traiter, et notamment leurs enjeux stratégiques, ouverts à l’environnement international.

Ce diplôme apporte une formation d’excellence dans les domaines tels que :
– l’évaluation financière et stratégique des entreprises,
– l’analyse financière approfondie,
– les relations des entreprises avec les marchés de capitaux,
– la gestion des risques internationaux,
– le conseil en matière de transmission d’entreprises,
– les montages financiers, les stratégies de diversification, et
– la gestion financière, comptable et fiscale des groupes.

Combien avez-vous de promotions ?

Le Master 2 Ingénierie Financière va connaître, à la rentrée prochaine, sa dix-neuvième promotion. Son réseau des anciens contribue grandement à l’insertion des nouvelles promotions sur le marché du travail.

Quel est l’objectif de la formation ?

La formation vise à transmettre aux étudiants les compétences clefs associées aux métiers du haut de bilan : de l’évaluation, aux opérations de structuration en passant par des connaissances fondamentales en matière comptable, juridique et fiscale.

L’objectif est de fournir aux étudiants des connaissances pertinentes alliées à un certain nombre de réflexes et d’outils leur permettant de mieux évoluer dans un environnement aujourd’hui en pleine mutation.

Quels sont les points forts du programme ?

Les points forts du programme sont la diversité et la complémentarité des enseignements proposés (matières financières, juridiques et fiscales), ainsi que la priorité accordée à l’insertion professionnelle des étudiants à l’issue de la formation. En outre, un certain nombre de cours sont dispensés en anglais par des professeurs étrangers.

Enfin, un suivi rapproché des étudiants est organisé au travers d’ateliers d’insertion professionnelle animés par des professionnels du secteur de l’ingénierie financière (aide à la lettre de motivation et rédaction de CV, préparation des entretiens de stage et d’embauche, techniques de présentation en français et en anglais…).

Quels sont les profils des étudiants ?

Le recrutement des futurs étudiants s’organise naturellement à partir des filières finance (Master 1 – Option Finance, parcours finance d’écoles de commerce ou d’instituts d’études politiques). Néanmoins, des candidats au parcours antérieur moins calibré mais faisant preuve d’une réelle motivation pour intégrer les métiers de l’ingénierie financière sont également accueillis au sein de la formation. Le succès de nos promotions sur le marché du travail est assuré par notre processus de recrutement très sélectif assuré par une équipe d’universitaires et de professionnels du monde de la banque.

Comment est composé le corps enseignants ?

Le corps enseignant en composé à parité de professionnels expérimentés dans leurs domaines (professionnels de la finance et de l’univers M&A) et d’universitaires reconnus (professeurs de finance et de droit).

La sélection du corps enseignant est au cœur de la stratégie du Master.

Quelles sont vos relations avec les entreprises ?

De nombreuses relations se sont développées au fil du temps avec les entreprises sous la forme d’interventions magistrales assurées par des professionnels dans les différents métiers auxquels nous formons les étudiants ou encore de cycles de conférences animés par des grands cabinets de conseil. Enfin, les stages permettent de tisser des liens étroits entre la formation et les entreprises d’accueil.

Que deviennent vos anciens ? Est-ce que vous avez des exemples ?

Ils travaillent dans les différents métiers de la finance, en institution financière pour la plupart (Private-Equity, Fusion-acquisition, financement d’entreprise, analyse de risque,…) mais évoluent aussi parfois au cœur de métiers plus orientés « marché », en cabinet de conseil (ingénierie financière, restructuring de bilan, transaction services, aide à la due-diligence…), et en entreprise (direction financière, structure de M&A…).

Est-ce que votre formation est accessible en formation continue ?

La formation est accessible à des professionnels désireux de se réorienter vers des métiers de l’ingénierie financière. Le nombre de places reste toutefois limité.

Comment procédez-vous pour faire évoluer votre programme ?

Le programme a vocation à évoluer pour accorder une place encore plus importante aux enseignements en anglais, ainsi que pour renforcer la sélection des candidats et des enseignants. La stratégie du programme reste simple : sélectionner de très bons candidats afin qu’ils puissent échanger, de manière efficace, avec un corps enseignant de grande qualité ce qui leur assurera de s’insérer facilement sur le marché du travail, et en particulier, dans le secteur de l’ingénierie financière.

« Une promotion de 70 étudiants sort de nos écoles de Bordeaux et Paris », Didier Coutton, Responsable Master Banque et Assurance, INSEEC Bordeaux

Est-ce que vous pouvez nous présenter le Master Banque et Assurance ?

Le master spécialisé « Banque et Assurance » est un des premiers masters professionnels à avoir été créé à l’INSEEC, il y a près de 15 ans.

Les métiers de la banque et de l’assurance ont été tous deux réunis en un même master en raison du développement de la bancassurance et du manque de compétences en assurance des conseillers financiers. Ce constat est d’ailleurs toujours d’actualité.

Combien avez-vous de promotions ?

Une promotion de 70 étudiants sort de nos écoles de Bordeaux et Paris.

Quel est l’objectif de la formation ? Quels sont les points forts du programme ?

L’objectif de la formation est de professionnaliser des étudiants de niveau bac + 4 ou bac + 5, en s’appuyant sur leurs acquis académiques et leur personnalité pour développer un savoir-faire et un savoir-être leur permettant d’être quasi-immédiatement opérationnels. La formation s’appuie à la fois sur l’acquisition de connaissances financières, fiscales et juridiques (succession, assurance) et le développement de leurs atouts commerciaux.

Quels sont les profils des étudiants ?

Les étudiants proviennent pour moitié d’écoles de commerce et pour moitié de l’université (filières financière et juridique). Ils sont titulaires d’un M1 ou d’un M2. Au-delà de leurs connaissances académiques, la sélection se fonde également sur leurs aptitudes relationnelles et leur sens du service.

Comment est composé le corps enseignants ? Quelles sont vos relations avec les entreprises ?

Le corps d’enseignant est composé à 30% de professeurs de l’INSEEC pour les matières fondamentales et à 70% d’un corps d’intervenants professionnels stables. Ces mêmes professionnels, issus des banques de réseau ou de cabinets de gestion patrimoniale, sont également les premiers recruteurs. Le stage de longue durée (6 mois) est le plus souvent un stage de pré-embauche. Il est fréquent qu’il se conclut par une embauche en CDI. De même, il n’est pas rare que ce stage se transforme en CDI avant son échéance.

Que deviennent vos anciens ? Est-ce que vous avez des exemples ?

Les anciens suivent le plus souvent le parcours des jeunes cadres entrant dans la banque de réseau, avec un poste à responsabilité à horizon de cinq ans.

Est-ce que votre formation est accessible en formation continue ?

La formation est dispensée en alternance (3 jours d’études par semaine de début octobre à mi-mars), ce qui permet à des professionnels de suivre l’enseignement en validation d’acquis ou de profiter d’une période de chômage pour se reconvertir.

Comment procédez-vous pour faire évoluer votre programme ?

Le programme a peu évolué jusqu’en 2010 au moment où l’AMF a mis en place une certification visant à vérifier les compétences techniques et juridiques des conseillers financiers et d’une manière générale de tous ceux ayant une fonction commerciale ou de conseil chez un prestataire de service d’investissement. Nous avons donc modifié les programmes pour permettre à tous nos étudiants de passer cette certification dans nos locaux, car nous sommes reconnus comme centre d’examen.

Pour l’année 2011-2012, nous avons obtenu un taux de réussite exceptionnellement élevé. Nos étudiants sortent donc de l’INSEEC, non seulement avec un diplôme en poche, mais aussi avec une qualification professionnelle indispensable à l’exercice de leur métier. Un plus qui fait la différence le jour du recrutement !

« Au delà de la finance de marché certains étudiants veulent s’orienter vers la finance d’entreprise », Mohamed Benzekri, Président de l’association Traders, Grenoble EM

Est-ce que vous pouvez nous présenter l’association Traders Grenoble EM ?

Jeune mais très ambitieuse, TRADERS est l’association financière de Grenoble Ecole de Management. Créée en 2003 et entrée en activité en 2004, l’association occupe une place importante au sein de GEM à travers son orientation professionnelle mais encore grâce à notre participation effective pour développer la vie associative au sein de l’école.

Quels sont les objectifs de l’association ?

Au-delà de faire vivre le couloir associatif et de booster la vie étudiante, l’association a pour mission de sensibiliser les étudiants au monde de la finance par l’intermédiaire de différente formation donnée aux Etudiants de GEM.

Combien d’étudiants y participent ? Et quels sont leurs profils ?

Traders est une équipe de 30 participants travaillant dans différent pôles ; tel que : le Pôle finance de marché (Formation Bloomberg et cours en finance), Pôle traders Cup, Pôle Crack’ 40, Pôle Event (Soirée cotation, et voyages) Pôle conférence, Pôle finance Ethique, Pôle com’ externe, Pôle com’ interne et pôle interne.

A cela s’ajoute les 4 membres du bureau : Président (Mohamed BENZEKRI), Vice-Président (Thomas Villiere), Trésorier (Kevin Ventura), Secrétaire (Thomas Radier)

Les profils sont très divers. Effectivement nous avons des étudiants issus de classes préparatoires (scientifique, économique, technologique et littéraire) mais aussi des étudiants issus de DUT et même des étudiant qui poursuivent un parcours double (L3 en droit, M1 en Economie).

Le recrutement est principalement basé sur l’intérêt qu’ils portent au monde de la finance mais aussi sur les compétences dont ils disposent.

Quels sont les ateliers et manifestations que vous organisez ?

Ceci passe par un club d’investissement, des cours en finance et Bloomberg en salle de marché donné par des étudiants ayant reçu une formation spécialisée. Le club d’investissement est une formule d’épargne pédagogique conviviale et ouverte à tous. Un club est composé de particuliers qui décident de mettre en commun une épargne mensuelle, d’un montant peu élevé, afin de constituer et de gérer ensemble un portefeuille boursier.

Au delà de la constitution d’un capital, l’objet principal d’un club d’investissement est de permettre à ses membres d’acquérir, par la pratique, des connaissances économiques, financières et boursières. C’est une véritable école de la bourse.

La Traders’ Cup (jeu de simulation boursière) ou encore le Crack 40, un journal financier mensuel distribué au sein de l’école. La Traders Cup est un jeu de simulation boursière. Au départ : 100 000€ à investir dans les valeurs du SBF120 (Société des Bourses Françaises) à l’achat ou à la vente. A l’arrivée : plus d’un millier de boursicoteurs et un IPAD pour le gagnant, de nombreux lots pour les suivants…

La nouveauté de l’année prochaine passera par le développement du pôle finance Ethique (entreprenariat social + microcrédit).

Entreprenariat social: L’Adie est un organisme de micro crédit en France et nous travaillons avec eux. L’Adie reçoit des jeunes entrepreneurs que la banque a refusé et leur accorde un microcrédit. Mais comme vous le savez le micro crédit c’est aussi l’accompagnement. C’est là ou nous intervenons, nous les accompagnons en amont dans leur projet: Définition du projet, de la clientèle, de la stratégie de communication puis sur une partie financière, quel prix? Quel CA? Quel statut? Quel résultat? Pour quel salaire?

Nous encadrons aussi des projets étudiants, à titre d’exemple la Finance Day, qui a pour ambition de devenir l’évènement incontournable de la finance au sein de Grenoble Ecole de Management.

Le Finance Day, c’est l’événement qui permet de rencontrer des professionnels de la finance de marché et d’entreprise, mais également de trouver un stage ou une césure dans le milieu de la finance grâce à un forum de recrutement au sein de l’école.

Voici quelques exemples détaillés des conférences organisées par l’association :

– Conférence A :
Invités : Xavier Heude, Project leader Manager & CSR (travaille à l’élaboration d’une société de micro-crédits), Christian Descoups, Secrétaire Général Luxembourg Stock Exchange (donc travaille à la Bourse du Luxembourg)

Sujets de la conférence:
– Micro-crédit (viabilité, mise en place etc)
– Finance éthique (définition, enjeux, historique)
– Finance Islamique

Plus présentation de leurs métiers respectifs, de leurs engagements et vision de la Finance.

– Conférence B : Trafigura du 5 Avril :
Invités : 3 Traders de la société Trafigura (2 traders et un manager des risques)

Sujet de la conférence :
-Présentation de Trafigura (leurs objectifs, comment ils travaillent, profil des employés -etc)
-Rôle de Trafigura dans les échanges
-Explication du « Commodity Trading »

Dans les 2 conférences la partie « Questions au public » était très importante, si bien que c’est le public qui menait la moitié des conférences grâce aux questions.

Est-ce que vous avez développé des relations avec les entreprises ?

Il est vrai que notre association est relativement jeune, mais cela ne nous a pas empêché de développer d’importantes relations avec des entreprises qui touchent de prés ou de loin à la finance.

A titre d’exemple, notre plus important partenaire la société générale, qui nous soutient dans tous les événements organisés par l’association (Conférences, activités professionnelles, …). Ou même Bloomberg qui offre une formation gratuite aux membres de TRADERS pour former à leur tour les autres étudiants désirant passer des certifications.

On aspire d’ailleurs, cette année, à démultiplier nos partenaires dans un objectif de créations de synergie et de partage des savoirs. Sans oublier notre établissement GEM (Grenoble Ecole de management) qui nous aide chaque année afin de mener à bien tous nos projets.

Dans le contexte actuel, la finance reste toujours attractive pour les étudiants ?

Il est vrai que l’image de la finance a été fortement entachée durant et après la crise financière de 2008. Cependant, si on se fie au nombre de postulant pour intégrer l’association durant les deux dernières années, on ne dénote aucune baisse significative.

Ceci est du, en parti, aux efforts consenties par l’association pour s ‘adapter aux attentes et au marché, par la création à titre d’exemple du pôle finance éthique. Et l’éventuel souhait de créer un pôle finance islamique, considérée plus stable par nature.

D’ailleurs, certains étudiants nous affirment même que certaines branches d’activités ont été développées durant la période de l’après crise (aide au redressement des entreprises en crise, l’étude des risques…).

Quels sont les métiers de la finance populaire en ce moment au sein de l’association ?

En référence à un petit sondage auprès des membres de l’association plusieurs métiers de la finance se dégagent. Le premier est sans surprise celui de traders, malgré l’image du métier qui a été un peu détériorée par les différentes crises, les étudiants sont toujours attirés par cette fonction.

En effet, c’est un métier qui évolue constamment et qui est, pour les passionnés de finance la possibilité d’être au cœur du milieu (connaissance parfaite des produits financiers, de l’évolution des marchés, de l’état financier des entreprises…). Pour exemple l’association a organisé une conférence avec Trafigura qui fait du trading de matières premières, il y a avait pour l’occasion près d’une centaine d’étudiants. D’autres métiers liés à la finance plaisent beaucoup à nos membres, et sont liés aux salles de marchés et analyste risque.

Au-delà de la finance de marché, certains étudiants veulent s’orienter vers la finance d’entreprise. Le métier qui ressort le plus est celui de conseiller en fusion acquisition, la motivation est assez simple, car il permet d’être proche du milieu de l’entreprise, mais aussi de ne pas s’éloigner de celui de la finance, car il faut être constamment au fait des nouveautés.

Enfin et c’est une particularité de notre école, comme celle-ci offre des possibilités de double diplôme en économie, l’une de nos membres qui fait actuellement en parallèle un master souhaiterait devenir économiste en banque d’affaires.

Est-ce que les étudiants rencontrent des difficultés particulières pour trouver des stages ou premier emploi en finance ?

La plupart de nos membres ont réussi à trouver un stage ou un premier emploi en finance, mais cela n’a pas toujours été très simple. En effet surtout pour les fonctions très demandées de la finance les entreprises privilégient les personnes venant de HEC ou alors d’écoles d’ingénieur offrant une formation en mathématique très poussée.

Mais sortie de ce constat nos membres trouvent toujours un stage dans le métier qu’ils désirent que ce soit en finance de marché ou d’entreprise. Le principal problème qu’ils peuvent rencontrer vient de la disponibilité en effet, les recrutements se font d’une manière très rapide (les offres pour le mois de septembre sont publiées qu’en juillet), il est donc parfois difficile de s’organiser quand par exemple un étudiant est à Grenoble et que dans un mois il doit être en stage à la défense.