Les nominations de la semaine en banque, finance, assurance

« Rubrique réalisée en partenariat avec Nomination : 1er service d’informations et de veille sur les décideurs. »

AT Kearney France : Vice-président finance groupe

Madame Christine Laurens est promue vice-président finance groupe d’AT Kearney France, à ce poste depuis janvier 2013.

Elle est ainsi en charge de la finance opérationnelle du cabinet au niveau mondial.

Christine Laurens, 42 ans, expert-comptable (2001), HEC (1994), CEMS (1994), a réalisé le parcours suivant :

* 2008-2013 : AT Kearney, directeur financier EMEA.

* 2002-2008 : AT Kearney, directeur financier Europe du Sud-Ouest.

* 2001-2002 : Keyrus, directeur général adjoint finance.

* 1999-2001 : Agency.com, directeur financier, puis directeur général.

* 1994-1998 : Début de carrière comme directeur de mission, puis manager chez Ernst&Young Audit.

DC Advisory : Directeur au sein de l’équipe Exécution M&A

Monsieur Louis Vercken est promu directeur au sein de l’équipe Exécution M&A de DC Advisory, à ce poste depuis mai 2013.

Il est sous la responsabilité conjointe de Monsieur David Benin et de Monsieur Eric Hamou, associés gérants, co-heads M&A.

Louis Vercken, 32 ans, DESS de finance d’entreprise et d’ingénierie financière de l’université Paris-Dauphine (2003), a réalisé le parcours suivant :

* 2004-2013 : DC Advisory (Close Brothers jusqu’en 2010), successivement chargé d’affaires, analyste et directeur adjoint au sein de l’équipe Exécution M&A.

* NC-2004 : En poste dans le secteur des fusions-acquisitions chez Lazard.

Institut océanographique – Fondation Albert Ier : Directeur administratif et financier et des ressources humaines

Madame Alexia Tye est nommée directeur administratif et financier et des ressources humaines de l’Institut océanographique – Fondation Albert Ier, à ce poste depuis février 2013.

Elle est sous la responsabilité directe de Monsieur Robert Calcagno, directeur général.

Elle est ainsi en charge de la direction financière, du secrétariat général, de la stratégie et des partenariats. Elle est membre du comité de direction.

Alexia Tye, master en mathématiques de l’university of Oxford (1989), DEA stratégie commerciale de l’université Paris-Dauphine (1986), a réalisé le parcours suivant :

* 2001-2012 : AddVenture, directeur, conseil en capital investissement et gestion de portefeuille.

* 1999-2000 : Egis (groupe Caisse des dépôts), directeur de projets.

* 1996-1999 : GIC (fonds souverain de l’état singapourien), senior vice président.

* 1989-1996 : Barclays Capital (à Hong Kong), director.

ICN Business School : Directeur des ressources

Madame Céline Munier est nommée directeur des ressources d’ICN Business School, à ce poste depuis mai 2013.

Elle est sous la responsabilité directe de Monsieur Jérôme Caby, directeur général.

Elle est chargée d’accompagner la mise en oeuvre du plan de développement stratégique de l’école, à la tête des services Comptabilité, Contrôle de gestion, Ressources humaines, Logistique et Informatique.

Elle succède à Monsieur Bernard Lebrun qui a fait valoir ses droits à la retraite.

Elle est membre du comité exécutif.

Céline Munier, ICN Business School (1998), DJCE de la faculté de droit de Nancy, a réalisé le parcours suivant :

* 2008-2013 : Beryl (groupe Vivarte), directeur administratif et financier.

* 2003-2008 : 3E International, responsable administratif et financier.

* Début de carrière chez KPMG Entreprises où elle a assuré des fonctions d’audit et d’expertise comptable.

Grant Thornton : Responsable de la ligne de services Business Risk Services / Audit IT

Monsieur Jean de Laforcade est promu responsable de la ligne de services Business Risk Services / Audit IT de Grant Thornton, à ce poste depuis juin 2013.

La ligne de services Business Risk Services / Audit IT de Grant Thornton est rattachée au métier Audit du groupe, qui comprend également les lignes de services Valuation Services, Financial Services et Audit.

Jean de Laforcade, 40 ans, Certified in Risk and Information Systems Control (CRISC, 2010), Certified Information System Auditor (CISA, 2001), DESS en informatique de gestion (1996) et maîtrise des sciences et techniques comptables et financières (1995) de l’université Paris Dauphine, a réalisé le parcours suivant :

* 2012-2013 : Grant Thornton, senior manager, responsable audit système d’information.

* 2007-2012 : PricewaterhouseCoopers, senior manager.

* 2005-2007 : Alcatel-Lucent, auditeur interne.

* 2000-2004 : Ernst & Young, manager.

* 1999-2000 : Mazars Group, auditeur senior.

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« Les étudiants acquièrent les mécanismes et outils juridiques utiles en entreprise pour identifier les situations critiques », Marie-Hélène Broihanne, Responsable du Master Finance – Gestion Juridique et Financière, Université de Strasbourg

Est-ce que vous pouvez nous présenter le Master Finance – Gestion Juridique et Financière ?

Le Master mention Finance, spécialité Gestion Juridique et Financière a été créé lors de la mise en place à l’Université Louis Pasteur de Strasbourg (Université de Strasbourg aujourd’hui) de la réforme LMD, en particulier dans la Faculté des Sciences Economiques et de Gestion, en septembre 2006.

La formation a pour préoccupation centrale de doter les étudiants d’une compétence plurielle et transversale en droit et en gestion. La pluridisciplinarité est un atout décisif pour intégrer des cabinets d’audit, des établissements financiers ou encore des groupes industriels d’envergure nationale ou mondiale.

La formation permet d’envisager l’exercice de métiers variés : expert-comptable, contrôleur de gestion, conseil en organisation et gestion de patrimoine, cadre administratif et financier, chargé de clientèle bancaire, analyste-crédit. En parallèle, les étudiants peuvent préparer les épreuves de synthèse du DSCG.

Combien avez-vous de promotions ?

Le Master mention Finance, spécialité Gestion Juridique et Financière a accueilli sa 7ème promotion pour l’année universitaire 2012-2013.

Quel est l’objectif de la formation ?

Cette formation offre des enseignements de disciplines fondamentales et de techniques permettant d’accéder aux métiers de la comptabilité, de la finance d’entreprise et de l’audit. L’étude des dimensions financière, juridique, comptable et d’audit permettra aux étudiants d’appréhender les différentes facettes de l’entreprise. Au-delà de la maîtrise technique de ces outils, les étudiants seront à même de les combiner pour servir une vision stratégique de l’entreprise et aider la direction générale dans sa prise de décision.

La spécialité n’a pas l’objectif de délivrer une formation en recherche.

Quels sont les points forts du programme ?

La formation développe une double compétence : dotés de connaissances solides en finance d’entreprise et de marché, en comptabilité et en audit, les étudiants acquièrent les mécanismes et outils juridiques utiles en entreprise pour identifier les situations critiques et mettre en œuvre une démarche de prévention de tous les risques (risques financiers mais aussi risques contractuels et commerciaux).

La poursuite d’études peut être réalisée dans le cadre de l‘accord conclu au sein de l’Institut de Finance de Strasbourg qui laisse la possibilité aux étudiants diplômés du M2 GJF d’intégrer un M2 de droit des affaires (admission sur dossier) et d’obtenir un double diplôme.

Il faut également noter que le contenu de la formation a permis à certains étudiants, en particulier ceux qui ont eu un emploi dans un cabinet d’audit à l’issue de leur M2 GJF, d’obtenir la validation de la totalité des épreuves du DSCG (en candidats libres).

Quels sont les profils des étudiants ?

Les étudiants inscrits dans ce master sont majoritairement issus de la Licence Economie et Gestion de notre Faculté. En M2, ils sont également issus de première année de masters généralistes (AES par exemple) ou en droit des affaires.

Comment est composé le corps enseignants ?

En M1, les cours sont majoritairement réalisés par des professeurs d’Université en finance, tous chercheurs dans le Laboratoire de Rechercher en Gestion et en Economie de Strasbourg. En M2, le corps enseignant est plus représenté par des professionnels (auditeurs, avocats d’affaires, trésorier, expert-comptable, commissaires aux comptes, inspecteur des impôts, directeur financier).

Quelles sont vos relations avec les entreprises ?

Le M2 GJF entretient d’excellentes relations avec les entreprises de par la qualité du réseau construit progressivement autour des emplois obtenus par les étudiants des promotions précédentes. Le bassin local de recrutement des étudiants dans les domaines de la finance, de l’audit et du droit est en effet large. Le site de l’association des anciens étudiants (www.cifijus.com) contribue en outre à des échanges afin d’aider les étudiants à développer des réseaux professionnels afin de dynamiser l’accès au second emploi et aux emplois ultérieurs.

Le recrutement des étudiants a, la plupart du temps, lieu à la fin de leur stage. L’UE Insertion professionnelle rassemble des ateliers de présentation sectorielle assurés par des professionnels et des anciens diplômés de la spécialité : présentation des métiers, des compétences requises et des débouchés. Ces ateliers aident donc les étudiants à accéder à des opportunités de réaliser un stage de qualité.

Le stage de 4 mois minimum (6 mois au maximum) consiste en une mission d’étude en cabinet conseil, dans un établissement financier ou dans un département financier d’une entreprise. L’objectif du mémoire de stage est d’amener l’étudiant à développer une véritable problématique académique (exigences méthodologiques stipulées dans une charte remise aux étudiants ainsi qu’aux tuteurs).

Que deviennent vos anciens ? Est-ce que vous avez des exemples ?

L’enquête menée en 2010 auprès des « anciens » diplômés de M2 des promotions 2006 à 2008 a permis (taux de retour de 1/3) d’identifier les secteurs et les noms des recruteurs : domaine bancaire (BNP, CA Alsace, Société Générale Bank & Trust Luxembourg…), cabinets d’audit et de conseils (Mazars, KPMG, Alter Domus, BDO,…), entreprises (Groupe Hess, Triumph International SA, Heppner,…).

Les intitulés exacts des postes occupés sont les suivants : Directeur Administratif et Financier, Contrôleur de gestion, Auditeur junior, Conseiller de clientèle professionnelle, Analyste crédit, Assistant trésorerie, gérant de patrimoine.

En termes de salaire de départ (montants annuels bruts moyens) nos étudiants obtiennent des postes rémunérés dans la fourchette de 30 à 35K€ bruts annuels.

Quelques étudiants sont en poursuite d’études à l’étranger ou dans le cadre de l’IFS dans un Master de droit des affaires à Strasbourg.

Voici deux témoignages d’étudiants diplômés en 2012.

« Après une licence d’éco-gestion, et un master 1 Finance, j’ai effectué un master 2 en Gestion Juridique et Financière à l’Université de Strasbourg en 2011-2012 que j’ai validé par un stage au sein du Siège national de Lidl France. Le stage s’est bien passé et a débouché sur un contrat de contrôleur de gestion.
Etant donné le contexte économique actuel et l’état du marché de travail je suis extrêmement satisfait d’avoir pu enchainer mes études et la vie professionnelle sans connaitre d’inactivité.
Selon moi, l’enseignement dispensé tout au long de mon parcours et principalement en Master m’a donné les clés pour m’insérer avec succès dans la vie active.
Au delà des connaissances théoriques que j’ai pu acquérir, j’ai pu développer aux contacts des nombreux intervenants, un esprit critique et une façon de penser l’économie qui, à mon arrivée dans l’entreprise, m’a permis de m’adapter rapidement. » – Yaniv Dahan

« Le Master 2 Finance parcours Gestion Juridique et Financière de la Faculté de Sciences économiques et de gestion de Strasbourg est un très bon diplôme pluridisciplinaire. Les enseignements dispensés par des professionnels de qualité font qu’ils sont en parfaite adéquation avec les différentes fonctions que l’on peut retrouver dans son travail.
Ce diplôme a été pour moi un réel tremplin dans la vie active puisqu’aujourd’hui je travaille dans une société en tant qu’adjointe du directeur administratif et financier. Mes fonctions consistent à tenir une comptabilité courante, à établir des états comptables, réaliser des tableaux de bord par activité, des déclarations fiscales et de m’occuper du volet social (établissement de fiches de paie, déclarations sociales…). C’est grâce au stage obligatoire du 2ème semestre et des compétences acquises lors de ce stage que j’ai réussi à convaincre et à être embauchée. » – Laurine Streicher

Est-ce que votre formation est accessible également en formation continue ?

La spécialité est organisée en formation continue.

Comment procédez-vous pour faire évoluer votre programme ?

Une réunion tous les 3-4 ans avec les intervenants permet d’identifier les points qui sont redondants entre les cours, de réfléchir au positionnement du diplôme en fonction des attentes des entreprises (obtenus dans les enquêtes de l’APEC, les compte-rendu d’associations telles que l’AFTE et la DFCG et le témoignage d’entreprises ayant accueilli des stagiaires).

Les étudiants évaluent les cours et les intervenants chaque année.


Marie-Hélène Broihanne est Professeur de finance. Elle est responsable du M2 Gestion Juridique et Financière depuis 2008. Elle enseigne la finance d’entreprise, la finance comportementale et les techniques financières internationales. Elle a publié de nombreux articles et un ouvrage de finance comportementale et dirige des recherches dans le domaine de la décision dans le risque, notamment les choix de portefeuilles opérés par les gérants d’OPCVM.

« Les métiers du contrôle de gestion et de l’audit sont naturellement positionnés comme stratégiques dans l’entreprise », Daniel Sopel, Directeur du MBA Spécialisé Audit et Contrôle de Gestion, Pôle Universitaire Léonard de Vinci.

Est-ce que vous pouvez nous présenter le MBA Spécialisé Audit et Contrôle de Gestion ?

Notre formation a été crée en 1992, elle existe donc depuis vingt ans. À la création l’intitulé de la formation était le 3e cycle contrôle de gestion Léonard de Vinci; en 2002 nous avons étoffé de façon significative la partie Audit et le 3e cycle est devenu le MBA spécialisé Audit et Contrôle de Gestion.

Dans un contexte où le pilotage d’une entreprise devient de plus en plus complexe, les métiers du contrôle de gestion et de l’audit sont donc naturellement positionnés comme stratégiques dans l’entreprise.

Les contrôleurs de gestion et les auditeurs internes, sont des interfaces entre la Direction générale et les différents services de l’entreprise. Les professionnels du contrôle de gestion et de l’audit doivent posséder en plus d’une expertise technique solide, de fortes capacités relationnelles et une aptitude à évoluer dans des contextes multiculturels. Notre formation répond à ces attentes.

Combien avez-vous de promotions ?

Nous allons ouvrir en full time cette année la 20e promotion. Depuis cinq ans nous avons ouvert aussi un MBA audit et contrôle de gestion en part time.

Quel est l’objectif de la formation ?

L’objectif de la formation est de former non pas des « techniciens », mais des personnes capables de comprendre, d’analyser des situations complexes. C’est pour cela que nous avons réservé une place importante à la « stratégie » et à la « communication ».

Pour nous il s’agit de former de futurs managers capables : d’analyser, de refondre et d’optimiser les processus de pilotage, de mettre en place, de faire évoluer des systèmes d’information en fonction des besoins de l ‘activité, d’être l’interface entre la Direction Générale et les cadres opérationnels.

Quels sont les points forts du programme ?

Nos points forts résident d’abord dans le caractère « avant gardiste » de la formation, par l’introduction d’un cours sur le « risk management », d’un cours sur le « yield management », l’introduction d’une formation sur Business Object.

Ensuite, c’est aussi la place de l’Anglais dans notre formation qui est le point fort. Nous avons plusieurs modules en langue anglaise, nous avons aussi un cours d’anglais des affaires pendant toute la durée du cursus.

Puis autre point fort : la place accordée à l’outil informatique ; les outils mobilisés sont au plus proche de la réalité professionnelle du Contrôle de gestion et de l’Audit : apprentissage d’un ERP, de Business Object, de l’outil Excel, la plupart de nos cas nécessitent du reste l’utilisation d’Excel.

La grande diversité de nos intervenants est aussi un point majeur, cela permet de construire et d’enrichir les compétences professionnelles du futur Auditeur ou du futur contrôleur de gestion.

Le dernier point fort, est que nous avons aussi mis en place un suivi et un accompagnement de nos étudiants et stagiaires pour l’élaboration et la conduite de leur projet professionnel; cela à travers des ateliers de CV et de lettres de motivations, par l’apprentissage des techniques d’entretien sous forme de simulation d’entretien d’embauche, en français et en anglais.

Quels sont les profils des étudiants ?

Les profils sont très variés, dans nos promotions nous avons des étudiants sortant d’école de commerce, des étudiants sortant d’école d’ingénieur, de l’université. Nous avons aussi des personnes ayant déjà une expérience professionnelle et qui veulent soit accéder à des postes à plus grande responsabilité, ou changer de métier.

Comment est composé le corps enseignants ?

Le corps enseignant est constitué d’enseignant de grandes écoles de commerce ou de l’université, de professionnels de l’audit, du contrôle de gestion, du risk management. Les professionnels sont majoritaires, notre MBA est une formation avant tout professionnalisante.

Quelles sont vos relations avec les entreprises ?

Nous avons une relation permanente avec les entreprises par les stages de nos étudiants, par l’intermédiaire de nos intervenants, mais aussi à travers le réseau de nos anciens ;
De plus nous avons signé depuis un an un partenariat avec la société SAP.

Nous sommes aussi en collaboration avec la société CAPGEMINI sur la formation aux ERP.

Que deviennent vos anciens ? Est-ce que vous avez des exemples ?

Nos anciens deviennent : contrôleur de gestion, auditeur interne dans de grands groupes, consultant dans des cabinets d’audit, consultant en système d’information.

Parmi nos anciens, nous avons un directeur général, des DAF, des responsables du contrôle de gestion, des Consultants dans des cabinets de conseil pour des projets de système d’information.

Est-ce que votre formation est accessible également en formation continue ?

Notre formation est accessible soit en formation initiale, soit en formation continue.

On peut intégrer notre formation soit en Full time, 6 mois de formation au sein de l’ILV et de 6 mois de stage, soit en Part Time, cette formation dure 13 mois à raison de 3 jours de formation, plus des samedis matin. A l’issue du stage les étudiants ou stagiaires doivent remettre un mémoire, ou une thèse professionnelle pour les Part Time.

Ils devront soutenir ce mémoire ou cette thèse devant un jury de professionnels.

Comment procédez-vous pour faire évoluer votre programme ?

Notre comité pédagogique, composé de professionnels mais aussi d’enseignants chercheurs nous permets d’être à l’écoute des « nouveaux besoins » des entreprises. Nos « anciens » apportent aussi une grande contribution à l’évolution de nos programmes.


Daniel SOPEL, Directeur du MBA Spécialisé Audit et Contrôle de Gestion, est Agrégé d’économie et gestion, Professeur Consultant, HEC Executive Education, Conseiller éditorial aux Editions Hachette et effectue du Conseil en entreprise.

 » Le livre s’adresse en priorité aux directions générales et aux directions financières en charge d’anticiper et de gérer les crises économiques et financières « 

Rencontre avec David Brault, auteur de l’ouvrage « Gérer les crises financières dans les entreprises… Se préparer et anticiper ! », paru aux Editions de Boeck, Juin 2013.

Vous publiez un nouvel ouvrage sur la gestion de crise dans les entreprises. Tout n’a-t-il pas déjà été dit ou écrit sur la gestion de crise ? À qui s’adresse cet ouvrage ?

Le livre s’adresse en priorité aux directions générales et aux directions financières en charge d’anticiper et de gérer les crises économiques et financières.

La plupart d’entre eux ont déjà survécu aux différentes crises : crise financière en 2008/2009, économique ensuite puis la crise de l’Euro et celle des états souverains (2011/2012), etc.

La nouveauté de l’ouvrage c’est que les dirigeants d’entreprises doivent maintenant faire avec LES crises (au pluriel) c’est-à-dire travailler tous les jours à plus d’agilité pour pouvoir passer d’une crise à l’autre. Car on ne parle plus de crise mais de crises. Les crises s’enchaînent sous des formes diverses : crise de confiance, crise de management, crise de liquidité, crise de solvabilité, etc.

Le livre présente les facteurs clés et les différentes étapes à respecter qui permettent de franchir les écueils pour sortir de la crise et surtout d’anticiper pour éviter de retomber ensuite dans une nouvelle crise. Le livre présente un certain nombre de bonnes pratiques tirées de l’expérience du terrain.

De nombreux business cases sont également analysés dans l’ouvrage et dans ses compléments pédagogiques en ligne sur le site que l’éditeur a dédié à l’ouvrage crisesfinancieres.deboeck.com.

De plus nous avons enrichi le contenu de la partie papier de l’ouvrage par une quinzaine de témoignages vidéo de personnalités de la finance et du management.

Si tout n’a pas encore été dit sur la crise alors tout a été dit sur la gestion par le CASH ?

Beaucoup d’entreprises et de dirigeants ont besoin de se rappeler régulièrement les fondamentaux de la gestion par le cash. Le livre récapitule de manière synthétique sous forme de fiches pratiques illustrées d’exemples quelques fondamentaux (les 7 péchés capitaux de la gestion du CASH ; les 12 recettes pour sécuriser sa trésorerie ; les 15 leviers pour optimiser sa trésorerie, etc.).

L’ouvrage présente les outils indispensables (la balance âgée, la prévision de trésorerie, les procédures amiables de prévention des difficultés des entreprises, etc.). Mais le livre va bien au-delà car il témoigne de la créativité de nombreux dirigeants …

Nous en rencontrons plusieurs centaines chaque année à l’occasion de nos missions de management de transition. Il ne se passe pas une semaine sans que nous ne découvrions sur le terrain une nouvelle bonne pratique…

Le livre rend hommage à ces dirigeants anonymes qui sont confrontés au quotidien avec des problématiques de trésorerie et qui, il faut bien le reconnaître, s’en sortent très bien.

Quel est le rôle de la direction financière dans la gestion des crises ? Ce rôle évolue-t-il au fil du temps ? Au fil des crises ?

Piloter, coordoner, encourager, alerter… Tout doit être préparé, mesuré… tant d’un point de vue financier que d’un point de vue humain. Le moral des troupes compte énormément…

Le livre est centré sur les fondamentaux, la méthode, l’importance du management. Il est illustré de dizaines d’exemples et de contre exemples… Il explique des recettes gagnantes … L’ouvrage dresse dans ses derniers chapitres un portrait-robot des directeurs financiers qui réussissent à surmonter les crises… Lire notamment le chapitre 19 « Fini le bling-bling ! Le vrai travail du Directeur Financier … » et le chapitre 20 « Du métro DAF à l’über DAF ! ».

Quel est le rôle de la direction générale ?

Le livre met en parallèle le rôle de la direction générale et le rôle de la direction financière. Il insiste sur la nécessité d’alignement entre les deux directions (l’importance du binôme en action).

L’ouvrage rappelle la prédominance de la direction générale dans la conduite des opérations. Le chapitre 14 (Objectif Restructuring !) détaille en 25 étapes et autant de bonnes pratiques une opération réussie de retournement. De même au chapitre 15, le livre rappelle quelques principes de l’Art de la Guerre… À chacun de se positionner par rapport aux nombreux exemples. À chacun aussi de trouver son style de management… Il n’y a pas de bonnes ou de mauvaises réponses face à la crise …il n’y a que des décisions et des comportements que l’on peut assumer dans la durée… car personne ne sait jamais à l’avance combien de temps va durer la crise… Et le temps c’est de l’argent (du cash !)… sans compter que chaque crise est différente !

Y-a-t-il toutefois des erreurs à éviter ?

La direction générale et la direction financière doivent travailler de concert pour recréer la confiance avec les banquiers (Ch 16 : Que faire pour que mon banquier m’aime ?) mais aussi avec tout l’écosystème (les clients, les fournisseurs, les salariés…). Cela prend du temps.

Recréer la confiance passe par la production de chiffres fiables, par la tenue de ses engagements au quotidien…Le rôle du management est de fixer un cap et ensuite de s’y tenir … car un dirigeant qui n’est pas cru est cuit !

Pour commander l’ouvrage => Cliquer ici

Voir aussi – crisesfinancieres.deboeck.com


David Brault, Diplômé de Sciences Po Paris et titulaire d’une maîtrise en droit des affaires, a démarré sa carrière dans un grand cabinet d’audit anglo-saxon. Il a ensuite occupé plusieurs postes de Directeur administratif et financier/CFO dans un groupe international ou de Direction générale/Direction du développement dans des PME/PMI ou des filiales de groupes. Fondateur d’Objectif Cash, un cabinet spécialisé dans la Direction financière opérationnelle et le Management de transition, il a mené depuis 10 ans plus de 400 missions en France et à l’international, avec une équipe de 60 personnes. La plupart de ces missions ont été réalisées dans des participations de fonds d’investissement (PME/PMI) ou des filiales de grands groupes toujours sous-performantes en termes de gestion du Cash et du BFR, parfois en crise de trésorerie.

Quelle formation en Banque ? Découvrez le Master 224 Banque et Finance de l’Université Paris Dauphine avec Antoine Gourmelen, Promotion 2013

« Le Master 224 Banque & Finance de l’Université Paris Dauphine est une formation très reconnue dans le milieu bancaire, ce qui représente un atout important dans le monde professionnel. », Antoine GOURMELEN, Promotion 2012.

Le Master 224 Banque & Finance de l’Université Paris Dauphine est une formation très reconnue dans le milieu bancaire, ce qui représente un atout important dans le monde professionnel.

De manière générale je dirai que la formation qu’offre ce master a bien répondu à mes attentes. Avec un tronc commun essentiel sur la culture financière bancaire (Gestion du Risque Bancaire, Stratégie Bancaire, l’Information Financière Internationale et les Technique Financière sur les Marchés de Capitaux) et un choix de matières à la carte qu’il nous était possible de choisir en fonction de nos futurs affinités professionnels, je pense avoir reçu une formation adaptée pour le début de ma carrière professionnelle.

En effet, me dirigeant vers les métiers du Corporate Finance, j’ai pu choisir des matières telles que, Evaluation Financière, la Finance d’Entreprise, les Pratiques de la Banque d’Affaire mais aussi le cours de Private Equity.

Ces matières m’ont donné l’opportunité de développer un bagage important de culture et de technique pour les métiers de Corporate Finance.

Tout au long de l’année, nous avons également eu l’occasion de côtoyer des professeurs de renom comme Hervé Alexandre, le directeur de notre Master, Guy Rico Associé dans le fonds de Private Equity Paul Capital, Guy Fleury Associé chez PWC ou encore André Levy Lang l’ancien Directeur Général de Paribas.

Ils se sont révélés très pédagogues lors de leurs interventions et nous ont apporté énormément grâce à leur expérience.

En conclusion je dirai que le Master 224 est une formation d’excellence qui prépare très bien les étudiants à leur entrée sur le marché du travail. Certes les cours peuvent être intenses notamment au premier semestre et le nombre de présentation et de dossier à réaliser peut en effrayer plus d’un, mais pour ma part je trouve que ce genre d’exercice nous ont bien préparé au monde du travail.

Je recommande bien évidemment ce master aux étudiants et plus particulièrement à ceux qui sont passionnés par les métiers de la finance.

+ d’avis sur le Master 224 Banque & Finance de l’Université Paris Dauphine

« Le contenu des cours est orienté pour permettre aux étudiants de mieux préparer les certifications internationales CFA et le PRM », Emmanuel de la Burgade, Responsable de la Spécialisation Finance et Contrôle, ESG Management School.

Est-ce que vous pouvez nous présenter la Spécialisation Finance et Contrôle ?

Le master spécialisé en finance existe depuis 1981 au sein de l’école. Il est depuis 2010 scindé en deux spécialisations, une en finance d’entreprise et une en finance de marchés.

Le Master Finance et Contrôle correspond à la deuxième spécialisation et aborde à la fois la finance de marchés et le contrôle des risques pour les établissements qui interviennent sur les marchés financiers.

Combien avez-vous de promotions ?

Nous comptons aujourd’hui une trentaine de promotions relatives au Master Management Financier (1981-2009) et deux promotions relatives au Master Finance et Contrôle.

Quel est l’objectif de la formation ?

L’objectif de la formation est de préparer nos étudiants à des métiers qui sont en relation avec les marchés financiers.

Ce sont à la fois des métiers en front, en middle ou en back office mais également d’autres métiers connexes (analystes financiers, gestion d’actifs) ou des métiers de contrôle et de gestion des risques.

Le Master permet de sensibiliser les étudiants aux nouvelles tendances actuelles (règles prudentielles et contrôle des risques) et de les aider à préparer le CFA.

Quels sont les points forts du programme ?

Le premier point fort du programme est de faire le lien entre la théorie et la pratique avec un corps professoral qui mêle intervenants professionnels et chercheurs. Les cours sont également enseignés en majorité en anglais.

Le second point fort de ce programme est le choix résolu de préparer les étudiants à des certifications professionnelles. Le programme intègre une préparation à la certification de l’AMF et le contenu des cours est orienté pour permettre aux étudiants de mieux préparer les certifications internationales CFA (Chartered Financial Analyst) et le PRM (Professional Risk Manager). La certification PRM est aujourd’hui de plus en plus demandée au sein des établissements bancaires.

Le troisième point fort est le choix de l’école de préparer les étudiants aux outils utilisés sur le marché, que ce soit à travers la programmation sous VBA ou l’utilisation du logiciel d’information financière Bloomberg.

Enfin, le quatrième point fort est de proposer aux étudiants un stage de six mois en immersion en entreprise pour qu’ils mettent en pratique et assimilent ce qu’ils ont appris en cours.

Quels sont les profils des étudiants ?

Les étudiants du Master Finance et Contrôle ont dans la majorité intégré l’ESG Management School en admission post bac. Trente pour cent de nos étudiants ont rejoint notre école dans le cadre de nos admissions parallèles en 3ème et 4ème année.

La moitié des étudiants ont en dernière année un stage ou un contrat professionnalisant en parallèle de leur cursus scolaire.

Comment est composé le corps enseignants ?

Le corps enseignant est composé à 60% d’enseignants permanents et à 40% de professionnels.

Les premiers sont en majorité des enseignants chercheurs, docteurs en sciences de gestion alors que les seconds évoluent principalement au sein de grandes institutions financières.

Quelles sont vos relations avec les entreprises ?

Nous avons des relations étroites avec les entreprises. Chaque année, le pôle ESG auquel l’ESG Management School appartient, a environ 250 diplômés qui intègrent des métiers financiers au sein d’établissements financiers et d’entreprises.

Nous sollicitons chaque année les entreprises pour valider notre programme lors d’un Comité d’Orientation Pédagogique.

Nous les sollicitons lors des forums métiers qui sont l’occasion pour elles de se faire connaître de nos étudiants et d’éventuellement les recruter dans le cadre de stages.

Elles participent également activement aux conférences métiers de la finance que nous organisons deux fois par an pour présenter à nos étudiants les débouchés possibles de leur master.

Que deviennent vos anciens ? Est-ce que vous avez des exemples ?

Nos étudiants intègrent des métiers de finance de marché que ce soit assistant sales ou analyste. D’autres intègrent des métiers de contrôle de risques, d’analystes au sein d’établissements bancaires, de compagnie d’assurances, de fonds d’investissement ou de société de gestion de portefeuille.

Pour vous donner quelques exemples :

Sébastien Ribeiro, après avoir été plusieurs années analyste financier chez Financière Arbevel, est aujourd’hui gérant de fonds action chez Keren Finance, une société qui exerce le métier de gestionnaire d’actifs au travers d’OPCVM et de gestion sous mandat pour compte de tiers.

Johanna Benaim, après avoir complété ses études par un Master à la Sorbonne, est aujourd’hui Corporate Equity Sales à la Société Générale Corporate and Investment Banking.

Est-ce que votre formation est accessible également en formation continue ?

Le Master Finance et Contrôle est accessible en admission post-bac et en admissions parallèles mais pas en formation continue.

Comment procédez-vous pour faire évoluer votre programme ?

Nous sollicitons régulièrement les étudiants et les professionnels pour faire évoluer nos programmes.

Les premiers sont sollicités formellement lors de comités pédagogiques au cours desquels ils nous font des retours quant au contenu de leurs cours. Ils sont également sollicités en même temps que les professionnels lors d’un Comité d’Orientation Pédagogique qui a lieu généralement en fin d’année scolaire pour dresser le bilan de la formation et interroger étudiants et professionnels sur le contenu du master et son évolution par rapport aux besoins du marché.

Les conférences métiers de la finance auxquelles participent nos anciens élèves sont également l’occasion de vérifier que nos programmes correspondent toujours aux besoins du marché.

L’objectif est que notre master réponde aux mieux aux attentes des entreprises, futurs employeurs de nos jeunes talents.


Emmanuel de la Burgade, titulaire d’un MBA de l’Université d’Ottawa et d’un doctorat en sciences de gestion, possède à la fois une expérience de cadre supérieur au sein d’un grand groupe français et une expérience d’enseignant chercheur en finance au sein d’écoles de commerce. Il a rejoint l’ESG Management School en 2012 pour diriger le Master Finance et Contrôle après plusieurs années à l’ESC Rennes où il dirigeait le département Finance.

« Les matières enseignées recouvrent les besoins du métier et notamment, la fiscalité, le droit, les marchés financiers et immobiliers, l’assurance-vie, la retraite », Sandrine Chokron, Responsable Spécialisation Gestion de Patrimoines, ESG Management School.

Est-ce que vous pouvez nous présenter la Spécialisation Gestion de Patrimoines ?

La spécialisation Gestion de patrimoines a été créée en 2009, non seulement pour s’adapter à une demande croissante de conseillers en Gestion de patrimoines, mais aussi pour satisfaire le besoin des institutions financières en matière de conseillers en banque privée et en gestion de fortune.

Combien avez-vous de promotions ?

A la rentrée 2013, il y aura une classe de Master 2 et une classe de Master 1, répartie en 2 sections : une formation initiale et une formation en alternance.

Quel est l’objectif de la formation ?

L’objectif principal de cette formation est de former des cadres de haut niveau spécialistes de la gestion de patrimoines capables de conseiller leurs clients tant pour la constitution de leur patrimoine que pour sa transmission.

Les étudiants sont capables d’appréhender tous les aspects juridiques, fiscaux et financiers de la gestion de patrimoine nécessaires pour exercer leur métier dans les meilleures conditions.

Quels sont les points forts du programme ?

C’est un programme professionnalisant, grâce à l’alternance école-entreprise, ce qui permet aux étudiants de confronter leurs connaissances à la réalité du terrain.

Les étudiants utilisent des logiciels spécifiques à la profession, tel que Big-expert et sont opérationnels dès la sortie de l’école.

Les différentes matières enseignées recouvrent l’ensemble des besoins du métier et notamment, la fiscalité, le droit, les marchés financiers et immobiliers, l’assurance-vie, la retraite.

Quels sont les profils des étudiants ?

Les étudiants qui choisissent cette spécialisation ont un profil bac+3. Ils viennent pour la plupart d’étudiants post-bac, mais la formation est également ouverte aux étudiants extérieurs qui ont validé un diplôme de niveau Bac+3.

Comment est composé le corps enseignants ?

Le corps professoral est composé d’enseignants chercheurs (50 %) et de professionnels du monde de la banque, de la finance et de l’assurance (50 %).

Quelles sont vos relations avec les entreprises ?

L’ESG management school dispose d’un service dédié aux relations avec les entreprises. Pour la rentrée 2013, la spécialisation Gestion de patrimoines bénéficie d’un partenariat privilégié avec le LCL : une classe en contrat de professionnalisation avec le LCL sur le cycle master (M1 et M2).

Les étudiants de l’ESG management school sont également embauchés à la BNPP, chez HSBC, UBS, et dans des cabinets de gestion de patrimoines indépendants.

Que deviennent vos anciens ? Est-ce que vous avez des exemples ?

Nos anciens étudiants travaillent dans la gestion de patrimoines, soit en banque de réseau ou banque privées (LCL, BNPP, UBS, HSBC, Oddo…), soit dans des cabinets de CGPI (Tissier de Mallerais, Arobas finance…).

Est-ce que votre formation est accessible également en formation continue ?

Non.

Comment procédez-vous pour faire évoluer votre programme ?

Chaque année l’ESG management school réunit un comité d’audit et de perfectionnement qui réunit des DRH, des professionnels de la Gestion de patrimoines, des anciens étudiants et des étudiants actuels, afin d’évaluer la formation et la cohérence des enseignements avec le marché.

L’ESG management school organise également pour chaque spécialisation des conférences métiers dans lesquelles les anciens étudiants apportent des commentaires intéressants sur la formation qu’ils ont suivie.


Après avoir obtenu un DESS de finance et fiscalité à Paris I – La Sorbonne (en 1991), j’ai collaboré aux éditions fiscales Lamy, pendant 7 ans. Parallèlement, j’ assurais des TD de fiscalité en maitrise de gestion à Paris I. Puis, en 1998, j’ai intégré l’ESG Management School en tant qu’enseignante de fiscalité. Aujourd’hui, je dirige la spécialisation de Gestion de patrimoines depuis sa création en 2009.

Les nominations de la semaine en banque, finance, assurance

« Rubrique réalisée en partenariat avec Nomination : 1er service d’informations et de veille sur les décideurs. »

Bouygues Telecom : Directeur général adjoint en charge des finances, des ressources humaines, des achats et de la stratégie

Monsieur Eric Haentjens, directeur général adjoint en charge des finances, des ressources humaines et des achats, prend en outre la responsabilité de la stratégie de Bouygues Telecom, à ce poste depuis mai 2013.

Il est sous la responsabilité directe de Monsieur Olivier Roussat, président-directeur général.

Eric Haentjens, 52 ans, ESME Sudria, IAE Paris, a réalisé le parcours suivant :

* 2007-2013 : Bouygues Telecom, directeur financier.

* NC-2013 : Bouygues Telecom, directeur général adjoint services informatiques et fonctions support.

* 2002-2006 : Bouygues Telecom, directeur stratégie et partenariats.

* 1997-2002 : Bouygues Telecom, directeur finances.

* NC-1997 : Secrétaire général de Screg Bâtiment, puis directeur adjoint trésorerie chez Bouygues.

* 1989-NC : Bouygues, responsable administration gestion finances de la branche Habitat grande couronne.

* 1987-1989 : CIPEL – Wonder, contrôleur de gestion.

* 1985-1987 : Bouygues, gestionnaire.

SFR : Directeur exécutif ressources humaines et affaires générales

Madame Marie-Christine Théron est promue directeur exécutif ressources humaines et affaires générales de SFR, à ce poste depuis juin 2013.

Elle est sous la responsabilité directe de Monsieur Jean-Yves Charlier, directeur général.

Marie-Christine Théron, 53 ans, juriste, a réalisé le parcours suivant :

* 2009-2013 : SFR, directeur des ressources humaines.

* 2004-2009 : SFR, successivement directeur des ressources humaines et de la communication, directeur général adjoint ressources humaines et développement de SFR Service client, puis directeur des affaires sociales, du développement des ressources humaines et de la formation.

* 1998-2004 : SFR, directeur des relations extérieures.

Conseil général des Hauts-de-Seine : Responsable pilotage administratif et financier de la DSI

Madame Valerie Oury est nommée responsable pilotage administratif et financier de la DSI du Conseil général des Hauts-de-Seine, à ce poste depuis janvier 2013.

Valerie Oury a réalisé le parcours suivant :

* 2002-2012 : Ville d’Issy-les-Moulineaux, directeur général adjoint des services et moyens généraux.

* 1999-2002 : Centre communal d’action sociale de Versailles, directeur des finances.

* 1992-1999 : Ville d’Issy-les-Moulineaux, responsable budget – directeur des finances.

DC Advisory : Directeur au sein de l’équipe Exécution M&A

Monsieur Frédéric Meyer est promu directeur au sein de l’équipe Exécution M&A de DC Advisory, à ce poste depuis mai 2013.

Il est sous la responsabilité conjointe de Monsieur David Benin et de Monsieur Eric Hamou, associés gérants, co-heads M&A.

Frédéric Meyer, 32 ans, master finance internationale de l’EM Lyon (2004), EPF (2003), a réalisé le parcours suivant :

* 2008-2013 : DC Advisory (Close Brothers jusqu’en 2010), manager financement et refinancement, puis directeur adjoint au sein de l’équipe Exécution M&A.

* 2005-2008 : DC Advisory Partners, chargé d’affaires.

* 2004-2004 : BNP Paribas Corporate Finance, début de carrière en fusions-acquisitions.

HSBC Assurances France : Directeur juridique et fiscal

Madame Hélène Criton est nommée directeur juridique et fiscal de HSBC Assurances France, à ce poste depuis avril 2013, en remplacement de Monsieur Pierre-Christian Imbert.

Elle est sous la responsabilité directe de Monsieur Jean-Pierre Wiedmer, président de HSBC Assurances France.

Hélène Criton, DEA de droit privé de l’université Paris-I (1999), a réalisé le parcours suivant :

* 2006-2013 : Natixis Assurances, responsable juridique et fiscal.

* 2006-2013 : Natixis Assurances, juriste.

* 2001-2004 : Natixis Life Luxembourg, juriste.

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« La formation a pour objectif principal de former des chargés d’affaires entreprises ou professionnels », Philippe Madiès, Responsable du Master 2 Finance et Gestion bancaire, IAE Grenoble (Valence), Université Pierre Mendès France (Grenoble 2).

Est-ce que vous pouvez nous présenter le Master 2 Pro Finance et Gestion bancaire de l’Université Pierre Mendès France ?

C’est un Master qui a été créé il y a 7 ans en 2005 sur le site de Valence. Il nous manquait cette spécialité au sein de l’université et il y avait un besoin du secteur d’avoir des étudiants formés plus spécifiquement aux métiers bancaires et financiers à BAC +5. J’avais fait un doctorat en économie bancaire et j’avais développé un réseau de contacts professionnels très utile pour démarrer le master.

Combien avez-vous de promotions ?

C’est la 7ième promotion. Nous avons 20 étudiants en moyenne.

C’est un master assez sélectif car le suivi des étudiants est très important. Nous privilégions l’accompagnement. Chaque étudiant a un tuteur avec plusieurs rendez-vous obligatoires.

Le master 2 est proposé uniquement en alternance. Nous pouvons leur proposer chaque année des contrats d’alternance grâce à nos partenaires.

Quel est l’objectif de la formation ?

La formation a pour objectif principal de former des chargés d’affaires entreprises ou professionnels, des analystes risques.

Elle ouvre aussi à l’ensemble des métiers à BAC + 5 en direction financière de banque comme ceux liés à la gestion de trésorerie et des fonds propres, au contrôle de gestion, à la gestion et au contrôle des risques.

Les diplômés du master évoluent par la suite vers des postes de direction d’agences ou à responsabilité dans les fonctions support s des banques…

Quels sont les points forts du programme ?

On a 2 unités d’enseignements spécialisés. Le master forme à la finance d’entreprise approfondie, à la comptabilité et au contrôle de gestion bancaire ainsi qu’à la gestion des risques financiers.

En complément les étudiants ont une unité consacrée à la connaissance de la banque comprenant du droit bancaire, de l’économie et de la gestion de la relation clients.

Pour la partie commerciale, le terrain est très important, d’où l’intérêt de la formation en alternance.

Quels sont les profils des étudiants ?

Les étudiants ont un profil de financier intéressé par le commercial. Une majorité des étudiants viennent de notre Master 1 et le reste de toute la France.

Comment est composé le corps enseignants ?

On a 50% des cours qui sont faits par des professionnels du secteur bancaire dans leur domaine d’expertise, le reste des cours étant assurés par des universitaires qui interviennent dans leur spécialité.

Quelles sont vos relations avec les entreprises ?

Nos partenaires bancaires embauchent directement nos étudiants en CDI dans 70% des cas. Le taux d’embauche est de 100 % à 3 mois.

Que deviennent vos anciens ? Est-ce que vous avez des exemples ?

Les diplômés travaillent essentiellement sur la région Rhône-Alpes même s’il y a des demandes dans toute la France. Il y a de gros besoins et nos étudiants peuvent vraiment choisir leur implantation géographique.

Les anciens se dirigent majoritairement vers des postes de chargés d’affaires professionnel et entreprises.

Comment procédez-vous pour faire évoluer votre programme ?

J’ai un conseil de perfectionnement qui se réunit chaque année. Ce conseil est composé de praticiens (DRH, responsable du recrutement et de la formation dans des banques, directeurs d’agence, responsables de services financiers dans la banque) et de représentants de l’IAE.

« C’est un programme qui s’intéresse au monde de la finance internationale, un secteur en perpétuelle évolution », Tarek Amyuni, Bertrand Groslambert & Charles H.J, Co-Directeurs du MSc Financial Markets and Investments, Skema.

Est-ce que vous pouvez nous présenter le MSc Financial Markets and Investments ?

Le MSc Financial Markets and Investments est un programme qui s’intéresse au monde de la finance internationale, un secteur en perpétuelle évolution.

Sans négliger l’enseignement des basiques de la finance, ce programme a été conçu pour offrir à nos étudiants une vision pratique et opérationnelle des métiers du secteur.

Ce MSc est enseigné à temps plein sur une période de douze mois avec huit mois de cours et quatre à six mois de stage.

Le programme existe sous cette appellation depuis 3 ans, mais est en fait existant depuis 1985.

Combien avez-vous de promotions ?

Une promotion par an, soit 28 au total avec en moyenne une vingtaine d’étudiants chaque année.

Quel est l’objectif de la formation ?

Nous souhaitons principalement donner à nos étudiants les clés pour qu’ils puissent être demain, des professionnels lucides, réactifs et responsables dans un environnement économique et financier qui reste extrêmement changeant.

Quels sont les points forts du programme ?

Notre programme est différenciant à plusieurs titres :
– Des enseignements pragmatiques toujours en lien avec les évolutions du marché,
– Des cours dispensés par des professionnels en activité, très pédagogues,
– Des liens extrêmement forts avec les diplômés du programme. À titre d’exemple, 90% des offres de stages et d’emplois sont adressés par des diplômés du MSc,
– Une salle de marché équipée de Bloomberg,
– Un corps enseignant et étudiant international.

Quels sont les profils des étudiants ?

Nous comptons aujourd’hui approximativement 10% d’étudiants provenant d’écoles d’ingénieurs, 45% d’écoles de commerce et 45% d’universités. Sur cette population, nombreux sont ceux qui sont titulaires de diplômes étrangers.

Comment est composé le corps enseignants ?

Nous avons globalement 70% de professionnels et 30% d’enseignants chercheurs.

Quelles sont vos relations avec les entreprises ?

Plusieurs fois par an, je vais à la rencontre de nos diplômés au sein même de leurs entreprises ou sur les salles de marchés dans lesquelles ils opèrent.

En août prochain, je serai à Genève pour rencontrer nos diplômés et j’organise d’ailleurs une soirée avec eux sur place. Une occasion de garder le lien et de partager avec eux leurs avis sur les évolutions du secteur et rester à l’écoute d’opportunité de stages ou d’emplois.

Que deviennent vos anciens ? Est-ce que vous avez des exemples ?

Nous avons de nombreux exemples. J’en ai sélectionné quelques-uns mais vous pourrez en trouver plusieurs autres sur notre site internet :

– Sébastien Nasica (diplômé 2012), actuellement Structured Products Sales & Trading team chez Kepler Capital Markets

– Giovanna Arria (diplômée 2012) a intégré dès sa sortie la Société Générale à Londres,

– Aymeric De Condé (diplômé 2012) est aujourd’hui Senior Analyst pour Chappuis Halder & Co à New-York

– Tra My Duong (diplômée 2012) est retournée au Vietnam et a pu intégrer directement un poste en tant qu’analyste des risques marché dans une banque commerciale

Est-ce que votre formation est accessible également en formation continue ?

Non.

Comment procédez-vous pour faire évoluer votre programme ?

Comme pour tous les programmes de SKEMA, le MSc Financial Markets and Investments s’appuie sur un comité scientifique composé de professeurs mais aussi de professionnels et de diplômés. Tous apportent leurs analyses sur les évolutions du secteur et proposent chaque année de nouveaux apports aux contenus des enseignements.

Ce questionnement permanent basé sur un travail collaboratif est essentiel. Il permet d’offrir au programme un dosage parfait entre des enseignements théoriques associés à un ancrage avec le terrain, indispensable pour être à l’écoute des attentes des professionnels et recruteurs du secteur.

Dans cette optique, j’en profite pour préciser que ce programme se décline sur nos campus de Sophia-Antipolis, Paris et Raleigh aux Etats-Unis. Toujours en lien avec notre environnement, les enseignements dispensés sur chacun des sites sont adaptés aux spécificités de chacun de ces territoires.

Tarek Amyuni a rejoint le corps professoral de SKEMA en 1999 après une carrière en Finance internationale de Trader FOREX chez Merril Lynch Pierce Fenner & Smith. Il est aujourd’hui directeur du MSc Financial Markets and Investments sur le campus de Sophia-Antipolis.

Bertrand Groslambert est docteur en économie. Ses thèmes d’expertise sont la finance internationale et le risque pays. Il a par ailleurs travaillé en Afrique pour le groupe Total et a été gérant de portefeuille, spécialisé sur les marchés émergents. Il est directeur du MSc Financial Markets and Investments sur le campus de Raleigh.

Charles H.J. Reuter a rejoint le corps professoral de SKEMA en 2011 à l’issue de sa thèse ès sciences de gestion (en finance) et après une première activité professionnelle internationale en tant que consultant en stratégie. Il est aujourd’hui directeur du programme « FMI », programme qu’il a introduit sur le campus de Paris.