Les nominations de la semaine en banque, finance, assurance

« Rubrique réalisée en partenariat avec Nomination : 1er service d’informations et de veille sur les décideurs. »

Quiksilver Europe (groupe Quiksilver) : Directeur financier

Monsieur Thomas Chambolle est nommé directeur financier de Quiksilver Europe (groupe Quiksilver), à ce poste depuis mai 2013, en remplacement de Monsieur Pierre Boccon-Liaudet.

Thomas Chambolle, 39 ans, IFP School (1997), Mines Saint-Etienne, a réalisé le parcours suivant :

* 2011-2013 : Ricol Lasteyrie, associé-gérant au sein du pôle Corporate Finance.

* 2010-2011 : Ricol Lasteyrie, associé.

* 2009-2010 : Médiation du crédit aux entreprises, médiateur délégué.

* 2008-2009 : Présidence de la République, chargé de mission.

* 1999-2008 : PSA Peugeot Citroën, a assuré diverses fonctions au sein de la direction financière.

* 1998-1999 : Début de carrière comme analyste crédit à la BNP.

Covéa : Directeur général finances

Madame Sophie Beuvaden est promue directeur général finances de Covéa, à ce poste depuis juin 2013.

Elle est sous la responsabilité directe de Monsieur Thierry Derez, président-directeur général.

Elle est ainsi en charge des finances de Covéa et également de l’activité de gestion immobilière de MMA qui s’intègre à la direction générale Finances.

Sophie Beuvaden, 56 ans, IEP Paris, est président du conseil d’administration de Cofitem-Cofimur.

Elle a précédemment occupé les postes suivants :

* 2006-NC : MAAF Assurances, directeur général délégué, directeur financier.

* Fidelia Assistance, président-directeur général.

* 2003-NC : Azur-GMF , directeur général délégué, en charge des finances et des assistances.

DC Advisory : Directeur au sein de l’équipe Exécution M&A

Monsieur Thierry Marie est promu directeur au sein de l’équipe Exécution M&A de DC Advisory, à ce poste depuis mai 2013.

Il est sous la responsabilité conjointe de Monsieur David Benin et de Monsieur Eric Hamou, associés gérants, co-heads M&A.

Thierry Marie, Centrale Lyon (2001), master HEC Lyon (2002), a réalisé le parcours suivant :

* 2006-2013 : DC Advisory (Close Brothers jusqu’en 2010), dernièrement directeur adjoint au sein de l’équipe Exécution M&A.

* 2004-2006 : Gimar Finance & Cie, analyste dans le secteur des fusions-acquisitions.

Réseau ferré de France (RFF) : Directeur général adjoint finances et achats

Madame Valérie Champagne est nommée directeur général adjoint finances et achats de Réseau ferré de France (RFF), à ce poste depuis juin 2013.

Elle est sous la responsabilité directe de Monsieur Jacques Rapoport, président-directeur général. Elle intègre également le comité exécutif de RFF.

Valérie Champagne, 48 ans, inspecteur des finances, DEA économie de l’EHESS (1992), ENSAE (1992), HEC (1988), a réalisé le parcours suivant :

* 2012-2013 : SNCF Infra, directeur de la stratégie.

* 2008-2012 : SNCF Infra, directeur délégué stratégie et contrats.

* 2006-2008 : SNCF, chargé de mission auprès du directeur de Transilien pour renégocier la convention avec le STIF.

* 2002-2006 : Ministère de l’Economie et des Finances, inspecteur des finances.

* 2001-2002 : INSEE, chef de la division Synthèse générale des comptes.

* 1998-2001 : Direction générale des impôts, chef de bureau.

* 1997-1998 : Conseil des impôts, rapporteur général du seizième rapport.

* 1996-1997 : Cour des comptes, rapporteur à la chambre Transports.

* 1992-1996 : Début de carrière comme administrateur de l’INSEE.

Faites connaître gratuitement vos nouvelles responsabilités au 1er réseau de décideurs Nomination.fr, aux professionnels de votre secteur d’activité ainsi qu’à la presse et aux médias.

Cliquez-ici pour diffuser gratuitement votre Nomination

Vous êtes en poste ? Faites-vous connaître de votre marché !

Nomination vous propose de communiquer gratuitement sur votre fonction et sur votre entreprise auprès des directions d’entreprises (Directions Générales, DRH., Directions de la communication,…) et cabinets de chasse de têtes.

Faites-vous ainsi connaître et reconnaître, faites-vous valoir et dynamisez votre carrière !

Communiquez sur votre poste

Les nominations de la semaine en banque, finance, assurance

« Rubrique réalisée en partenariat avec Nomination : 1er service d’informations et de veille sur les décideurs. »

Humanis : Directeur de la gouvernance institutionnelle

Monsieur Guillaume Ancel est nommé directeur de la gouvernance institutionnelle du groupe Humanis, à compter de juillet 2013.

Il est sous la responsabilité directe de Monsieur Jean-Pierre Menanteau, directeur général.

Il est en charge de la modernisation des méthodes, des processus et des outils supports de la gouvernance institutionnelle du groupe Humanis pour les porter au niveau des meilleures pratiques de place dans un souci d’efficacité et de simplification, dans le triple contexte exigeant de la modernisation de la gouvernance des groupes de protection sociale, de Solvency II et des réflexions générales sur la gouvernance qu’inspire la crise financière, qui a démarré en 2007-2008.

Il travaillera en étroite liaison avec la présidence paritaire et le conseil d’administration de l’Association sommitale qui ont la charge de veiller à la qualité de la gouvernance au sein du groupe Humanis. Il sera secondé par Monsieur Alain Viquerat.

Il participera aux travaux du comité exécutif dont les modalités de fonctionnement ont été revues en profondeur depuis le 8 avril 2013.

Guillaume Ancel, 47 ans, diplômé du Royal Defence College de Bruxelles sur le modèle européen de la qualité du management (EFQM, 2001), master de finances et gestion de l’université Lyon-II Lumière en management socio-économique (2000), Ecole spéciale militaire de Saint-Cyr, a réalisé le parcours suivant :

* 2010-2012 : SNCF, directeur régional Champagne-Ardennes.

* 2008-2010 : SNCF, directeur des lignes Transilien de Paris Saint-Lazare.

* 2005-2008 : SNCF, directeur de cabinet du directeur régional Rhône-Alpes.

* NC-2005 : Armée de terre, officier au sein de différentes unités opérationnelles (au Cambodge, au Rwanda et en ex-Yougoslavie).

SNCF : Directeur financier de la branche Matériel

Monsieur Xavier Roche est nommé directeur financier de la branche Matériel de SNCF, à ce poste depuis juin 2013.

Xavier Roche, 48 ans, auditeur de la 57ème session nationale de l’IHEDN (2005), magistrat à la Cour des comptes, école du commissariat de l’air (1990), maîtrise de droit privé de l’université d’Auvergne (1988), a réalisé le parcours suivant :

* 2012-2013 : RFF, directeur financier, adjoint au directeur général adjoint finances et achats.

* 2009-2012 : Réseau ferré de France (RFF), directeur de l’audit et des risques.

* 2008-2009 : Ministère du Logement et de la Ville, conseiller auprès du ministre.

* 2006-2009 : Alstom Transport, directeur de l’audit projets.

* 2000-2006 : Cour des comptes, conseiller référendaire.

* 1988-2000 : Ministère de la Défense, commissaire de l’air.

5 sur 5 : Directeur administratif et financier

Monsieur Luc Avedissian est promu directeur administratif et financier de 5 sur 5, à ce poste depuis juin 2013, en remplacement de Madame Valérie Dulhost.

Il est sous la responsabilité directe de Monsieur Didier Flavenot, président.

Luc Avedissian, DESS de finance (1994) et maîtrise de sciences économiques (1993) de l’université Aix-Marseille, a réalisé le parcours suivant :

* 2008-2013 : SFR, responsable contrôle de gestion réseau Mobile.

* 2005-2008 : SFR, responsable contrôle de gestion région Ile-de-France.

* 2003-2005 : Bouygues Telecom, responsable contrôle de gestion Direction Entreprise.

* 2000-2003 : Bouygues Telecom, responsable contrôle de gestion régional.

* 1996-2000 : Bouygues Telecom, contrôleur de gestion.

Centre hospitalier de Douai : Directeur des services financiers

Madame Agnès Schreiner est nommée directeur des services financiers du Centre hospitalier de Douai, à ce poste depuis juin 2013.

Elle est sous la responsabilité directe de Monsieur Renaud Dogimont, directeur général.

Agnès Schreiner était précédemment directeur des finances au centre hospitalier de Selestat.

Faites connaître gratuitement vos nouvelles responsabilités au 1er réseau de décideurs Nomination.fr, aux professionnels de votre secteur d’activité ainsi qu’à la presse et aux médias.

Cliquez-ici pour diffuser gratuitement votre Nomination

Vous êtes en poste ? Faites-vous connaître de votre marché !

Nomination vous propose de communiquer gratuitement sur votre fonction et sur votre entreprise auprès des directions d’entreprises (Directions Générales, DRH., Directions de la communication,…) et cabinets de chasse de têtes.

Faites-vous ainsi connaître et reconnaître, faites-vous valoir et dynamisez votre carrière !

Communiquez sur votre poste

« Les M2 visent à former des cadres de haut niveau souhaitant réaliser une carrière en France comme à l’international », Marc Bollecker, Responsable des M2 Contrôle de Gestion & Audit, Univ. de Mulhouse et Contrôle de Gestion, Univ. de Strasbourg, 2013

Est-ce que vous pouvez nous présenter les Masters Contrôle de Gestion dont vous êtes responsable ?

Le Master Contrôle de Gestion et Audit de l’Université de Haute Alsace (Mulhouse) a été créé en 2005 dans le cadre de la réforme LMD. Cette création a correspondu à un besoin des partenaires (entreprises) de l’Université de pouvoir recruter des cadres pour leurs services financiers et de contrôle de gestion principalement situés dans le sud de l’Alsace, la Suisse et la Franche-Comté.

Le Master Contrôle de gestion de l’Ecole de Management de l’Université de Strasbourg a été créé en 2009 en réponse à une forte demande de la part d’étudiants et d’organisations situées principalement dans le nord de l’Alsace et en Lorraine.

Combien avez-vous de promotions ?

Nous allons accueillir à la rentrée 2013 la 9ème promotion du Master Contrôle de Gestion et Audit de l’Université de Haute Alsace et la 5ème du Master Contrôle de gestion de l’Université de Strasbourg.

Quel est l’objectif de ces formations ?

La crise actuelle conduit les entreprises de tous secteurs et les organisations publiques à recruter des cadres spécialistes dans ce domaine. La recherche de compétitivité, l’optimisation des performances opérationnelles, la réduction des coûts, l’amélioration de la performance sociale, et la diminution des financements suscitent des besoins importants de spécialistes du contrôle de gestion.

Le Master 2 Contrôle de Gestion et Audit de Mulhouse tout comme celui de Strasbourg visent à former des cadres de haut niveau souhaitant réaliser une carrière en France comme à l’international grâce à des compétences élevées en contrôle de gestion, en comptabilité, en audit, en système d’information et en langues.

Quels sont les points forts du programme ?

Pour les deux formations, les enseignements visent à traiter la diversité des situations que peuvent rencontrer les futurs contrôleurs de gestion. Ces derniers peuvent trouver des débouchés dans les entreprises industrielles, de service, françaises ou internationales, dans les organisations publiques (université, hôpitaux, collectivités territoriales…), dans les associations.

Par ailleurs, la proximité de la Suisse et de l’Allemagne (pour le Master de Mulhouse), du Luxembourg et de l’Allemagne (pour le Master de Strasbourg) suppose le caractère transfrontalier de ces formations. Dès lors est-il nécessaire de dispenser des cours particulièrement contextualisés.

Quels sont les profils des étudiants ?

Les étudiants qui intègrent les M2 Contrôle de gestion disposent de bonnes connaissances techniques (comptabilité financière, comptabilité de gestion, management, système d’information). Ils proviennent de différentes universités françaises, après l’obtention d’un M1 Management ou Sciences de gestion et après avoir suivi soit une filière technologique (DUT GEA, BTS CGO) soit une filière plus générale (Licence Sciences de gestion, Licence économie).

Comment est composé le corps enseignants ?

L’équipe pédagogique est composée pour les deux formations de professionnels en activité (contrôleurs de gestion, responsables du contrôle de gestion, experts-comptable…) et d’universitaires français spécialisés en contrôle de gestion.

Quelles sont vos relations avec les entreprises ?

Compte tenu de l’ancienneté de ces deux formations, non seulement de nombreuses entreprises mais aussi des organisations publiques et des associations sont devenues des partenaires fiables. Elles recrutent chaque année des apprentis et/ou des stagiaires et, bien entendu, des diplômés de ces formations. Par ailleurs, les relations tissées avec elles depuis plusieurs années nous permettent de recruter des intervenants.

Que deviennent vos anciens ? Est-ce que vous avez des exemples ?

Ils deviennent majoritairement contrôleur de gestion puis, à long terme, responsable du contrôle ou directeur administratif et financier. Certains de nos anciens s’orientent vers des directions opérationnelles après avoir évolué pendant une dizaine d’années dans le contrôle.

A titre d’exemple, vous trouverez quelques témoignages d’anciens sur le site du Master de Mulhouse : Cliquez ici !

Est-ce que votre formation est accessible également en formation continue ?

Absolument, les deux formations accueillent des étudiants en reprise d’études. Pour ceux qui ne sont pas titulaires d’un Bac +4 et qui ne disposent pas de plusieurs années pour suivre des études, ils ont la possibilité de présenter à un jury un dossier de validation des acquis professionnels leur permettant d’accéder à la formation. Pour les candidats titulaires d’un Bac +4, ils sont recrutés comme les étudiants en formation initiale.

Comment procédez-vous pour faire évoluer votre programme ?

Des réunions pédagogiques nous permettent de recueillir l’avis de l’ensemble des intervenants. Par ailleurs les enseignements font l’objet d’une évaluation annuelle par les étudiants. Enfin, les visites des stagiaires et des apprentis sont l’occasion de recueillir l’avis des praticiens dans les entreprises.


Marc BOLLECKER est Professeur des Universités en Sciences de gestion à l’Université de Haute Alsace. Il dirige le Master Contrôle de Gestion et Audit de cette Université (Faculté des Sciences Economiques Sociales et juridiques de Mulhouse) et le Master Contrôle de gestion de l’Ecole de Management de l’Université de Strasbourg. Il est l’auteur d’un ouvrage sur les contrôleurs de gestion (paru en 2003 chez L’Harmattan – Les contrôleurs de gestion. L’histoire et les conditions d’exercice de la profession) et de nombreux articles spécialisés en contrôle de gestion publiés dans des revues académiques.
Pour une visite de son blog

Carrière à suive : Portrait de Jean-Michel Maroslavac, Directeur fiscal, Dalkia

Des chiffres à donner le vertige : 400 filiales, implantées dans 35 pays et 9 milliards d’euros de CA. C’est l’univers quotidien de Jean-Michel Maroslavac, Directeur fiscal de Dalkia, filiale des services énergétiques des groupes Veolia et EDF.

Jean-Michel Maroslavac a démarré sa carrière en tant qu’avocat fiscaliste au sein de plusieurs cabinets de renom. Il aurait pu patiemment attendre de devenir associé mais une opportunité se présente en 2002 et il rejoindra le groupe Veolia dont il deviendra , 7 ans plus tard, le directeur fiscal de sa filiale Energie, Dalkia.

Pour Jean-Michel Maroslavac, un fiscaliste doit à la fois être un bon technicien mais aussi avoir un sens relationnel développé.

Est-ce que vous pouvez nous présenter votre métier ?

En tant que Directeur fiscal de Dalkia, filiale des services énergétiques des groupes Veolia et EDF, j’ai en charge au niveau mondial la gestion de la fiscalité du groupe dans toutes ses composantes : cela comprend classiquement la sécurisation de la charge d’impôt du groupe, la gestion des contrôles et contentieux fiscaux, la dimension conseil opérationnel aux filiales ou auprès des Directions générale et financière, les aspects de reporting et d’analyse du taux effectif d’imposition ainsi que l’assistance lors des opérations de fusion ou d’acquisition qui ne manquent pas dans un groupe tel que Dalkia.

Pour toutes ces missions, nous sommes une équipe de 6 fiscalistes « corporate », ce qui est plutôt dans la moyenne au regard de notre chiffre d’affaires de 9 milliards d’euros. Il faut compter en général 1 fiscaliste pour gérer 1 à 1,5 milliard de CA. Nous nous reposons également sur un réseau de fiscalistes étrangers dans nos principaux pays d’implantation comme la Pologne, la République Tchèque, les Etats-Unis ou encore plus récemment la Chine.

Est-ce que vous aviez étudié la fiscalité à l’université ?

Oui – Après une double maîtrise de droit des affaires et de droit fiscal et un Master 2 en fiscalité, j’ai enchaîné avec l’Ecole du Barreau de Paris. J’ai prêté serment en 1998. En fait, je n’avais pas de plan de carrière très précis. C’est finalement assez classique de démarrer par une carrière d’avocat puis de s’orienter vers le monde de l’entreprise.

Quels souvenirs de vos années en cabinet d’avocats ?

Excellents – Au sein des cabinets où j’ai pratiqué, j’ai été associé à la gestion de grands comptes clients. Vous apprenez alors à structurer votre travail et à délivrer une prestation de service de qualité tout en respectant des délais. Vous faites l’apprentissage de travailler en équipe. L’avantage de commencer sa carrière au sein de gros cabinets est qu’ils ne sont pas avares en formations. Vous renforcez vos compétences et pouvez acquérir une bonne technicité, ce qui est une exigence forte de notre métier.

Vous développez un bon sens du service et du relationnel, indispensable par la suite pour disposer de responsabilités et devenir éventuellement directeur fiscal. Je suis resté 5 ans en cabinet pour valider cette expérience mais, à la longue, on peut avoir une certaine frustration en n’étant associé ponctuellement qu’à un processus de décision partiel. L’alternative naturelle est alors de « basculer » vers le monde de l’entreprise sauf à disposer de l’appétence pour le développement commercial dans la perspective d’une association.

Comment est venue cette opportunité chez Veolia ?

En 2002, Vivendi Environnement, ex-Veolia, venait d’être coté en bourse et se séparait de son actionnaire de référence, Vivendi Universal. La nouvelle holding reconstituait une équipe financière. J’ai été chassé. Je n’étais pas dans une optique de recherche à cette époque mais c’était le bon moment de se poser la question. Il s’agissait de reconstruire la fiscalité de la holding Veolia. Le travail ne manquait pas et promettait d’être passionnant.

Est-ce que votre quotidien a été très différent chez Veolia ?

Oui, différent et très intéressant. Il y a avait une ambiance de start-up et j’ai particulièrement apprécié mon fort degré d’autonomie par rapport au travail hiérarchisé en cabinet. A l’époque, le directeur fiscal m’a laissé très libre. J’ai pu être confronté à toutes les palettes de la fonction du fiscaliste de holding. J’y suis resté presque 4 ans.

Au-delà de la gestion de la juste charge de l’impôt, vous traitez de la fiscalité financière très spécifique au métier d’une holding notamment au niveau de la TVA, des problématiques fiscales sur les produits financiers ou en matière de prix de transferts. Après ces 4 ans, j’ai souhaité renouer avec des problématiques de fiscalité plus opérationnelle. J’ai donc rejoint Dalkia. Sur cette fonction, je suis vraiment au cœur d’un métier technique passionnant. Nous sommes notamment en support lors des opérations de croissance interne et la fiscalité des contrats mais aussi lors de toutes les opérations de croissance externe et la fiscalité des fusions-acquisitions. Nous faisons également beaucoup de cessions, facette très différente mais souvent oubliée du « M&A » .

Quels sont les aspects du métier de fiscaliste que vous appréciez en particulier ?

Le caractère divers de ses missions : l’apparition régulière de nouvelles normes et les modifications législatives incessantes obligent à assurer la diffusion de l’information et le déploiement de nouvelles procédures fiscales. On pourrait regretter une certaine « procédurisation » du métier. Mais, bien au contraire, cela constitue un élément d’enrichissement de la diversité de notre métier. Le profil des clients internes, opérationnels, directeurs/responsables comptables et financiers est un autre élément de la diversité de notre métier. Il faut savoir être concret, adapter la technicité de ses conseils au profil de chacun.

Je suis également conseil de la DG sur des dossiers stratégiques comme les acquisitions, la politique de dividende ou la refacturation des frais de siège….Tous les aspects liés au reporting des risques, au niveau adéquat de provisions et à l’analyse du taux effectif d’imposition de la société font de nous des partenaires de la communication financière. Le métier est un vrai pivot entre l’opérationnel et la DG.

Est-ce que vous avez des conseils de gestion de carrière ?

Je conseille vraiment d’avoir une double formation en école de commerce et en école d’avocat pour compléter une formation universitaire théorique. C’est un vrai plus. Il est indispensable d’être bon technicien et de savoir gérer son relationnel. Il y a 2 profils de fiscalistes : les fiscalistes focalisant sur leur expertise et les fiscalistes souhaitant évoluer vers des postes de management. Il ne faut pas être timide. Etre curieux et polyvalent, maîtriser son activité opérationnelle, aimer travailler avec les autres interlocuteurs de l’entreprise que sont notamment les juristes, les comptables et les consolideurs…..sont des qualités indispensables.

Pas de regret de votre carrière d’avocats ?

Non aucun regret pour le moment. Si j’étais devenu associé en cabinet, j’aurais eu plus de contraintes administratives et commerciales. Il faudrait justifier ma rentabilité et donc supporter une pression commerciale forte. En entreprise, la pression s’exerce différemment. Je dois démontrer que je ne suis pas un centre de coûts et que mes préconisations peuvent générer des économies d’impôts notamment cash ou assurer une meilleure maîtrise des risques fiscaux du groupe.

Les nominations de la semaine en banque, finance, assurance

« Rubrique réalisée en partenariat avec Nomination : 1er service d’informations et de veille sur les décideurs. »

AT Kearney France : Vice-président finance groupe

Madame Christine Laurens est promue vice-président finance groupe d’AT Kearney France, à ce poste depuis janvier 2013.

Elle est ainsi en charge de la finance opérationnelle du cabinet au niveau mondial.

Christine Laurens, 42 ans, expert-comptable (2001), HEC (1994), CEMS (1994), a réalisé le parcours suivant :

* 2008-2013 : AT Kearney, directeur financier EMEA.

* 2002-2008 : AT Kearney, directeur financier Europe du Sud-Ouest.

* 2001-2002 : Keyrus, directeur général adjoint finance.

* 1999-2001 : Agency.com, directeur financier, puis directeur général.

* 1994-1998 : Début de carrière comme directeur de mission, puis manager chez Ernst&Young Audit.

DC Advisory : Directeur au sein de l’équipe Exécution M&A

Monsieur Louis Vercken est promu directeur au sein de l’équipe Exécution M&A de DC Advisory, à ce poste depuis mai 2013.

Il est sous la responsabilité conjointe de Monsieur David Benin et de Monsieur Eric Hamou, associés gérants, co-heads M&A.

Louis Vercken, 32 ans, DESS de finance d’entreprise et d’ingénierie financière de l’université Paris-Dauphine (2003), a réalisé le parcours suivant :

* 2004-2013 : DC Advisory (Close Brothers jusqu’en 2010), successivement chargé d’affaires, analyste et directeur adjoint au sein de l’équipe Exécution M&A.

* NC-2004 : En poste dans le secteur des fusions-acquisitions chez Lazard.

Institut océanographique – Fondation Albert Ier : Directeur administratif et financier et des ressources humaines

Madame Alexia Tye est nommée directeur administratif et financier et des ressources humaines de l’Institut océanographique – Fondation Albert Ier, à ce poste depuis février 2013.

Elle est sous la responsabilité directe de Monsieur Robert Calcagno, directeur général.

Elle est ainsi en charge de la direction financière, du secrétariat général, de la stratégie et des partenariats. Elle est membre du comité de direction.

Alexia Tye, master en mathématiques de l’university of Oxford (1989), DEA stratégie commerciale de l’université Paris-Dauphine (1986), a réalisé le parcours suivant :

* 2001-2012 : AddVenture, directeur, conseil en capital investissement et gestion de portefeuille.

* 1999-2000 : Egis (groupe Caisse des dépôts), directeur de projets.

* 1996-1999 : GIC (fonds souverain de l’état singapourien), senior vice président.

* 1989-1996 : Barclays Capital (à Hong Kong), director.

ICN Business School : Directeur des ressources

Madame Céline Munier est nommée directeur des ressources d’ICN Business School, à ce poste depuis mai 2013.

Elle est sous la responsabilité directe de Monsieur Jérôme Caby, directeur général.

Elle est chargée d’accompagner la mise en oeuvre du plan de développement stratégique de l’école, à la tête des services Comptabilité, Contrôle de gestion, Ressources humaines, Logistique et Informatique.

Elle succède à Monsieur Bernard Lebrun qui a fait valoir ses droits à la retraite.

Elle est membre du comité exécutif.

Céline Munier, ICN Business School (1998), DJCE de la faculté de droit de Nancy, a réalisé le parcours suivant :

* 2008-2013 : Beryl (groupe Vivarte), directeur administratif et financier.

* 2003-2008 : 3E International, responsable administratif et financier.

* Début de carrière chez KPMG Entreprises où elle a assuré des fonctions d’audit et d’expertise comptable.

Grant Thornton : Responsable de la ligne de services Business Risk Services / Audit IT

Monsieur Jean de Laforcade est promu responsable de la ligne de services Business Risk Services / Audit IT de Grant Thornton, à ce poste depuis juin 2013.

La ligne de services Business Risk Services / Audit IT de Grant Thornton est rattachée au métier Audit du groupe, qui comprend également les lignes de services Valuation Services, Financial Services et Audit.

Jean de Laforcade, 40 ans, Certified in Risk and Information Systems Control (CRISC, 2010), Certified Information System Auditor (CISA, 2001), DESS en informatique de gestion (1996) et maîtrise des sciences et techniques comptables et financières (1995) de l’université Paris Dauphine, a réalisé le parcours suivant :

* 2012-2013 : Grant Thornton, senior manager, responsable audit système d’information.

* 2007-2012 : PricewaterhouseCoopers, senior manager.

* 2005-2007 : Alcatel-Lucent, auditeur interne.

* 2000-2004 : Ernst & Young, manager.

* 1999-2000 : Mazars Group, auditeur senior.

Faites connaître gratuitement vos nouvelles responsabilités au 1er réseau de décideurs Nomination.fr, aux professionnels de votre secteur d’activité ainsi qu’à la presse et aux médias.

Cliquez-ici pour diffuser gratuitement votre Nomination

Vous êtes en poste ? Faites-vous connaître de votre marché !

Nomination vous propose de communiquer gratuitement sur votre fonction et sur votre entreprise auprès des directions d’entreprises (Directions Générales, DRH., Directions de la communication,…) et cabinets de chasse de têtes.

Faites-vous ainsi connaître et reconnaître, faites-vous valoir et dynamisez votre carrière !

Communiquez sur votre poste

Les nominations de la semaine en banque, finance, assurance

« Rubrique réalisée en partenariat avec Nomination : 1er service d’informations et de veille sur les décideurs. »

Bouygues Telecom : Directeur général adjoint en charge des finances, des ressources humaines, des achats et de la stratégie

Monsieur Eric Haentjens, directeur général adjoint en charge des finances, des ressources humaines et des achats, prend en outre la responsabilité de la stratégie de Bouygues Telecom, à ce poste depuis mai 2013.

Il est sous la responsabilité directe de Monsieur Olivier Roussat, président-directeur général.

Eric Haentjens, 52 ans, ESME Sudria, IAE Paris, a réalisé le parcours suivant :

* 2007-2013 : Bouygues Telecom, directeur financier.

* NC-2013 : Bouygues Telecom, directeur général adjoint services informatiques et fonctions support.

* 2002-2006 : Bouygues Telecom, directeur stratégie et partenariats.

* 1997-2002 : Bouygues Telecom, directeur finances.

* NC-1997 : Secrétaire général de Screg Bâtiment, puis directeur adjoint trésorerie chez Bouygues.

* 1989-NC : Bouygues, responsable administration gestion finances de la branche Habitat grande couronne.

* 1987-1989 : CIPEL – Wonder, contrôleur de gestion.

* 1985-1987 : Bouygues, gestionnaire.

SFR : Directeur exécutif ressources humaines et affaires générales

Madame Marie-Christine Théron est promue directeur exécutif ressources humaines et affaires générales de SFR, à ce poste depuis juin 2013.

Elle est sous la responsabilité directe de Monsieur Jean-Yves Charlier, directeur général.

Marie-Christine Théron, 53 ans, juriste, a réalisé le parcours suivant :

* 2009-2013 : SFR, directeur des ressources humaines.

* 2004-2009 : SFR, successivement directeur des ressources humaines et de la communication, directeur général adjoint ressources humaines et développement de SFR Service client, puis directeur des affaires sociales, du développement des ressources humaines et de la formation.

* 1998-2004 : SFR, directeur des relations extérieures.

Conseil général des Hauts-de-Seine : Responsable pilotage administratif et financier de la DSI

Madame Valerie Oury est nommée responsable pilotage administratif et financier de la DSI du Conseil général des Hauts-de-Seine, à ce poste depuis janvier 2013.

Valerie Oury a réalisé le parcours suivant :

* 2002-2012 : Ville d’Issy-les-Moulineaux, directeur général adjoint des services et moyens généraux.

* 1999-2002 : Centre communal d’action sociale de Versailles, directeur des finances.

* 1992-1999 : Ville d’Issy-les-Moulineaux, responsable budget – directeur des finances.

DC Advisory : Directeur au sein de l’équipe Exécution M&A

Monsieur Frédéric Meyer est promu directeur au sein de l’équipe Exécution M&A de DC Advisory, à ce poste depuis mai 2013.

Il est sous la responsabilité conjointe de Monsieur David Benin et de Monsieur Eric Hamou, associés gérants, co-heads M&A.

Frédéric Meyer, 32 ans, master finance internationale de l’EM Lyon (2004), EPF (2003), a réalisé le parcours suivant :

* 2008-2013 : DC Advisory (Close Brothers jusqu’en 2010), manager financement et refinancement, puis directeur adjoint au sein de l’équipe Exécution M&A.

* 2005-2008 : DC Advisory Partners, chargé d’affaires.

* 2004-2004 : BNP Paribas Corporate Finance, début de carrière en fusions-acquisitions.

HSBC Assurances France : Directeur juridique et fiscal

Madame Hélène Criton est nommée directeur juridique et fiscal de HSBC Assurances France, à ce poste depuis avril 2013, en remplacement de Monsieur Pierre-Christian Imbert.

Elle est sous la responsabilité directe de Monsieur Jean-Pierre Wiedmer, président de HSBC Assurances France.

Hélène Criton, DEA de droit privé de l’université Paris-I (1999), a réalisé le parcours suivant :

* 2006-2013 : Natixis Assurances, responsable juridique et fiscal.

* 2006-2013 : Natixis Assurances, juriste.

* 2001-2004 : Natixis Life Luxembourg, juriste.

Faites connaître gratuitement vos nouvelles responsabilités au 1er réseau de décideurs Nomination.fr, aux professionnels de votre secteur d’activité ainsi qu’à la presse et aux médias.

Cliquez-ici pour diffuser gratuitement votre Nomination

Vous êtes en poste ? Faites-vous connaître de votre marché !

Nomination vous propose de communiquer gratuitement sur votre fonction et sur votre entreprise auprès des directions d’entreprises (Directions Générales, DRH., Directions de la communication,…) et cabinets de chasse de têtes.

Faites-vous ainsi connaître et reconnaître, faites-vous valoir et dynamisez votre carrière !

Communiquez sur votre poste

Carrière à suivre : Portrait de Victor Hayat, Associé, Deloitte Conseil

Victor Hayat a ce parcours idéal souvent présenté aux étudiants d’école de commerce qui voudraient faire carrière en finance : Diplômé d’HEC, une expérience dans l’audit, un passage en industrie à un poste de contrôleur de gestion et un retour en cabinet de conseil au statut d’associé.

Les facteurs clés de succès de son parcours sont un esprit entrepreneurial combiné à un vrai sens commercial qui peut parfois faire défaut aux étudiants des grandes écoles. Pour Victor Hayat, le rôle d’un associé n’est pas de tout repos. En cabinet de conseil, il faut avoir aussi le sens des affaires et apprendre à développer son business dans un secteur qui a vu ses règles bouleversées ces dernières années.

En quelques mots son conseil carrière : développer très tôt ses aptitudes commerciales.

Quand avez-vous décidé que vous feriez une carrière en finance ?

Je savais déjà à HEC que j’allais faire une carrière en finance. J’avais opté pour une majeure à dominante financière. A l’époque, il y a avait vraiment deux grands choix d’orientation pour les étudiants. Vous pouviez choisir soit de faire une carrière en marketing ou en finance. J’ai décidé de continuer en finance et je suis parti chez Arthur Andersen pour acquérir une expérience généraliste avant de prendre une option plus définitive.

Quel est votre souvenir des grandes années Arthur Andersen ?

Chez Arthur Andersen, j’ai appris à travailler. On vous apprend une méthode et à travailler en équipe. Vous êtes formé également à la gestion de la relation client. Vous devenez également extrêmement rigoureux dans votre travail. Cela m’a vraiment bien préparé pour la suite.

Pourquoi avoir décidé ensuite de partir en industrie ?

Après 5 ans j’ai voulu voir autre chose et j’ai démarré une nouvelle carrière en contrôle de gestion. J’y suis resté 4 ans.

L’opportunité est venue très simplement d’un client de chez Arthur Andersen. Le patron de Matra Datavision que je connaissais est parti pour diriger la filiale française d’Euriware. Il constituait son équipe financière et il m’a demandé de venir pour mettre en place le contrôle de gestion.

Le métier était vraiment différent du cabinet d’audit. Je m’occupais vraiment d’une fonction de contrôle des activités de l’entreprise. Vous rencontrez des patrons de business unit. Il faut donc avoir une sensibilité business car vous devez comprendre les activités qui sont dans votre périmètre.

En 1997, vous décidez de retourner en cabinet de conseil. L’ambiance vous manquait ?

La relation client me manquait. Chez Euriware, je voyais surtout des clients internes. Je voulais faire du conseil auprès des directions financières.

Je suis aller chez PwC pour y faire une carrière de conseil jusqu’à devenir associé. J’étais au contact des directions financières et on intervenait pour aider au pilotage de la performance. C’était vraiment en continuité avec mon expérience précédente.

Comment obtient-on le Graal que représente le statut d’associé en cabinet ?

Pour devenir associé, il faut d’abord bien maîtriser le basic. Les compétences de base sont l’excellence dans les missions et la réussite des projets.

Ensuite il faut quelques petits plus. C’est essentiel d’être un apporteur de business. Il faut être à l’affût des opportunités pour le cabinet. Sur chaque mission, il faut se focaliser sur ce que qu’on pense vendre ensuite au client. Dans un projet, il y a un début et une fin et il faut anticiper de nouvelles missions avec votre client. Il faut savoir aussi enrichir son portefeuille de contacts extérieurs. C’est la voie royale. Vous devez dépasser le cap de la compétence pour vous investir dans des problématiques plus relationnelles. C’est très important d’avoir une sensibilité commerciale pour bien interagir avec le client.

Comment ont évolué les métiers du conseil ces dernières années ?

Ces dernières années, le conseil c’est banalisé. Avant l’arrivée d’internet, nous étions considérés comme des gourous. Aujourd’hui l’accès à la connaissance est simplifié. Les clients font plus confiance à l’équipe qu’au nom du cabinet. Quand j’étais chez PwC, les seules lettres du cabinet vous permettaient de vendre des missions. Les clients ne se souciaient pas de l’équipe. Ce n’est plus le cas.

Je constate aussi une tendance à la baisse de prix du conseil. Les frontières entre les différents prestataires sont également devenues plus floues. De nombreuses sociétés qui n’ont pas notre ADN n’hésitent pas à se présenter comme des cabinets de conseil.

Qu’est-ce qui a été déterminant dans votre parcours professionnel ?

Pour moi ce qui est déterminant c’est tout d’abord l’excellence dans les missions dont on a la charge. Ensuite il faut intégrer très rapidement une dimension commerciale à son parcours et apprendre à faire de bonnes propositions aux clients. Il ne faut pas attendre.

Les nominations de la semaine en banque, finance, assurance

« Rubrique réalisée en partenariat avec Nomination : 1er service d’informations et de veille sur les décideurs. »

Hewlett-Packard France (HP France) : Directeur administratif et financier

Monsieur Didier Bourdois est promu directeur administratif et financier de Hewlett-Packard France (HP France), à ce poste depuis mai 2013, en remplacement de Monsieur Etienne Rouvillois.

Il est ainsi en charge de la coordination des activités financières de HP en France et de la mise sous contrôle des opérations dans toutes leurs dimensions. Il devient membre du comité de direction.

Didier Bourdois, MBA de l’IAE de Paris (1996), ESIEA Paris (1989), a réalisé le parcours suivant :

* 2010-2013 : HP France, directeur financier de la division Enterprise Services.

* NC-2010 : Expérience dans le domaine des services dans des fonctions de management tant business que finance.

SFR : Directeur exécutif finance et stratégie

Madame Sandrine Dufour est promue directeur exécutif finance et stratégie de SFR, à ce poste depuis mai 2013, en remplacement de Monsieur Pierre Trotot. Elle est sous la responsabilité directe de Monsieur Jean-Yves Charlier, directeur général.

Sandrine Dufour, 46 ans, CFA (2000), SFAF, ESSEC (1988), a réalisé le parcours suivant :

* 2004-2013 : Vivendi, directeur financier adjoint et directeur de l’innovation du groupe.

* 1999-2004 : Vivendi Universal, successivement en charge de mission auprès du directeur financier du groupe, directeur financier de VU Net, et directeur de l’audit interne et des projets spéciaux.

* 1993-1999 : CAI Chevreux, analyste financier sur le secteur des télécoms.

* 1990-1993 : BNP, analyste financier.

* 1989-1990 : Paribas, en poste au sein du département de la gestion privée.

Fraikin : Directeur général adjoint en charge de l’administratif et des finances

Monsieur Jean-Philippe Grégoire est nommé directeur général adjoint en charge de l’administratif et des finances de Fraikin, à ce poste depuis mai 2013.

Il est sous la responsabilité directe de Monsieur Hugues Rougier, président du directoire. Il est ainsi en charge de toutes les fonctions support non exclusivement techniques. Il est également membre du directoire.

Jean-Philippe Grégoire, 52 ans, HEC – ISA (1989), INSEEC Bordeaux (1983), diplôme Money & Banking, et Marketing & Management de la Roosevelt University de Chicago (1982), a réalisé le parcours suivant :

* 2007-2013 : Faurecia – Interior Systems Group, vice-président finance.

* 2004-2007 : Alcatel Mobile Communications Group, vice-président Management Control.

* 1999-2004 : Alcatel Mobile Phone Division, Business Division CFO.

* 1996-1999 : Groupe Alcatel, regional director financial controls.

* 1991-1995 : Alcatel Réseaux d’entreprise, deputy CFO.

* 1988-1990 : Alcatel Radiotéléphone, contrôleur de la direction Recherche et Développement.

* 1986-1988 : Brossette, adjoint de la direction financière groupe.

* 1984-1986 : Lambert Distribution, responsable administratif et financier d’une agence commerciale.

Veolia Propreté (groupe Veolia Environnement) : Directeur projet SAP et transformation de la fonction finance

Madame Anne Dambrine est nommée directeur projet SAP et transformation de la fonction finance de Veolia Propreté (groupe Veolia Environnement), à ce poste depuis avril 2013.

Elle est sous la responsabilité directe de Monsieur Thierry Pagniez, directeur financier France.

Anne Dambrine, 51 ans, DESCF (1988), ESLSCA (1984), a réalisé le parcours suivant :

* 2010-2013 : Veolia Propreté, risk manager.

* 2001-2010 : Veolia Propreté Ile-de-France, directeur administratif et financier.

* 1996-2001 : Groupe Rénosol, directeur administratif et financier.

* 1991-1996 : Groupe Proxima, directeur administratif et financier.

* 1988-1991 : Montenay Turbo, adjoint directeur administratif et financier.

* 1984-1988 : Coopers & Lybrand, auditeur superviseur.

Norton Rose LLP : Of counsel en droit bancaire et financements

Monsieur Thomas Rabain est promu of counsel en droit bancaire et financements de Norton Rose LLP, à ce poste depuis mai 2013.

Il est sous la responsabilité directe de Monsieur Marc Hamilton, associé en financements aéronautiques au sein du département Droit bancaire et financements.

Thomas Rabain, 40 ans, membre du Barreau de Paris depuis 2005 et du Barreau de New York depuis 2001, LL.M. de la New York University, DEA droit des affaires et droit économique de l’université Paris-I, a réalisé le parcours suivant :

* Depuis 2012 : Norton Rose, membre de l’équipe Energie.

* 2005-2012 : Freshfields Bruckhaus Deringer, au sein du département Corporate.

* 2000-2005 : Début de carrière chez Shearman & Sterling.

Faites connaître gratuitement vos nouvelles responsabilités au 1er réseau de décideurs Nomination.fr, aux professionnels de votre secteur d’activité ainsi qu’à la presse et aux médias.

Cliquez-ici pour diffuser gratuitement votre Nomination

Vous êtes en poste ? Faites-vous connaître de votre marché !

Nomination vous propose de communiquer gratuitement sur votre fonction et sur votre entreprise auprès des directions d’entreprises (Directions Générales, DRH., Directions de la communication,…) et cabinets de chasse de têtes.

Faites-vous ainsi connaître et reconnaître, faites-vous valoir et dynamisez votre carrière !

Communiquez sur votre poste

« Tous les métiers de contrôle se sont beaucoup développés », Christine Aknin, Responsable recrutement banque, Kelly Services

Quelles sont les tendances 2013 pour les recrutements en banque de réseau ?

Les tendances sont difficiles à discerner. Les sociétés ont une visibilité réduite. C’est difficile de parler de tendance.

Nous constatons plus une posture attentiste de principe. Les demandes des clients sont à court terme. Dans ce contexte les recrutements ne sont pas très dynamiques malgré une pyramide des âges qui devrait être favorable à l’embauche dans les réseaux.

Est-ce que vous voyez des besoins accentués sur certaines compétences ?

Tous les métiers de contrôle se sont beaucoup développés. Il y a donc une forte demande pour des profils expérimentés. On constate également des besoins importants dans les réseaux bancaires d’intérimaires pour des postes de recouvrement et de contentieux auprès des clients professionnels et particuliers.

Comment ont évolué les réseaux bancaires ?

Il y a eu des rationalisations de certains réseaux bancaires et des fusions d’agences.
Le travail en agence a évolué. Les activités de back office et de traitements ont été le plus souvent supprimées permettant aux agences de se réorienter sur des missions de ventes.

Est-ce que les candidats gèrent aujourd’hui leurs carrières différemment en banque de réseau ?

Les candidats sont attentistes. Il faut que l’opportunité soit au dessus de la moyenne. Il y a une certaine frilosité de leur part. Pour eux changer de poste dans ce contexte est toujours une prise de risque en sachant qu’il n’y a pas forcément des écarts de salaire important. C’est souvent d’autres facteurs que la rémunération qui vont motiver un départ. Pour ceux qui envisagent de devenir directeur d’agence la meilleure stratégie est de rester dans la même entité.

Est-ce que les demandes des réseaux ont changé ?

Par réflexe, une entreprise reste très conservatrice. Les réseaux veulent capitaliser sur des compétences. Ils ont tendance à rechercher plus des profils expérimentés avec au minimum 3 ans d’expérience. Ils privilégient les candidats qui ont un parcours linéaire. On revient sur une logique de CV idéal. On constate également une montée des exigences en termes de diplômes avec bac+2 minimum demandé.

Comment se positionne Kelly Services sur ces recrutements bancaires ?

Nous sommes positionnés à la fois sur la banque de marché et la banque de réseau. Historiquement Kelly Services était plus positionné sur la banque de marché. Nous recrutons en majorité des chargés de clientèles et des chargés de clientèle à distance. Nous réalisons aussi des missions en banque privée. Nos missions concernent essentiellement l’Ile de France mais aussi à Lille et Lyon.

Les nominations de la semaine en banque, finance, assurance

« Rubrique réalisée en partenariat avec Nomination : 1er service d’informations et de veille sur les décideurs. »

Union financière de France (UFF) : Directeur de l’offre financière

Monsieur José Fernandez est nommé directeur de l’offre financière de l’Union financière de France (UFF), à ce poste depuis mai 2013.

Il est sous la responsabilité directe de Monsieur Nicolas Schimel, président-directeur général.

Il est ainsi en charge du développement, avec l’ensemble des équipes de la direction de l’offre financière, des solutions financières UFF afin de continuer à proposer une gamme répondant à l’ensemble des besoins évolutifs des réseaux de distribution du groupe UFF et à ceux des Français patrimoniaux.

Il fait partie du comité de direction.

José Fernandez, 40 ans, DU gestion de patrimoine de l’université de Clermont-Ferrand (2006), DESS banque-finance-assurance de l’université Paris-X (1996), a réalisé le parcours suivant :

* 2006-2013 : Barclays Bank, directeur marketing ingénierie produits et mise en marché.

* 2003-2006 : Entenial – Crédit foncier (groupe Caisses d’Epargne), responsable du développement et du marketing banque – épargne – placement.

* 2001-2003 : Erisa – HSBC Assurances, en charge notamment de l’élaboration de nouveaux produits et services (capitalisation, FCP structurés, contrat obsèques) et de l’évolution de la gamme existante (options de pilotage automatique, garanties décès, gamme OPCVM).

* 1998-2001 : GMF Vie, chef de produit.

* Début de carrière au Crédit immobilier de France.

Leyton France : Directeur administratif et financier

Monsieur Jean-Marc Attali est nommé directeur administratif et financier de Leyton France, à ce poste depuis avril 2013.

Jean-Marc Attali, 50 ans, ISC Paris (1985), a réalisé le parcours suivant :

* 2003-2013 : Bertin Technologies, secrétaire général, puis directeur général adjoint finance (2005).

* 2000-2003 : Owendo, directeur administratif et financier.

* 1998-2000 : Pathé Cinémas, directeur administratif et financier.

* 1992-1998 : CNIT (groupe Vivendi), directeur administratif et financier.

* 1991-1992 : Brossette (groupe Wolseley), responsable du contrôle de gestion.

* 1988-1991 : Média System (groupe Publicis), responsable du contrôle de gestion.

* 1987-1988 : Début de carrière comme contrôleur de gestion au sein du Groupe Accor.

Campofrio Food Group (groupe Smithfield Foods) : Chief financial officer Central Europe

Monsieur Frédéric Villain est promu chief financial officer Central Europe de Campofrio Food Group (groupe Smithfield Foods), à ce poste depuis avril 2013.

Il est sous la responsabilité directe de Monsieur Bruno Keeris, CEO Central Europe.

Frédéric Villain, HEC (1994), a réalisé le parcours suivant :

* 2012-2013 : Groupe Aoste, chief financial officer.

* 2005-2011 : Pernod Ricard Americas, chief financial officer.

* 2004-2005 : Pernod Ricard Canada, vice-président administration et finances.

* 2002-2004 : Pernod Ricard China, directeur administratif et financier.

* 1998-2002 : Pernod Ricard, responsable audit et développement.

* 1995-1998 : Ernst&Young, auditeur.

Carglass (groupe Belron) : Directeur du contrôle de gestion

Madame Clémence Lavaur est nommée directeur du contrôle de gestion de Carglass France (groupe Belron), à ce poste depuis janvier 2013.

Elle est sous la responsabilité directe de Monsieur Eric Girard, directeur général.

Elle est ainsi chargée d’identifier et de proposer aux directions générales et opérationnelles les analyses nécessaires à la compréhension et au pilotage de l’activité, dans un objectif global d’amélioration des performances.

Elle manage une équipe de 10 collaborateurs.

Clémence Lavaur, 40 ans, ISC Paris (1995), a réalisé le parcours suivant :

* 2007-2013 : Nouvelles Frontières, directeur yield & contrôle de gestion opérationnel.

* 2005-2007 : Nouvelles Frontières, responsable du contrôle de gestion.

* 2002-2005 : Capgemini, responsable du contrôle de gestion au sein de la division Infogérance.

* 1999-2002 : Début de carrière en tant que contrôleur de gestion à la CNP.

KFC France (groupe Yum! Brands) : Directeur financier

Monsieur Etienne Cousson est promu directeur financier de KFC France (groupe Yum! Brands), à ce poste depuis avril 2013, en remplacement de Monsieur Raphaël Miolane.

Il est membre du comité de direction de KFC.

Etienne Cousson, magistère banque-finance de l’université Paris-I Panthéon-Sorbonne (1997), a réalisé le parcours suivant :

* 2001-2013 : KFC France, responsable du contrôle de gestion et du développement de la franchise, puis directeur des opérations Franchise et Restaurant Excellence.

* 1999-2001 : PSA Peugeot Citroën, planning analyst.

* NC-1999 : Schneider Electric (en République tchèque), planning assistant.

Faites connaître gratuitement vos nouvelles responsabilités au 1er réseau de décideurs Nomination.fr, aux professionnels de votre secteur d’activité ainsi qu’à la presse et aux médias.

Cliquez-ici pour diffuser gratuitement votre Nomination

Vous êtes en poste ? Faites-vous connaître de votre marché !

Nomination vous propose de communiquer gratuitement sur votre fonction et sur votre entreprise auprès des directions d’entreprises (Directions Générales, DRH., Directions de la communication,…) et cabinets de chasse de têtes.

Faites-vous ainsi connaître et reconnaître, faites-vous valoir et dynamisez votre carrière !

Communiquez sur votre poste