« Nous avons prévu cette année le recrutement de 40 Conseillers Patrimoniaux en CDI », Eric Rosenthal, Directeur Commercial & Marketing, Legal & General (France)

Pouvez-vous nous présenter votre carrière et vos fonctions chez L&G ?

Avant de rejoindre le Groupe Legal & General, j’ai travaillé pendant 10 ans chez Generali à un poste de direction commerciale.

Auparavant, j’avais notamment participé au lancement du projet « Zebank ».

Chez Legal & General (France), je suis en charge de la Direction commerciale et marketing. Notre réseau commercial compte aujourd’hui 100 Conseillers Patrimoniaux, tous salariés et présents dans une vingtaine de villes en France.

Nous nous développons et venons d’ouvrir une agence à Nantes et serons prochainement à Nice.

Quelles sont les spécificités de L&G sur son secteur ?

Nous sommes à la fois banquiers privés et assureurs. Nous sommes positionnés sur une clientèle haut de gamme, qui a des problématiques patrimoniales, juridiques et fiscales.

Dans le secteur de l’épargne patrimoniale nous avons des valeurs très spécifiques.

Ce qui m’a frappé quand j’ai rejoint Legal & General, c’est sa volonté de transparence vis-à-vis de ses clients. Ce n’est pas qu’une formule marketing.

Par exemple, L&G ne prend pas de droits d’entrée sur l’ensemble des supports financiers (fonds en euros, SICAV et FCP obligataires, monétaires, actions) qu’elle propose. Les produits sont très simples, il y a une vraie volonté de clarté.

Une autre valeur très importante pour Legal & General, c’est la proximité et la confiance partagées avec nos clients. Les relations sont très fortes entre les Conseillers Patrimoniaux et les clients qu’ils rencontrent chez eux.

Le conseil est toujours privilégié : nos collaborateurs ont un très bon niveau technique et un excellent niveau de conseil, notamment grâce à une formation permanente.

Enfin, il n’y a pas de conflit d’intérêt sur les produits que nous proposons car les conseillers ne sont pas rémunérés en fonction des solutions qu’ils proposent aux clients.

C’est pour tout cela que nos clients sont fidèles et restent très longtemps chez nous.

Quels sont les recrutements prévus en 2013 ?

Nous avons prévu cette année le recrutement de 40 Conseillers Patrimoniaux en CDI.
Comme notre culture est très forte, nous recherchons certes des compétences techniques mais aussi des personnalités capables de vivre nos valeurs.

C’est une fonction très épanouissante. Pour faire ce métier, il faut aimer le contact client, s’intéresser à l’environnement économique et financier. La patience est également très importante pour bâtir des relations sur la durée avec ses clients.

Nous recrutons par exemple d’anciens banquiers qui souhaitent exercer leur métier différemment : conseiller et vendre leurs produits autrement, créer une relation de confiance avec leurs clients.

Quelles sont les qualités pour réussir dans ce métier ?

Des qualités d’écoute et de conviction sont essentielles dans ce métier. Un très bon relationnel est indispensable pour s’adresser à une clientèle exigeante, enfin une forte dimension commerciale et un vrai esprit entrepreneurial.

Quels sont les avantages à rejoindre un groupe comme L&G ?

Nous avons un projet de développement important en France et sommes en pleine progression. Sur un marché de l’assurance-vie qui a reculé, nous avons progressé de +10% l’an dernier.

Nous sommes des spécialistes au service d’une clientèle haut de gamme. Nous gérons nos propres produits : nous avons notre salle de marché. Legal & General est également un groupe très puissant à l’échelle internationale et prospère.

Quels conseils donneriez-vous à des professionnels qui voudraient vous rejoindre ?

Il faut être curieux et prendre le temps de découvrir nos spécificités.

C’est pourquoi nous proposons aux candidats après un 1er entretien de venir découvrir notre métier en passant une journée en immersion dans une agence avec nos collaborateurs. Nous privilégions aussi la transparence dans le processus de recrutement.

Les nominations de la semaine en banque, finance, assurance

« Rubrique réalisée en partenariat avec Nomination : 1er service d’informations et de veille sur les décideurs. »

Bouygues Telecom (groupe Bouygues) : Directeur financier

Monsieur Christian Lecoq est promu directeur financier de Bouygues Telecom (groupe Bouygues), à ce poste depuis février 2013, en remplacement de Monsieur Eric Haentjens.

Il est sous la responsabilité directe de Monsieur Eric Haentjens, directeur général adjoint services informatiques et fonctions supports.

Christian Lecoq, 45 ans, MBA HEC Paris (1993), ingénieur Supélec (1990), a réalisé le parcours suivant :

* 2009-2013 : Bouygues Telecom, directeur finances.

* 2006-2009 : Groupe Bouygues, directeur stratégie et développement.

* 2003-2006 : Digicel Antilles Françaises Guyane (groupe Bouygues Telecom), directeur financier.

* 2000-2003 : Bouygues Telecom, responsable tarification et contrôle de gestion à la direction marketing.

* 1998-2000 : Bouygues Telecom, responsable du plan d’affaires.

* 1994-1998 : Groupe Bouygues, adjoint du directeur des opérations financières et boursières.

* 1993-1994 : A commencé sa carrière comme ingénieur travaux chez Quille (groupe Bouygues Construction).

Brink’s France (groupe Brink’s Security International) : Directeur commercial cash management

Madame Valérie Carreau est nommée directeur commercial cash management de Brink’s France (groupe Brink’s Security International), à ce poste depuis mars 2013, en remplacement de Monsieur François Grenier.

Elle est sous la responsabilité directe de Monsieur Pascal Bredif, directeur général adjoint en charge des opérations.

Elle est membre du comité de direction.

Valérie Carreau, 44 ans, ESC Bordeaux (1991), a réalisé le parcours suivant :

* 2009-2012 : NCR, directeur commercial France et Belgique de la division Finance.

* 2008-2009 : NCR, directeur des ventes France et Belgique.

* 1996-2008 : NCR, successivement ingénieur commercial grand compte au sein de la division Finance, directeur de compte en France pendant 5 ans (fonction élargie à la Belgique en 2005), et solutions sales manager France.

* 1992-1996 : Sybel Informatique, en charge de la commercialisation de solutions logicielles de gestion.

* 1991-1992 : Début de carrière comme responsable étude pour un consultant free-lance d’IBM.

Société générale Corporate & Investment Banking (SG CIB) : Responsable mondial des financements d’infrastructures et d’actifs

Monsieur Denis Stas de Richelle est promu responsable mondial des financements d’infrastructures et d’actifs de Société générale Corporate & Investment Banking (SG CIB), à ce poste depuis mars 2013.

Il est sous la responsabilité directe de Monsieur Matthew Vickerstaff, responsable des financements structurés de Société générale Corporate & Investment Banking.

Il est ainsi chargé de poursuivre le développement de l’activité Financements d’infrastructures et d’actifs en capitalisant sur de nouvelles solutions de marchés de capitaux, notamment les project bonds.

Denis Stas de Richelle, 54 ans, MBA de CEPAC-ULB à Bruxelles (1993), Ecole de commerce Solvay-VUB (1982, Vrije Universiteit Brussels), a réalisé le parcours suivant :

* 2007-2013 : Société générale Corporate & Investment Banking (SG CIB), responsable mondial du financement export.

* 2001-2007 : SG CIB, responsable mondial adjoint du financement export.

* 1997-2001 : SG CIB, plusieurs postes de direction au sein de l’équipe Financement Export.

* 1994-1997 : SG CIB, responsable du financement international à court terme (à Paris).

* 1990-1994 : Début de carrière dans la branche bruxelloise de Société générale comme directeur corporate banking.

Société générale Corporate & Investment Banking (SG CIB) : Responsable mondial du financement export

Monsieur Frédéric Surdon est promu responsable mondial du financement export de Société générale Corporate & Investment Banking (SG CIB), à ce poste depuis mars 2013, en remplacement de Monsieur Denis Stas de Richelle.

Il est sous la responsabilité directe de Monsieur Matthew Vickerstaff, responsable des financements structurés de Société générale Corporate & Investment Banking.

Frédéric Surdon, 42 ans, ESSEC (1995), ESTP Paris (1993), a réalisé le parcours suivant :

* 2008-2013 : Société générale Corporate & Investment Banking (SG CIB), chief operating officer de la division Global Finance.

* 2006-2008 : SG CIB, responsable pour le financement structuré d’actifs en Europe continentale et aux Etats-Unis.

* 2004-2006 : SG CIB, responsable adjoint pour l’Europe continentale pour le financement structuré d’actifs.

* 2000-2004 : SG CIB, en poste au sein de l’équipe Financement structuré d’actifs pour organiser des financements sur mesure, notamment des opérations de big ticket leasing.

* 1995-2000 : SG CIB, a collaboré à divers financements structurés et opérations de conseil au sein de l’équipe Immobilière.

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« Son objectif est de délivrer aux étudiants les savoirs et les compétences nécessaires pour évoluer vers les fonctions de cadre finance », Odile Bernard, Responsable Pédagogique du Master 2 Finance de Groupes, Ecole de Management de Normandie (EMN)

Est-ce que vous pouvez nous présenter le Master Finance des groupes (date et contexte de création) ? Combien avez-vous de promotions ?

Ce Master 2 fait partie du Programme Grande Ecole de l’EMN.

Il a été ouvert en septembre 2007 pour répondre aux besoins du marché et aux attentes des entreprises. Il compte donc à ce jour six promotions. Il est dispensé sur le Campus de Caen.

Quel est l’objectif de la formation ?

Son objectif est de délivrer aux étudiants les savoirs et les compétences nécessaires pour évoluer vers les fonctions de cadre finance dans des Grands Groupes Internationaux (consolidation des comptes, Normes IFRS, opération de haut de bilan, gestion de la valeur, contrôle de gestion, mais aussi Financial engineering , IT management, IT applications in finance). Ce qui le différencie des autres programmes classiques.

Quels sont les points forts du programme ?

Ses points forts sont les acquis professionnalisant et la confrontation avec le terrain (2 missions, « Finance » et « Contrôle de gestion-reporting », et un stage de fin d’études de 6 mois).

Le diplôme délivre une dispense pour 3 épreuves du DSCG (finance, économie et relations professionnelles).

Il est accessible en formation initiale et en alternance.

Quels sont les profils des étudiants ?

Ce Master 2 s’adresse aux étudiants qui choisissent de rejoindre le Programme Grande Ecole après le Bac, un BTS – DUT, une Prépa ou une Licence, et qui souhaitent s’orienter vers les métiers de la Finance ou du Contrôle de Gestion.

Comment est composé le corps enseignants ?

Les enseignants sont des professeurs-docteurs et des professionnels spécialisés dans les thématiques du diplôme. Des professionnels interviennent aussi sur les aspects transversaux d’accompagnement vers l’emploi et de développement personnel.

Quelles sont vos relations avec les entreprises ?

L’EM-Normandie interagit au quotidien avec plus de 10 000 entreprises, en termes de pédagogique, de missions, de stages. Parmi les entreprises qui accueillent les étudiants nous pouvons citer : Boch, Carrefour, Compass Group France, Saint Gobain…

Que deviennent vos anciens ? Est-ce que vous avez des exemples ?

Les étudiants obtiennent très régulièrement un emploi à l’issu de leur stage, qui reste le premier tremplin vers l’emploi.

Les étudiants diplômés se répartissent environ pour 40% à un poste de Responsable Financier (exemple : Areva), pour 40% à un poste de Contrôleur de Gestion junior (exemple : Thyssengrup), 10% en banque (exemple : Société Générale), et 10% en cabinet d’expertise-comptable (exemple : KPMG).

Est-ce que votre formation est accessible également en formation continue ?

Le diplôme n’est pas ouvert à la Formation Continue.

Mais il répond à la demande des étudiants comme des entreprises avec l’alternance.

Dès septembre 2013, le programme est désormais accessible en alternance, afin de renforcer ses dimensions de professionnalisation. Les avantages annexes sont l’exonération des frais de scolarité et la facilité ultérieure d’insertion professionnelle.

Comment procédez-vous pour faire évoluer votre programme ?

Une veille permanente est renforcée par un comité de pilotage au cours duquel des entreprises, des diplômés confirmés dans leur profession et des recruteurs sont sollicités afin que le diplôme réponde aux besoins du marché et les anticipe.


Riche d’une longue expérience professionnelle en entreprise, Odile Bernard, Responsable Pédagogique du M2 Finance de Groupes de l’EMN a dorénavant orienté sa carrière vers l’enseignement et la Recherche.

Ses travaux de Recherche, tout comme sa thèse de Doctorat soutenue en 2010, portent sur l’approfondissement de la connaissance du propriétaire-dirigeant de PME, et plus spécialement sur son approche du Contrôle de Gestion.

Dossier IT finance 2013 – Découvrir les métiers et les formations

Il n’est pas toujours évident de décrocher un premier stage dans le secteur du IT finance notamment dans les sociétés de conseil qui semblent privilégier les profils expérimentés ou jeunes diplômés. Nous avons sélectionné plusieurs recruteurs qui pourraient cependant vous permettre de découvrir les métiers du IT finance.

Les métiers proposés sont divers entre le Conseil MOA, en passant par le MOE ou encore les métiers de programmation.

De nombreux cabinets de conseils réputés proposent chaque année des opportunités de stages. Le canadien CSC recherche régulièrement des stagiaires pour des missions de conseil en actuariat, en retail banking…Sopra group a prévu d’accueillir cette année 600 stagiaires.

Certains éditeurs comme Murex recherchent également régulièrement des stagiaires pour des missions très variées comme la formalisation de calculs matriciels, la conception d’outils de tests, la mise en place d’architecture.

Vous pourrez trouver également des opportunités intéressantes en rejoignant directement les équipes informatiques des banques comme la Caisse des dépôts et Consignation, Crédit Agricole SA, BNP Paribas….La Banque de France recherche aussi des profils IT finance en assistance maîtrise d’ouvrage par exemple.

Pour découvrir les principaux métiers IT et les avis de professionnels :

Ingénieur financier

Avis de Kamel, Ingénieur financier
Un métier à la croisée des chemins entre mathématiques finance et informatique

Ingénieur système Unix / Linux

Avis de Gaëtan Trellu, Ingénieur système Unix/Linux, Société Générale Corporate & Investment Banking
Je pense que pour être administrateur système Linux il est nécessaire d’avoir cette « fibre », d’être capable de partager son travail et donc par la même occasion de savoir accepter la critique (construite).

Assistant maîtrise d’ouvrage finance

Avis de Oleksandr SOLOVIOV, Assistant Maîtrise d’ouvrage
Un bon jeu en équipe

Consultant capital market

Avis de François VERAND, Consultant Capital Market
Mon métier de consultant consiste à assister les banques d’investissement dans de grands projets de transformation organisationnels.

Nous avons sélectionné quelques formations intéressantes pour bien démarrer sa carrière en IT finance et des avis d’anciens :

MIAGE IF, Université Paris Dauphine

Avis de Xavier Lamek, Promotion 2010
Le point fort de ce cursus est sans aucun doute la qualité de son enseignement d’une part avec l’appui d’intervenants professionnels extérieurs issus de grands groupes.

Master Ingénierie Statistique et Informatique de la finance, de l’assurance et du risque, Université Paris 7

Avis anonyme
Nous avons des profs expérimentés et disponibles

Master 2 Informatique Décisionnelle, Université Paris Dauphine

Avis anonyme, promotion 2011

Les intervenants pour le bloc MIAGE sont essentiellement des professionnels du monde de l’entreprise : cela nous permet de connaître la « réalité des choses ».

Master Spécialité Ingénierie financière, Université d’Evry

Avis d’Yannick Armenti, Promotion 2012
La complémentarité des cours nous permet d’être généralistes et presque n’importe quel métier nous est accessible.

>> Interview de Stéphane Crépey, Responsable du Master 2 ingénierie financière de l’université d’Evry

>> Les salaires dans le IT finance

Dossier IT finance 2013 – De nombreux recrutements concernent des profils expérimentés avec plus de 3 ans d’expérience

Le secteur de l’informatique dédié à la banque, finance, assurance a fortement évolué ces dernières années. Nous avons assisté à de nombreux rapprochements entre des sociétés historiques du secteur. Le groupe Onepoint a fait l’acquisition d’OTC Conseil, le cabinet de conseil en management. D’autres gros rachats sont venus ponctués le secteur.

GFI a racheté l’activité informatique de gestion Business Solutions de Thales Services et de la société Cognitis.

Cognitis est spécialisé dans la transformation et l’optimisation des systèmes d’information des grands comptes du secteur financier.

On peut donc s’attendre à un ralentissement des offres d’emploi proposées en 2013 sur ce marché très spécifique des doubles compétences IT et finance.

Du côté du conseil et des SSII, Atos ou GFI ont annoncé 20% de recrutements en moins pour 2013. GFI devrait recruter entre 120 et 140 candidats avec des profils majoritairement expérimentés. GFI ne recrutera pas sur des profils MOA mais plutôt sur des compétences homologation, test, recette et assistance MOA.

La société Finaxys a prévu de recruter 80 candidats sur des profils juniors, confirmés et séniors.

Pour Capgemini / Sogeti ou Open, la tendance est à la stabilisation ou à la légère baisse des recrutements prévus. Plus de 2200 recrutements sont prévus en 2013 par Altran.

Sopra Group a annoncé un plan de recrutement soutenu pour 2013. 1 500 nouveaux collaborateurs devraient rejoindre le groupe.

Une pénurie de compétences sur certains profils informatiques est évoquée par les professionnels de ce secteur très dépendant de la conjoncture. Cependant, les ingénieurs et programmateurs sont les profils les plus recherchés par les entreprises telles que Capgemini ou Altran.

Du côté des éditeurs on note des tendances encore dynamiques. Les profils SAP et spécialisés sur des logiciels précis, tels que Murex ou Calypso, sont très demandés et par conséquent deviennent de plus en plus rares.

À lire

« Les candidats doivent apprendre à construire une vraie expertise », Benoît-Joseph Ménez, Manager IT finance, Huxley Associates.

« Nous intervenons sur toutes les couches applicatives du SI dans les grandes BFI », Audrey Amaral, Responsable Ressources Humaines de Finaxys.

« Les candidats doivent apprendre à construire une vraie expertise », Benoît-Joseph Ménez, Manager IT finance, Huxley Associates

Quelles sont vos anticipations 2013 pour les recrutements en IT finance ?

Les budgets s’ouvrent à nouveau. A court terme les développeurs sont toujours recherchés, notamment en risk et systèmes d’information. Les demandes sont un peu moins fortes en MOA .

Il y a eu une réorganisation du secteur IT finance. Certains éditeurs se sont regroupés. Il a eu également des réorganisations des équipes de management chez les autres acteurs du conseil ou des SSII. Certains petits éditeurs peuvent être très actifs sur des compétences spécifiques comme le trading haute fréquence par exemple. Il y a aussi des acteurs étrangers qui peuvent avoir des besoins.

Comment comparez-vous 2012 à 2013 ?

L’année dernière, le secteur de l’assurance a été très actif ainsi que la banque d’investissement.

En 2013 les besoins se font sentir sur des métiers en particulier mais on constate toujours des demandes de la part de l’assurance ou encore des SSII spécialisées sur la banque d’investissement de marché. Sur les plus petites structures peu de projets se renouvellent, ce qui diminue leurs objectifs de recrutement.

Quelles sont les compétences les plus recherchées ?

Il y a des besoins accrus pour des développeurs C#, Java ou C++. Au niveau des Infrastructures il y a des enjeux en termes de sécurité des systèmes d’information ou encore de virtualisation. On constate également des demandes de managers pour des projets organisationnels.

Est-ce que vous voyez des évolutions dans les exigences de vos clients ?

Dans cet univers ils ont toujours été exigeants. Dans les petites structures, ils sont plus ouverts à des profils qui ont de l’expérience.

Il y a des attentes fortes en ce qui concerne le comportement du candidat. Sur les projets informatiques il y a un besoin d’intégrer rapidement la personne. On s’intéresse donc aux motivations et disponibilités du candidat.

En ce qui concerne les processus d’entretien, les recruteurs ont intégré le fait que les candidats peuvent être très sollicités. Ils se doivent d’être plus réactifs et de se rendre plus disponibles.

Est-ce que vous constatez des évolutions dans les comportements des candidats ?

Ils sont très demandés. Il y a un manque d’ouverture de leur part. Ils veulent tous décrocher le « super projet » dans la « super société ». Ils cherchent en majorité à rejoindre le client final. Le mot conseil les fait fuir. Ils n’écoutent pas assez lorsqu’on leur présente un projet.

Quelles sont les motivations des candidats dans un tel contexte ?

La rémunération reste déterminante pour eux mais ils ne négligent pas pour autant l’orientation de leur carrière. Ils sont prêts à faire un effort sur le fixe à condition que le bonus soit intéressant. Certaines sociétés exercent la pratique du bonus mais pas encore suffisamment.

Est-ce que vous avez des conseils à donner aux candidats ?

Il ne faut pas penser qu’aux grandes banques. Il ne faut pas hésiter à rejoindre des structures plus petites qui ne sont pas forcément dans le secteur de la finance pour acquérir des compétences. Cela peut-être également stratégique de passer par des sociétés de services pour être repéré sur des projets.

Les candidats doivent être à l’écoute du marché et être ouvert aux projets. Ils doivent savoir s’investir et être prêt à apprendre pour se construire une vraie expertise. Il faut être humble sur ses compétences.

Comment se positionne le cabinet Huxley sur le marché du IT finance ?

Le cabinet Huxley travaille avec des clients issus de la banque, finance et assurance.
On est spécialisé sur des problématiques très techniques de type infrastructure, développement ou MOA.

Nos consultants en recrutement sont des experts sur ces marchés et sont capables d’offrir des services de recrutement sur mesure.

« Nous intervenons sur toutes les couches applicatives du SI dans les grandes BFI », Audrey Amaral, Responsable Ressources Humaines de Finaxys.

Est-ce que vous pouvez nous présenter Finaxys ?

Finaxys a 5 ans d’existence. Nous sommes spécialisés en IT finance. Nos clients
sont des banques d’investissement comme par exemple la Société Générale, BNPParibas, Crédit Agricole ou encore Natixis. Nous avons aujourd’hui 160 collaborateurs pour un chiffre d’affaires
de 15 millions d’euros.

Quels sont vos principaux domaines de compétences ?

Notre domaine de compétence principal est la banque de financement et d’investissement. Nous intervenons sur des progiciels comme Summit, Murex,ou encore Sophis en front office ou encore en support, développement et MOA.

Quelles sont vos perspectives de recrutement sur 2013 ?

Pour 2013 nous avons 80 embauches de prévus sur des profils juniors, confirmés et seniors. Nous recherchons notamment des développeurs (Java Core, J2EE, , C#, ASP.net), également des profils MOA et des experts techniques.

Les deux tiers de nos recrutements concernent des candidats confirmés.

Comment expliquez-vous votre volume de recrutement dans un contexte difficile ?

Notre dynamisme peut s’expliquer par la proximité avec nos clients. Nous avons su construire des relations de confiance grâce à des ressources de qualité.

Par ailleurs la banque de financement et d’investissement continue à avoir des projets. Par contre, ils sont très exigeants sur les tarifs et les coûts et n’hésitent pas à diminuer la liste de leur fournisseurs.

Comment attirez-vous les bons candidats dans un marché très tendu ?

Nous les attirons essentiellement par la qualité des missions proposées. Nous avons également mis en place un accompagnement de carrière pour nos collaborateurs.

Est-ce que vous recrutez également des stagiaires ?

Oui nous recrutons des stagiaires sur des postes de développeurs JAVA et C# mais aussi des commerciaux et des chargés de recrutement.

Les nominations de la semaine en banque, finance, assurance

« Rubrique réalisée en partenariat avec Nomination : 1er service d’informations et de veille sur les décideurs. »

SES : Directeur financier

Monsieur Padraig McCarthy est promu directeur financier de SES, à compter du mois d’avril 2013, en remplacement de Monsieur Andrew Browne. Il est membre du comité de direction.

Padraig McCarthy, 52 ans, bachelor en commerce de l’université de Cork (Irlande), membre de l’Institut irlandais des experts comptables, programmes de gestion avancée de Babson College (Etats-Unis) et de l’INSEAD, a réalisé le parcours suivant :

* 2011-2013 : SES, vice-président directeur des opérations financières et du soutien commercial.

* 2002-2011 : SES Astra (groupe SES), directeur financier.

* 1995-2002 : SES, contrôleur.

* NC-1995 : Norton (groupe Saint-Gobain), directeur financier Europe.

* KPMG Chartered Accountants, en poste en Irlande.

Cellectis : Directeur financier groupe

Monsieur Pierre Schwich est promu directeur financier groupe de Cellectis, à ce poste depuis février 2013, en remplacement de Monsieur Marc Le Bozec. Il est sous la responsabilité directe de Monsieur André Choulika, président-directeur général. A ce titre, il devient membre du comité exécutif du groupe.

Pierre Schwich, 60 ans, Mines Paris, DEA de l’université Paris-IX, a réalisé le parcours suivant :

* 2011-2013 : Cellectis, directeur financier adjoint du groupe.

* 2008-2011 : Aloha Finance (transition management), managing partner.

* 2005-2008 : Global Design Technologies, chief financial officer.

* 2004-2005 : Siparex, secrétaire général.

* 1997-2002 : Genesys Conferencing, directeur général adjoint finances.

* 1995-1997 : High Co, secrétaire général.

* 1989-1995 : 3i, directeur investissements.

Ministère de la Culture et de la Communication : Sous-directeur des affaires financières

Monsieur Arnaud Roffignon est nommé sous-directeur des affaires financières au ministère de la Culture et de la Communication, à ce poste depuis février 2013.

Arnaud Roffignon, 39 ans, ENA (2000), IEP Paris, a réalisé le parcours suivant :

* 2010-2013 : Institut national de recherches archéologiques préventives (Inrap), directeur général.

* 2007-2010 : Cabinet du ministre de la Culture et de la Communication, Christine Albanel puis Frédéric Mitterrand, conseiller en charge des affaires budgétaires et fiscales, de la modernisation du ministère et du développement durable.

* 2003-2007 : Centre des monuments nationaux, directeur administratif et financier.

* 2000-2003 : Ministère de la Culture et de la Communication, adjoint au chef du bureau du budget et des affaires financières, puis chef du bureau du budget et des affaires financières à la direction de l’administration générale.

Financière de Courcelles : Directeur général délégué

Madame Christiane Marcellier est nommée directeur général délégué de Financière de Courcelles, à ce poste depuis février 2013. Elle est sous la responsabilité directe de Monsieur Dominique Auburtin, président-directeur général. Elle est ainsi chargée de conduire l’accélération du développement de Financière de Courcelles.

En s’appuyant sur une équipe de professionnels en fusions-acquisitions, elle accroîtra les interventions de la banque indépendante autour des spécialités du Corporate Finance, tant auprès des clients historiques de la société qu’auprès des grandes entreprises.

Christiane Marcellier, 56 ans, maîtrise de sciences économiques de l’université Paris-IX Dauphine, DECS, SFAF, a réalisé le parcours suivant :

* Depuis 2008 : JD4C Conseil, associé-gérant.

* 2005-2007 : ABN AMRO France, directeur du développement, de la stratégie et des synergies pour la France et l’Europe latine.

* 2000-2004 : Groupe Caisse d’épargne, directeur de la stratégie, membre du comité exécutif, puis responsable du pôle Assurances.

* 1997-1998 : Paribas, responsable de l’analyse de la concurrence et de l’analyse stratégique au sein du département Stratégie et développement.

* 1993-1997 : NatWest Securities France, directeur du bureau d’analyse financière et analyste financier des secteurs financiers.

* 1988-1993 : James Capel (groupe HSBC), directeur associé.

* 1982-1988 : A commencé sa carrière en tant qu’analyste financier, spécialiste des banques et des assurances, au sein d’Eurostaf-Dafsa.

La Banque postale Financement (groupe La Poste) : Directeur général

Monsieur Stéphane Laroche est nommé directeur général de La Banque postale Financement (groupe La Poste), à ce poste depuis janvier 2013. Il est sous la responsabilité directe de Monsieur Michel Garnier, président du directoire.

Il est membre du directoire de La Banque Postale Financement.

Il remplace Monsieur Julien Ochonisky, qui a rejoint le groupe Société générale.

Stéphane Laroche, 42 ans, ESCP Europe (1991), a réalisé le parcours suivant :

* 2009-2013 : Fiditalia (groupe Société générale), codirecteur général en charge des fonctions administratives et de support.

* 2007-2008 : Société générale Consumer Finance, directeur général adjoint.

* 2005-2007 : Société générale Consumer Finance, directeur du développement.

* 2002-2005 : Franfinance, directeur délégué de la division Crédit à la consommation.

* 1998-2002 : Société Générale, inspecteur principal.

* 1992-1998 : A commencé sa carrière comme inspecteur au sein de l’inspection générale de la Société générale.

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Carrière à suivre : Portrait de Christine Eynaud, DAF, Hédiard

Christine Eynaud a démarré sa carrière en cabinet d’audit. Après 3 ans de missions opérationnelles très formatrices chez Deloitte, Christine Eynaud décide de rejoindre la FNAC pour décrocher son premier poste en contrôle de gestion. Elle accompagnera pendant plus de 10 ans l’évolution du groupe, avant de devenir directrice financière de filiales. En 2008, Christine Eynaud prend la direction financière du groupe Hédiard. Une même motivation semble avoir déterminé ses choix de carrière à chaque fois : prendre du plaisir dans la découverte de nouvelles activités et de nouveaux business model.

Comment a démarré votre carrière dans la finance ?

J’ai démarré en audit chez Deloitte à un poste assez généraliste, où je suis restée trois ans. Les raisons de mon départ sont assez simples : la volonté d’évoluer vers un poste opérationnel. Je préférais rejoindre l’entreprise pour être plus dans la mise en œuvre de projets et moins sur le contrôle. L’idée était vraiment d’être dans l’action.

Le cabinet d’audit a été très formateur. Vous voyez beaucoup de cas d’entreprises issus de nombreux secteurs pour lesquels vous analysez les process, les zones de risques. On y acquiert une culture en mode accéléré du monde de l’entreprise. La méthodologie des cabinets vous pousse à respecter un certain formalisme. Tout ce que vous faites va être lu et contrôlé. Cela donne de bonnes habitudes de travail qui sont conservées par la suite. De plus, le cabinet accompagne les équipes par de nombreux séminaires de formation. Avec le recul, c’est un bon choix pour démarrer une carrière.

Quelle a été votre formation initiale ?

J’ai fait Sup de Co Bordeaux, BEM aujourd’hui. Le cursus est assez général, on y acquiert une bonne vision stratégique de l’entreprise et des compétences en gestion de projets. J’ai toujours aimé cet équilibre entre la stratégie et la mise en œuvre de projets.

Comment a évolué votre carrière après votre expérience en cabinet d’audit ?

J’ai rejoint la FNAC à partir des années 90 à un poste de contrôle de gestion. Mon rôle principal était d’analyser la performance de l’entreprise et de mettre en place des process d’organisation et de mesurer cette performance. J’ai été responsable du contrôle de gestion des magasins, ce qui permettait d’avoir une vision en amont des décisions et en aval sur leurs applications. J’assurais au départ le suivi de près d’une trentaine de magasins, organisés en BU, puis ensuite en régions. J’ai développé l’utilisation de benchmarks entre les magasins pour aligner leur performance. Le nombre de magasins a plus que doublé pendant la période.

Au contrôle de gestion j’ai accompagné la croissance du groupe et sa structuration financière, dans le contexte d’appartenance au groupe PPR coté, qui a exigé la mise en place de process, plus d’exigence dans les délais et la publication des résultats. Il a fallu accompagner ces évolutions. Le contrôle de gestion était au cœur de la mise en place de la stratégie d’entreprise et des plans d’actions opérationnels. C’était un poste qui comportait une forte composante de management transversal des équipes du siège et des équipes opérationnelles, ainsi que de fortes capacités de conviction.

Comment avez-vous décroché votre premier poste de DAF ?

J’ai souhaité évoluer en filiale pour intégrer un comité de direction, participer activement aux décisions, et élargir mon périmètre de compétences à la comptabilité et à la trésorerie. J’étais en charge d’une filiale centrale d’achat du groupe. J’ai fait le constat que la logistique de cette activité devait être réintégrée dans la logistique centrale du groupe et j’ai été amenée à restructurer cette filiale. C’était mon premier poste de DAF. Il ne faut pas hésiter à proposer un scénario en rupture avec les schémas établis. Je suis restée en mission 1 an et demi. J’ai ensuite pris la direction financière de Eveil et Jeux qui est sorti du groupe Fnac depuis. J’ai découvert un business model différent avec de la vente à distance et une organisation multicanale, en marge du core business du groupe. Cela m’a permis d’appréhender l’univers des PME.

Qu’est-ce qui vous a décidé à rejoindre le groupe Hédiard ?

J’ai été chassée. Je suis rentré chez Hédiard avec une nouvelle équipe de direction suite au changement d’actionnaire. C’est une très belle marque qui fait partie du patrimoine avec de beaux challenges en termes de repositionnement et de développement à l’international. C’est un projet qui m’a tout de suite intéressée avec un vrai besoin de réflexion stratégique et de management très opérationnel auprès des équipes.

Qu’est-ce qui vous a aidé à réussir dans votre carrière?

Il faut savoir prendre du plaisir dans la découverte de nouvelles activités et de nouveaux business model. C’est déterminant pour les fonctions financières qui doivent aider au pilotage de l’entreprise. Cette compréhension opérationnelle permet au DAF d’avoir une vision globale de l’entreprise, et d’être un référent auprès du comité de direction. Le DAF doit également savoir travailler avec autonomie, prendre des initiatives et expliquer ses décisions. Il doit trouver son équilibre avec le directeur général en parlant un langage commun.

Est-ce que vous avez des conseils de gestion de carrière ?

Je crois qu’en termes d’attitude, il faut savoir s’intéresser aux autres fonctions de l’entreprise et les comprendre. C’est une source de progrès très forte. Il faut être à l’aise dans son environnement et comprendre son secteur d’activité. Enfin, le DAF doit s’ouvrir à l’extérieur, en restant en veille sur les bonnes pratiques, ou les évolutions en matière d’outils, et communiquer. A compétences égales, c’est toujours la personnalité qui fait la différence.

Comment a évolué le métier de DAF aujourd’hui ?

Il a évolué vers une culture du cash, et un objectif de productivité des services financiers. Le DAF est le gardien des moyens engagés pour atteindre la rentabilité cible.

Les nominations de la semaine en banque, finance, assurance

« Rubrique réalisée en partenariat avec Nomination : 1er service d’informations et de veille sur les décideurs. »

Crédit Agricole Leasing & Factoring (groupe Crédit agricole) : Directeur général adjoint en charge du fonctionnement pour la France et l’international

Monsieur Hervé Varillon est promu directeur général adjoint en charge du fonctionnement de Crédit Agricole Leasing & Factoring pour la France et l’international (groupe Crédit agricole), à ce poste depuis le 1er février 2013.

Sa nomination intervient dans le cadre de la réorganisation de Crédit Agricole Leasing & Factoring, qui s’articule autour de 2 pôles : un pôle Développement en charge des missions de promotion et de commercialisation des offres auprès des clients et partenaires en France et à l’international ainsi que des opérations clients affacturage, un pôle Fonctionnement en charge des missions de support financier et juridique, de traitement des opérations, des systèmes d’information et de l’amélioration constante des processus de l’entreprise.

Hervé Varillon, 45 ans, expert-comptable, EM Lyon, a réalisé le parcours suivant :

* 2009-2013 : Crédit Agricole Leasing & Factoring, directeur finances, informatique et organisation des métiers Leasing et Factoring.

* 2009-2009 : Eurofactor, directeur financier.

* 2005-2009 : Crédit Agricole Leasing, directeur financier.

* 2003-2009 : Crédit Agricole, a assuré des fonctions dans le métier du crédit-bail.

* 1996-2003 : BNP Paribas, contrôleur financier, puis directeur comptable et financier dans différentes filiales d’activité de marchés du groupe.

* Début de carrière en tant qu’auditeur chez Deloitte, puis consultant chez Peat Marwick.

Sage : Directeur général de la division Experts-Comptables France

Monsieur Xavier des Roseaux est promu directeur général de la division Experts-Comptables France de Sage, à ce poste depuis janvier 2013. Il est sous la responsabilité directe de Monsieur Antoine Henry, directeur général. Il devient, à ce titre, membre du comité de direction.

Xavier des Roseaux, 46 ans, diplôme en droit des affaires et fiscalité de l’université Paris-X, CEFA ESC Reims, a réalisé le parcours suivant :

* 2011-2013 : Sage France, directeur des opérations de la division ATL.

* 2009-2011 : Sage France, directeur commercial channel ERP de la division Moyennes et Grandes Entreprises.

* 2005-2009 : Sage France, différentes fonctions opérationnelles.

* 2000-2005 : Lawson, ingénieur d’affaires.

* NC-2000 : En poste chez Computer Associates.

* Début de carrière comme ingénieur commercial au sein du Bureau van Dijk EE.

Allianz France : Directeur des comptabilités au sein de l’unité Finance

Madame Fanny Pallincourt est promue directeur des comptabilités au sein de l’unité Finance d’Allianz France, à ce poste depuis février 2013. Elle est sous la responsabilité directe de Monsieur Richard Bonfils, directeur des comptabilités.

Elle est en charge des projets de transformation. Elle conserve par ailleurs ses fonctions de directeur corporate finance.

Fanny Pallincourt, 50 ans, HEC, IEP Paris (1984), a réalisé le parcours suivant :

* Depuis 2010 : Allianz France, directeur corporate finance au sein de l’unité Investissements.

* 2010-2013 : Allianz France, secrétaire général.

* 2006-2010 : Allianz, directeur des opérations financières (Corportate Finance, Investissements Long

Terme, et Trésorerie).

* 1999-2006 : AGF (devenu Allianz en 2009), adjoint, puis directeur du corporate finance.

* 1986-1998 : A commencé sa carrière au sein du groupe Worms & Cie, successivement chargé d’affaires à la Banque Demachy Worms & Cie, sous-directeur à la direction des opérations financières, et gérant actions à la direction financière du pôle Assurance.

Deloitte Finance : Directeur associé au sein du département Financial Advisory

Monsieur Jean-Pascal Beauchamp est nommé directeur associé au sein du département Financial Advisory du cabinet Deloitte, à ce poste depuis janvier 2013. Il est sous la responsabilité directe de Monsieur Vincent Batlle, associé, en charge de Deloitte Reorganisation Services. Il est ainsi responsable de l’offre Restructuring financier.

Jean-Pascal Beauchamp, 45 ans, DESS administration des entreprises de l’IAE Bordeaux (1990), a réalisé le parcours suivant :

* 2008-2013 : Grant Thornton Corporate Finance Paris, associé.

* 2005-2008 : Grant Thornton, directeur de l’activité Prévention et Restructuration.

* 2000-2005 : Mazars Restructuring (Medianture), fondé de pouvoir.

* 1991-2000 : Début de carrière comme collaborateur senior au sein de l’étude d’administrateur judiciaire SCP Schmitt & Michel.

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