Les nominations de la semaine en banque, finance, assurance

« Rubrique réalisée en partenariat avec Nomination : 1er service d’informations et de veille sur les décideurs. »

Allianz France (groupe Allianz SE) : Directeur de l’actuariat au sein de l’unité Finance

Monsieur Richard Wofford est promu directeur de l’actuariat au sein de l’unité Finance d’Allianz France (groupe Allianz SE), à compter du 1er juillet 2012, en remplacement de Monsieur Sébastien Bachellier. Il est sous la responsabilité directe de Monsieur Jürgen Gerke, membre du comité exécutif en charge de l’unité Finances.

Richard Wofford, 49 ans, master en sciences mathématiques appliquées de Clemson University (Etats-Unis), membre de la Société des actuaires des Etats-Unis, a réalisé le parcours suivant :

– 2009-2012 : Allianz Life Korea, directeur de l’actuariat.

– 2005-2009 : Allianz SE (à Munich), vice-président du département Planning & Contrôle.

– 2002-2005 : ING Group (Chili), directeur de l’actuariat et des risques.

– 1998-2002 : ING Group (Pays Bas), actuaire.

– 1994-1998 : ING Group (Etats-Unis), actuaire pour l’activité Réassurance.

– 1988-1994 : En poste chez Confederation Life Atlanta (Etats-Unis).

– 1987-1988 : Début de carrière chez Provident Life & Accident Chattanooga (Etats-Unis).

La Française Real Estate Managers (La Française REM) : Directeur des financements structurés

Monsieur Bertrand Carrez est nommé directeur des financements structurés de La Française REM (Real Estate Managers), à ce poste depuis mars 2012.

Il est chargé d’animer la plateforme d’investissement en produits de dettes en première séquence adossée à de l’immobilier, dont vient de se doter La Française REM afin de répondre à la demande de sa clientèle institutionnelle.

Bertrand Carrez, 53 ans, master en business management de l’université de Lille (1982), ingénieur génie civil des Arts et Métiers (1981), a réalisé le parcours suivant :

– 2010-2012 : Athema, senior advisor.

– 2000-2010 : Natixis, directeur des financements immobiliers monde.

– 1996-2000 : Natixis, chargé d’affaires senior du pôle Real Estate Finance.

– 1992-1996 : Crédit national, responsable du département Formation.

– 1986-1992 : Crédit national, gestionnaire de compte.

– 1983-1986 : A commencé sa carrière comme animateur des ventes au sein de Total.

JPMorgan Private Bank : Investisseur senior

Monsieur Pierre-Alain Dana est nommé investisseur senior au sein de JPMorgan Private Bank, à ce poste depuis juin 2012. Il est sous la responsabilité directe de Monsieur Jean-Baptiste Douin, managing director, responsable de l’activité Banque privée en France de JPMorgan.

Pierre-Alain Dana, Centrale Paris (1987), a réalisé le parcours suivant :

– 2008-2012 : Montana Partners, associé.

– 1997-2008 : Morgan Stanley, executive director en charge de l’équipe de vente de produits de taux.

– 1993-1997 : Merrill Lynch, en poste au sein de l’équipe de vente de produits de taux.

Association française des banques (AFB) : Vice-président

Monsieur Philippe Wahl est nommé vice-président de l’Association francaise des banques (AFB), à ce poste depuis juin 2012. Il siègera par ailleurs au comité exécutif de la FBF en tant que représentant de l’AFB.

Philippe Wahl, 55 ans, ENA (1984), DEA d’économie monétaire et financière de l’université Paris-I Panthéon-Sorbonne (1979), IEP Paris (1978), est depuis 2011 président du directoire de La Banque postale.

Il a précédemment occupé les postes suivants :

– 2008-2010 : Royal Bank of Scotland (RBS), directeur général pour la France, la Belgique et le Luxembourg.

– 2007-2008 : RBS, directeur général France.

– 2006-2007 : Groupe Bolloré, vice-président en charge des investissements dans les médias et la communication.

– 2005-2006 : Havas, directeur général, en charge des finances, membre du comité exécutif.

– 2003-2005 : Solfi (conseil en stratégie, finance et organisation), gérant-fondateur.

– 1999-2003 : Caisse nationale des Caisses d’épargne, directeur général, à ce titre président de Sopassure, président du conseil d’administration d’Ecureuil Assurances IARD et membre du conseil de surveillance de CDC Ixis et de la CNP.

– 1999-1999 : BNP Paribas, responsable de la banque de détail à l’international.

– 1997-1999 : Paribas, responsable des services financiers spécialisés (Cetelem, UFB, UCB, Banque directe, Arval, Cardif, Cortal), membre du comité exécutif.

– 1994-1997 : Compagnie bancaire, directeur général adjoint, membre du comité directeur.

– 1992-1994 : Compagnie bancaire, directeur de la planification et du développement, membre du comité directeur.

– 1991-1992 : Compagnie bancaire, conseiller auprès du président.

– 1989-1991 : Cabinet du Premier ministre, Michel Rocard, conseiller technique, en charge des affaires monétaires, financières et fiscales.

– 1988-1989 : Cabinet du secrétaire d’Etat auprès du Premier ministre, Tony Dreyfus, directeur de cabinet.

– 1986-1988 : Commission des opérations de Bourse (COB), chargé de mission auprès du président.

– 1984-1988 : A commencé sa carrière au Conseil d’Etat en tant qu’auditeur et maître des requêtes.

ACG Private Equity : Directeur associé

Monsieur Benjamin Revillon est nommé directeur associé d’ACG Private Equity, à ce poste depuis juin 2012. Il est sous la responsabilité directe de Monsieur Wladimir Mollof, président-fondateur. Cette nomination fait suite à l’intégration des activités de BEX Capital pour renforcer l’expertise en secondaire d’ACG Private Equity. Benjamin Revillon siège au comité d’investissements d’ACG Private Equity.

Benjamin Revillon, MBA INSEAD, ESSCA, a réalisé le parcours suivant :

– 2009-2012 : BEX Capital (à Paris, spécialisée dans le rachat secondaire de parts de fonds de buyout européens), directeur fondateur.

– 2005-2009 : AlpInvest Partners (à Amsterdam), responsable de l’identification et de l’exécution des transactions secondaires en Europe.

– 1997-2005 : Début de carrière en equity capital markets chez ABN Rothschild à Hong Kong puis chez Deutsche Bank à Londres.

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« Les nouveaux métiers sont des métiers liés à la réglementation Solvency 2, Grenelle de l’Environnement et Anti Blanchiment », Dominique Baud-Bertrand, Directrice, Cabinet DBB Conseil

Est-ce que vous pouvez nous présenter DBB Conseil ?

DBB Conseil, est un cabinet de Conseil en Ressources Humaines, spécialisé dans la Détection, l’Evaluation et le Développement de Cadres Confirmés et de Dirigeants dans les secteurs et métiers de l’Assurance, de la Banque, de la Finance, du Conseil et de l’Audit.

Notre Philosophie est de construire et développer avec les entreprises et les candidats des relations de partenariat et de confiance pérennes et durables dans le respect des valeurs humaines et de la diversité : Sens du Service, Respect, Engagement et Ethique.

DBB Conseil est signataire de la Charte de la diversité.

Quelles sont les spécialités du cabinet ?

Notre vocation est d’accompagner et de conseiller les entreprises dans leurs choix stratégiques d’acquisition, de détection, d’évaluation et de développement de leur capital humain.

Nous menons donc à la fois pour le compte de nos clients des missions de recrutement par approche Directe mais aussi des missions d’évaluations de Cadres Confirmés et de Dirigeants dans les secteurs et métiers de l’Assurance, de la Banque, de la Finance, du Conseil et de l’Audit : Evaluations dans le cadre de mobilité interne, Assessment d’Equipes, Identifications de Compétences Managériales, Bilans de Compétences, Bilans d’Etape Professionnelle et Bilan d’Orientation professionnelle.

De plus, nous travaillons avec un réseau de consultants coachs certifiés, issus des secteurs d’activité de l’Assurance, de la Banque et de la Finance pour accompagner nos clients dans leur démarche de développement de leurs talents.

Quels types de relations développez-vous avec les candidats que vous rencontrez pour vos clients ?

Nous accompagnons et conseillons donc les candidats dans la gestion et le développement de leur carrière tout au long de leurs parcours à travers l’élaboration de leur projet professionnel et leurs choix d’évolution garce à une connaissance approfondie des secteurs et des métiers de la Banque, de l’Assurance, de la Finance, du Conseil et de l’Audit.

Nous les informons et les conseillons sur l’évolution du marché de l’emploi, des métiers et des niveaux de rémunération de secteur de la Banque, de l’Assurance, de la Finance, du Conseil et de l’Audit. Nous leurs proposons des opportunités de carrière adaptées à leur projet professionnel soit directement, soit à travers des sites partenaires et à partir d’Octobre à travers notre propre site.

Nous les recevons dans le cadre d’un entretien personnalisé pour évaluer leurs compétences professionnelles et personnelles : analyse de leur parcours professionnel avec la passation d’un inventaire de personnalité ou d’un Assessment et une restitution affinée des résultats.

Nous validons que leurs valeurs soient bien en adéquation avec celles de l’Entreprise pour qu’ils puissent bien s’intégrer. Nous nous engageons à leurs cotés tout au long du processus de recrutement pour faciliter leurs prise de décision en jouant l’interface et le facilitateur entre eux et l’entreprise qui souhaite les recruter.

Nous les accompagnons pendant toute la phase de leur intégration dans l’entreprise, une fois qu’ils sont recrutés. Enfin, nous les suivons tout au long de leur parcours professionnel.

Qui sont vos clients en France ?

Nous intervenons sur des missions de recrutement et d’évaluation dans les secteurs et métiers de l’Assurance, de la Banque, de la Finance, du Conseil et de l’Audit. Nos clients sont donc des entreprises de ces secteurs.

Quelles sont les tendances actuelles du recrutement en banque, finance, assurance ?

Suite à la crise financière et économique en France, les Banques et les Compagnies d’Assurance privilégient pour leurs besoins de recrutement des mobilités internes. Ils font appel à nous pour des postes en création ou spécialisés dans le domaine du risque, du contrôle interne, de la Finance : Actuaires Financiers, d’ALM, Technique : Actuaires Produits ; des Organisateurs, du Marketing Multi Canal, des Métiers liés à Internet.

Est-ce que vous avez vu émerger de nouveaux métiers en banque, finance, assurance ces dernières années ? Si oui lesquels ?

Les nouveaux métiers sont des métiers liés à la réglementation Solvency 2, Grenelle de l’Environnement et Anti Blanchiment: risques, contrôle interne, l’ALM, à l’approche Multi canal : marketing et suite au développement de la Gestion de la relation Clients par Internet ou des plateaux téléphoniques : les nouveaux métiers du back et du front office ainsi que l’arrivée des réseaux sociaux : Community Manager, Responsable e Business, Responsable Gouvernance Internet.

Est-ce que vous avez des conseils à donner aux candidats un peu frileux dans le contexte actuel ?

Définir encore plus et mieux en amont son projet professionnel : compétences, motivations, postes et niveaux de rémunération souhaitées, le tester auprès des professionnels pour valider sa faisabilité par rapport au marché actuel de l’emploi avant de se lancer dans une recherche.

Valider lors des rencontres avec un Consultant ou une Entreprise les enjeux du poste par rapport à la stratégie de l’Entreprise : création ou remplacement, organisation de la Direction de rattachement et les évolutions possibles à court terme, rencontrer le Manager N + 1 mais aussi le N+2 et les Ressources Humaines pour bien valider leur vision du poste, les évolutions du poste dans l’entreprise ainsi que les éléments de rémunérations.

Se renseigner si possible auprès de collaborateurs sur la culture et les valeurs de l’entreprise.

DBB Conseil a été crée en 2012 par Dominique BAUD-BERTRAND.

Diplômée de l’EDHEC (1979), titulaire d’une Maitrise de Droit (ASSAS 1981) et d’un MASTER 2 en Ressources Humaines (La Sorbonne 1981), elle débute sa carrière en 1981 et occupe pendant 10 ans des responsabilités en Ressources Humaines dans le secteur de l’Assurance, d’abord à L’UAP devenue AXA puis à La Mondiale.

En 1990, elle rejoint PA Consulting Group pour développer le conseil en recrutement et l’évaluation de cadres dans le secteur de la Banque et de l’Assurance.

Elle contribue, en janvier 2000, au lancement de Futurestep en France et y prend la responsabilité de la Practice Banque et Assurance ; elle la coordonne de plus au niveau Européen. 10 ans plus tard, elle devient Directrice du Pôle Banque Assurance de Manpower Professional puis participe à la création de Valoritis Conseil en 2011.

Après avoir occupé pendant 10 ans des responsabilités en Ressources Humaines dans le secteur de l’Assurance et exercé pendant plus de 20 ans des missions de conseil en recrutement et évaluation de Cadres et Dirigeants dans le secteur de la Banque et de l’Assurance, de la Finance, du Conseil et de l’Audit dans des cabinets de chasse de tête internationaux, elle décide de créer en 2012 sa propre structure : DBB CONSEIL.

Elle est secondée par Karen Morand : De formation Lettres et Langues Etrangères, Karen Morand fait le choix d’évoluer vers les métiers des Ressources Humaines. Elle rejoint en 1999 le monde du Conseil en Recrutement et plus précisément le Pôle Recherche de la Practice High Tech du Cabinet Hudson Global Ressources.

En 2002, elle intègre Euro Consulting Partners en tant que Chargée de Recherche Senior et intervient sur des missions de Recrutement Middle et Top Management. Elle développe ainsi une expertise dans l’identification, l’approche et l’évaluation de profils de haut niveau dans le secteur de la Banque et de l’Assurance.

Elle rejoint Dominique BAUD- BERTRAND, en juillet 2011 chez VALORITIS Conseil et décide de la suivre en 2012 lors de la création de DBB Conseil en tant que Consultante, pour l’accompagner dans ses missions de Recrutement ainsi que dans l’Evaluation de Cadres Supérieurs et Dirigeants dans le domaine de la Banque, de l’Assurance, de la Finance, du Conseil et de l’Audit.

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BNP Paribas : Directeur financier Domestic Markets

Monsieur Vincent Bernard est promu directeur financier Domestic Markets de BNP Paribas, à ce poste depuis le 2 avril 2012. Il est sous la responsabilité directe de Monsieur Lars Machenil, directeur financier de BNP Paribas.

Vincent Bernard, 48 ans, INSEAD International Executive Program – IEP (2006), IEP Paris – Eco FI (1987), a réalisé le parcours suivant :

– 2008-2012 : BNP Paribas Personal Finance, directeur financier.

– 2006-2008 : UCB Crédit immobilier, directeur financier.

– 2002-2006 : LaSer (Lafayette Service), directeur du contrôle de gestion.

– 2000-2002 : Cofinoga, directeur gestion financière.

– 1999-2000 : Elf Atochem, contrôleur financier.

– 1996-1999 : Elf Atochem UK, directeur financier.

-1994-1996 : Elf Atochem, en charge de la trésorerie.

– 1990-1994 : Elf Aquitaine, auditeur interne groupe.

– 1987-1990 : Crédit commercial de France (à Paris et New York), chargé des produits dérivés.

Amilton Asset Management : Directeur général d’Amilton Asset Management et responsable des gestions du groupe Amilton AM

Monsieur Marc Favard est nommé directeur général d’Amilton Asset Management et responsable des gestions du groupe Amilton AM, à ce poste depuis juin 2012. Il est sous la responsabilité directe de Madame Ilana Sayag, directeur général.

Marc Favard, 46 ans, membre de la SFAF (1993), actuaire IAF (1989), ISUP (1988), a exercé pendant 21 ans au sein de la Financière Meeschaert où il occupé les postes de président du directoire de Meeschaert Asset Management pour la gestion collective, de responsable de la gestion privée sous mandat à la Financière Meeschaert, de chargé du conseil boursier, et de membre du directoire de Meeschaert Family Office.

Tishman Speyer : Directeur de l’asset management France

Monsieur Philippe Heulin est promu directeur de l’asset management France de Tishman Speyer, à ce poste depuis juin 2012.

Philippe Heulin, 35 ans, EM Lyon (2001), a réalisé le parcours suivant :

– 2006-2012 : Tishman Speyer, asset manager.

– 2002-2006 : Foncière des régions, a assuré différentes fonctions en asset management et développement.

– 2001-2002 : A commencé sa carrière au sein de BNP Paribas CIB.

Association française des banques (AFB) : Vice-président

Madame Lucie Maurel-Aubert est nommée vice-président de l’Association francaise des banques (AFB), à ce poste depuis juin 2012.

Lucie Maurel-Aubert, 50 ans, est membre du directoire de la Banque Martin Maurel.
Elle a précédemment occupé les postes suivants :

– 2007-2011 : Banque Martin Maurel, directeur général délégué, responsable des relations avec les actionnaires.

– 2002-2007 : Banque Martin Maurel, membre du comité exécutif, en charge du juridique, de l’ingénierie patrimoniale, des filiales et de la communication.

– Gide Loyrette Nouel, avocat d’affaires (pendant 15 ans).

Société de Bourse Portzamparc (groupe BNP Paribas) : Président

Monsieur Philippe de Portzamparc est promu président de la Société de Bourse Portzamparc (groupe BNP Paribas), à compter du 1er juillet 2012.

Philippe de Portzamparc, 60 ans, était président-directeur général de Société de Bourse Portzamparc.

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« La durée moyenne d’une mission est de 3 à 6 mois », Nicolas Chapis, Directeur de la practice « Financial Services » de Kurt Salmon

Est-ce que vous pouvez nous présenter Kurt Salmon ?

Kurt Salmon est né de la fusion entre Ineum Consulting et Kurt Salmon Associates. Kurt Salmon s’inscrit parmi les grands noms du conseil et intervient sur des missions de conseil en stratégie, organisation et management.

Le cabinet compte plus de 1 400 consultants travaillant dans 21 pays sur 4 continents. Nous intervenons avec nos équipes spécialisées dans des secteurs aussi variés que la grande consommation, les services financiers, l’automobile, l’énergie… auprès des directions « métiers » et des fonctions supports comme les directions informatiques, financières, les ressources humaines…

Comment est organisée la practice Banque / Assurance de Kurt Salmon ?

La practice « Financial Services » couvre les métiers de la banque et de l’assurance. Nous sommes présents sur 4 secteurs majeurs : la banque de détail, l’assurance, la banque de financement et d’investissement et la gestion d’actifs. Nous pouvons faire appel à nos centres d’expertise basés au Luxembourg et en Suisse sur le métier « titres » et le métier de la « banque privée ».

Nous interventions se structurent autour de 5 compétences :
– Stratégie de croissance,
– Marketing distribution et relation client,

– Efficacité opérationnelle
– Finance et Performance

– Gestion des risques, contrôle interne et conformité

Plus de 120 consultants travaillent en France pour la practice Financial Services et plus de 350 à l’échelle internationale.

Est-ce que vous avez des exemples de missions réalisées par Kurt Salmon sur ces secteurs ?

Nous avons réalisé récemment plusieurs missions de conseil auprès de grands comptes du secteur bancaire sur des problématiques allant du pilotage de la liquidité à la définition du modèle organisationnel cible en passant par des réflexions autour de la segmentation des clients et la structuration des offres.

Quelle est la durée moyenne d’une mission ?

La durée moyenne d’une mission est de 3 à 6 mois. Les missions de réflexion « amont » durent entre 2 et 4 mois alors que les projets d’exécution / mise en œuvre peuvent s’étaler sur des périodes de 6 à 12 mois. Un consultant va réaliser 3 à 4 missions par an en moyenne. Les missions sont principalement basées à Paris avec quelques interventions en province et à l’international.

Est-ce que le contexte réoriente le contenu de vos missions ?

C’est vrai que les conditions macro économiques ont une influence directe sur la nature des prestations et sur les besoins de nos clients. Le contexte amène nos clients à réfléchir au développement des revenus, à optimiser leur portefeuille d’activités, à repenser leurs modes opératoires. Ces problématiques sont porteuses de nombreuses opportunités.

Quels types de postes sont aujourd’hui à pourvoir ?

Nous recherchons à la fois des profils juniors avec une 1ère expérience d’un 1 ou 2 dans un établissement bancaire ou une société d’assurance. Nous avons besoin également de profils confirmés qui ont entre 3 à 7 ans d’expérience avec une double expertise sectorielle et fonctionnelle. De préférence nous cherchons des profils expérimentés qui ont déjà une expérience du conseil pour leur permettre d’être rapidement opérationnel.

Quelles sont les formations que vous privilégiez ?

Pour les profils juniors nous recherchons essentiellement des candidats qui sortent des grandes écoles de commerce, des écoles d’ingénieurs ou de mastères spécialisés dans la finance.

Quels avantages y a-t-il à rejoindre Kurt Salmon ?

En rejoignant Kurt Salmon, un candidat aura l’opportunité de travailler pour l’ensemble des acteurs importants du secteur bancaire et de l’assurance. Il interviendra sur des problématiques au cœur de l’actualité de nos clients pour développer une expertise « métier ».

Il suivra une programme de formation lui permettant d’acquérir le savoir faire essentiel à la réalisation de nos prestations. Il développera une expérience sur l’ensemble des phases d’un projet : de la phase stratégique amont à la mise en œuvre. Chaque consultant est encadré par un manager opérationnel.

« L’objectif de la formation est de former des spécialistes de haut niveau », Gilles Jacoud, Responsable Master Banque et Finance, Université Jean Monnet Saint-Étienne

Est-ce que vous pouvez nous présenter le Master Pro. Banque et Finance ?

Le master Banque et finance de l’IAE de l’Université Jean Monnet Saint-Etienne a ouvert ses portes avec une vingtaine d’étudiants à la rentrée 2004.

Sa création répondait à une double demande des étudiants, qui voulaient une formation professionnalisante à l’issue de leur cursus en Economie et Gestion, et des milieux professionnels, qui offraient des perspectives de recrutement à des diplômés présentant les compétences requises. Le succès immédiat de cette formation a conduit à ouvrir un deuxième groupe dès l’année suivante.

Combien avez-vous de promotions ?

A Saint-Etienne, le master Banque et finance compte deux promotions d’étudiants organisées en parallèle. La première est une promotion classique. Elle est composée d’étudiants qui suivent pendant six mois, de septembre à février, des enseignements à l’Université. Ils partent ensuite en stage pendant six mois, la plupart du temps dans une banque partenaire de la formation. La deuxième promotion est une promotion en apprentissage.

Au moment du recrutement, nous transmettons les dossiers de certains candidats aux établissements partenaires de la formation qui leur proposent un contrat d’apprentissage. Devenu apprenti, l’étudiant est alors salarié de son établissement d’accueil. Il suit la formation en alternance, généralement en travaillant trois semaines dans son établissement puis en revenant deux semaines à l’Université.

A ces deux promotions qui suivent les enseignements à Saint-Etienne s’ajoute une promotion en formation continue délocalisée à Abidjan, en Côte d’Ivoire, et quatre promotions en formation initiale qui suivent les enseignements au Maroc, plus précisément à Casablanca, Fès, Marrakech et Rabat. Ces délocalisations se font en partenariat avec des établissements de formation implantés sur place.

Quel est l’objectif de la formation ?

L’objectif de la formation est de former des spécialistes de haut niveau appelés pour la plupart à exercer leurs compétences dans le secteur bancaire, dans les sociétés d’assurances ou dans les services financiers des entreprises.

Quels sont les points forts du programme ?

On peut en relever au moins trois.
Le premier est le haut niveau académique unanimement reconnu. Le master est un diplôme d’Etat. Pour le délivrer, il nous faut une habilitation de l’Etat qui, avant d’être accordée, donne lieu à une expertise par l’Agence d’Evaluation de la Recherche et de l’Enseignement Supérieur (AERES). A la suite de l’expertise et au vu d’une cinquantaine de critères, l’AERES note la formation : A+, A, B ou C. Le master Banque et finance de l’IAE de l’Université Jean Monnet Saint-Etienne s’est vu décerné la note A+, note maximale réservée à un nombre très limité de formations.

Le deuxième point fort est l’excellente insertion professionnelle. Jusqu’à présent, les diplômés se sont très bien intégrés sur le marché du travail, comme le montre notre annuaire des diplômés qui suit, année après année, le devenir de nos anciens étudiants. Ceux-ci gardent d’ailleurs un bon souvenir de leur formation et jusqu’à ce jour nous avons obtenu chaque année 100 % de taux de réponse pour la mise à jour de l’annuaire.

Il y a en outre une structure extérieure au monde universitaire, le cabinet SMBG, qui classe les meilleurs masters de France par domaine. Il les classe à partir de 3 critères : la notoriété de la formation, les débouchés et le salaire à l’issue de la formation, les résultats d’une enquête de satisfaction auprès des étudiants. Nous avons le plaisir de figurer dans ce classement des meilleurs masters de France qui intègre largement la dimension professionnelle.

Le troisième point fort du diplôme est sa reconnaissance à l’international. Non seulement ce master fait l’objet d’une forte demande de la part de candidats étrangers mais nos diplômés ont été amenés à occuper des postes en Europe, en Afrique, en Asie et en Amérique. Et avec nos implantations à l’étranger, nous sommes aujourd’hui dans une situation où les étudiants que nous formons à l’étranger sont plus nombreux que ceux que nous formons à Saint-Etienne.

Quels sont les profils des étudiants ?

Le profil type du candidat que nous recrutons généralement pour l’entrée en deuxième année de master est celui du titulaire d’un diplôme bac + 4 comportant un volume d’enseignement significatif en Economie et Gestion. Mais nous avons aussi des étudiants avec d’autres profils. Une convention avec l’Ecole Nationale Supérieure des Mines de Saint-Etienne nous conduit notamment à accueillir chaque année dans la promotion classique un groupe d’élèves-ingénieurs qui suivent la formation en parallèle avec leur cursus d’ingénieur.

Comment est composé le corps enseignants ?

Le corps enseignants est composé pour moitié par des universitaires et pour moitié par des professionnels du monde de la banque, de la finance et de l’assurance. Les professonnels qui assurent cette année des enseignements sont plus particulièrement en poste à Allianz, à la Banque de France, à la Banque populaire, à la BNP Paribas, à la Caisse d’épargne, au Crédit agricole, à Groupama et à la MACIF. Dans la promotion en apprentissage, des professionnels interviennent aussi au titre du Centre de formation par l’apprentissage (CFA) DIFCAM Banque et Assurance.

Quelles sont vos relations avec les entreprises ?

Elles sont très bonnes et continuent à se développer. Les établissements partenaires accueillent les stagiaires de la promotion classique, prennent des apprentis en alternance dans l’autre promotion, proposent des intervenants dans la formation et surtout recrutent les diplômés à l’issue de la formation.

Que deviennent vos anciens ? Est-ce que vous avez des exemples ?

Ils bénéficient d’une insertion professionnelle que beaucoup nous envient. Nous savons précisément ce qu’ils deviennent grâce à l’annuaire des diplômés. Le poste le plus fréquemment occupé immédiatement à l’issue du diplôme est celui de conseiller de clientèle de professionnels ou d’entreprises. Ensuite, les diplômés qui souhaitent évoluer le font plutôt vers des postes de directeur d’agence, d’analyste financier ou de gestionnaire de patrimoine.

Est-ce que votre formation est accessible en formation continue ?

Oui, nous accueillons chaque année dans la promotion classique quelques personnes en formation continue. Il s’agit soit de personnes en poste dans une banque qui envisagent de booster leur carrière, soit de personnes en reconversion professionnelle. De plus, la promotion que nous avons à Abidjan est intégralement en formation continue.

Comment procédez-vous pour faire évoluer votre programme ?

Puisque nous sommes habilités dans le cadre d’un contrat de cinq ans passé avec l’Etat, nous sommes tenus de conserver une certaine stabilité de notre maquette des enseignements. Nous nous adaptons néanmoins en permanence, ne serait-ce que parce que le marché du travail évolue, en concertation avec nos partenaires professionnels.

Mais l’évolution du diplôme n’est pas uniquement celle des enseignements. Nous sommes par exemple sollicités à diverses reprises pour mettre en œuvre de nouvelles implantations à l’étranger. Nous ne tenons toutefois pas à les multiplier à l’excès mais à faire vivre et à développer celles qui existent.

« Ce diplôme forme des cadres financiers de haut niveau exerçant leur activité dans les directions financières d’entreprises », David Bourghelle, Responsable Master Finance et Développement des Entreprises, IAE de Lille

Est-ce que vous pouvez nous présenter le Master Pro. Finance et Développement des Entreprises ?

La première rentrée a eu lieu en septembre 2004 et nous commençons la 9e promotion au cours de l’année 2012-2013.

Quel est l’objectif de la formation ?

Le Master en Sciences de Gestion, spécialité Finance et Développement des Entreprises propose un programme spécialisé dans les techniques financières mises au service de la croissance de l’entreprise. Plusieurs domaines de compétences sont visés : des connaissances approfondies en gestion financière, management des risques financiers, montage des opérations stratégiques et de restructuration, dans leurs dimensions principalement financières, et la conduite des relations avec les partenaires financiers accompagnant ces opérations.

Ce diplôme forme des cadres financiers de haut niveau exerçant leur activité dans les directions financières d’entreprises et les établissements bancaires.

Combien avez-vous de promotions ?

8 promotions sont sorties depuis la création du diplôme, soient environ 150 étudiants formés. Nous avons observé un certain tassement des effectifs durant la période de crise bancaire et financière, mais la demande et l’intérêt pour les formations en finance sont à nouveau perceptibles.

Quels sont les points forts du programme ?

Tout d’abord, il s’agit d’une formation en alternance ouverte aux contrats de professionnalisation (2 jours université / 3 jours entreprise), formule certes dense mais très prisée par nos étudiants et les entreprises qui accueillent nos stagiaires.

L’orientation donnée est ensuite résolument tournée vers une finance socialement utile car mise au service du développement de l’entreprise (capital risque, financement bancaire de la PME, ingénierie financière des manœuvres stratégiques..).

Le programme attire particulièrement l’attention des étudiants sur l’intérêt économique des montages financiers destinés à promouvoir la croissance et la compétitivité des entreprises (gestion du haut de bilan, croissance interne/externe, restructurations) en prenant soin de mettre en garde contre les dérives du levier financier et les techniques de management stratégique focalisées sur la satisfaction exclusive des intérêts financiers des actionnaires.

La formation est de plus très complète. Nous insistons certes sur la finance d’entreprise (management des risques financiers, évaluation d’entreprise, gestion de trésorerie approfondie). Mais nous avons souhaité offrir aux étudiants un bon niveau de compréhension des problématiques de finance de marché (produits dérivés à terme et optionnels, gestion d’actifs, simulation de marché financier).

Les enseignements d’ingénierie financière et de communication financière avec les investisseurs sont emblématiques de cette interaction permanente entre entreprises et marchés. Enfin, nos étudiants bénéficient de compléments de formation dans le domaine du management stratégique, la fiscalité et la pratique de l’anglais des affaires.

Quels sont les profils des étudiants ?

Les étudiants admis dans notre programme sont généralement titulaires d’un Master 1 en Finance, Sciences de gestion, Economie appliquée ou diplômés d’école de commerce.

Comment est composé le corps enseignants ?

Les enseignements sont dispensés par des universitaires du département finance de l’IAE de Lille. Ceux-ci ont développé une expertise en évaluation d’entreprise, ingénierie financière et fonctionnement des marchés financiers. Ils sont également chercheurs dans le laboratoire LEM (Lille Economie et Management, UMR CNRS 8179), au sein de l’axe OMIFIG (Organisation et Marchés : Information, Finance et Gouvernance). La double activité de recherche et d’enseignement autorise à la fois l’expertise et le recul indispensable pour qui veut saisir les grands enjeux financiers liés au développement des entreprises.

De nombreuses interventions sont également assurées par des professionnels de la banque et de la finance (financement de la PME, banques de financement et d’investissement, capital risque..). Enfin, un cycle de conférences vient ponctuer l’année avec des interventions ciblées sur la présentation des métiers, de certaines techniques (élaboration d’un business plan, mise en place d’un montage LBO, opérations de croissance externe…)

La formule de l’alternance nous permet d’avoir une relation privilégiée et suivie avec les entreprises et établissements financiers accueillant nos étudiants. Cela nous permet d’être à l’écoute de leurs attentes et de répondre aux exigences nouvelles en matière de financement d’entreprises.

Que deviennent vos anciens ? Est-ce que vous avez des exemples ?

La plupart des postes occupés sont en banque : analyste crédit (analyse risque), chargé d’affaires entreprises/professionnels mais aussi chargés d’études financières, spécialiste en évaluation des produits financiers, assistant trader, analyste crédit-bail ou encore auditeur interne (contrôle du respect des réglementations).

D’autres métiers (gestion de trésorerie, responsable administratif et financier, contrôleur financier) sont également exercés en entreprises dans la grande distribution régionale (sport, habillement).

Enfin, certains de nos étudiants se sont orientés vers des métiers plus spécifiques (édition de logiciels financiers, direction dans la restauration, analyste performance dans le BTP, auditeur en commissariat aux comptes, contrôleur de gestion dans l’administration, chargé des procédures comptables dans le transport ferroviaire, trésorier dans l’audiovisuel), ce qui montre la richesse et la diversité des carrières auxquelles destine la formation.

Est-ce que votre formation est accessible en formation continue ?

Le diplôme peut en effet être préparé en formation continue. Nous avons chaque année plusieurs étudiants recrutés sous ce régime. C’est à la fois très enrichissant pour eux mais aussi pour les étudiants en formation initiale, généralement plus jeunes, ainsi que pour nous-mêmes, enseignants.

Comment procédez-vous pour faire évoluer votre programme ?

Les contenus des enseignements évoluent régulièrement. La technologie financière est en perpétuelle mutation. Nous nous y adaptons (et parfois même nous l’initions). Les praticiens intervenant dans notre formation sont en prise directe avec les réalités quotidiennes des entreprises. Ils ajustent en permanence leurs programmes.

Notre cycle de conférences permet par ailleurs d’être au fait des grandes mutations et de l’évolution des problématiques financières. Enfin, nos diplômes font l’objet d’une campagne de réhabilitation ministérielle à intervalles réguliers. Cela nous fournit l’opportunité de revoir parfois en profondeur le contenu de l’offre de formation et la structure des programmes.

« L’objectif est de former des cadres de haut niveau dans le domaine du Conseil Patrimonial », Didier Van Peteghem, Responsable Master Gestion du Patrimoine, Université Catholique de Lille

Est-ce que vous pouvez nous présenter le Master Pro. Gestion du Patrimoine?

Ce Master a été créé en 2007 à la demande des banques régionales qui cherchaient à recruter des compétences et des collaborateurs en gestion de patrimoine.

En tant qu’Université privée nous sommes tenus de passer une convention avec une Université publique pour pouvoir délivrer nos diplômes, alors nous nous sommes naturellement rapprochés de l’Université d’Auvergne qui propose une des toutes meilleures formations en gestion de patrimoine en France (le Classement SMBG 2011 place le Master parmi les quatre meilleures formations françaises (formation classée 4 étoiles).

Une formation unanimement reconnue et appréciée par les professionnels. L’Université d’Auvergne s’est dite intéressée de signer une convention à la condition de pouvoir reproduire à l’identique son Master à Lille, ce qui correspondait parfaitement à nos attentes. Depuis 2007 nos étudiants ont donc la chance de pouvoir suivre le Master de Clermont-Ferrand à Lille. D’ailleurs, nos étudiants une fois diplômés s’inscrivent et profitent de l’association des anciens de Clermont-Ferrand (AGPC).

En fait, les principales différences entre le Master lillois et clermontois se situent du côté de la pédagogie. Nous proposons un parcours en alternance dans le cadre d’un contrat de professionnalisation. Nos étudiants sont à la fois salariés d’une entreprise et étudiants.

Combien avez-vous de promotions ?

Nous accueillons chaque année une promotion d’une vingtaine d’étudiants, que ce soit en Master 1 ou 2.

Quel est l’objectif de la formation ?

L’objectif est de former des cadres de haut niveau dans le domaine du Conseil Patrimonial en leur apportant les connaissances économiques, juridiques, fiscales et financières nécessaires pour exercer ce métier particulièrement exigeant.

Quels sont les points forts du programme ?

Le programme de Clermont-Ferrand se démarque des autres Masters par une attention particulière donnée aux matières juridiques.

L’alternance, qui se traduit par un rythme de 15 jours/15 jours, permet d’allier la pratique et la maîtrise des compétences techniques et managériales à une démarche pluridisciplinaire dans le cadre d’une réflexion universitaire pointue.

Quels sont les profils des étudiants ?

En M1, nos étudiants sont principalement issus de parcours en économie – gestion (parcours universitaire ou de grandes écoles de commerce), en M2 nous sélectionnons les mêmes profils qu’en M1, mais nous ouvrons également les admissions à des étudiants ayant un M1 d’un parcours en Droit. Notre recrutement est national. Le rythme de l’alternance 15 jours/15 jours permet de trouver un contrat de pro aussi bien à Lille qu’à Paris ou Marseille.

Comment est composé le corps enseignants ?

Le corps enseignant est composé à la fois d’enseignants universitaires et d’experts professionnels de la gestion de patrimoine. Nos enseignants viennent pour leur très grande majorité de l’équipe universitaire clermontoise.

Quelles sont vos relations avec les entreprises ?

La caractéristique du contrat de professionnalisation en alternance se traduit par un partenariat très étroit avec l’ensemble des professionnels de la région, mais également hors région. Les professionnels régionaux proposent d’ailleurs un nombre plus important de contrats de pro que nous n’acceptons d’étudiants. Les contrats de pro sont de 24 mois pour les étudiants de M1, et de 12 mois pour ceux de M2. Les entreprises prennent en charge l’intégralité des frais de scolarité et rémunèrent les étudiants à 80 % du SMIC.

Que deviennent vos anciens ? Est-ce que vous avez des exemples ?

90 % de nos étudiants ont une proposition d’embauche à l’issue de leur contrat de pro et occupent un poste à responsabilité lié à la gestion de patrimoine. Ils sont recrutés prioritairement dans les banques. Pour l’évolution de carrière, l’association des Anciens de Clermont (AGPC) qui est très active propose de bénéficier de son vaste réseau et des opportunités de spécialisation et de remise à jour des compétences.

Voici quelques exemples de fonctions occupées :
– Conseiller en Gestion de Patrimoine,
– Conseiller en Développement de Patrimoine,
– Conseiller en Patrimoine Financier,
– Chargé(e) d’Affaires Patrimoniales,
– Gestionnaire de Patrimoine,
– Conseiller en Gestion Privée

Est-ce que votre formation est accessible en formation continue ?

La formation n’est pas accessible en formation continue du fait de l’alternance. En revanche, nous accueillons dans nos locaux le DU de Gestion de Patrimoine proposé par l’AUREP de Clermont-Ferrand. Ce DU est ouvert aux salariés des entreprises avec un rythme de 2 à 3 jours par mois sur un an et demi.

Comment procédez-vous pour faire évoluer votre programme ?

Nous proposons le programme de Clermont-Ferrand, la question devrait donc être posée à mes collègues clermontois ! Précisément, nous échangeons régulièrement sur ce sujet entre nous et faisons remonter des attentes des professionnels.

« Le Diplôme Universitaire d’Actuaire de Strasbourg est une formation de haut niveau, en trois ans, qui prépare au métier d’actuaire », Jacques Franchi, Responsable Master Actuariat et Gestion du Risque, Université de Strasbourg

Est-ce que vous pouvez nous présenter le Master Pro. Actuariat et Gestion du Risque ?

Il est issu de l’ancienne formation en trois ans, constituée de la MSG « Gestion du risque » et du DESS « Actuariat », créée en 1984 en réponse à la demande de l’industrie.

Combien avez-vous de promotions ?

Chaque année nous délivrons entre 15 et 20 diplômes d’actuaire, depuis 1987 sous la forme actuelle; cela donne donc déjà 25 promotions de diplômés.

Quel est l’objectif de la formation ?

Le Diplôme Universitaire d’Actuaire de Strasbourg (DUAS) est une formation de haut niveau, en trois ans, qui prépare au métier d’actuaire.

En tant qu’expert en mathématiques financières, ce qui inclut calcul des probabilités et statistique, le futur actuaire doit avoir une bonne base mathématique combinée avec des connaissances solides en économie, en gestion et en finance.

Quels sont les points forts du programme ?

L’actuaire est un spécialiste de la gestion du risque qui réalise des études économiques, financières et statistique dans le but de mettre au point ou de modifier des contrats d’assurances, qui évalue les risques et les coûts pour les assurés et les assureurs et fixe les tarifs des cotisations en veillant à la rentabilité de l’entreprise, qui suit les résultats d’exploitation et surveille les réserves financières de sa compagnie.

Pour mener à bien ces différentes tâches, il doit non seulement maîtriser les outils probabilistes, statistiques, et informatiques, mais aussi être compétent en comptabilité et dans les aspects juridiques, financiers et fiscaux.

Nous proposons donc une formation pluridisciplinaire, qui tire pleinement profit de la collaboration entre l’UFR de Mathématique et d’Informatique et la Faculté des Sciences Economiques et de Gestion, ainsi que de la proximité de pays à riche tradition actuarielle universitaire.

Le Diplôme Universitaire d’Actuaire de Strasbourg est un diplôme en trois ans, qui est reconnu par l’Institut des Actuaires. Il donne par ailleurs le titre de membre associé de l’Institut des Actuaires.

Quels sont les profils des étudiants ?

La plupart sont issus d’un L2 soit de mathématiques soit de mathématiques-économie. Nous acceptons aussi des candidats issus de classe préparatoire aux grandes écoles, de commerce ou d’ingénieurs. Dans tous les cas nous recrutons nos étudiants sur dossier et après un entretien. Un concours national devrait être mis en place dans les années qui viennent.

Comment est composé le corps enseignant ?

La majorité sont des enseignants-chercheurs de la faculté de Mathématiques et Informatique et de la Faculté des Sciences Economiques et de Gestion, relevant de l’Université de Strasbourg. Quelques autres sont des professeurs invités, universitaires spécialistes de branches particulières de l’actuariat et professeurs titulaires en Belgique ou en Suisse notamment.

Quelles sont vos relations avec les entreprises ?

Plusieurs entreprises nous prennent régulièrement des étudiants en stage. Ces stages (à Strasbourg, Paris et à l’étranger) durent au total au moins 6 mois ; le tuteur académique est à même de discuter avec le maître de stage des problématiques les plus récentes à l’occasion de la rédaction du mémoire de stage.

Par ailleurs nous bénéficions de l’intervention de professionnels (extra-universitaires) dans certains cours.

Que deviennent vos anciens ?

Avec 25 promotions d’anciens étudiants, nous en trouvons dans des fonctions de direction, de conseil, de supervision, en France et à l’étranger, et cela plus précisément dans les spécialités suivantes :

– Responsable d’études actuarielles, en vie ou non-vie ;
– Responsable des tarifications, des provisions et d’inventaire ;
– Actuaires consultants en retraite, prévoyance et santé ou en réassurance ;
– Gestionnaires du risque en assurance, réassurance ou en finance ;
– Audit des sociétés d’assurance ;
– Chef de brigade, Autorité de contrôle prudentiel.

Est-ce que votre formation est accessible en formation continue ?

Nous accueillons en seconde année (niveau M1) après examen de leur dossier quelques étudiants n’ayant pas suivi notre première année (de niveau L3).

Mais nous n’avons pas de formation continue proprement dite.

Comment procédez-vous pour faire évoluer votre programme ?

Nous avons des contacts avec l’évolution de la pratique actuarielle réelle, via les invitations d’universitaires étrangers spécialistes de cette branche, avec les anciens étudiants, et via les recherches universitaires sur les sujets de pointe en mathématiques de la finance et de l’actuariat.

« L’objectif était de proposé un programme en apprentissage exclusivement dédié au contrôle de gestion », Eric Cauvin, Responsable Msc Spécialisation Contrôle de Gestion et Reporting, IAE Aix-en-Provence

Est-ce que vous pouvez nous présenter le Msc Spécialisation Contrôle de Gestion et Reporting ?

J’ai intégré le corps professoral de l’IAE d’Aix en Provence en 2007. Durant cette année, j’ai travaillé avec l’association professionnelle des Directeurs Financiers et de Contrôle de Gestion (DFCG) au lancement d’un nouveau Master spécialisé en Contrôle de Gestion. Il a été officiellement lancé l’année suivante.

L’objectif était de proposé un programme en apprentissage exclusivement dédié au contrôle de gestion, contrairement aux masters contrôle-audit ou comptabilité-contrôle-audit. Depuis 2011, il constitue un Master of Sciences.

Combien avez-vous de promotions ?

La dernière promotion (2012) sera la quatrième.

Quel est l’objectif de la formation ?

La globalisation des marchés et l’hypercompétition qu’elle engendre forcent les entreprises à prendre des décisions de plus en plus rapidement, et à communiquer de façon plus systématique et transparente auprès de leurs partenaires. Cette double exigence renvoie à la nécessité d’un système d’information de gestion à la fois sophistiqué et évolutif.

Cette évolution a profondément changé le rôle de la fonction du Contrôle de Gestion dans les entreprises. Sous la pression des marchés financiers et la complexité des organisations, les informations qu’elle produit sont certes beaucoup plus nombreuses, mais doivent aussi être plus opérationnelles, plus pertinentes et plus fiables.

Dans cet environnement de plus en plus dynamique, où le changement devient une nécessité, le rôle du Contrôleur de Gestion devient central. Il est l’architecte d’un système d’évaluation et de pilotage des performances dont le but est de produire les indicateurs éclairants et fiables afin de faciliter la mise en œuvre des stratégies et de préparer le changement.

Le Msc Contrôle de Gestion et Reporting est fait en partenariat avec l’Association Française des Directeurs Financiers et de Contrôle de Gestion (DFCG) et l’entreprise SAS (entreprise de création de logiciels dédiés. Il propose une formation qui se fonde à la fois sur l’acquisition de connaissances techniques essentielles à la fonction Contrôle de Gestion, et sur une compréhension de l’organisation et des problématiques managériales.

Ces compétences académiques sont complétées par le développement des aptitudes à la mise en action des concepts et outils étudiés. Ses objectifs sont :

– Former les étudiants à des pratiques innovantes en matière de contrôle de gestion, à des domaines d’expertise spécifiques et à la connaissance des outils informatiques dédiés.

– Sensibiliser les étudiants à l’importance de l’appartenance à une communauté professionnelle et les aider à constituer leur réseau de relations (Associations professionnelles, Entreprises, Cabinets de recrutement, etc.) et, dans un contexte international, les former aux relations avec des personnes de cultures différentes. Appréhender les aspects liés au « Savoir être » en situations professionnelles.

Quels sont les points forts du programme ?

Plusieurs critères différencient le programme :
– Il est organisé en partenariat national avec la DFCG,
– Il est en partenariat avec l’entreprise SAS,
– Il se fait en apprentissage,
– Il combine des cours assurés par des académiques et des professionnels,
– Il est centré sur le contrôle de gestion,

Il combine des cours obligatoires qui constituent l’épine dorsale du cursus et des périodes bloquées où les étudiants ont l’opportunité de choisir des électifs, soit dans le domaine du contrôle, soit dans d’autres disciplines.

Il a une ouverture sur l’international. Au-delà des cours d’anglais des affaires que les étudiants doivent suivre, certains cours sont enseignés en anglais, et les étudiants doivent choisir deux séminaires internationaux enseignés par des professeurs d’universités partenaires d’Aix.

Quels sont les profils des étudiants ?

Les profils sont divers, essentiellement des étudiants qui ont un cursus en gestion (Ecole de commerce, Master en sciences de gestion), mais également des étudiants ayant un parcours en école d’ingénieur.

En revanche, leur point commun est une expérience à l’étranger (soit dans une université, soit un stage) avec une bonne maîtrise de l’anglais, et souvent une première expérience en contrôle de gestion (stage ou apprentissage), ou une forte motivation pour la fonction.

Comment est composé le corps enseignants ?

Enseignent au Msc soit des Professeurs de l’IAE ou d’universités partenaires (françaises ou étrangères) soit des professionnels, membres de la DFCG. La répartition est d’environ 50/50.

Quelles sont vos relations avec les entreprises ?

Au-delà du partenariat avec SAS, notre relation privilégiée avec la DFCG nous offre des relations étroites avec les entreprises. Par ailleurs, en dépit de la relative jeunesse du Msc, nous commençons à capitaliser sur les stages et apprentissages qui deviennent récurrents d’année en année.

Est-ce que votre formation est accessible en formation continue ?

Oui, chaque année nous avons entre un et deux candidats en formation continue.

Comment procédez-vous pour faire évoluer votre programme ?

Outre l’évaluation systématique des cours, une réunion mensuelle avec les étudiants en demi promo (soit une douzaine d’étudiants), nous avons créé un comité de pilotage composé de Professeurs de l’IAE et des membres de la DFCG impliqués dans le programme.

Ce comité se réunit annuellement pour faire évoluer le programme en fonction des meilleures pratiques. Par ailleurs, les accréditations internationales que possède l’IAE (EQUIS, par exemple) constituent une grille de lecture pertinente pour rester dans une logique d’amélioration continue.

« La formation a pour objectif de former mes étudiants aux métiers de la gestion de patrimoine », Corynne Jaffeux, Responsable Master Gestion du Patrimoine Privé, IAE de Bordeaux

Est-ce que vous pouvez nous présenter le Master Pro. Gestion du Patrimoine Privé ?

Le Master 2 a été créé en 2002 pour répondre à un besoin de diplômés en gestion de patrimoine privé.

Plusieurs métiers sont concernés par cette spécificité : les financiers dans un sens large (établissements financiers, caisses de retraite, cabinets d’indépendants…), certains métiers de juristes (notaires, avocats spécialisés), et des professions en marge de ces deux précédentes telles les agents immobiliers, les assureurs.

Combien avez-vous de promotions ?

Une cohorte d’environ 20 à 25 étudiants sort chaque année de ce diplôme après six mois de stage.
En parallèle, existe le Master 2 en formation continue avec un programme spécifique et là encore, chaque année ce sont une vingtaine de professionnels viennent se perfectionner en gestion de patrimoine.

Quel est l’objectif de la formation ?

La formation a pour objectif de former mes étudiants aux métiers de la gestion de patrimoine. La caractéristique de ce métier est d’être exercée par plusieurs acteurs de la vie professionnelle : les établissements financiers, les Conseillers en Gestion de Patrimoine Indépendant (CGPI), les Conseillers en Investissement Financier (CIF), et à la marge les notaires, les assureurs, les agents immobiliers et les avocats.

Selon le métier d’origine, le conseil sera plus ou moins éclairé et précis en matière de gestion de patrimoine ; par exemple, un assureur intégrera la gestion de patrimoine dans un cadre de contrat d’assurance vie, le conseiller d’une clientèle bancaire sera porté à proposer des produits financiers et à la marge des investissements immobiliers, ce qui ne serait pas forcément le cas d’un agent immobilier etc.

Il convient ainsi de construire une formation sous les contraintes suivantes :
– Considérer que plusieurs métiers s’inscrivent dans la gestion de patrimoine et par conséquent ouvrir le cursus non seulement à des financiers mais également à des juristes de droit privé ;
– Organiser la formation résolument tournée vers les besoins de la clientèle en matière de gestionnaires de patrimoine.
– Former les stagiaires sur des thèmes variés tels les marchés financiers, la fiscalité, les régimes successoraux… ;
– Tenter d’atteindre une notoriété pour placer les diplômés dans ces secteurs porteurs ;

Quels sont les points forts du programme ?

Les points forts sont :

– La forte relation avec les milieux professionnels : plus de 50% du corps professoral,

– Le stage de six mois qui représente un stage d’intégration dans le monde professionnel,

– L’implication des acteurs professionnels, notamment au travers de l’accompagnement des stagiaires,
– Des étudiants formés à une double compétence : droit privé et finance.

Quels sont les profils des étudiants ?

Les recrutements se font auprès de deux populations :
Des étudiants issus d’études de gestion voire d’économie qui vont appréhender des matières juridiques (droit des successions, droit de la famille…), ou en fiscalité ;
Des étudiants au parcours juridique qui alors recherchent une connaissance de la finance.

Parmi les autres critères indispensables à l’intégration réussie à cette formation, les candidats doivent prouver une appétence certaine aux relations humaines puisque le conseil sera la base de leur futur métier.

Comment est composé le corps enseignant ?

Le corps enseignant est composé pour partie par des universitaires qui délivrent un contenu académique et des professionnels dont l’expérience est indispensable pour que les étudiants acquièrent rapidement des mécanismes, des démarches commerciales…

Quelles sont vos relations avec les entreprises ?

Les partenariats professionnels sont d’autant plus forts que nous leur proposons une formation continue qui est un gage de la qualité des relations entretenues. Des conférences, des visites d’établissements financiers permettent aux deux mondes (étudiants et salariés) de se côtoyer.

Que deviennent vos anciens ? Est-ce que vous avez des exemples ?

Jusqu’à présent, les anciens se sont placés sans difficulté sur le marché du travail. Le stage de six mois (avril à septembre) est une opportunité. Ils deviennent gestionnaires de patrimoine junior, parfois démarrent comme conseiller clientèle puis ont des évolutions vers des postes seniors.

D’autres ont pris des participations dans des cabinets d’indépendants. Enfin, certains juristes sont demeurés dans leur secteur professionnel en intégrant des cabinets d’avocat, ou en poursuivant leurs études pour devenir notaires.

Est-ce que votre formation est accessible en formation continue ?

Oui, depuis la création du Master avec un cycle de formation de 12 mois (janvier à décembre) à raison de 3 jours de séminaires mensuels.

Comment procédez-vous pour faire évoluer votre programme ?

Comme tout diplôme universitaire, l’AERES est chargée au plan national de noter les formations.
Lors de la dernière évaluation, le Master 2 a été noté A+.