« Nous attachons beaucoup d’importance au suivi des étudiants », Gregory Moscato, Directeur du programme Master of Science in Finance à l’International University of Monaco

Pouvez-vous nous présenter ce Master en finance et ses deux spécialisations ?

C’est un master of science avec deux spécialités très distinctes : le« Private Banking & international wealth management» dédié à la gestion de fortune et au conseil patrimonial ainsi que le «hedge funds & private equity» résolument orienté vers les stratégies d’investissement innovantes.

Ce master se déroule sur 16 mois avec 10 mois de cours. Le volume moyen de cours est de 20 h par semaine. A cela il faut ajouter un travail personnel conséquent. C’est donc très intense pour les étudiants qui doivent adopter un rythme de travail élevé. L’ensemble des cours du Master sont délivrés en Anglais.

C’est à ce jour le seul master en France spécialisés sur ces deux industries. Ces spécialisations s’expliquent par notre implantation à Monaco. Il y a de nombreuses sociétés de gestion et banques privées mais les activités liées aux Hedge funds au private equity sont en croissance et attirent des intervenants majeurs. Ces secteurs sont très porteurs et correspondent à une demande forte à l’international.

Combien d’étudiants avez-vous dans chaque promotion?

Nous avons lancé nos Masters en finance en 2005 et avons proposé ces deux orientations depuis 2007. Nous en sommes donc à la sixième édition pour ces spécialisations. Nous accueillons une trentaine d’étudiants chaque année, ce qui représente un équilibre idéal pour remplir nos objectifs pédagogiques.

Quels sont les points forts du programme ?

Au-delà de l’enseignement technique de la finance, nous attachons beaucoup d’importance au suivi personnalisé de chaque étudiant. Notre département carrières les aide à affiner leur stratégie de carrière et à développeur leur réseau.

Notre exigence académique est également forte. Cela passe par une solide formation technique. Mais au-delà de l’aspect technique, nous travaillons aussi sur leur comportement. Nous leur apprenons à travailler en groupe, à respecter les délais, à être proactif et porteur de solutions, en, d’autres termes, à développer l’ensemble des qualités requises par les recruteurs de l’industrie financière.

Quels sont les profils des étudiants ?

Nos étudiants ont des profils très variés. Tout d’abord parce qu’ils viennent de tous les continents, et puis, parce que certains arrivent avec un bagage professionnel avéré, alors que d’autres viennent juste de terminer leurs études de niveau licence et visent à intégrer l’industrie financière. Bien entendu une exposition préalable aux fondamentaux de la finance est requise mais Il est possible de suivre des mises à niveau avant le début du programme.

Nous privilégions des parcours académiques performants et sommes ouverts aux candidats issus d’autres champs scientifiques. Au final, nos promotions sont véritablement multiculturelles, sans dominance d’une nationalité particulière : l’harmonie du groupe est pourtant obtenue en fédérant les étudiants autour de valeurs communes, d’une éthique de travail élevée et d’une passion pour la finance.

Comment est composé le corps enseignants ?

Le corps enseignant est composé d’un coté, de professeurs à temps plein, tous possédant un doctorat et engagés dans des activités de la recherche en finance, et de l’autre côté, de professionnels de l’industrie financière, sélectionnés pour leur parcours spécialisé et leur passion pour transmettre leur savoir.

Nous avons par exemple un président de l’association de Venture Capital à Monaco, un directeur d’un fond immobilier, des consultants and fusions et acquisitions ou encore des directeurs de sociétés de gestion.

Quelles sont vos relations avec les entreprises ?

Nous avons développé depuis 8 ans un tissu de relations fortes avec les institutions financières de la place Monégasque. Notre réseau s’étend aussi à des institutions Suisses, Londoniennes et Européennes, ce qui nous permet d’organiser régulièrement des voyages d’études afin d’exposer nos étudiants aux meilleurs pratiques actuelles.

Que deviennent vos anciens ? Est-ce que vous avez des exemples ?

Nous avons des taux de placement élevés. A 3 mois notre taux de placement est de 91% et il atteint 100% à 6 mois. Nos anciens se retrouvent sur les principales places financières du moment, en Europe bien sur et en Amérique du nord mais on les trouve aussi positionnés dans les places émergentes, Amérique Latine, Moyen Orient, Asie et même sur le continent Africain.

Certains intègrent des firmes spécialisées en Asset management, des banques privées et des family office tandis que d’autres intègrent des Hedge Funds, des banques d’investissement ou des fonds de Private Equity et de capital risque. Par exemple l’année dernière, le major de promotion a intégré le département ultra concurrentiel de fusion et acquisition de JP Morgan à Londres.

Comment procédez-vous pour faire évoluer votre programme ?

Chaque année nous rassemblons les feedbacks de nos étudiants, de nos professeurs, de nos anciens élèves et de professionnels extérieurs afin de rester au plus près de leurs attentes et des évolutions de l’industrie financière. Il est fondamental de pouvoir innover et de s’adapter, y compris sur les modes de transmission du savoir.

Ainsi nous proposons l’année prochaine à nos étudiants du MSc Finance la possibilité d’intégrer le campus Londonien au cours du troisième trimestre, leur permettant de découvrir de manière idéale la place financière la plus dynamique au monde.

Les nominations de la semaine en banque, finance, assurance

« Rubrique réalisée en partenariat avec Nomination : 1er service d’informations et de veille sur les décideurs. »

KBL European Private Bankers (KBL EPB) : Chief executive officer Professional Services

Monsieur Frédéric Genet est nommé chief executive officer Professional Services au sein de KBL European Private Bankers (KBL EPB), à compter de mai 2013.

Il est ainsi en charge de la croissance des départements Global Investor Services, Global Financial Markets et Credit.

Il s’agit d’une direction nouvellement créée au sein du comité de direction.

Frédéric Genet, 57 ans, diplômé de la faculté des sciences économiques de Grenoble, master en finance, a réalisé le parcours suivant :

* Chief executive officer au sein de la Société générale Bank & Trust (au Luxembourg).

* 2007-NC : Société générale Corporate & Investment Banking, banquier conseil au sein de la division Marchés de capitaux et Financements.

* 1997-2007 : Société générale Corporate & Investment Banking, responsable des activités de financements export au niveau mondial.

* 1991-NC: Société générale, responsable de la division des opérations spéciales de financements sur-mesure pour les grandes entreprises en France et à l’étranger.

* 1978-1991 : Début de carrière à la Société générale, diverses fonctions au sein de l’inspection générale, de la banque de détail puis de la direction des filiales de Leasing.

Arte France : Directeur de la gestion et de la coordination

Monsieur Olivier Guillemot est nommé directeur de la gestion et de la coordination d’Arte France, à ce poste depuis février 2013.

Il est sous la responsabilité directe de Madame Anne Durupty, directeur général.

Olivier Guillemot, 38 ans, ENA (2006), IEP Paris (1996), a réalisé le parcours suivant :

* 2011-2013 : Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC), directeur financier et juridique.

* 2008-2011 : CNC, directeur adjoint chargé du budget et des financements à la direction financière et juridique.

* 2006-2008 : Ministère de l’Economie, de l’Industrie et de l’Emploi, administrateur civil au sein de la Direction générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des fraudes (DGCCRF).

* 1996-2003 : A commencé sa carrière comme commissaire de la Marine.

Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC) : Directeur financier et juridique

Madame Aude Accary-Bonnery est nommée directeur financier et juridique du Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC), à ce poste depuis février 2013, en remplacement de Monsieur Olivier Guillemot.

Elle est sous la responsabilité directe de Madame Audrey Azoulay, directeur général délégué.

Aude Accary-Bonnery, 37 ans, ENA (2003), IEP Paris (1997), master 2 en droit économique, international et européen, a réalisé le parcours suivant :

* 2011-2013 : Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC), directeur adjoint en charge du budget et des financements.

* 2010-2011 : CNC, responsable du département Cinéma et jeux vidéo.

* 2006-2010 : En poste au ministère britannique de la Culture, des Médias et des Sports.

* 2003-2006 : Direction du développement des médias (DDM devenue DGMIC), chef du bureau de l’audiovisuel public (début de carrière).

Club Méditerranée : Directeur revenue management & pricing

Madame Barbara Vandeputte est promue directeur revenue management & pricing de Club Méditerranée, à ce poste depuis février 2013.

Elle est sous la responsabilité directe de Monsieur Sylvain Rabuel, directeur général France, Belgique et Suisse.

Barbara Vandeputte, DESS en yield management de l’Ecole supérieure des sciences commerciales d’Angers (2004), a réalisé le parcours suivant :

* 2012-2013 : Club Méditerranée, pricing manager Europe-Afrique.

* 2010-2012 : Club Méditerranée, pricing manager NMEA.

* 2009-2010 : Club Méditerranée, analyste décisionnel et AMO.

* 2008-2009 : Club Méditerranée, analyste revenue management Europe-Afrique et pricing manager Asie-Pacifique.

* 2004-2008 : Club Méditerranée, analyste revenue management Europe-Afrique.

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« Plus de la moitié des anciens se retrouvent en analyse financière en France et à l’étranger », Éric Vernier, Responsable du Mastère Spécialisé Analyse Financière Internationale, Reims Management School

Est-ce que vous pouvez nous présenter le Mastère Analyse Financière Internationale ?

Le Mastère Spécialisé Analyse Financière Internationale (MS AFI) de Reims Management School (RMS) a été créé en septembre 2005 pour répondre aux besoins grandissants de la finance internationale, notamment en excellents professionnels dans l’analyse du risque et l’évaluation d’entreprises.

Combien avez-vous de promotions ?

La promotion 2012-2013 du MS AFI représente la 8ème promotion, soit un total d’environ 250 diplômés. Les liens se tissent entre toutes ces promotions grâce aux réseaux sociaux (nous avons un groupe MS AFI sur LinkedIn par exemple) et aux associations de l’Ecole.

Quel est l’objectif de la formation ?

Le MS AFI prépare les élèves aux différents métiers associés à l’analyse financière en France ou à l’étranger. Exclusif dans son contenu, le programme ambitionne à la fois l’acquisition intensive des fondamentaux de la finance à haut niveau avec une forte dimension éthique qui me tient à cœur, tout en favorisant l’accès à un ensemble de certifications reconnues qui permet une forte visibilité du profil.

Quels sont les points forts du programme ?

La formation de 450 heures se déroule sur 3 mois intensifs à Reims, puis quelques samedis par mois à Paris à compter de janvier. Les élèves sont donc ainsi opérationnels dès le mois de janvier et peuvent partir en stage à cette date.

Un study tour est organisé en mai à New-York avec des cours au Finance Institute of New-York et des visites d’institutions financières avec les CEO.

Une préparation au CFA level 1 est proposée dans le cursus, ainsi que plusieurs certifications professionnelles : Reuters, Bloomberg, AMF et Factset. Les diplômés partent ainsi avec tous les atouts sur leur CV pour réussir rapidement leur carrière.

Quels sont les profils des étudiants ?

Les élèves sont issus à part égale d’écoles de commerce et d’universités. Ils possèdent pour la plupart un BAC+5 en finance, d’autres un BAC+4 avec une expérience professionnelle substantielle. Quelques-uns, de plus en plus nombreux, viennent d’écoles d’ingénieurs ou de facultés de droit ou de sciences. La moitié des promotions est internationale.

Comment est composé le corps enseignants ?

La moitié du corps enseignant est composée d’enseignants-chercheurs de RMS, l’autre moitié de professionnels de haut niveau en poste dans les grandes institutions financières et les sociétés spécialisées.

Quelles sont vos relations avec les entreprises ?

Nous profitons de l’important réseau tissé par RMS depuis des décennies avec l’ensemble des acteurs de la finance française et internationale. La réputation du MS AFI permet désormais d’avoir des relations privilégiées avec nombre d’entre eux.

Nous sommes donc en contact permanent avec les établissements financiers, notamment à travers les intervenants professionnels et les tuteurs de stages.

Que deviennent vos anciens ? Est-ce que vous avez des exemples ?

Plus de la moitié des anciens se retrouvent en analyse financière en France et à l’étranger (New-York, Londres, Luxembourg, etc.) : analyste sell-side, buy-side, crédit, corporate (HSBC, BNP Paribas, Société Générale, Crédit Suisse, etc.).

Un quart sont en private equity ou en fusion-acquisition. Quelques-uns exercent en tant que trader/broker ou sales.

Enfin, certains, plus nombreux dans la dernière promotion (2011-2012), ont été intégrés dans les grands cabinets d’audit et de conseil (KPMG, Deloitte, Pricewaterhouse).

Quelques exemples :

– Analyste sell-side, BNP Paribas New-York (promotion 2012) ;
– Gérant de fonds en euros, Natixis Assurances (promotion 2007) ;
– Auditeur Private Equity, Ernst&Young Luxembourg (promotion 2011) ;
– Recherche actions, Exane BNP Paribas (promotion 2010) ;
– Sales produits structurés, Société Générale New-York (promotion 2006) ;
– Auditeur, KPMG (promotion 2012) ;
– Sales, société spécialisée (promotion 2012).

Est-ce que votre formation est accessible également en formation continue ?

Le MS AFI est accessible à la formation continue dans la mesure où, si les cours sont à plein temps de septembre à décembre, les élèves sont « libérés » dès les vacances de Noël (les cours n’ont ensuite lieu que certains samedis à Paris) et peuvent ainsi rejoindre définitivement leur entreprise. Le temps de formation ne correspond donc dans les faits pour l’entreprise qu’à un peu plus de 3 mois.

Comment procédez-vous pour faire évoluer votre programme ?

Un comité de programme et un comité scientifique se réunissent chaque année afin d’échanger sur le programme et proposer des améliorations. Ils sont composés de personnalités extérieures, de membres de la direction de RMS, d’enseignants du MS AFI et de représentants des élèves et des anciens.

Nous sondons régulièrement les professionnels de la finance avec qui nous travaillons, de même que les élèves des promotions précédentes et actuelles, pour garder le MS AFI en adéquation permanente avec les besoins des entreprises et les attentes des étudiants.

Les enseignements sont tous évalués par les élèves chaque année. Et les différentes accréditations de RMS et du MS AFI (Equis, AACSB, CGE) nous amènent à évaluer le programme de manière permanente et continue.


Éric VERNIER, responsable du Mastère Spécialisé Analyse Financière Internationale à Reims Management School, Docteur ès Sciences de Gestion et Habilité à diriger des recherches.

Directeur du CEL.LAB à l’Université du Littoral Côte d’Opale, expert APM et expert Francis Lefebvre, il exerce une activité de consultant international sur les questions de blanchiment. Il a publié de nombreux ouvrages, notamment Techniques de blanchiment et moyens de lutte (Dunod, 2013, 3ème éd.) et La crise financière en 40 concepts clés (Revue Banque Edition, 2013, 2ème éd.).

« L’objectif de la MSc Finance est de former des professionnels de la Finance qui maitrisent l’ensemble des dimensions liées à la Finance « , Pascale Viala, Responsable de la Filière Financial Economics, EDHEC Business School

Est-ce que vous pouvez nous présenter le MSc in Corporate Finance / MSc Finance ?

Le MSc in Finance, créé en 2002, est avant tout destiné à un public n’ayant pas ou peu de connaissances approfondies en finance mais souhaitant poursuivre une carrière dans ces métiers. Il a pour objet d’apporter une connaissance approfondie – à la fois théorique et opérationnelle – en finance. Il aborde de nombreux aspects de la discipline : finance d’entreprise, marchés de capitaux, gestion de portefeuille, évaluation des titres financiers et dérivés, comme l’économie internationale, les techniques quantitatives en finance, etc.

En tant que CFA Partner programme, le curriculum suit celui du niveau 1 du CFA et offre aux étudiants un large portefeuille d’opportunités de carrières en France et à l’international.

Quant au MSc in Corporate Finance, créé en 2008, il se concentre sur la finance d’entreprise. Les étudiants de cette formation devront maîtriser les concepts et techniques afin de prendre les bonnes décisions concernant tous les aspects de la gestion de trésorerie, des techniques de financement et de gestion des risques de taux et de change, le montage d’opérations de LBO, de fusions-acquisitions et transmissions d’entreprises, ou encore de restructurations.

Il offre aux étudiants la possibilité d’approfondir leur expertise en optant pour un large choix d’électifs et pour l’une des deux majeures proposées : Major in Financial Management ou Major in Financial Intermédiation.

Le MSc in Corporate Finance bénéficie de l’appui et l’expertise de notre corporate programme sponsor, Société Générale. Cela signifié concrètement que des dirigeants et experts de la SG sont intervenants dans le programme académique.

Ces deux programmes d’une durée d’un an sont exclusivement enseignés en anglais et bénéficie de la recherche développée par EDHEC-Risk Institute, centre de recherche en finance leader en Europe.

Combien avez-vous de promotions ?

• 4 promotions en MSc in Corporate Finance
• 10 promotions en MSc in Finance

Quel est l’objectif de la formation ?

L’objectif de la MSc Finance est de former des professionnels de la Finance qui maitrisent l’ensemble des dimensions liées à la Finance d’entreprise (analyse financière, évaluation, …) ou à la Finance de marché et qui peuvent se diriger vers des postes du type analyste financiers ou gestionnaires de portefeuilles.

L’objectif de la MSc in Corporate Finance est de spécialiser nos diplômés en Finance d’Entreprise et leur permettre de se diriger vers des postes en direction financière, vers les différents métiers du financement (financements d’acquisition, restructurations, financements de projets, financements structurés, etc.), ou encore de se diriger vers des métiers de recherche ou d’analyse (analyse financière, M&A, financements structurés, crédit, etc).

Quels sont les points forts du programme ?

– La pertinence des programmes qui répondent aux besoins de l’industrie et du marché de l’emploi.
– L’excellence de notre centre de recherche EDHEC-Risk Institute et celle de nos professeurs-chercheurs.
– La présence de professionnels issus de grandes entreprises comme SGCIB.
– L’enseignement en anglais et la grande diversité internationale des étudiants.
– Le programme d’accompagnement et de développement des carrières (TI&CD) unique en France.

Quels sont les profils des étudiants ?

Le MSc in Finance est composé à 27% d’étudiants français issus de la Grande Ecole et 73% d’étudiants internationaux notamment des Etats-Unis, d’Asie, d’Amérique Latine.

Pour le MSc in Corporate Finance, la tendance s’inverse avec 70% d’étudiants français issus de la Grande Ecole et 30% d’étudiants internationaux.

Les étudiants internationaux sont diplômés d’un Bachelor d’universités étrangères telles l’Université Nationale de Singapore, l’Université de Boston, l’Université de Peking mais aussi les universités de Cologne et Maastricht. Les étudiants français sont quant à eux tous issus de la Grande Ecole et sont tous passés par les classes préparatoires.

Comment est composé le corps enseignants ?

Le corps professoral de l’EDHEC est composé dans sa globalité de plus de 130 professeurs et chercheurs qui allient expertise professionnelle et excellence académique. La majorité d’entre eux ont obtenu leur PhD dans les plus grandes universités au monde telles que Harvard, MIT, Cambridge ou encore Yale et Princeton et sont reconnus pour la qualité de leurs recherches et publications.

Sans oublier, les nombreux intervenants professionnels, experts dans leur domaine, qui animent des cours, des conférences et des électifs tout au long du cursus.

Quelles sont vos relations avec les entreprises ?

L’EDHEC à depuis de nombreuses années tissée de solides relations avec le monde de l’entreprise en France et à l’étranger. Les relations avec les entreprises se retrouvent à tous les niveaux de nos programmes. Tout d’abord, certaines sociétés telles que PwC et la Société Générale, corporate programme sponsor du MSc in Corporate Finance, ont choisi de soutenir un programme en particulier en prise directe avec leur cœur de métier.

D’autres sociétés, quant à elles, animent des cours ou des électifs spécifiques. De nombreux professionnels interviennent également dans nos programmes, sur les thématiques qui requièrent une approche plus pratique que réellement académique, par exemple l’analyse financière. Plus largement, des cycles de conférences avec des professionnels de haut niveau sont organisés autour de sujets clefs.

Sans oublier, les nombreuses sociétés, telles que Nomura, Banque Privée Edmond de Rothschild, Blackrock, BNP paribas, Deloitte, JP Morgan, Deutsche Bank, Morgan Stanley, Natixis ou Oddo & Cie qui recrutent nos étudiants et diplômés lors des nombreux événements, rencontres métiers et sessions de recrutement organisés par l’EDHEC.

Que deviennent vos anciens ? Est-ce que vous avez des exemples ?

De plus en plus de nos diplômés, trouvent leur premier emploi à l’étranger notamment en Suisse, au Royaume-Uni et en Asie. Par exemple, nous avons actuellement un jeune diplômé du MSc in Corporate Finance en poste à New York en fusions & acquisitions pour le Crédit Agricole. Un autre travaille à Singapore chez BNP Paribas et un troisième en fusions & acquisitions chez Pernod Richard à Cuba pour ne citer que ces trois exemples.

Le large portefeuille de Masters of Science proposé par l’EDHEC, qui offre également des spécialisations en audit & contrôle de gestion, management des risques et finance de marché (trading et asset management), répond aux besoins du marché de l’emploi et accroît l’employabilité de nos diplômés que ce soit en France ou à l’étranger.

Est-ce que votre formation est accessible également en formation continue ?

Non.

Comment procédez-vous pour faire évoluer votre programme ?

La pertinence des programmes est également assurée par l’EDHEC Financial Economics Advisory Board, dont la majorité des membres sont des dirigeants de grandes entreprises et institutions financières. Ce comité a pour mission de s’assurer de la cohérence des programmes avec les besoins des entreprises.


Pascale Viala est Responsable du Financial Economics Track de l’EDHEC Business School, et Présidente d’YSAVIE, société du Groupe Yvelin. Auparavant, elle a été Managing Director et Head of European Capital Markets chez CIFG jusqu’en 2008. Avant de rejoindre CIFG en 2001, Pascale a également travaillé chez Moody’s Investors Services Limited à Londres, à la Banque Européenne d‘Investissement à Luxembourg, et à l’Université de Montréal. Pascale est docteur en gestion (Finance) de HEC Paris, titulaire d’un DEA de Finance de l’Université de Paris IX Dauphine, et d’une maitrise d’économie de l’Université de Montpellier I.

« Le private equity offre tout d’abord un cadre de travail particulièrement stimulant »

Rencontre avec Cyril Demaria, auteur de l’ouvrage  » Introduction au private equity : Les bases du capital-investissement  » paru chez La Revue Banque.

Est-ce que vous pouvez nous présenter votre parcours ?

Après des études en sciences politiques, en géopolitique, en droit des affaires et en entrepreneuriat à HEC, j’ai débuté dans un fonds américain de capital-risque. J’ai participé à plusieurs investissements dans des sociétés technologiques.

Après l’effondrement des valeurs technologiques en 2001, le fonds qui m’employait a réduit ses effectifs. J’ai ainsi rejoint une PME technologique où je fus en charge des acquisitions de concurrents en situation difficile. Je suis ensuite devenu conseil indépendant auprès de fonds et de jeunes pousses technologiques.

En 2005, je me suis installé à Zürich où j’ai rejoint un fonds de fonds. En 2006, après la publication de mon premier ouvrage (« Développement durable et finance », Maxima), trois associés et moi avons lancé un fonds de fonds innovant dédié au secteur environnemental. Parallèlement, j’ai rédigé la première édition de « Introduction au private equity », chez RB Editeur et j’ai commencé à l’enseigner dans le supérieur et aux professionnels.

La crise de 2007 nous a convaincus de mettre un terme à notre levée de fonds. J’ai ensuite conseillé le Président d’une banque mutualiste française dans le cadre de ses développements stratégiques, tout en continuant d’enseigner et d’écrire (notamment la deuxième et la troisième édition de « Introduction au private equity »). J’ai ensuite été à nouveau conseil indépendant auprès de fonds ; et de fonds de fonds à Zürich.

En parallèle, j’ai co-écrit un ouvrage dédié aux business angels (« Profession : business angels », avec Marc Fournier, chez RB Editeur). J’ai ensuite créé une structure de gestion de fortune en Suisse, que j’ai structurée avec l’aide d’une structure importante de la place de Paris. J’ai recruté les associés en Suisse et nous avons développé l’activité.

J’ai en parallèle co-rédigé un ouvrage sur le private equity suisse (« Le private equity suisse : marché, acteurs et performances », avec Maurice Pedergnana, SECA), et « Introduction to private equity » (John Wiley & Sons).

En 2009, j’ai lancé un petit fonds de capital-risque pour le compte de 17 investisseurs (Pilot Fish). Ce fonds compte désormais trois participations.

J’ai en parallèle débuté un doctorat à l’Université de Saint-Gall, où j’étudie les relations entre investisseurs et gérants de fonds de private equity. Après avoir revendu mes parts dans la société de gestion de fortune que j’avais créée, je suis redevenu conseil indépendant.

Je viens de terminer la publication de la quatrième édition de « Introduction au private equity », la deuxième édition de mon ouvrage sur le private equity suisse et j’ai terminé la mise à jour de mon ouvrage en anglais (qui a doublé de taille et devrait être publié en juillet 2013).

Pourquoi un ouvrage sur le private equity ?

Tout d’abord, parce que c’est un secteur qui demeure assez mal connu. Tout d’abord, parce qu’il y a une certaine confusion sur l’expression (traduite en français par capital-investissement). En effet, aux Etats-Unis, l’expression désigne le rachat d’entreprise par effet de levier (leveraged buy-out, ou « LBO ») alors qu’en Europe, cela désigne le financement des entreprises non cotées en général (capital-risque, capital-développement, LBO, capital-retournement et autres).

Le financement non coté n’est pas nouveau – il existe depuis que les sociétés ont été créées au plan juridique et qu’elles ont eu besoin d’investisseurs. Ce qui est nouveau, c’est la professionnalisation du métier d’investisseur en non-coté. Aux Etats-Unis, cette professionnalisation s’est amorcée au début du XXème siècle, et s’est nettement accélérée après la seconde guerre mondiale grâce à des changements réglementaires et fiscaux majeurs. En Europe, et en France, c’est au début de la décennie 1980 que le métier a connu un essor spectaculaire avec l’apparition de véhicules dédiés (FCPR, FCPI, FIP…).

Cependant, cette croissance fut si rapide et si spontanée que, hormis les professionnels et quelques initiés, le secteur fut largement ignoré du grand public. Il est quelque peu sorti de l’ombre aux Etats-Unis à l’occasion du retrait de cote de RJR Nabisco par un LBO à la fin de la décennie 1980. L’Europe en a surtout entendu parler avec le boom des jeunes pousses dédiées à Internet à la fin de la décennie 1990. Il est vrai que le secteur cultive un certain sens du secret et que la confidentialité joue un rôle significatif dans le succès historique de ce secteur d’investissement.

Aujourd’hui, le financement non coté représente une masse sous gestion estimée à l’échelle internationale d’environ 3 000 milliards de dollars (à comparer aux 2 200 milliards gérés par les hedge funds).

Le temps du secret est terminé : cet ouvrage a donc rencontré son public, fait tout d’abord d’étudiants et de professionnels qui souhaitent rejoindre ou participer au monde du financement hors cote, mais aussi d’entrepreneurs, de conseils et d’intermédiaires qui travaillent au contact de ces investisseurs et de ces entrepreneurs, ainsi que d’une manière générale d’un public avide de comprendre le fonctionnement, l’utilité et les limites de cet instrument de financement, de transfert et de redressement d’entreprises.

Quel est l’état du private equity en France ?

Le private equity français est à la croisée des chemins, très clairement. La France, aujourd’hui deuxième marché du private equity en Europe derrière le Royaume-Uni, a démontré historiquement sa volonté et sa capacité à structurer un secteur de financement non coté dynamique, efficace et attractif pour les investisseurs.

Cela fut construit patiemment par des innovations juridiques et réglementaires, des adaptations fiscales et la création patiente d’une place qui compte plus de deux cent sociétés de gestion qui s’auto-réglementent relativement efficacement et qui ont évité très largement les scandales qui ont par exemple émergé aux Etats-Unis.

C’est d’ailleurs la France qui a paradoxalement servi de modèle pour l’élaboration de la réglementation pan-européenne du secteur (Directive AIFM).

Cependant, si le mouvement de balancier européen a clairement évolué vers un modèle plus continental et moins anglo-saxon, la France souffre de maux qui lui sont propres et largement liés à son addiction aux recettes fiscales.

Ainsi, le secteur du capital-risque français vit sous perfusion fiscale, ce qui est préjudiciable à l’avenir de la profession. En effet, en voulant drainer l’épargne des ménages vers le capital-risque, la puissance publique a fait des sacrifices substantiels sur ses recettes fiscales (l’investissement dans les FCPI bénéficie d’un avantage fiscal plafonné de 25 %) en incitant des investisseurs largement conservateurs et peu enclins au risque à placer leur épargne dans un des segments les plus risqués de la finance – et ce au pire moment de la bulle Internet puisque cela a débuté en 1997.

Sans surprise, 70 % des FCPI ont perdu de l’argent au cours des 20 dernières années.

Or, la structure des FCPI, les critères d’investissement et les historiques de performance ont conduit les équipes de gestion à créer des fonds de taille insuffisante pour amortir des frais de placement et de gestion souvent trop élevés. Ces historiques de performances particulièrement décevants ont en retour dissuadé les investisseurs institutionnels de prendre le relais et le capital-risque français se trouve dans une situation difficile, où son attractivité face aux marchés étrangers est assez faible.

L’autre danger vient bien évidemment du retrait des banques et des assurances du monde non coté. Les changements de ratios prudentiels en sont à l’origine, car ils négligent complètement la spécificité du financement du non coté : le fait qu’il s’agit d’un investissement illiquide et de long terme. Pour les régulateurs internationaux et nationaux, échaudés par la dernière crise et le quasi-blocage du système financier en 2008, tout ce qui s’apparente à de l’illiquidité doit être pénalisé. C’est bien entendu une erreur, mais elle est désormais inscrite dans les réglementations et le private equity en souffre.

Or, la France n’a pas de relais de financements évidents, à la différence d’autres pays : elle n’a pas de caisses de retraites privées (appelées improprement en français « fonds de pension ») susceptible d’investir à long terme et de gérer les problèmes d’illiquidité ; elle n’a pas de fondations privées qui investissent non plus ; elle n’a que peu d’individus fortunés basés en France qui sont aptes à investir des sommes considérables en private equity et elle n’a pas à proprement parler de fonds souverain.

Il reste donc trois sources de capitaux : les investisseurs internationaux, qui sont assez volatiles dans leurs choix et leurs arbitrages (en particulier dans un contexte d’incertitudes réglementaires et macro-économiques) ; les sources publiques de financement qui sont contraintes budgétairement et qui ne peuvent pas remplacer les acteurs privés, et éventuellement le grand public, toutefois échaudé par les FCPI et les expériences passées (et surtout attiré par les avantages fiscaux, qui ont tendance à disparaître).

C’est bien maigre pour assurer une collecte nécessaire de 6 à 8 milliards d’euros par an pour assurer une certaine viabilité au capital-investissement français à long terme.

Comment ont évolué les métiers du private equity ?

Très clairement, trois mouvements ont émergé : une spécialisation, une professionalisation et une diversification des fonctions.

La spécialisation est apparue progressivement par l’émergence d’un « écosystème » du private equity, où les équipes de gestion ont progressivement adopté des stratégies d’investissmeent de plus en plus précises (sectoriellement, géographiquement et par stade de maturité d’entreprise). Cela signifie donc que les professionnels ont petit à petit acquis une connaissance de plus en plus fine de leurs secteurs et ont développé des compétences à la fois d’investisseur mais aussi de conseil opérationnel.

En parallèle, le secteur s’est professionnalisé. Les équipes de gestion délèguent de plus en plus fréquemment des audits très pointus à des sous-traitants. Ce sont des chefs d’orchestres qui font intervenir telle ou telle compétence en fonction de la nécessité du moment (analyse d’opportunité d’investissement, conseil aux sociétés de participations, aide à la cession de ligne de portefeuilles, etc.).

En interne, les sociétés de gestion ont commencé à se structurer au tour de trois pôles qui sont autant de fonctions différenciées : le front office (l’investissement, suivi de participation et la cession de lignes), le middle office (gestion des fonds, levée et liquidation des fonds, relations investisseurs, communication) et le back office (direction financière, contrôle et reporting, déontologie et compliance et d’une manière générale l’administration).

Pourquoi ces carrières sont-elles autant plébiscitées par les étudiants ?

Le private equity offre tout d’abord un cadre de travail particulièrement stimulant : le travail est très varié, il implique beaucoup de relations humaines, les équipes sont de petite taille et les professionnels sont très autonomes. Ensuite, la rémunération est attractive, notamment si le fonds est performant puisque les équipes perçoivent environ 20 % de la performance du fonds au titre du carried interest.

Par ailleurs, la qualité de vie est bonne, puisque si le métier est exigeant, il est rare qu’il implique de rester des nuits entières au travail ou de systématiquement sacrifier ses week-ends. Les professionnels ont par ailleurs une vision très concrète et immédiate de leurs décisions. Les investissements sont menés dans un souci d’efficacité avant tout et la recherche de performance est liée à la croissance des entreprises qui devront in fine être introduites en Bourse ou cédées à des groupes industriels.

Quels sont vos conseils à un étudiant ou à un professionnel qui souhaiterait rejoindre un fonds de private equity ? Est-ce qu’il y a un parcours idéal ?

Un bagage en finance est nécessaire (un Master). Une expérience (stage) en financements structurés (pour travailler en LBO), dans un fonds, ou bien dans un acteur de l’écosystème (transaction services, consulting spécialisé) peut aider.

En capital-risque, il faut souvent une double compétence (pharma/finance pour la biotech, ingénieur/finance pour les technologies…) mais pas nécessairement systématiquement. Une expérience significative en start-up est aussi une bonne chose, ou une expérience opérationnelle dans une entreprise de taille moyenne.

Le private equity est avant tout un métier plaçant l’entrepreneur au cœur de ses préoccupations. Les fonds emploient donc des profils très variés. Le spectre comprend ainsi des anciens militaires qui ont une expérience de meneurs d’hommes et de prise de décisions dans un contexte difficile (notamment pour la restructuration d’entreprise). En capital-risque, les professionnels peuvent être d’anciens entrepreneurs, ou bien des individus qui ont des compétences spécifiques.

C’est cela qui crée de la valeur : l’interaction entre les entrepreneurs et les investisseurs qui ont un parcours riche, souvent atypique et capables d’apporter une expertise, des contacts et une expérience dans le cadre de leur investissement et de leur participation active au succès de ces investissements.

Quel pays cibler pour démarrer sa carrière en private equity ?

Il y a des postes à Paris, c’est un très gros marché. Le secteur respire mieux depuis quelque temps et recrute régulièrement des jeunes diplômés. Historiquement le secteur recrutait sur la partie investissements pour faire de l’analyse.

Aujourd’hui le secteur recrute pour des postes en back office et middle office. En back office, on va recruter des jeunes diplômés en comptabilité, en droit notamment pour respecter toutes les nouvelles règlementations financières. En middle office, il y a des besoins pour gérer les relations marketing et accompagner les gérants. Ce sont des postes bien rémunérés et le secteur est très porteur.

Il peut être difficile pour un jeune diplômé de travailler sur un autre marché européen. C’est une activité de la finance qui s’exporte mal. Les contextes juridiques et fiscaux sont très différents. On recrute des spécialistes locaux. Il y a a aussi des pratiques professionnels assez spécifiques par pays.

On constate qu’il y a des postes en investissements au Royaume-Uni, en Belgique et au Luxembourg. Mais globalement il y a plus d’opportunités sur les postes de CRM et back office.

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« À la sortie, ils sont de bons entrepreneurs/intrapreneurs, acteurs efficaces du développement de l’entreprise », Luc Ducray, Responsable de la spécialisation Finance et Développement de l’Entreprise, ISTEC

Est-ce que vous pouvez nous présenter le Master Finance et développement de l’entreprise ?

La spécialisation FDE (Finance et Développement de l’Entreprise) a été créée pour permettre aux étudiants dont beaucoup ont un gêne entrepreneurial, de concevoir et mettre en application une stratégie de développement de l’entreprise qui assure sa pérennité financière dans la durée.

En d’autres termes, elle permet à ces étudiants, d’une part, de transformer les données chiffrées en aide à la stratégie, en informations opérationnelles et plans d’action concrets pour le management de l’entreprise, et d’autre part, de présenter sous forme chiffrée les performances de l’entreprise pour communiquer avec les investisseurs et partenaires financiers.

Combien avez vous de promotions ?

La spécialisation FDE (Finance et Développement de l’Entreprise) en elle-même, a été créée il y a 3 ans, mais les étudiants appartiennent au réseau très actif des anciens élèves de l’ISTEC, école qui existe depuis plus de 50 ans.

Quel est l’objectif de la formation ?

Nous avons pour objectifs de former les étudiants à la Finance DE et DANS l’entreprise avec une connaissance des outils de marché utilisés par cette dernière afin qu’ils soient en mesure de transformer les données chiffrées en aide à la stratégie, en informations opérationnelles et plans d’action concrets pour un management de l’entreprise qui assure son développement pérenne.

Quels sont les points forts du programme ?

Les points forts de la formation FDE découlent de la pédagogie particulière qui s’appuie à la fois :

* sur une approche intégrée de l’entreprise via les processus fonctionnels multimétiers,

* sur la transposition des concepts et outils financiers DANS et DEPUIS d’autres disciplines et domaines fonctionnels,

* sur la typologie et la disponibilité du corps professoral qui mixe chercheurs et professionnels, avec des professionnels devenus chercheurs.

Le tout est réalisé en fort lien avec la réalité des entreprises au travers de témoignages, visites, séminaires.

Le planning des cours arrangé pour permettre l’alternance en entreprise est un autre point fort.

Quels sont les profils des étudiants ?

En entrée, les profils sont très divers (certains sont même issus de formation en sciences politiques).

Tous les profils sont recevables. Lorsqu’ils arrivent, nos étudiants sont avant-tout travailleurs, volontaires et dotés d’un esprit entrepreneurial.

À la sortie, ils sont de bons ENTREpreneurs/INTRApreneurs, acteurs efficaces du développement de l’entreprise.

Comment est composé le corps enseignants ?

La plupart de nos enseignants ont au moins 10 d’expérience en entreprise.

Ce sont des professionnels sachant TRANSMETTRE qui sont DISPONIBLES (ils ne disparaissent pas à la fin du cours).

Une bonne moitié d’entre eux sont des chercheurs.

Quelles sont vos relations avec les entreprises ?

Les relations avec les entreprises sont PERMANENTES, au travers, à la fois, du corps professoral, des intervenants et témoignages, des séminaires et visites et de l’alternance en entreprise.

Que deviennent vos anciens ? Est-ce que vous avez des exemples ?

Nos étudiants ont un devenir assez varié.

Certains deviennent contrôleurs de gestion ou intègrent un cabinet d’audit ou de conseil, d’autres créent leur entreprise ou deviennent responsables du développement produit au sein d’entreprises internationales.

Certains ont même rejoint des équipes travaillant sur les marchés financiers.

Est-ce que votre formation est accessible également en formation continue ?

Notre formation est actuellement accessible à tous les étudiants sous diverses formes d’alternance.

Dans un proche avenir, un cursus spécifique sera disponible pour les personnes expérimentées qui veulent aller plus loin dans leur formation.

Comment procédez-vous pour faire évoluer votre programme ?

Notre programme évolue à la fois, en fonction des besoins des entreprises et de l’état de l’art en Finance comme dans d’autres disciplines utilisables, mais aussi des attentes des étudiants (renfort pour le préparation des diplôme de l’expertise comptable).


Titulaire d’une double formation supérieure, ESC Amiens et Informatique, doctorant en Sciences de Gestion, Luc Ducray a fait une carrière de plus de 25 ans en audit financier et opérationnel, conseil international et dans la fonction financière de l’entreprise qui l’a amené au poste de Directeur Financier Europe d’une banque. Enseignant depuis plus de 20 ans dans plusieurs grandes écoles, il a pris la responsabilité de la spécialisation Finance et Développement de l’Entreprise de l’ISTEC.

« Nous avons prévu cette année le recrutement de 40 Conseillers Patrimoniaux en CDI », Eric Rosenthal, Directeur Commercial & Marketing, Legal & General (France)

Pouvez-vous nous présenter votre carrière et vos fonctions chez L&G ?

Avant de rejoindre le Groupe Legal & General, j’ai travaillé pendant 10 ans chez Generali à un poste de direction commerciale.

Auparavant, j’avais notamment participé au lancement du projet « Zebank ».

Chez Legal & General (France), je suis en charge de la Direction commerciale et marketing. Notre réseau commercial compte aujourd’hui 100 Conseillers Patrimoniaux, tous salariés et présents dans une vingtaine de villes en France.

Nous nous développons et venons d’ouvrir une agence à Nantes et serons prochainement à Nice.

Quelles sont les spécificités de L&G sur son secteur ?

Nous sommes à la fois banquiers privés et assureurs. Nous sommes positionnés sur une clientèle haut de gamme, qui a des problématiques patrimoniales, juridiques et fiscales.

Dans le secteur de l’épargne patrimoniale nous avons des valeurs très spécifiques.

Ce qui m’a frappé quand j’ai rejoint Legal & General, c’est sa volonté de transparence vis-à-vis de ses clients. Ce n’est pas qu’une formule marketing.

Par exemple, L&G ne prend pas de droits d’entrée sur l’ensemble des supports financiers (fonds en euros, SICAV et FCP obligataires, monétaires, actions) qu’elle propose. Les produits sont très simples, il y a une vraie volonté de clarté.

Une autre valeur très importante pour Legal & General, c’est la proximité et la confiance partagées avec nos clients. Les relations sont très fortes entre les Conseillers Patrimoniaux et les clients qu’ils rencontrent chez eux.

Le conseil est toujours privilégié : nos collaborateurs ont un très bon niveau technique et un excellent niveau de conseil, notamment grâce à une formation permanente.

Enfin, il n’y a pas de conflit d’intérêt sur les produits que nous proposons car les conseillers ne sont pas rémunérés en fonction des solutions qu’ils proposent aux clients.

C’est pour tout cela que nos clients sont fidèles et restent très longtemps chez nous.

Quels sont les recrutements prévus en 2013 ?

Nous avons prévu cette année le recrutement de 40 Conseillers Patrimoniaux en CDI.
Comme notre culture est très forte, nous recherchons certes des compétences techniques mais aussi des personnalités capables de vivre nos valeurs.

C’est une fonction très épanouissante. Pour faire ce métier, il faut aimer le contact client, s’intéresser à l’environnement économique et financier. La patience est également très importante pour bâtir des relations sur la durée avec ses clients.

Nous recrutons par exemple d’anciens banquiers qui souhaitent exercer leur métier différemment : conseiller et vendre leurs produits autrement, créer une relation de confiance avec leurs clients.

Quelles sont les qualités pour réussir dans ce métier ?

Des qualités d’écoute et de conviction sont essentielles dans ce métier. Un très bon relationnel est indispensable pour s’adresser à une clientèle exigeante, enfin une forte dimension commerciale et un vrai esprit entrepreneurial.

Quels sont les avantages à rejoindre un groupe comme L&G ?

Nous avons un projet de développement important en France et sommes en pleine progression. Sur un marché de l’assurance-vie qui a reculé, nous avons progressé de +10% l’an dernier.

Nous sommes des spécialistes au service d’une clientèle haut de gamme. Nous gérons nos propres produits : nous avons notre salle de marché. Legal & General est également un groupe très puissant à l’échelle internationale et prospère.

Quels conseils donneriez-vous à des professionnels qui voudraient vous rejoindre ?

Il faut être curieux et prendre le temps de découvrir nos spécificités.

C’est pourquoi nous proposons aux candidats après un 1er entretien de venir découvrir notre métier en passant une journée en immersion dans une agence avec nos collaborateurs. Nous privilégions aussi la transparence dans le processus de recrutement.

Les nominations de la semaine en banque, finance, assurance

« Rubrique réalisée en partenariat avec Nomination : 1er service d’informations et de veille sur les décideurs. »

Bouygues Telecom (groupe Bouygues) : Directeur financier

Monsieur Christian Lecoq est promu directeur financier de Bouygues Telecom (groupe Bouygues), à ce poste depuis février 2013, en remplacement de Monsieur Eric Haentjens.

Il est sous la responsabilité directe de Monsieur Eric Haentjens, directeur général adjoint services informatiques et fonctions supports.

Christian Lecoq, 45 ans, MBA HEC Paris (1993), ingénieur Supélec (1990), a réalisé le parcours suivant :

* 2009-2013 : Bouygues Telecom, directeur finances.

* 2006-2009 : Groupe Bouygues, directeur stratégie et développement.

* 2003-2006 : Digicel Antilles Françaises Guyane (groupe Bouygues Telecom), directeur financier.

* 2000-2003 : Bouygues Telecom, responsable tarification et contrôle de gestion à la direction marketing.

* 1998-2000 : Bouygues Telecom, responsable du plan d’affaires.

* 1994-1998 : Groupe Bouygues, adjoint du directeur des opérations financières et boursières.

* 1993-1994 : A commencé sa carrière comme ingénieur travaux chez Quille (groupe Bouygues Construction).

Brink’s France (groupe Brink’s Security International) : Directeur commercial cash management

Madame Valérie Carreau est nommée directeur commercial cash management de Brink’s France (groupe Brink’s Security International), à ce poste depuis mars 2013, en remplacement de Monsieur François Grenier.

Elle est sous la responsabilité directe de Monsieur Pascal Bredif, directeur général adjoint en charge des opérations.

Elle est membre du comité de direction.

Valérie Carreau, 44 ans, ESC Bordeaux (1991), a réalisé le parcours suivant :

* 2009-2012 : NCR, directeur commercial France et Belgique de la division Finance.

* 2008-2009 : NCR, directeur des ventes France et Belgique.

* 1996-2008 : NCR, successivement ingénieur commercial grand compte au sein de la division Finance, directeur de compte en France pendant 5 ans (fonction élargie à la Belgique en 2005), et solutions sales manager France.

* 1992-1996 : Sybel Informatique, en charge de la commercialisation de solutions logicielles de gestion.

* 1991-1992 : Début de carrière comme responsable étude pour un consultant free-lance d’IBM.

Société générale Corporate & Investment Banking (SG CIB) : Responsable mondial des financements d’infrastructures et d’actifs

Monsieur Denis Stas de Richelle est promu responsable mondial des financements d’infrastructures et d’actifs de Société générale Corporate & Investment Banking (SG CIB), à ce poste depuis mars 2013.

Il est sous la responsabilité directe de Monsieur Matthew Vickerstaff, responsable des financements structurés de Société générale Corporate & Investment Banking.

Il est ainsi chargé de poursuivre le développement de l’activité Financements d’infrastructures et d’actifs en capitalisant sur de nouvelles solutions de marchés de capitaux, notamment les project bonds.

Denis Stas de Richelle, 54 ans, MBA de CEPAC-ULB à Bruxelles (1993), Ecole de commerce Solvay-VUB (1982, Vrije Universiteit Brussels), a réalisé le parcours suivant :

* 2007-2013 : Société générale Corporate & Investment Banking (SG CIB), responsable mondial du financement export.

* 2001-2007 : SG CIB, responsable mondial adjoint du financement export.

* 1997-2001 : SG CIB, plusieurs postes de direction au sein de l’équipe Financement Export.

* 1994-1997 : SG CIB, responsable du financement international à court terme (à Paris).

* 1990-1994 : Début de carrière dans la branche bruxelloise de Société générale comme directeur corporate banking.

Société générale Corporate & Investment Banking (SG CIB) : Responsable mondial du financement export

Monsieur Frédéric Surdon est promu responsable mondial du financement export de Société générale Corporate & Investment Banking (SG CIB), à ce poste depuis mars 2013, en remplacement de Monsieur Denis Stas de Richelle.

Il est sous la responsabilité directe de Monsieur Matthew Vickerstaff, responsable des financements structurés de Société générale Corporate & Investment Banking.

Frédéric Surdon, 42 ans, ESSEC (1995), ESTP Paris (1993), a réalisé le parcours suivant :

* 2008-2013 : Société générale Corporate & Investment Banking (SG CIB), chief operating officer de la division Global Finance.

* 2006-2008 : SG CIB, responsable pour le financement structuré d’actifs en Europe continentale et aux Etats-Unis.

* 2004-2006 : SG CIB, responsable adjoint pour l’Europe continentale pour le financement structuré d’actifs.

* 2000-2004 : SG CIB, en poste au sein de l’équipe Financement structuré d’actifs pour organiser des financements sur mesure, notamment des opérations de big ticket leasing.

* 1995-2000 : SG CIB, a collaboré à divers financements structurés et opérations de conseil au sein de l’équipe Immobilière.

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« Son objectif est de délivrer aux étudiants les savoirs et les compétences nécessaires pour évoluer vers les fonctions de cadre finance », Odile Bernard, Responsable Pédagogique du Master 2 Finance de Groupes, Ecole de Management de Normandie (EMN)

Est-ce que vous pouvez nous présenter le Master Finance des groupes (date et contexte de création) ? Combien avez-vous de promotions ?

Ce Master 2 fait partie du Programme Grande Ecole de l’EMN.

Il a été ouvert en septembre 2007 pour répondre aux besoins du marché et aux attentes des entreprises. Il compte donc à ce jour six promotions. Il est dispensé sur le Campus de Caen.

Quel est l’objectif de la formation ?

Son objectif est de délivrer aux étudiants les savoirs et les compétences nécessaires pour évoluer vers les fonctions de cadre finance dans des Grands Groupes Internationaux (consolidation des comptes, Normes IFRS, opération de haut de bilan, gestion de la valeur, contrôle de gestion, mais aussi Financial engineering , IT management, IT applications in finance). Ce qui le différencie des autres programmes classiques.

Quels sont les points forts du programme ?

Ses points forts sont les acquis professionnalisant et la confrontation avec le terrain (2 missions, « Finance » et « Contrôle de gestion-reporting », et un stage de fin d’études de 6 mois).

Le diplôme délivre une dispense pour 3 épreuves du DSCG (finance, économie et relations professionnelles).

Il est accessible en formation initiale et en alternance.

Quels sont les profils des étudiants ?

Ce Master 2 s’adresse aux étudiants qui choisissent de rejoindre le Programme Grande Ecole après le Bac, un BTS – DUT, une Prépa ou une Licence, et qui souhaitent s’orienter vers les métiers de la Finance ou du Contrôle de Gestion.

Comment est composé le corps enseignants ?

Les enseignants sont des professeurs-docteurs et des professionnels spécialisés dans les thématiques du diplôme. Des professionnels interviennent aussi sur les aspects transversaux d’accompagnement vers l’emploi et de développement personnel.

Quelles sont vos relations avec les entreprises ?

L’EM-Normandie interagit au quotidien avec plus de 10 000 entreprises, en termes de pédagogique, de missions, de stages. Parmi les entreprises qui accueillent les étudiants nous pouvons citer : Boch, Carrefour, Compass Group France, Saint Gobain…

Que deviennent vos anciens ? Est-ce que vous avez des exemples ?

Les étudiants obtiennent très régulièrement un emploi à l’issu de leur stage, qui reste le premier tremplin vers l’emploi.

Les étudiants diplômés se répartissent environ pour 40% à un poste de Responsable Financier (exemple : Areva), pour 40% à un poste de Contrôleur de Gestion junior (exemple : Thyssengrup), 10% en banque (exemple : Société Générale), et 10% en cabinet d’expertise-comptable (exemple : KPMG).

Est-ce que votre formation est accessible également en formation continue ?

Le diplôme n’est pas ouvert à la Formation Continue.

Mais il répond à la demande des étudiants comme des entreprises avec l’alternance.

Dès septembre 2013, le programme est désormais accessible en alternance, afin de renforcer ses dimensions de professionnalisation. Les avantages annexes sont l’exonération des frais de scolarité et la facilité ultérieure d’insertion professionnelle.

Comment procédez-vous pour faire évoluer votre programme ?

Une veille permanente est renforcée par un comité de pilotage au cours duquel des entreprises, des diplômés confirmés dans leur profession et des recruteurs sont sollicités afin que le diplôme réponde aux besoins du marché et les anticipe.


Riche d’une longue expérience professionnelle en entreprise, Odile Bernard, Responsable Pédagogique du M2 Finance de Groupes de l’EMN a dorénavant orienté sa carrière vers l’enseignement et la Recherche.

Ses travaux de Recherche, tout comme sa thèse de Doctorat soutenue en 2010, portent sur l’approfondissement de la connaissance du propriétaire-dirigeant de PME, et plus spécialement sur son approche du Contrôle de Gestion.

Dossier IT finance 2013 – Découvrir les métiers et les formations

Il n’est pas toujours évident de décrocher un premier stage dans le secteur du IT finance notamment dans les sociétés de conseil qui semblent privilégier les profils expérimentés ou jeunes diplômés. Nous avons sélectionné plusieurs recruteurs qui pourraient cependant vous permettre de découvrir les métiers du IT finance.

Les métiers proposés sont divers entre le Conseil MOA, en passant par le MOE ou encore les métiers de programmation.

De nombreux cabinets de conseils réputés proposent chaque année des opportunités de stages. Le canadien CSC recherche régulièrement des stagiaires pour des missions de conseil en actuariat, en retail banking…Sopra group a prévu d’accueillir cette année 600 stagiaires.

Certains éditeurs comme Murex recherchent également régulièrement des stagiaires pour des missions très variées comme la formalisation de calculs matriciels, la conception d’outils de tests, la mise en place d’architecture.

Vous pourrez trouver également des opportunités intéressantes en rejoignant directement les équipes informatiques des banques comme la Caisse des dépôts et Consignation, Crédit Agricole SA, BNP Paribas….La Banque de France recherche aussi des profils IT finance en assistance maîtrise d’ouvrage par exemple.

Pour découvrir les principaux métiers IT et les avis de professionnels :

Ingénieur financier

Avis de Kamel, Ingénieur financier
Un métier à la croisée des chemins entre mathématiques finance et informatique

Ingénieur système Unix / Linux

Avis de Gaëtan Trellu, Ingénieur système Unix/Linux, Société Générale Corporate & Investment Banking
Je pense que pour être administrateur système Linux il est nécessaire d’avoir cette « fibre », d’être capable de partager son travail et donc par la même occasion de savoir accepter la critique (construite).

Assistant maîtrise d’ouvrage finance

Avis de Oleksandr SOLOVIOV, Assistant Maîtrise d’ouvrage
Un bon jeu en équipe

Consultant capital market

Avis de François VERAND, Consultant Capital Market
Mon métier de consultant consiste à assister les banques d’investissement dans de grands projets de transformation organisationnels.

Nous avons sélectionné quelques formations intéressantes pour bien démarrer sa carrière en IT finance et des avis d’anciens :

MIAGE IF, Université Paris Dauphine

Avis de Xavier Lamek, Promotion 2010
Le point fort de ce cursus est sans aucun doute la qualité de son enseignement d’une part avec l’appui d’intervenants professionnels extérieurs issus de grands groupes.

Master Ingénierie Statistique et Informatique de la finance, de l’assurance et du risque, Université Paris 7

Avis anonyme
Nous avons des profs expérimentés et disponibles

Master 2 Informatique Décisionnelle, Université Paris Dauphine

Avis anonyme, promotion 2011

Les intervenants pour le bloc MIAGE sont essentiellement des professionnels du monde de l’entreprise : cela nous permet de connaître la « réalité des choses ».

Master Spécialité Ingénierie financière, Université d’Evry

Avis d’Yannick Armenti, Promotion 2012
La complémentarité des cours nous permet d’être généralistes et presque n’importe quel métier nous est accessible.

>> Interview de Stéphane Crépey, Responsable du Master 2 ingénierie financière de l’université d’Evry

>> Les salaires dans le IT finance