« Nous travaillons en forte concertation avec l’Institut des Actuaires, pour que notre formation soit toujours en conformité avec les avancées techniques », Franck Vermet, Responsable de la Licence Mathématiques Financières, Euro-Institut d’Actuariat

Est-ce que vous pouvez nous présenter la Licence Mathématiques Appliquées et Sciences Sociales Parcours Mathématiques Financières ?

Créé en 1989 par Hervé Le Borgne, Actuaire, avec adaptation au LMD en 2004, le parcours « mathématiques financières » existe pour la troisième année de Licence MASS. Il constitue la première année d’une formation en trois ans (L3 MASS « mathématiques financières » et Master Actuariat) reconnue par l’Institut des Actuaires français et pouvant délivrer le titre d’actuaire.

Combien avez-vous de promotions ?

Cette année sortira la 22ème promotion de l’EURIA, suite au parcours de 3 ans licence mathématiques financières et master actuariat. A la création, les promotions comptaient une quinzaine d’étudiants et depuis quelques années, elles comptent 25 à 35 étudiants.

Quel est l’objectif de la formation ?

L’objectif de la Licence mathématiques financières est de donner aux étudiants une vision de base des outils actuariels ainsi que des connaissances généralistes dans les domaines connexes (mathématiques appliquées, comptabilité, environnement juridique, gestion, économie, langues…), et ainsi de permettre aux étudiants de poursuivre la formation en trois ans de l’EURIA (L3 MASS « mathématiques financières » et Master Actuariat).

Quels sont les points forts du programme ?

Les points forts du programme sont les suivants :
– Mathématiques de base (analyse, intégration, probabilités, statistique, optimisation, …) en vue d’une poursuite d’étude dans un Master d’actuariat (ou Mathématiques financières);
– Analyse et traitement mathématique et statistique des problèmes économiques et sociaux ;
– Mathématiques financières de base ;
– Informatique (notamment langage R et VBA) ;
– Anglais économique et scientifique ;
– Compétences de base en comptabilité, économie générale, commerce et droit.

Quels sont les profils des étudiants ?

Les étudiants proviennent majoritairement des classes préparatoires à dominante mathématique, et également de Licence de Mathématiques ou MASS.

Comment est composé le corps enseignants ?

Le corps enseignant est constitué d’enseignants-chercheurs de l’université de Bretagne Occidentale et d’intervenants professionnels pour les matières plus directement liées au métier d’actuaire. Cette complémentarité nous semble essentielle pour que les étudiants acquièrent à la fois les connaissances théoriques et pratiques pour affronter leur quotidien de demain.

Quelles sont vos relations avec les entreprises ?

Volontairement, nous avons souhaité être proches des entreprises et des actuaires pour préparer les étudiants au monde du travail. Nous avons donc de très nombreuses relations avec les entreprises : interventions pour des cours, partenariat donnant lieu à des stages, et présence de 4 actuaires (venant de 4 entreprises différentes) dans le Collège de Direction de l’Euria.

Que deviennent vos anciens ? Est-ce que vous avez des exemples ?

La très grande majorité des étudiants poursuivent leurs études en Master d’Actuariat à Brest et deviennent ainsi Actuaire. Une fois dans le monde professionnel, les actuaires travaillent dans les domaines de l’assurance, du conseil ou de la banque. Nous gardons de très bons contacts avec nos anciens et sommes proches de l’Association des Actuaires de Bretagne (A2B), association qui comme son nom l’indique regroupe les actuaires sortis de l’Euria suite au parcours de 3 ans.

Est-ce que votre formation est accessible également en formation continue ?

Oui, notre formation est depuis peu accessible en VAE.

Comment procédez-vous pour faire évoluer votre programme ?

Nous travaillons en forte concertation avec l’Institut des Actuaires, pour que notre formation soit toujours en conformité avec les avancées techniques et les besoins du métier d’actuaire.

Afin de conserver la possibilité de délivrer le titre d’Actuaire au terme du cycle de 3 ans, nous sommes régulièrement audités par l’Institut des Actuaires, qui vérifie que notre programme, nos intervenants et notre cursus sont conformes à ses exigences.


J’ai suivi mes études universitaires en Mathématiques à l’Université de Rennes 1, où j’ai obtenu mon Doctorat en Mathématiques et Applications en 1994. Je suis Maître de conférences à Brest à l’Université de Bretagne Occidentale depuis 1996.
J’ai été Directeur du Département de Mathématiques de 2003 à 2007 et je suis Directeur des Etudes de l’EURIA (Euro-Institut d’Actuariat) depuis 2011.
Mes activités de recherche portent sur la théorie des probabilités, plus précisément les modèles de réseaux de neurones (modèle de Hopfield, modèles de mémoire associative), la physique statistique, les algorithmes stochastiques, les marches aléatoires, les modèles de télécommunication.
J’effectue une grande partie de mes enseignements à l’EURIA, où j’enseigne les probabilités, les statistiques, la simulation stochastique, l’informatique, l’analyse de données, et les mathématiques actuarielles.

« Son objectif est de former des ingénieurs financiers pouvant exercer aussi bien en Banque d’Affaires ou en Cabinet de Conseil », Philippe Raimbourg, Responsable de l’Executive Mastère Spécialisé Ingénierie financière et fiscale, ESCP Europe.

Est-ce que vous pouvez nous présenter l’Executive Mastère Spécialisé Ingénierie financière et fiscale ? Combien avez-vous de promotions ?

Le Mastère IFF procède de la transformation d’un programme de formation continue dédié au droit. Il a vu le jour en 2004.

Nous en sommes donc aujourd’hui à la dixième promotion.

Quel est l’objectif de la formation ?

L’Executive Mastère Spécialisé Ingénierie Financière et Fiscale se situe à la charnière entre le droit des affaires et la finance et s’inscrit dans les nouvelles approches de « Corporate Finance » ; son objectif est de former des ingénieurs financiers pouvant exercer aussi bien en Banque d’Affaires ou en Cabinet de Conseil.

Quels sont les points forts du programme ?

La principale originalité et aussi le principal point fort de ce programme est de se concentrer sur les opérations de structure (acquisitions, fusions, scissions, opérations de LBO, …) et d’offrir pour de telles opérations le triple point de vue du financier, du juriste et du fiscaliste.

Quels sont les profils des étudiants ?

L’auditoire est composé aux trois quarts de financiers issus de la banque ou d’entreprises, et pour un quart de juristes issus de cabinets d’avocats d’affaires.

Comment est composé le corps enseignants ?

Afin d’offrir un enseignement à la fois conceptuel et prag¬matique, l’équipe pédagogique se compose de professeurs permanents de ESCP Europe, de professionnels d’entre¬prises associés à des opérations d’envergure et à forte notoriété et reconnus à l’échelle internationale pour leur expertise d’avocats ou de financiers.

Quelles sont vos relations avec les entreprises ?

Les entreprises sont en fait nos clients puisque ce sont elles qui nous font confiance pour la formation de leurs cadres.

Que deviennent vos anciens ? Est-ce que vous avez des exemples ?

La brochure de présentation donne trois exemples d’évolution de carrière d’anciens diplômés. Pour télécharger la brochure : Cliquez ici !

Est-ce que votre formation est accessible également en formation continue ?

Le programme n’est accessible qu’en formation continue.

Comment procédez-vous pour faire évoluer votre programme ?

Le programme est évalué en permanence par les participants. Ces évaluations sont la base d’une réflexion, menée par la direction pédagogique, quant à l’évolution du programme.


HEC, DECS, licencié en philosophie, docteur de 3° cycle en Sciences Economiques, docteur d’Etat en Sciences de Gestion, major du concours d’agrégation des universités, Philippe Raimbourg est Professeur de finance à l’Université Panthéon-Sorbonne où il dirige le Master « Ingénierie financière » et Professeur affilié à ESCP Europe où il dirige le Mastère « Ingénierie financière et fiscale » ainsi que le Stege « Ingénierie financière ». Il est l’auteur de plusieurs ouvrages de finance et a notamment co-dirigé l’ouvrage « Ingénierie financière, fiscale et juridique » auprès des éditions Dalloz (2009). Ses recherches portent sur le risque de défaillance des titres de créances et sur l’évaluation des produits hybrides et structurés.

« Les métiers comptables ont encore une image négative et ils sont peu connus »

Rencontre avec Anne Gateff, auteure de « Métiers comptables, métiers d’avenir », édité par l’Ordre des Experts-Comptables.

Est-ce que vous pouvez nous présenter vos parcours ?

J’ai un parcours atypique par rapport à la plupart des professionnels de l’expertise comptable.

J’ai travaillé dans la communication et en audit. Aujourd’hui, je suis consultante en formation et en rédaction, notamment auprès de la profession comptable. J’ai obtenu mon diplôme d’expertise comptable en 1998.

Pourquoi un guide sur les métiers comptables ?

L’ Ordre des Experts-Comptables souhaitait proposer un ouvrage consacré aux métiers de la comptabilité avec une volonté de donner une image plus vraie et plus humaine de la profession. Les métiers comptables ont encore une image négative et ils sont peu connus.

Quelles sont les opportunités en comptabilité ?

Les métiers de la comptabilité recrutent beaucoup. Quand on regarde la pyramide des âges des associés des cabinets, plus de 50 % des associés ont plus de 50 ans. Dans 10 ans il y aura donc beaucoup de possibilités. Les perspectives d’embauches sont très positives. J’ai constaté également de nombreuses opportunités dans ce qu’on appelle le service social aux entreprises. Il y a de nombreux besoins pour la paie et les contrats de travail.

Quels sont les métiers les plus intéressants ?

Tous les métiers de la comptabilité sont intéressants. Personnellement, j’aime particulièrement le métier de comptable unique qui est très riche. Le comptable unique travaille en totale autonomie. Il se doit d’être très polyvalent. Le responsable de consolidation est également un métier complet. C’est un métier qui a un contenu technique très fort. On pourrait cependant en dire autant de bien d’autres spécialités.

Est-ce qu’il vaut se mieux démarrer sa carrières en entreprise ou en cabinet ?

C’est un peu l’éternelle question. Les professionnels qui travaillent en cabinet estiment que le métier y est beaucoup plus varié avec une pression importante. En entreprise, il y a un peu moins de stress et on va peut-être plus au fond des choses. Le choix dépend du type d’environnement de travail qu’on apprécie. Pour démarrer sa carrière de comptable il peut être intéressant de commencer en cabinet. On y verra beaucoup de choses.

Quels sont les nouveaux métiers ?

La consolidation devient de plus en plus importante et de plus en plus spécialisée avec les normes IFRS. L’analyse financière est également de plus en plus présente dans les activités des entreprises. Les systèmes d’information se sont également très développés. C’est un créneau très porteur et de plus en plus présent dans les cursus de formations comptables.

Comment ont évolué les métiers comptables ?

Le métier comptable s’est largement automatisé au niveau des opérations. Cela laisse plus de temps pour faire de l’analyse de données et du conseil auprès des clients en cabinet ou des dirigeants en entreprise. La valeur ajoutée de la fonction comptable se développe aussi bien en cabinet qu’en entreprise.

Pourquoi présentez-vous les fonctions comptables dans le secteur public ?

J’ai pu rencontrer des comptables publics. Je pensais que les comptables publics faisaient la même chose qu’en entreprise. Or seuls 4000 professionnels assument cette fonction qui implique de manier les deniers publics.

Il y a des opportunités dans de nombreuses structures. Les collectivités territoriales font appel à des comptables. Cela peut être une possibilité d’évolution pour des professionnels du secteur privé.

La comptabilité publique a beaucoup évolué. Elle se rapproche de plus en plus de la comptabilité d’entreprise. Les recrutements se font en général par concours.

Est-ce que vous avez des conseils pour les étudiants qui voudraient devenir comptables ?

Mon conseil est de faire des stages. C’est un excellent moyen de savoir si on a envie de travailler dans ce domaine. L’aspect technique reste le socle du métier de comptable.

Il faut se tranquilliser sur le choix de la formation. Une formation comptable peut vous amener à exercer plus tard d’autres fonctions en entreprise que la comptabilité. C’est une formation intellectuelle qui permet d’avoir une connaissance profonde du monde de l’entreprise. On peut par exemple faire une école de commerce avec une option finances-comptabilité, ou bien un BTS ou encore un cursus licence-master à l’université.

La comptabilité est un métier d’avenir ?

On a toujours besoin de métiers comptables. On en aura besoin de plus en plus, c’est une aide au pilotage.

Pour commander l’ouvrage =>Cliquez ici !

Les nominations de la semaine en banque, finance, assurance

« Rubrique réalisée en partenariat avec Nomination : 1er service d’informations et de veille sur les décideurs. »

Aéroports de Paris : Directeur général adjoint chargé des finances et de la stratégie

Monsieur Edward Arkwright est promu directeur général adjoint chargé des finances et de la stratégie des Aéroports de Paris, à compter de septembre 2013.

Edward Arkwright, 39 ans, DEA histoire contemporaine (1998), ESSEC (1996), IEP Paris (1994), a réalisé le parcours suivant :

* 2012-2013 : Aéroports de Paris, directeur, chargé de mission auprès du président-directeur général.

* 2010-2012 : Caisse des dépôts, directeur de la stratégique, du développement durable et des études.

* 2007-2010 : Caisse des dépôts, directeur de cabinet du directeur général.

* 2005-2007 : Conseiller pour la réforme de l’Etat auprès de Thierry Breton, ministre de l’Economie, des Finances et de l’Industrie et de Jean-François Copé, ministre délégué au Budget et à la Réforme de l’Etat.

* 2004-2005 : Responsable des archives du Sénat.

* 2002-2004 : Cabinets de Francis Mer, ministre de l’Economie, des Finances et de l’Industrie et d’Alain Lambert, ministre délégué au Budget et à la Réforme budgétaire, conseiller technique.

* 1999-2002 : Commission des finances du Sénat, administrateur.

Aerium France (groupe Léonard de Vinci) : Directeur administratif et financier

Monsieur Nicolas Hostein est nommé directeur administratif et financier d’Aerium France (groupe Léonard de Vinci), à ce poste depuis janvier 2013.

Il est ainsi en charge de la supervision des comptabilités de plus de 200 sociétés organisées par fonds immobilier, de l’optimisation fiscale, de la gestion de la trésorerie associée en cash pooling par fonds, de la supervision du financement des fonds et des acquisitions et enfin, de la gestion DSI externalisée.

Il est membre du comité de direction. Il s’agit d’une création de poste.

Nicolas Hostein, 43 ans, DESCF (1994), a réalisé le parcours suivant :

* 2005-2011 : Akerys, directeur du contrôle de gestion.

* 1995-2005 : KPMG Audit, senior manager spécialisation Internal Audit Services.

Groupe Caisse des dépôts (CDC) : Directeur du pôle Finances, Stratégie, Filiales et International

Monsieur Franck Silvent est promu directeur du pôle Finances, Stratégie, Filiales et International du groupe Caisse des dépôts (CDC), à ce poste depuis mai 2013.

Il est sous la responsabilité directe de Monsieur Jean-Pierre Jouyet, directeur général.

Franck Silvent, 40 ans, inspecteur des finances, ENA (1998), IEP Paris (1993), a réalisé le parcours suivant :

* 2013-2013 : Groupe Caisse des dépôts, directeur du pilotage stratégique, du développement durable et des études.

* 2005-2012 : Compagnie des Alpes (Caisse des dépôts), successivement directeur Finance, stratégie et développement, directeur général adjoint et directeur général délégué.

* 2002-2005 : Caisse des dépôts, directeur adjoint de la stratégie, des finances, du contrôle de gestion et de la comptabilité.

European Professional Women’s Network : Trésorier

Madame Anne Frisch est nommée trésorier d’European Professional Women’s Network, à ce poste depuis avril 2013.

Elle est ainsi en charge de la trésorerie, de la gestion, de la comptabilité et du fund raising.

Elle est membre du comité de direction et du conseil d’administration.

Anne Frisch, 47 ans, HEC (1987), a réalisé le parcours suivant :

* 2012-2013 : Publicis Worldwide, chief financial officer Allemagne et Autriche.

* 2009-2011 : Areva, vice president finance Enrichment business unit.

* 2007-2009 : Alcan International Network (Rio Tinto Alcan), directeur financier.

* 2005-2007 : Alcan Packaging, directeur administratif et financier de la division Food France.

* 2003-2004 : Teris (groupe Suez Environnement), directeur de business unit.

* 2000-2002 : Teris, directeur administratif et financier.

* 1995-2000 : Sita (groupe Suez Environnement), directeur financier.

* 1989-1995 : Moulinex, chef de zone et directeur marketing export.

Scor : Chief financial officer

Monsieur Mark Kociancic est promu chief financial officer de Scor, à ce poste depuis mai 2013, en remplacement de Monsieur Paolo De Martin.

Il est sous la responsabilité directe de Monsieur Denis Kessler, président-directeur général. Il devient membre du comité exécutif du groupe.

Mark Kociancic, 43 ans, diplômé en commerce, finance et économie de l’université de Toronto, Chartered Accountant (CA) et Chartered Financial Analyst (CFA), a réalisé le parcours suivant :

* 2012-2013 : Scor, deputy group chief financial officer.

* 2010-2012 : Scor, executive vice president du Hub des Amériques.

* 2008-2012 : Scor, chief financial officer du Hub des Amériques.

* 2006-2008 : Scor US, senior vice president et chief financial officer.

* NC-2006 : Diverses fonctions au sein du secteur de l’assurance non-vie dans les groupes St Paul Guarantee, Avalon Risk Associates et Tokio Marine.

* 1992-NC : A commencé sa carrière dans les équipes assurances vie et non-vie d’Ernst & Young.

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« Cette formation de haut niveau s’inscrit dans le cursus des études d’expertise-comptable », Christiane FÖLL, Responsable du Master Comptabilité Contrôle Audit (CCA), Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne.

Est-ce que vous pouvez nous présenter le Master Comptabilité Contrôle Audit (CCA) ?

Le master Comptabilité Contrôle Audit (CCA) constitue le prolongement de l’ancienne MSTCF créée en 1984 au sein de l’UFR de Gestion de l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne.

Cette formation de haut niveau s’inscrit dans le cursus des études d’expertise-comptable et de commissariat aux comptes, mais aussi des métiers de la finance, du conseil, de l’audit….

Combien avez-vous de promotions ?

Dispensé en formation initiale, le master compte une promotion par année universitaire. 25 étudiants en master 1 et une trentaine en master 2.

Quel est l’objectif de la formation ?

Le Master CCA Sorbonne résulte d’une démarche ambitieuse : dispenser un enseignement alliant technicité et réflexion dans les différentes matières du programme. Il répond aux besoins des entreprises qui recherchent des profils « complets », capables non seulement d’exploiter des informations de sources différentes mais aussi de traiter une problématique dans sa globalité.

En effet, l’obligation pour les étudiants de raisonner de manière transversale en intégrant les contraintes juridiques, fiscales, sociales, budgétaires,… constitue un exercice utile et nécessaire. Cette capacité d’adaptabilité s’avère un atout indispensable pour une réussite universitaire et professionnelle.

L’équipe pédagogique se compose à parts égales d’enseignants reconnus dans leur domaine et de professionnels compétents sur les plans technique et pédagogique. Leur rôle consiste aussi à insérer les étudiants dans le monde professionnel dès le début de leur formation. Cette intégration s’effectue non seulement par des stages obligatoires, mais aussi grâce aux nombreuses manifestations organisées régulièrement : rencontres avec les cabinets, cocktail des anciens, conférences,…

Dès la fin de leurs études, la quasi-totalité des étudiants débutent leur stage du DEC de trois ans, ils sont recrutés par les Big 4 ou des cabinets de taille plus modeste. D’autres privilégient des carrières en entreprises dans le contrôle de gestion, la consolidation, l’audit interne, la finance…

Quels sont les points forts du programme ?

Selon l’expression consacrée, le master CCA constitue la voie royale à l’expertise-comptable. Afin de justifier de l’obtention de 5 UE sur 7 du DSCG, les cours du master 1 et 2 Comptabilité Contrôle Audit sont conformes aux programmes du DSCG. A l’issue de la formation, les étudiants se présentent aux examens nationaux des UE 1 et UE 4 du DSCG, les deux seules UE pour lesquelles aucune dispense n’est accordée.

Pour les deux UE manquantes, des cours spécifiques préparent les étudiants aux examens nationaux. Un certain nombre de cours complète la formation afin de préparer les étudiants à des postes à responsabilité en entreprises et en cabinets.

Le corps professoral se compose d’enseignants titulaires : Professeurs et Maître de Conférences mais aussi d’intervenants professionnels, spécialistes des matières dispensées.

Chaque année, les étudiants effectuent un stage pendant le premier semestre de l’année civile, période de haute activité de la profession. Des réunions cabinets – étudiants permettent aux étudiants de trouver leur stage et la signature de CDI par les futurs diplômés.

Les étudiants bénéficient d’un suivi individualisé. Pour faciliter l’intégration des étudiants, ils partent en séminaire en début d’année, par exemple à Barcelone en septembre 2013. Des parrainages sont organisés chaque année entre les étudiants de Licence 3 et ceux de master 1, idem entre le M1 et le M2. Un réseau d’anciens très actifs permet de tisser des liens entre les étudiants en cours de formation et leurs prédécesseurs.

Quels sont les profils des étudiants ?

La grande majorité des candidats sont issus de formations en gestion, économie, droit et exceptionnellement d’écoles de commerce. Des titulaires du DCG présentent leur candidature. Chaque année, plusieurs salariés désirent intégrer le master et reprendre leur formation.

Les origines des candidats sont des plus variées car la renommée du master conduit des étudiants de la France entière et de nombreux pays étrangers à candidater en Sorbonne. Certaines promotions ont compté jusqu’à 7 nationalités différentes. En moyenne, la moitié des étudiants vient de province.

Le master jouit d’une excellente réputation. SMBG classe ce master CCA premier des formations d’expertise-comptable depuis plus de 6 ans. Le nombre de candidats qui se comptent par centaines est un indicateur de l’attractivité du master.

A noter que les étudiants de L3 qui valident leur licence intègrent automatiquement le master 1 ; idem entre le M1 et le M2.

Comment est composé le corps enseignants ?

Le corps professoral se compose moitié d’enseignants chercheurs : professeurs ou maître de conférences et pour moitié d’intervenants professionnels : avocats, experts-comptables, commissaires aux comptes, enseignants de l’école nationale des finances publiques, dirigeants d’entreprise…

Quelles sont vos relations avec les entreprises ?

Depuis plusieurs années, le master a développé des partenariats avec les Big 4 (Deloitte, Ernst & Young, KPMG, PricewatershouseCoopers) mais aussi avec les plus grands cabinets français comme par exemple Mazars, Grant Thornton,… Certains cabinets de taille plus modeste sont des partenaires de longue date.

Ces partenaires animent des conférences d’actualité ou présentent les aspects pratiques de certains points théoriques du programme. Lors des réunions cabinets – étudiants, ils recrutent de nombreux étudiants en stage ou des diplômés en contrat à durée indéterminée.

Le master a aussi tissé des liens privilégiés avec la profession :
– Ordre des Experts Comptables ;
– La Compagnie des Commissaires aux Comptes.

Par ailleurs, le master est membre d’honneur de l’Académie de comptabilité. Les étudiants s’inscrivent dans les groupes de travail qu’ils désirent et participent à part entière au débat.

Que deviennent vos anciens ? Est-ce que vous avez des exemples ?

Selon l’expression consacrée, le master CCA constitue la voie royale à l’expertise–comptable. Les étudiants qui poursuivent cette formation se destinent sauf à de rares exceptions à cette profession. Diplômé du master, ils débutent leur stage d’expertise-comptable, stage obligatoire de trois ans. Certains créent leur société ou reprennent des entreprises familiales.

De nombreux anciens sont devenus associés dans des cabinets d’expertise-comptable, de commissariat aux comptes, d’audit et de conseil. D’autres ont rejoint les services comptables et financiers, de consolidation, de contrôle de gestion ou d’audit interne dans une entreprise industrielle ou commerciale, dans un groupe de sociétés ou dans une organisation publique.

Est-ce que votre formation est accessible également en formation continue ?

La formation est dispensée uniquement en formation initiale.

Comment procédez- vous pour faire évoluer votre programme ?

L’évolution des programmes résulte soit de l’évaluation des enseignements par les étudiants et / ou du conseil de perfectionnement.

L’évaluation des enseignements s’effectue en deux étapes :

1) A la fin de chaque semestre, une fiche d’évaluation des enseignements est envoyée par email aux étudiants. Ces derniers la complètent, l’éditent et la transmettent au délégué de classe afin d’assurer un total anonymat des réponses.

2) le responsable du diplôme rencontre les étudiants. Après la synthèse des réponses, une réunion permet de dégager les évolutions et les améliorations possibles à mettre en œuvre.

Un conseil de perfectionnement
o analyse les résultats des évaluations des enseignements par les étudiants ;
o débat des orientations de la formation non seulement sur le plan académique mais aussi professionnel afin de coller le plus possible à la réalité de la profession.

Ces conseils se réunissent à la demande de leurs membres et au minimum une fois par an.


De formation économique et juridique, Christiane FÖLL est titulaire d’un DEA Sciences de Gestion, d’une Maîtrise Droit des Affaires, d’un Doctorat en Sciences de Gestion ainsi que du diplôme d’expertise-comptable. Maître de Conférences à l’Université Paris 1 Panthéon – Sorbonne depuis 1986, elle est responsable de la Licence 3 Comptabilité et du Master Comptabilité Contrôle Audit.

« La formation est comme précisé axée sur la pratique de la gestion transnationale de patrimoine », Emmanuel JURCZENKO et Jean-Philippe MABRU, Responsables du Mastère Spécialisé International Wealth Management, ESCP Europe.

Est-ce que vous pouvez nous présenter le Mastère Spécialisé International Wealth Management ?

Dès 1995, ESCP EUROPE a créé l’un des tous premiers mastères spécialisés en gestion de patrimoine (Full-time) qui, fort de son succès, a été décliné en 2005 dans une version executive.

Face au développement d’un environnement professionnel multiple, à une internationalisation croissante et de plus en plus complexe des structures patrimoniales et des acteurs dans ce domaine et à l’encadrement des activités dédiées à la gestion de patrimoine, nous avons décidé de faire évoluer ces deux formations vers un véritable cursus international, unique en son genre.

La formation d’origine très centrée sur la marché français du private banking est totalement réorientée vers l’étude des mécanismes transnationaux de gestion patrimoniale tant en droit et fiscalité, qu’en finance et gestion.

Déjà accrédité par la Conférence des Grandes Ecoles, le programme fera aussi l’objet d’une accréditation auprès de la FSA (Royaume Uni) et de la FINMA (Suisse).

L’enseignement, dispensé pour partie en anglais, se tiendra principalement sur le Campus de Paris de l’ESCP EUROPE mais aussi à l’occasion de séminaires d’une semaine à Londres et Genève pour la version Full Time du programme, à Londres, Genève et Luxembourg pour le MS Executive.

Les modules de cours sont complétés par des cycles de conférences pluridisciplinaires destinées aux étudiants mais aussi ouvertes à tout public professionnel, qui sont organisées sur les différents sites d’enseignement du MS : Paris, Londres, Genève et Luxembourg.

La première promotion de ces nouveaux MS, qui s’appuie sur les 20 années d’expérience du MS Full-time Gestion de Patrimoine, débutera en Septembre 2013.

Le programme est divisé en 7 modules principaux qui représentent au total un peu plus de 410h de cours :
– Environnement du Wealth Management, Relationship Management et Régulations Etatiques
– Droit et Fiscalité du Patrimoine Privé
– Stratégies Globales d’Investissement
– Allocations d’actifs et Gestion de Portefeuille
– Stratégies Alternatives d’Investissements
– Gestion de Patrimoine et Sociétés
– Stratégies de Planification Financière Personnelle

La méthode d’enseignement est axée sur la pratique avec la participation active des étudiants au travers de cas, d’exercices de jeux de rôles, de discussions et débats de groupe avec des professionnels.

Combien avez-vous de promotions ?

Deux promotions par an. Une sous le format Full-time et une seconde sous le format Exécutive.

Créée en 1994, la formation Full-time à destination d’étudiants niveau M2/M1 s’organise autour de six mois de cours intensif de Septembre à Mars et 6 mois de stage. La promotion sortante est ainsi la 19ieme promotion Full-time.

Lancée en 2005, la formation Exécutive s’organise quand à elle autour de 15 mois de cours une fois toute les 3 semaines (Jeudi, Vendredi et Samedi), de Septembre à Décembre. La promotion sortante est ainsi la 8ieme promotion Executive du MS gestion de patrimoine ESCP EUROPE.

A noter que ces deux formations font l’objet d’un contrôle continu et sont sanctionnées par la délivrance du diplôme Mastère Spécialisé de l’ESCP EUROPE, après soutenance d’une thèse professionnelle.

Quel est l’objectif de la formation ?

La formation est comme précisé axée sur la pratique de la gestion transnationale de patrimoine. Elle a donc pour objectif de former les participants, étudiants ou professionnels, aux complexités des patrimoines internationaux, aux enjeux de la mobilité internationale et à la diversité des règles juridiques et fiscales d’un tel environnement.

Il s’agit de leur donner les bons réflexes leur permettant d’appréhender les spécificités des fortunes d’aujourd’hui dans un contexte en perpétuel mouvement.
Nous voulons en faire une formation d’excellence.

Quels sont les points forts du programme ?

Clairement, le point fort du programme, et ce qui en fait son caractère unique dans l’ensemble des formations existantes, est son orientation internationale.

Tout en conservant une base française, toutes les matières sont abordées dans une optique transnationale par une étude comparée des règles existant dans les principales régions du monde, offrant ainsi une diversité et un champ d’approfondissement incomparable.

De nouvelles matières sont introduites, telles les problématiques de compliance, organisation et administration des fonds, les structurations transnationales d’actifs, la finance comportementale, le marché international de l’art, la finance islamique, la gestion des risques …

Cette diversité se retrouve dans les intervenants qui, pour beaucoup, sont des praticiens étrangers (Etats Unis, Royaume Uni, Suisse, Belgique, Luxembourg, Pays Bas, Italie, Liban…).

Enfin, les séminaires en immersion sur le campus de Londres de l’ESCP EUROPE, mais aussi à Genève et à Luxembourg (MS Executive) confortent cette vocation internationale.

Quels sont les profils des étudiants ?

Les profils de nos étudiants sont variés. Concernant la formation Full-time, plus de la moitié de nos étudiants proviennent d’école de Management (ESC Toulouse, Skema, HEC Lausanne,…), 30 à 40% provenant de formations Universitaires de Droit (Assas, Panthéon-Sorbonne) ou d’économie (Paris-Dauphine, Panthéon-Sorbonne, Lyon), le reste provenant d’écoles d’ingénieurs. Pour ce qui concerne la formation Executive, les profils sont encore plus varié de part la nature de la formation (trader, juriste, assureur, ingénieur,…).

Comment est composé le corps enseignant ?

Les cours dispensés au sein du mastère sont supervisés par les Directeurs Scientifiques.

Tous les professeurs et intervenants sont soit des professeurs permanents de l’ESCP EUROPE, soit, et principalement, des professionnels reconnus au plan international dans leurs secteurs d’activités respectifs. Ils se composent notamment d’avocats internationaux, de notaires, de dirigeants de grandes banques et banquiers privés, d’assureurs…

Consacrant le caractère multiculturel du mastère, et tel que nous l’avons déjà dit, les intervenants sont originaires de pays multiples : Etats Unis, France, Italie, Liban, Luxembourg, Suisse, Pays Bas, Royaume Uni…

Quelles sont vos relations avec les entreprises ?

Nous avons souhaité travailler en relation très étroite avec les grands intervenants de la gestion internationale de patrimoine.

C’est ainsi que nous développons un réseau de partenariats avec de grandes banques et compagnies d’assurance, mais aussi de cabinets d’avocats internationaux et d’audit.

Des représentants de ces partenaires intègrent un Advisory Board dont le rôle consiste à participer à la définition des grandes orientations de la formation, développer son contenu et favoriser son évolution en, relation avec celle des grands acteurs de la gestion de patrimoine dans le monde.

De même, de nombreuses personnalités reconnues de grandes entreprises interviennent directement au sein des cours des MS.

Que deviennent vos anciens ? Est-ce que vous avez des exemples ?

Pour ce qui est du Full-time, l’essentiel de nos anciens évoluent vers des postes de gérants privés ou d’ingénierie patrimoniale au sein de grandes structures bancaires de type Crédit Suisse, UBS, Edmond de Rothschild,… A noter également que de nombreux anciens ont également monté ou rejoint des structures indépendantes de type family office ou évolué vers des poste de gestion sous mandat.

Pour ce qui concerne l’Executive, on retrouve les mêmes évolutions de carrières avec une dominante naturellement plus marquée sur la création de structures indépendantes de type family office.

Full-time : Thomas Le Forestier (2005) – Gérant Privé Lagane, Genève; Marie Vandermersch-Oudar (Promo 2006) – Responsable Client Services, HSBC Paris ; Samya Badouraly, Ingénieur Patrimoniale Pictet&Cie Paris (2007); Arnaud Vouaux (2008), Banquier privé LCF Edmond de Rothschild, Paris ; Maxime Chaîne (2010), Banquier privé, Crédit Suisse, Genève.

Part Time : Caroline Boher (2006) – sales Director Swiss Life, Monaco; Pierre Briand (2007) – Banquier Privé JP Morgan, Paris; Jérôme Lazare (2009)-, Founding Partner ResFamiliaris LLP, Londres, Frederick Haskell (2010) – Founder Haskell Patrimoine Conseil, Paris.

Est-ce que votre formation est accessible également en formation continue ?

Le Mastère Spécialisé International Wealth Management existe en deux versions.
Un MS full time destiné aux étudiants dont les cours sont dispensés sur une période de 6 mois.

Un MS Executive pour les professionnels avec des cours sur 15 mois à raison de 3 jours (du jeudi au samedi inclus) toutes les 3 semaines.

Comment procédez-vous pour faire évoluer le programme ?

Ainsi que nous l’avons déjà précisé, les évolutions du programme seront définies en fonction de l’évolution même des grands acteurs de la gestion internationale de patrimoine. C’est au sein de l’Advisory Board que ces réflexions seront menées afin de répondre au plus près des besoins exprimés.

Nous réfléchissons d’ores et déjà à des évolutions de la formation à temps plein vers l’Amérique du Nord (Canada et Etats Unis) et les Pays du Golfe (Dubaï) par le biais de séminaires locaux de plus longue durée, ainsi qu’à plus long terme vers l’Asie.

Emmanuel JURCZENKO, Docteur ès Sciences Economiques (Université Paris-1), professeur permanent d’ESCP Europe – Département Finance. Professeur invité HEC Lausanne (IBF) et membre organisateur de l’IDR “développement de la gestion quantitative” (QMI, fondation du risque). Activités dominantes: gestion de portefeuille, risk-budgeting et gestion alternative.

Jean-Philippe MABRU, Professeur affilié à l’ESCP EUROPE, Avocat au Barreau de PARIS, Associé Fondateur et Gérant du Cabinet ARTALES AVOCATS. Ancien Associé et Directeur du Département Patrimoine de CMS BUREAU FRANCIS LEFEBVRE et Of Counsel du Cabinet COUDERT FRERES. Expertises : Droit des personnes et des problématiques juridiques et fiscales transnationales de gestion et d’organisation patrimoniales – Trusts, fiducies et fondations – Droit et fiscalité de l’art.

« Les banques et caisses régionales sont actuellement les plus actives en matière de recrutement », Stanislas d’Aboville, Responsable Banque Assurance, Randstad Search & Selection

Quelles sont les structures les plus actives sur le marché ?

Les banques et caisses régionales sont actuellement les plus actives en matière de recrutement. Le turnover étant plus limité en région, les besoins sont plus difficiles à pourvoir car il faut alors recruter des candidats en provenance de concurrents.

Par ailleurs, nous constatons toujours de réelles difficultés à pourvoir certains profils expérimentés dans des localisations géographiques à faible densité de population : conseillers professionnels, CGP…

Les établissements bancaires font plus volontiers appel à des chasseurs de têtes comme nous pour les aider à identifier et sélectionner des candidats expérimentés. Dans ces localisations compliquées, les réseaux bancaires font preuve de plus d’ouverture et de souplesse dans la définition des profils des candidats recherchés.

Est-ce que les pratiques des recruteurs ont évolué ?

Dans les années 90 et 2000, la priorité allait à la conquête de nouvelles parts de marché et, du coup, les réseaux bancaires privilégiaient les profils très commerciaux. Depuis l’avènement de la crise en 2008, les établissements recherchent non seulement des candidats ayant une capacité à développer un portefeuille mais également une capacité à bien sélectionner et gérer les risques.

Quels changements constatez-vous au niveau des candidats ?

Les candidats sont plus prudents, ils sélectionnent davantage les offres auxquelles ils postulent. Certains sont même devenus suspicieux quant à la réelle santé financière des établissements concurrents du leur.

Les cabinets de conseil en recrutement doivent quant à eux faire plus de pédagogie pour présenter les opportunités professionnelles, leurs clients, le contexte du recrutement et l’environnement culturel de l’entreprise. Les candidats ont parfois des préjugés sur certains établissements.

A nous de les éclairer et orienter dans leurs choix de carrière en prenant garde de rester fidèle au discours de nos clients RH. C’est à nous de trouver les bons leviers pour attirer les candidats et chasser les idées reçues sur les établissements (perspectives d’évolution, gestion des RH…).

Comment ont évolué les métiers en banque de réseau ?

Le métier de Chargé d’Affaire Entreprise a évolué. Les banques sont désormais plus attentives aux coûts de refinancement et de liquidité. Le Chargé d’Affaire doit aujourd’hui poursuivre son travail de sélection et gestion du risque dans un environnement règlementaire contraignant.

Comment se positionne Randstad Search & Selection sur les recrutements bancaires ?

Randstad Search & Selection est une filiale à 100% du groupe Randstad, le 2ème acteur mondial des services en ressources humaines. Et Randstad Search & Selection est le cabinet de conseil en recrutement du groupe. Nous intervenons sur les missions qui nous sont confiées par approche directe et chasse de tête sur les populations cadres et cadres supérieurs sur l’ensemble du territoire français (8 bureaux à Paris, Lille, Strasbourg, Lyon, Marseille, Toulouse, Bordeaux, Nantes).

Pour répondre au mieux aux attentes de nos clients, nos consultants et chargés de recherches sont spécialisés par métier ou par secteur d’activité. Nous intervenons en binôme (consultant / chargé de recherche) sur les missions qui nous sont confiées.

Quant au Pôle Banque Assurance, il a été créé en 2005. Nous intervenons sur tous les métiers de ces deux secteurs d’activité avec bien sûr une activité importante dédiée au recrutement en banque de détail. Nos consultants et chargés de recherches ont une réelle expertise du monde financier et sont en parti d’anciens opérationnels du secteur bancaire ou assurantiel. Je suis d’ailleurs pour ma part un ancien chargé d’Affaire de BNP Paribas.

Nous nous appuyons également sur le maillage territorial et les centres expert du Groupe Randstad France pour pourvoir aux missions qui nous sont confiées.

Salon ACCESS MBA One-to-One à Paris (22ème Edition)

Samedi 25 Mai 2013
Hôtel Le Lutetia
45 Boulevard Raspail 75006 Paris
Métro : Sèvres Babylone lines 10 + 12
09:00-16:00

09:00: Ouverture du salon

09:30-13:00 : Rendez-vous One-to-One et workshops

13:00-14:00 : Conférences (directeurs des admissions, centres GMAT…)

14:00-16:00 : Rendez-vous One-to-One et workshops

À l’heure où les marchés financiers et le secteur du recrutement sont de plus en plus mondialisés, l’intérêt pour les études commerciales n’a jamais été aussi grand. En offrant aux candidats potentiels aux MBA la possibilité de rencontrer directement des représentants des meilleures écoles de commerce internationales au monde, l’Access MBA One-to-One Tour est une façon originale et efficace de trouver le bon MBA.

Essor mondial des études commerciales
Le récent ralentissement économique a mis en lumière l’importance actuelle de l’inter-connectivité au niveau mondial dans le monde des affaires et le besoin qu’ont les professionnels d’acquérir un profil international pour devenir des chefs de files modernes dans leur industrie. Une perspective mondiale est un avantage de plus en plus important pour les personnes aux ambitions professionnelles prononcées, partout dans le monde.

Bien que la sécurité de l’emploi ait diminué et que le marché du travail se soit montré limité ces dernières années, de nombreux chefs d’entreprise ont saisi cette occasion pour développer leurs carrières. Avec les progrès récents des économies mondiales, de nouvelles opportunités en matière d’éducation et d’emploi ont pris forme et attiré l’attention des professionnels dans le monde entier. De nombreuses récompenses attendent les candidats ayant récemment obtenu un MBA d’une école de commerce internationale de très haut niveau. Un sondage effectué par le Graduate Management Admission Council (GMAC) auprès d’anciens élèves en 2011 montre qu’un diplôme de commerce offre des débouchés impressionnants : 94% des titulaires d’un MBA ayant trouvé un nouvel emploi après l’obtention de leur diplôme ont indiqué qu’ils « n’aurai[ent] pas pu obtenir cet emploi sans [leur] diplôme d’études supérieures de gestion ».

Les demandes d’inscription et les investissements dans les écoles de commerce sont montés en flèche lors de la crise économique mondiale de 2009 et rien ne semble indiquer de ralentissement. Le volume des demandes d’inscription aux MBA à temps plein est plus important que jamais, tandis que les demandes d’inscription aux études à temps partiel et à distance restent stables.

Un service exclusif et efficace pour les candidats aux MBA
L’Access MBA Tour est une série d’événements ciblés centrés sur des services personnalisés de très haute qualité pour les candidats aux MBA. Pendant le Tour, des professionnels qualifiés auront l’occasion d’y rencontrer des représentants d’écoles de commerce au cours d’entretiens privés en tête-à-tête (« One-to-One »). De plus, des conseillers d’Access MBA présents à l’événement orienteront les candidats vers les écoles de commerce qui correspondent le mieux à leurs exigences. Cette orientation personnalisée et les discussions individuelles avec les responsables chargés des admissions sont deux aspects qui différencient Access MBA des autres organisateurs de salons. « À l’inverse des grands salons commerciaux, les réunions « One-to-One » se sont révélées ces six dernières années comme le meilleur outil pour répondre aux besoins spécifiques à la fois des écoles et des candidats. Elles ont permis à notre société d’organiser près de 50 événements de ce type en 2012, ce qui représente une croissance annuelle de plus de 20 pourcent depuis 2004 », explique Christophe Coutat, fondateur et directeur d’Access MBA Tour.

« Nous sommes convaincus de l’utilité des événements One-to-One d’Access MBA, car nous rencontrons constamment des candidats de haute qualité qui correspondent à notre programme et à nos objectifs de recrutement. Nous en rencontrons ainsi bien plus que dans un salon traditionnel, et ils ont de bien meilleurs profils et une plus grande motivation », ajoute Helen Dowd, responsable des admissions à la Manchester Business School. Cette école de commerce, classée parmi les vingt meilleures écoles au monde, participe à l’Access MBA Tour chaque année.

Écoles participantes
L’Access MBA Tour comprend plus de cent écoles de commerce accréditées et reconnues au niveau mondial. Les écoles participantes comprennent : HEC Paris, INSEAD, l’EDHEC, l’ESCP Paris, ESADE, London Business School, Manchester Business School, SDA Bocconi, Vlerick Leuven Gent, Hult Interntional Business School, IE Business School, University of Chicago Booth…

Participants aux événements
Les candidats correspondant aux critères d’admission des écoles, sont invités à des entretiens en tête-à-tête (« One-to-One ») et à des workshops en petits groupes. Les candidats qualifiés sélectionnés pour ces réunions personnalisées ont au moins 3 ans d’expérience professionnelle et une Licence ou équivalent. Le salon est ouvert à tous les candidats inscrits.

Participation à l’Access MBA Tour
Pour avoir une chance d’être sélectionné pour des entretiens en tête-à-tête (« One-to-One ») avec des écoles de commerce, les candidats MBA doivent d’abord s’inscrire aux événements sur le site www.accessmba.com. Après avoir reçu leur inscription, les consultants du salon Access MBA passeront en revu les profils des candidats et sélectionneront les personnes qualifiées pour les entretiens « One-to-One ».

À propos d’Access MBA
L’Access MBA Tour organise près de 65 événements « One-to-One » par an dans plus de trente villes du monde. Access MBA est un projet d’Advent Group, une agence de communication basée à Paris qui organise des événements pour le secteur de l’éducation et du recrutement à travers l’Europe, le Moyen Orient et l’Amérique du Nord et du Sud et l’Asie.

Quel métier en Banque d’investissement & financement ? Découvrez le Métier de Trader Algorithmique avec Paul, Investment Banking.

 » Pour les jeunes diplômés, il n’est pas rare d’avoir un salaire d’ingénieur classique pour 70H de travail « , Paul , Trader Algorithmique, Investment Banking.

Je fais partie de la génération qui a été diplômée au moment de la crise, cela fait donc 4 ans que je vis quotidiennement les extrêmes des marchés financiers.

Entre le crack de 2008, le néant de mars 2009, le grand cru de la fin 2009, une année hystérique en 2010 avec un marché forex très instable, une année difficile en 2011 avec la dette des pays devenue la cible des marchés et dictant qui devraient être les futurs dirigeants des PIGS, un été 2011 catastrophique et incertain, suivi d’un premier trimestre historique en 2012 – survivre durant cette période tient du miracle donc.

Pour les jeunes diplômés comme moi au moment de la crise – et sa continue encore, il faut passer par dessus un lot d’une centaine de candidats pour un poste et bien souvent le poste s’avère difficile à garder, dépendant du management quant à la décision d’investir dans tel ou tel desk et donc permettant plus ou moins de se développer ou nous contraignant juste d’espérer survivre, d’être toujours là encore à la fin de l’année quelque soit son P&L bien souvent.

Enfin les bonus sont extraordinaires que pour les managers mais pas pour les jeunes, je vois souvent des VIE ou des pseudos offres de travail en tant qu’assistant qui correspondent ni plus ni moins, à un poste de secrétaire, bien souvent en vous faisant miroiter un CDI au bout qui n’arrivera jamais.

Le nombre de trader a diminué depuis 2008, mais le P&L est bien là, cependant concentré dans les meilleures boîtes hedge funds, prop house, top 10 des CIB et les bonus paraissent être à la hausse à la City comme à Wall Street donc qui profite ?

Ceux de la génération précédente, déjà benedite de bénéficier d’un contexte favorable de croissance lors que ces jeunes encore boutonneux ont été diplômés (2000-2006) et désormais, si ils ont survécu aux diverses rafles des licenciements depuis 2008, ils profitent d’une plus grande part de gâteau.

Enfin, il y a une inégalité encore plus croissante entre les investments banks du top 10 et le reste. Les records de bonus que l’on entend souvent concernent souvent ces gens là devenus managers depuis.

Pour les jeunes diplômés, il n’est pas rare d’avoir un salaire d’ingénieur classique pour 70H de travail, alors qu’avant 2008, ils pouvaient espérer toucher les 100K au bout de la deuxième année. Seul le top 10 permet d’offrir de tels salaires d’entrée à ces jeunes diplômés.

Ce poste n’est plus que bien souvent cantonné qu’aux plus prestigieuses Ecoles d’Ingénieurs (top 5) et d’Universités étrangères ET pour ceux ayant obtenu une mention très bien ou un PhD.

Ceux-là peuvent encore se targuer d’être le roi et choisir sa destinée.

Pour les autres, il va falloir se battre contre la horde, et seul le vainqueur de ce péplum pourra espérer obtenir un poste… pour le moment.

Car bien souvent ce poste est un poste éjectable. Il n’est plus question de penser sur le moyen terme, c’est-à-dire, avoir un projet dans 3 ans. Il faut avoir les reins solides ou être naturellement excellent dans son domaine pour espérer rester là dans 3 ans.

Désormais, pour se démarquer il faut avoir un réseau, seul le bouche-à-oreille permet de rentrer dans ce milieu très fermé avec une très forte probabilité. Ensuite, devenir simple trader n’est pas suffisant pour s’ouvrir des perspectives d’emploi.

Il faut aussi être quant car les postes les plus alléchants concernent le trading algorithmique. Il suffit de voir le nombre d’offres pour ce type de profile.

Ceux qui sortent éjecter de la matrice doivent désormais prendre la pilule bleu et arrêter de rêver à Hollywood, mais doivent penser plutôt se reconvertir gentiment dans d’autres secteurs, les nouvelles technologies notamment, certains ont fait le bon choix dès 2008!

C’est pourquoi désormais la plupart des futurs MBAs choisissent en priorité la silicon valley proposant des salaires plus élevés que la finance désormais…

Ceci ne reflète que mon opinion parmi tant d’autres; Mais pour les stats, genre grille de salaires, postes à pourvoir, nombre de licenciements /embauches à la City et Wall Street depuis les années 2000, la priorité des MBAs, je vous conseille de googler!

+ d’avis sur le Métier de Trader

« Les jeunes diplômés doivent être aptes à décrypter et simplifier pour leurs clients l’environnement juridique et fiscal « , Bénédicte Granger, Responsable du Master Gestion du Patrimoine, Université Paris-Dauphine

Est-ce que vous pouvez nous présenter le Master Gestion de Patrimoine ?

L’Institut Universitaire Professionnel Banque-Finance-Assurance a été créé en 1993. Il dispensait des enseignements spécialisés en économie-finance, commerce-marketing, langues et droit-fiscalité pour la gestion de patrimoine en deuxième-troisième et quatrième année de l’université. Le diplôme de sortie était une maîtrise et un diplôme d’ingénieur-maître en gestion de patrimoine.

En 2006, avec l’application du système européen LMD, les enseignements ont évolué vers une troisième année de licence en gestion parcours gestion de patrimoine et en deux années de master gestion de patrimoine.

Combien avez-vous de promotions ?

13 promotions de maîtrise, ingénieur-maître et 7 promotions de master.

Quel est l’objectif de la formation ?

L’objectif de cette formation est de former des spécialistes de la gestion de patrimoine capables de conseiller leurs clients en termes d’arbitrage au sujet de leurs actifs et de formes de structures patrimoniales en adéquation avec leurs besoins.

Les jeunes diplômés doivent être aptes à décrypter et simplifier pour leurs clients l’environnement juridique et fiscal tout en les guidant dans l’univers des placements.

Les diplômés sont capables de travailler sur:
1- les aspects juridiques et fiscaux français et internationaux de la création, gestion et transmission de patrimoine : prévoyances, épargne, retraite.
2- Les régimes matrimoniaux et le droit de la famille.
3- La transmission du patrimoine du particulier et du professionnel.
4- L’assurance-vie et la préparation à la retraite.
5- La sélection de fonds, les stratégies de placement et la gestion de valeurs mobilières.
6- Le patrimoine immobilier et autre types de patrimoine: art, vigne…

Compétences disciplinaires spécifiques :
– Comprendre l’économie des marchés financiers
– Analyser la situation financière du client (particuliers/personnes physiques/professionnels) et réaliser un bilan de sa structure patrimoniale selon l’approche globale
– Définir avec le client ses objectifs (constitution d’une épargne, protection, transmission..) selon ses besoins (régime matrimonial, succession)
– Etablir une étude patrimoniale, proposer les cadres juridiques, fiscaux et les produits adaptés en vue d’optimiser sa situation patrimoniale et fiscale
– Déterminer une stratégie financière, conseiller en gestion d’actifs
– Orienter si besoin le client vers des spécialistes (avocat, notaire)
– Etablir ou vérifier les documents justificatifs de placement les rapports de rentabilité des produits financiers contractés et les adresser au client
– Suivre et mettre à jour les dossiers clients à chaque évènement (succession, cession de bien)
– Développer un portefeuille de clients/prospects et connaître les principes de la relation –client
– Appliquer la réglementation financière

Compétences scientifiques générales :
– Comprendre et appliquer les règles juridiques et fiscales, lire et analyser les décisions juridiques qui concernent la fiscalité française, européenne, internationale des particuliers, des entreprises et des travailleurs non salariés
– Maîtriser notamment les principes du droit civil et du droit du patrimoine professionnel qui concernent les particuliers, les professionnels et les entreprises
– Maîtriser les outils de gestion financière, calculs financiers, l’utilisation de logiciels financiers, la comptabilité générale
– Savoir analyser les risques financiers

A la fin de la formation, Le diplôme et le grade du Master permettent d’obtenir la compétence juridique appropriée, utile à certaines professions du domaine concerné.

Quels sont les points forts du programme ?

L’ensemble de la problématique de la gestion de patrimoine peut être approfondie et menée à des niveaux d’expertise car elle est étalée sur 3 ans soit en totalité 1447heures de cours sur les 3 années et simplement 871heures pour les deux années de master.

En master 2 sont dispensés des cours en responsabilité civile et pénale de la fonction, la dimension internationale du droit et de la fiscalité internationale, les actifs alternatifs comme le patrimoine viticole et l’art et enfin les problématiques du chef d’entreprise.

L’Institut Gestion de Patrimoine a des liens très forts ou partenariats avec un certain nombre d’entreprises développant des activités de gestion de patrimoine ou de fortune.

Les étudiants doivent, chaque année faire un stage, les masters 2 sont soit en stage de 6 mois soit en apprentissage ou en contrat de professionnalisation.

Quels sont les profils des étudiants ?

Les étudiants du master 2 sont à 90% des bac+4 et 10% des bac+5.

Ils proviennent à 70% de formations universitaire, à 27.5% d’Ecoles de commerce, à 2.5% d’IEP. L’IGP recrute chaque année des nouveaux éléments qui bénéficient de mise à niveau.

Ils sont soit juristes, soit financiers ou ont commencé à se spécialiser en gestion de patrimoine.

Comment est composé le corps enseignants ?

L’équipe pédagogique est composée :

– d’enseignants-chercheurs de l’Université Dauphine en économie, en droit et en finance
– d’intervenants professionnels spécialisés en ingénierie patrimoniale (avocats, notaires, banquiers privés, gestionnaires de fortune, CGPI)
– d’intervenants professionnels spécialisés sur les marchés financiers ou l’analyse comptable et financière et l’évaluation des risques (sales, traders, gestionnaire d’actifs, ingénierie financière, expert comptable…).

Quelles sont vos relations avec les entreprises ?

Relations fortes : voir les points forts

Métiers visés : Les métiers visés sont ceux de la gestion de patrimoine exercés dans les établissements financiers, les compagnies d’assurance, les caisses de retraite, les sociétés immobilières, les services financiers des entreprises, les sociétés de conseil et de gestion d’actifs : conseillers en gestion de patrimoine ou chargés de clientèle particulière ou institutionnelle, gestion privée, family office…

Taux d’insertion professionnelle promotion 2012 : à 6 mois 93.8%

Partenariat en 2011-2012 : Amundi, AGF Asset Management, Agami, Axa, B*Capital,, Banque Neuflize, Banque Palatine, Banque Postale, BNP Paribas Banque privée, Banque Privée Européenne, Bred Banques populaires, Crédit Agricole CRC AP, Crédit du Nord, Edmond de Rothschild, Expert et Finance, HSBC, La Compagnie 1818, LCL Crédit Lyonnais Banque privée, Natixis, Oddo et Cie, Pictet et Cie, Société Générale Private Banking,,..

Que deviennent vos anciens ? Est-ce que vous avez des exemples ?

Certains anciens peuvent être devenus des intervenants de la formation. Ils ont des expériences riches et diversifiées.

Est-ce que votre formation est accessible également en formation continue ?

Oui. Nous avons des étudiants de formation continue en master 1 et en master 2.

Comment procédez-vous pour faire évoluer votre programme ?

Comité de pilotage formé par des gens du métier et des enseignants-chercheurs qui se réunit au moins une fois par an.