Les nominations en banque, finance, assurance.

Orange : Directeur général adjoint en charge de la direction financière

Monsieur Ramon Fernandez est nommé directeur général adjoint en charge de la direction financière d’Orange, à compter de septembre 2014, en remplacement de Monsieur Gervais Pellissier. Il sera sous la responsabilité directe de Monsieur Stéphane Richard, président-directeur général, et rejoindra le comité exécutif.

Ramon Fernandez, 46 ans, administrateur civil hors classe, ENA (1993), IEP Paris, a réalisé le parcours suivant :

* 2009-2014 : Ministère de l’Economie, de l’Industrie et de l’Emploi, directeur général du Trésor.

* 2008-2009 : Cabinet du ministre du Travail, des Relations sociales, de la Famille et de la Solidarité, Xavier Bertrand, directeur.

* 2007-2008 : Présidence de la République, conseiller économique.

* 2003-2007 : Au sein du FMI (Fonds monétaire international).

* 2002-2003 : Cabinet du ministre de l’Economie, des Finances et de l’Industrie, Francis Mer, conseiller technique.

* Début de carrière comme administrateur civil à la Direction du Trésor.

Christian Dior Couture : Audit & risks director

Madame Stéphanie Marty-Degroisse est nommée audit & risks director de Christian Dior Couture, à ce poste depuis janvier 2014.

Stéphanie Marty-Degroisse, HEC (2000), a réalisé le parcours suivant :

* 2008-2013 : Martell Mumm Perrier-Jouët, business analysis & audit director.

* 2005-2008 : Pernod Ricard Holding, audit & development manager.

* 2004-2005 : Alstom, international senior auditor.

* 2000-2004 : Deloitte, supervisor.

HSBC France : Directeur général de HSBC Factoring et directeur de TRF France (Trade & Receivables Finance France) au sein de la banque d’entreprises

Madame Béatrice Collot est promue directeur général de HSBC Factoring et directeur de TRF France (Trade & Receivables Finance France) au sein de la banque d’entreprises de HSBC France, à compter de juillet 2014. Elle est sous la responsabilité directe de Monsieur Guillermo Savignano, directeur de la banque des entreprises de HSBC France. Elle est ainsi en charge du développement des lignes de métiers Trade Supply Chain et Factoring.

La banque d’entreprises recouvre l’ensemble des activités de financement et de services liées au commerce international et d’affacturage et permet notamment d’apporter des solutions pour couvrir les besoins en fonds de roulement des activités domestiques et internationales des entreprises.

Béatrice Collot, 43 ans, DESS contrôle et organisation des activités de marchés de l’université Lyon-II, BA en finance de l’université de Manchester, a réalisé le parcours suivant :

* 2012-2014 : HSBC France, secrétaire général de la banque d’entreprises.

* 2004-2012 : HSBC France, successivement chief operating officer de l’ensemble des marchés primaires au sein de Global Markets, secrétaire général de Global Banking France (2008) et, parallèlement, chief operating officer pour l’Europe continentale (2010).

* 1998-2004 : HSBC France, auditeur au sein du département d’audit interne.

France Télévisions : Directeur général adjoint en charge de la gestion et des finances

Monsieur Yves Garnier est promu directeur général adjoint en charge de la gestion et des finances de France Télévisions, à ce poste depuis mai 2014, en remplacement de Monsieur Fabrice Lacroix. Il est sous la responsabilité directe de Monsieur Fabrice Lacroix, directeur général délégué aux ressources.

Yves Garnier, 56 ans, DECS, Institut commercial supérieur, a réalisé le parcours suivant :

* 2010-2014 : France 3, directeur des ressources et de la performance, adjoint au directeur.

* 2010-2010 : France Télévisions, directeur général adjoint en charge des moyens des antennes.

* 2008-2011 : Multimédia France Productions (MFP), président-directeur général.

* 2008-2010 : Réseau France Outre-Mer (RFO), directeur général.

* 2004-2008 : RFO, directeur général adjoint en charge des ressources.

* 2004-2005 : France 3, responsable de l’axe Organisation et Moyens du projet d’entreprise.

* 1997-2004 : France 3, directeur financier.

* 1989-1997 : TDF, directeur financier de TDF-Radio Services, puis de France Télécom Mobile Radio Messagerie.

* 1985-1989 : Krupp Polysius (cimenteries), responsable des comptabilités et de la fiscalité internationale.

* 1981-1985 : Constantin, début de carrière comme auditeur.

Altran Allemagne (groupe Altran) : Codirecteur général

Monsieur Thomas Arlit est nommé codirecteur général d’Altran Allemagne, conjointement avec Monsieur Cosimo de Carlo, à ce poste depuis mai 2014. Ils remplacent Monsieur Uwe Hihn et prennent leurs fonctions sous la responsabilité directe de Monsieur Michael Blickle, directeur général adjoint du groupe en charge de l’Europe du Nord. Ils sont membres du comité de direction du groupe. Monsieur Arlit est ainsi chargé de piloter l’industrie aéronautique, spatial et défense (ASD) et de diriger la finance, les ressources humaines, la qualité et l’IT.

Thomas Arlit, 47 ans, MBA de l’université de Göttingen en Allemagne (1992), était précédemment directeur général et directeur financier de Körber Process Solutions, une branche du groupe Körber, depuis 2012.

« Une promotion de 70 étudiants sort de nos écoles de Bordeaux et Paris », Didier Coutton, Responsable Master Banque et Assurance, INSEEC Bordeaux.

Est-ce que vous pouvez nous présenter le Master Banque et Assurance ?

Le master spécialisé « Banque et Assurance » est un des premiers masters professionnels à avoir été créé à l’INSEEC, il y a près de 15 ans.

Les métiers de la banque et de l’assurance ont été tous deux réunis en un même master en raison du développement de la bancassurance et du manque de compétences en assurance des conseillers financiers. Ce constat est d’ailleurs toujours d’actualité.

Combien avez-vous de promotions ?

Une promotion de 70 étudiants sort de nos écoles de Bordeaux et Paris.

Quel est l’objectif de la formation ? Quels sont les points forts du programme ?

L’objectif de la formation est de professionnaliser des étudiants de niveau bac + 4 ou bac + 5, en s’appuyant sur leurs acquis académiques et leur personnalité pour développer un savoir-faire et un savoir-être leur permettant d’être quasi-immédiatement opérationnels. La formation s’appuie à la fois sur l’acquisition de connaissances financières, fiscales et juridiques (succession, assurance) et le développement de leurs atouts commerciaux.

Quels sont les profils des étudiants ?

Les étudiants proviennent pour moitié d’écoles de commerce et pour moitié de l’université (filières financière et juridique). Ils sont titulaires d’un M1 ou d’un M2. Au-delà de leurs connaissances académiques, la sélection se fonde également sur leurs aptitudes relationnelles et leur sens du service.

Comment est composé le corps enseignants ? Quelles sont vos relations avec les entreprises ?

Le corps d’enseignant est composé à 30% de professeurs de l’INSEEC pour les matières fondamentales et à 70% d’un corps d’intervenants professionnels stables. Ces mêmes professionnels, issus des banques de réseau ou de cabinets de gestion patrimoniale, sont également les premiers recruteurs. Le stage de longue durée (6 mois) est le plus souvent un stage de pré-embauche. Il est fréquent qu’il se conclut par une embauche en CDI. De même, il n’est pas rare que ce stage se transforme en CDI avant son échéance.

Que deviennent vos anciens ? Est-ce que vous avez des exemples ?

Les anciens suivent le plus souvent le parcours des jeunes cadres entrant dans la banque de réseau, avec un poste à responsabilité à horizon de cinq ans.

Est-ce que votre formation est accessible en formation continue ?

La formation est dispensée en alternance (3 jours d’études par semaine de début octobre à mi-mars), ce qui permet à des professionnels de suivre l’enseignement en validation d’acquis ou de profiter d’une période de chômage pour se reconvertir.

Comment procédez-vous pour faire évoluer votre programme ?

Le programme a peu évolué jusqu’en 2010 au moment où l’AMF a mis en place une certification visant à vérifier les compétences techniques et juridiques des conseillers financiers et d’une manière générale de tous ceux ayant une fonction commerciale ou de conseil chez un prestataire de service d’investissement. Nous avons donc modifié les programmes pour permettre à tous nos étudiants de passer cette certification dans nos locaux, car nous sommes reconnus comme centre d’examen.

Pour l’année 2011-2012, nous avons obtenu un taux de réussite exceptionnellement élevé. Nos étudiants sortent donc de l’INSEEC, non seulement avec un diplôme en poche, mais aussi avec une qualification professionnelle indispensable à l’exercice de leur métier. Un plus qui fait la différence le jour du recrutement !

Avis Recruteur: Fabien Beaumont, Consultant Business Intelligence chez Altran.

Fabien Beaumont, Consultant Business Intelligence, Altran

 

J’ai particulièrement apprécié l’ambiance de travail.

Quelle est votre fonction ?

Consultant Business Intelligence

Quel est le bilan chez « Altran » ?

Je suis très satisfait de mon expérience actuelle. Mon accueil a été très professionnel et j’ai eu immédiatement les moyens de me mettre au travail. Les échanges avec mes responsables techniques et commerciaux sont fréquents et ils « prennent soin de nous ».

Au bout de 2 ans je suis ravie d’avoir intégré Altran.

Quelles sont les compétences que vous avez pu développer ?

J’ai principalement développé mes compétences techniques sur la suite BI de Microsoft. De plus des formations (ITIL, gestion de projet …) nous sont proposées fréquemment.

Quels sont les points forts de l’entreprise selon vous ?

Une société importante qui a les moyens de faire grandir ces consultants, des projets intéressants, une proximité des responsables alors que nous sommes souvent à distance.

Qu’avez-vous particulièrement apprécié (ambiance de travail, culture, management….) ?

J’ai particulièrement apprécié l’ambiance de travail : les consultants avec qui j’ai été amené à travailler étaient d’une part très compétents et d’autre part très ouvert (facilité d’intégration, échange).

Le management est très proche des consultants et on a l’impression d’être reconnu.

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« Nous réalisons 3000 à 4000 entretiens par an », Jean-Marc Mickeler, Associé Directeur des Ressources Humaines chez Deloitte.

Quelle est l’actualité de Deloitte ?

Deloitte va initier cette année une campagne de recrutement de niveau Bac +3 dans les métiers de l’audit. Ces nouvelles recrues devront avoir le DCG. Nous allons recruter 25 Bac +3 cette année pour démarrer. Il s’agit d’une année test pour nous.

Ces candidats vont être déployés au sein de nos équipes. Par cette campagne de recrutement nous cherchons à diversifier nos talents et à mixer nos populations. Ces nouveaux profils vont nous permettre aussi de mieux organiser le travail entre nos collaborateurs.

Quels sont les recrutements prévus cette année (CDI, CDD, Stages) ?

Nous allons recruter 1000 CDI en 2014 dont 700 jeunes diplômés. Sur ces 700 jeunes diplômés, 500 vont intégrer l’audit ou le conseil et le reste l’expertise comptable. Les jeunes diplômés que nous ciblons viennent majoritairement d’écoles de commerce mais aussi d’écoles d’ingénieurs et d’universités. Nous avons besoin également de 500 stagiaires. Pour les profils expérimentés nous recrutons en permanence. Nous prévoyons pour cette année entre 100 et 200 recrutements de candidats expérimentés.

Dans le contexte actuel, est-ce que l’audit reste attractif pour les jeunes diplômés ?

Nous sommes une valeur refuge pour les étudiants dans un contexte de crise. Il faut savoir que nous recevons entre 60 000 et 70 000 CV par an. Nous devons donc bien identifier les candidats et déceler les meilleurs talents. Nous engageons nos futurs collaborateurs pour un minimum de 4 ans, nous devons donc être très attentifs aux candidats que nous sélectionnons.

Comment être recruté chez Deloitte ?

Nous recrutons toute l’année mais nous avons un temps fort entre janvier et juillet pour intégrer les nouvelles recrues dès septembre. Ensuite nous avons des campagnes de recrutement spécifiques en Audit comme le « DDay ». Ce processus est très sélectif. Nous retenons 60 candidats sur l’ensemble des CV reçus.

Comment se déroulent les entretiens ?

Nous réalisons 3000 à 4000 entretiens par an. Les sessions de recrutements se déroulent en 2 étapes. Dans un premier temps, nous réalisons une sélection de CV et de lettres de motivations. Pour être retenu, il faut personnaliser son CV et éviter les CV types. La lettre de motivation doit être parfaitement adaptée et mettre en avant nos valeurs, nos métiers.

Ensuite nous rencontrons les candidats. Lors de ce RDV nous essayons de voir si les candidats ont bien préparé leurs entretiens. Pour se préparer, ils peuvent contacter le service RH ou encore des opérationnels pour leur poser des questions pertinentes via notre site www.deloitterecrute.fr ou sur les réseaux sociaux. Nous mettons aussi à leur disposition de nombreuses informations sur notre site. Il faut compter 2 entretiens pour un CDI voire 3 pour un poste en corporate finance.

Est-ce qu’un début de carrière en audit peut être un bon choix pour un jeune diplômé ?

L’audit est une formation très apprenante. Nous investissons 7% de notre masse salariale dans les formations. Nos collaborateurs ont la main sur leur cursus. Leur réussite va dépendre de la qualité de leur engagement et de leur capacité à se faire un réseau en interne.

Nous exposons aussi rapidement nos collaborateurs aux responsabilités. En moins d’un an vous pouvez encadrer une équipe. Toutes ces qualités acquises chez Deloitte seront valorisables dans une autre entreprise. Les 2/3 de nos collaborateurs qui quittent le cabinet rejoignent leur client. Un passage par un cabinet d’audit est un véritable accélérateur de carrière.

Avis Recruteur: Brice, Directeur adjoint, Société Générale


Quelle est votre fonction ?


Depuis plus de 2 ans j’occupe le poste de directeur adjoint au sein d’une agence sur la région grenobloise. Une agence assez petite puisque notre équipe au complet ne dépasse pas 5 personnes.

Qu’est-ce que vous ont apporté vos années « Société Générale » ?


Le monde du travail et plus particulièrement de la banque demande de la rigueur et du professionnalisme. Il faut être organisé pour ne pas se laisser déborder et savoir gérer son temps, que ce soit à travers son agenda et la prise des rdv, ou bien encore le temps consacré sur les taches quotidiennes (taches administratives en interne, montage des dossiers, réponses aux mails…). Enfin, étant donné que la banque traite de nombreux sujets comme la fiscalité ou l’économie et pour cela il convient non seulement de mettre à jour ses connaissances (que ce soit à l’aide de formation interne/externe) et de se cultiver en parallèle pour décrypter l’actualité et les enjeux.

Quelles sont les compétences que vous avez pu développer ?


Justement, pour faire la liaison avec le point évoqué précédemment, cela permet de se distinguer d’autres conseillers en apportant de la crédibilité à mes propos et une valeur ajoutée sur des produits ou des services bancaires que l’on propose aux clients. Par exemple, aujourd’hui, avec les baisses des taux d’intérêts les placements notamment en assurance vie ne sont pas très attrayants. Dans ce cas nous les conseillons sur des « produits » immobiliers où les rendements et la fiscalité actuelle permettent de satisfaire des clients.

De plus, je dirai que savoir écouter les clients est nécessaire. Il faut savoir les écouter et comprendre ce qu’ils nous disent pour répondre du mieux possible à leurs différents besoins. L’image des banquiers est écornée depuis la crise et à mon avis l’ensemble de la profession se doit de redorer l’image du conseiller financier et non de « l’escroc », du « vendeur ».

Bien entendu cela prendra beaucoup de temps, mais une relation de confiance s’établit sur plusieurs années ; le retour de la médaille se fera par recommandation de nos propres clients qui ont apprécié notre « expertise » et notre sérieux.

Quels sont les points forts de l’entreprise selon vous ?


La Société Générale bénéficie de multiples atouts non négligeables.

Pour le client, c’est la possibilité d’avoir accès à un réseau d’agence sur le territoire national et d’y faire toutes les opérations souhaitées. La taille et la diversité des métiers au sein du groupe permettent également de répondre à une multitude de besoins.

Je m’explique : Le Groupe Société Générale ne s’arrête pas au domaine bancaire puisque des filiales s’occupent des assurances, de mutuelles, de prévoyance, de gestion de patrimoine… ce qui nous permet de bénéficier du savoir de tous les collaborateurs pour répondre aux clients du mieux possible.

De plus, on sent très nettement une volonté du groupe d’être tourné vers le client avec une démarche et une approche besoin contrairement aux comportements abusifs et des pratiques constatées précédemment.

Pour le salarié, c’est la possibilité d’évoluer sur une multitude de postes avec plus ou moins de responsabilité, en France mais également à l’étranger, suivant les opportunités et ses volontés.

La solidité du groupe apporte une sécurité de l’emploi également qui n’est pas négligeable à l’heure actuelle.

Qu’avez-vous particulièrement apprécié (ambiance de travail, culture, management….) ?

Pour avoir travaillé et évoluer au sein de plusieurs agences, je retiendrai l’ambiance de travail.

Cela dépend énormément de la composition de l’agence et du caractère de chacun, et on comprend tout de suite qu’une ambiance joviale et saine permet de créer de la synergie et des rapports très agréables (sans être utopique !!).

J’ai eu la chance je pense de pouvoir travailler avec des personnes et qui représentent aujourd’hui une sorte de « famille professionnelle ». On se confie, on partage nos joies et nos peurs avec les personnes dont nous avons le plus d’affinités.

Concernant le management, là encore, je dois dire que le directeur de groupe régional attache une importance au bien être de ses collaborateurs. Pour cela des réunions hebdomadaires sont réalisées afin de faire remonter nos ressentis sur tous les éléments touchant de près ou de loin à la Société Générale (Ex : problème sur les taux de prêts, délégation de pouvoirs, repas avec l’ensemble du personnel, relation avec la clientèle…)

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« Former les étudiants à des carrières internationales dans des domaines liés à la finance », Jacques Olivier Responsable Master Finance International, HEC Paris

Est-ce que vous pouvez nous présenter le Master Finance International ?

Le programme a été créé en 1986 par Michel Crouhy, alors Professeur à HEC et désormais directeur de la recherche quantitative à Natixis. Il s’agissait alors d’un programme francophone, avant tout destiné à un public d’ingénieurs se destinant à la finance de marché. Le programme a connu beaucoup de changements depuis. Le programme est désormais entièrement anglophone. Il y a aussi des synergies fortes avec la Majeure Finance de la Grande Ecole HEC.
Par ailleurs, suite à la fusion avec le MSc in Finance, 2 tracks du même programme (en anglais: masters in international finance) ont été créés : l’Accelerated Track destinée aux étudiants avec un fort bagage quantitatif (ingénierie, maths, physique…) et la Business Track destinée aux étudiants issus de top business schools internationales. Quelle que soit la track, il y a une grande variété de débouchés allant du M&A au trading en passant par le conseil en stratégie.

Combien avez-vous de promotions ?

Nous avons une promotion par an soit 25 aujourd’hui.

Quel est l’objectif de la formation ?

Le Master a pour objectif de former les étudiants à des carrières internationales dans des domaines liés à la finance.

Quels sont les points forts du programme ?

Les points forts du programme sont ses étudiants qui ont un profil de plus en plus international (prévision pour la promotion 2013: > 75% étudiants internationaux) mais aussi le réseau des anciens HEC qui est complètement intégré au niveau du Groupe. Le cursus est adapté à la fois au profil spécifique de chaque étudiant (via les deux tracks) et à leurs aspirations (plus de 30 cours électifs communs aux deux tracks et à la Majeure Finance de la Grande Ecole, qui couvrent tous les champs de la finance).

Comment est composé le corps enseignants ?

Le corps enseignant regroupe à la fois des chercheurs qui sont des autorités mondiales de leur domaine et des praticiens de très haut niveau, basés à Paris ou Londres.

Quelles sont vos relations avec les entreprises ?

HEC a la chance d’attirer toutes les plus grandes banques et cabinets de conseil à ses forums de recrutement. Par ailleurs, les banques et cabinets de la Fondation HEC ont un accès privilégié aux étudiants de la Majeure Finance et du MIF.

Que deviennent vos anciens ? Est-ce que vous avez des exemples ?

Les sept débouchés les plus fréquents sont (sans ordre particulier): fusions-acquisitions, financements structurés, conseil en stratégie, sales, trading, structuration et asset management.

La destination la plus fréquente est Londres, avant Paris.

Est-ce que votre formation est accessible en formation continue ?

Non.

Comment procédez-vous pour faire évoluer votre programme ?

La structure du programme a changé radicalement depuis 5 ans. De nouveaux cours apparaissent également chaque année.

Les nominations en banque, finance, assurance.

Segeco : Associé

Monsieur Laurent Ecuvillon a été coopté associé, à ce poste depuis janvier 2014. Il continue de s’occuper de l’offre Finance et Management des risques.

Laurent Ecuvillon, 45 ans, ESDES Lyon (1994), a réalisé le parcours suivant :

* 2012-2014 : Segeco, senior manager en charge de l’offre Finance et Management des risques.

* 2009-2012 : PricewaterhouseCoopers (PwC) Rhône-Alpes, directeur de l’activité Conseil en management.

* 2000-2009 : PwC Rhône-Alpes, en poste au sein de l’activité Conseil en management.

* NC-2000 : Cap Gemini, consultant.

* 1998-NC : Début de carrière au sein de Brossette (groupe Wolseley).
ACG Capital: Chief financial officer Funds

Monsieur Jean-Marie Palffy a été nommé chief financial officer Funds d’ACG Capital, à ce poste depuis janvier 2014. Il est sous la responsabilité directe de Monsieur Mathieu Bourdié, chief financial officer group.

Jean-Marie Palffy, 48 ans, a réalisé le parcours suivant :

* 2002-2013 : Astorg, responsable administratif et comptable.

* 1997-2002 : Suez Industrie, responsable administratif et comptable.

* Suez, gestionnaire administratif et comptable des 10 filiales.

* 1988-NC : Concorde européenne Audit France, début de carrière comme auditeur.

BRED (groupe Banque populaire) : Directeur de l’audit – Inspection générale

Monsieur Baltasar Gonzalez-Collado est promu directeur de l’audit – Inspection générale de la BRED, à ce poste depuis avril 2014. Il est sous la responsabilité directe de Monsieur Olivier Klein, directeur général. Il intègre, à ce titre, le comité exécutif.

Baltasar Gonzalez-Collado, 42 ans, ESSEC (1999), a réalisé le parcours suivant :

* 1999-2014 : Groupe BPCE, successivement inspecteur, chef de mission à la Banque fédérale des Banques populaires, et directeur de BRED Espace et BRED Grand’Zé.

* Début de carrière à l’inspection générale de la Confédération nationale du Crédit Mutuel.

Euler Hermes : Membre du directoire en charge des finances

Madame Clarisse Kopff devient membre du directoire en charge des finances d’Euler Hermes, à ce poste depuis avril 2014. Elle est sous la responsabilité directe de Monsieur Wilfried Verstraete, président du directoire.

Clarisse Kopff, 41 ans, ESCP Europe (1994), a réalisé le parcours suivant :

* 2011-2014 : Euler Hermes, en charge des fonctions Consolidation, Contrôle de gestion, Actuariat et Relations investisseurs.

* 2010-2011 : Euler Hermes, responsable du contrôle de gestion groupe.

* 2007-2010 : Euler Hermes, responsable du contrôle de gestion de la France et des pays méditerranéens.

* 2001-2007 : Euler Hermes, contrôleur France.

* PricewaterhouseCoopers (à Paris), auditeur.

* Début de carrière chez Lehman Brothers (à Londres).

Les nominations de la semaine en banque, finance, assurance.

La Banque postale : Inspecteur général

Monsieur Christophe Van de Walle est promu inspecteur général de La Banque postale, à ce poste depuis avril 2014. A ce titre, il intègre le comité exécutif.

Christophe Van de Walle, 47 ans, ESCP Europe, DESCF, a réalisé le parcours suivant :

* 2013-2014 : La Banque postale, directeur général de La Banque postale Collectivités locales, et directeur du développement de la direction des entreprises et du développement des territoires.

* 2012-2013 : La Banque postale, directeur du projet financement local, puis directeur du secteur Public local.

* 2005-2012 : La Poste, directeur du contrôle financier.

* 2000-2005 : Caisse nationale des Caisses d’épargne, directeur adjoint du contrôle de gestion groupe, responsable du pilotage financier du groupe.

* 1991-2000 : Deloitte & Touche, début de carrière comme responsable de l’audit légal d’établissements de crédits, institutions financières et holdings financières de groupes industriels ou commerciaux.

La Banque postale : Directeur financier

Madame Florence Lustman est promue directeur financier de La Banque postale, à ce poste depuis avril 2014. A ce titre, elle intègre le comité opérationnel.

Florence Lustman, 53 ans, inspecteur général des finances, Polytechnique (1980), IEP Paris, membre de l’IAF, a réalisé le parcours suivant :

* 2012-2014 : La Banque postale, inspecteur général.

* 2008-2012 : En charge du pilotage interministériel du plan Alzheimer en France et de son rayonnement à l’international.

* 2006-2007 : Autorité de contrôle des assurances et des mutuelles (devenu Autorité de contrôle prudentiel par fusion de la Commission bancaire, de l’Autorité de contrôle des assurances et des mutuelles, du comité des entreprises d’assurance et du comité des établissements de crédit et des entreprises d’investissement), chef du corps de contrôle des assurances.

* 2004-2006 : Commission de contrôle des assurances (CCA, devenue l’Autorité de contrôle des assurances et des mutuelles – ACAM – en 2005), commissaire contrôleur général des assurances.
* 2000-2004 : CCA, secrétaire général.

* 1985-2000 : CCA, début de carrière comme commissaire contrôleur des assurances.

KLB Group : Directeur administratif et financier France

Monsieur Pierre-Alexandre Pouzet est nommé directeur administratif et financier France de KLB Group, à ce poste depuis novembre 2013, en remplacement de Madame Stéphanie Berberian.

Pierre-Alexandre Pouzet, 34 ans, master ingénierie financière de l’EM Lyon (2007), KEDGE Business School (2004), a réalisé le parcours suivant :

* 2011-2013 : Consultant indépendant auprès des fonds de private equity à Paris et Singapour.

* 2010-2011 : Nextdata (groupe Lagardère), responsable financier.

* 2007-2010 : Gilbert Dupont (groupe Société général), début de carrière comme analyste financier.

Banque populaire Bourgogne Franche-Comté : Directeur financier
Madame Marie-Laure Dewulf-Basdevant est nommée directeur financier de la Banque populaire Bourgogne Franche-Comté, à ce poste depuis janvier 2014, en remplacement de Monsieur Daniel Pipponiau. Elle est sous la responsabilité directe de Monsieur Bruno Duchesne, directeur général.

Marie-Laure Dewulf-Basdevant, 50 ans, ITB (1997), DECF (1989), ESCEM (1987), a réalisé le parcours suivant :

* 2012-2014 : Caisse d’épargne Rhône-Alpes, directeur exécutif en charge de l’audit interne.

* 2007-2012 : Caisse d’épargne Rhône-Alpes, directeur exécutif en charge du contrôle de gestion et pilotage.

* 2000-2007 : Caisse d’épargne des Alpes, directeur du pilotage et contrôle de gestion.

* 1993-2000 : Caisse d’épargne des Alpes, direction de l’audit.

* 1990-1993 : ACL audit (Coopers & Lybrand), auditeur financier.

* 1987-1990 : Frinault Fiduciaire (Arthur Andersen), auditeur Financier.

« Nous avons des besoins importants en CDI sur l’ensemble des métiers de la banque », Jonathan Abikzir, responsable Recrutement, Crédit Agricole CIB.

Crédit Agricole CIB est la banque de financement et d’investissement du groupe Crédit Agricole, qui compte plus de 7 000 collaborateurs dans le monde, dont la moitié en France. Des effectifs qui devraient augmenter dans les mois à venir, avec des recrutements prévus aussi bien sur les métiers des opérations bancaires qu’en front office. C’est ce qu’explique Jonathan Abikzir, responsable Recrutement.

Quelles sont vos perspectives de recrutement en 2014 ?

Nous avons actuellement des besoins importants pour l’ensemble des métiers de la banque. Une majorité de nos recrutements se concentrent sur les métiers des opérations bancaires (back et middle office), de la direction financière ainsi que sur ceux du risk management. Par ailleurs, nous recruteront dans les métiers du front office, comme l’investment banking.

Visez-vous des profils expérimentés ou plutôt des jeunes diplômés ?

Nous avons besoin de profils dont les niveaux d’expérience varient en fonction des postes et des métiers.

S’agissant des juniors, à quel niveau sont-ils recrutés ?

Une majorité est recrutée à Bac +4/5, issue d’écoles de commerce, d’ingénieurs et de masters spécialisés d’universités. Nous embauchons également à Bac +2/3, notamment au sein des métiers des opérations bancaires, sur des formations de type Licence professionnelle, spécialité Banque/Finance ou Commerce international.

Des compétences et qualités incontournables pour vous rejoindre ?

En plus de l’expertise technique, la maîtrise de l’anglais est importante pour échanger avec les clients et les collaborateurs présents à l’international. Les candidats doivent être capables de travailler en transverse et dans de nombreux métiers en mode projet. Des synergies fortes existent ainsi entre différents métiers de la banque sur un mode de fonctionnement « cross selling ». Enfin, des qualités comme la curiosité, le goût du challenge, la créativité et la rigueur restent incontournables pour faire carrière chez nous.

Menez-vous une politique volontariste en matière d’alternance ?

Nous menons effectivement une politique en ce sens depuis 2006, avec 150 contrats d’alternance signés chaque année, en plus des 450 stagiaires que nous accueillons. Cette politique volontariste nous permet de disposer d’un vivier de jeunes talents, dont l’objectif principal vise à les positionner de manière prioritaire sur des postes en CDI ou VIE. L’évaluation de fin de stage ou d’alternance représente ainsi un levier de sélection. Nous partageons d’ailleurs ce vivier de candidats avec d’autres filiales du Groupe Crédit Agricole SA depuis mai 2013, élargissant ainsi leurs perspectives à l’ensemble des métiers de la banque.

Quels avantages y a-t-il à intégrer votre groupe ?

Crédit Agricole CIB est dotée d’une dimension internationale, résolument ancrée en Europe et tournée vers le client. Elle fait partie intégrante du groupe Crédit Agricole, qui propose de nombreux métiers allant de la banque privée aux assurances, en passant par les métiers de la gestion d’actifs. Par ailleurs, la mobilité interne est un des principes majeurs de notre politique RH : en 2013, il y a eu plus de 600 mobilités internes. Enfin, il existe un dispositif important de formation interne, auxquels ont participé 7 850 collaborateurs l’an dernier.

« Le MSc forme des étudiants à l’optimisation des risques », Jean-Christophe Meyfredi, Responsable Master Risk and Investment Management, EDHEC Business School

Est-ce que vous pouvez nous présenter le Master Risk and Investment Management ?

Le MSc in Risk and Investment Management (RIM) est un programme part time ouvert depuis Septembre 2010 sur nos campus de Londres et de Singapour.

Initialement développé dans un cadre purement Executive ce programme s’oriente désormais vers nos étudiants de Grande Ecole, compte tenu de la très forte demande qu’ils exprimaient ; demande qui s’accroit encore, eu égard aux nombreux attraits de ce programme.

Le MSc RIM a été développé à partir des recherches menées au sein de l’EDHEC-Risk Institute, l’un des tous premiers centre de recherche internationaux en Finance.

Combien avez-vous de promotions ?

La première promotion achèvera ses cours à la fin de cette année scolaire.

Quel est l’objectif de la formation ?

Comme son nom l’indique, ce programme vise à former des étudiants à la problématique de la gestion et de l’optimisation des risques, en leur donnant toutes les connaissances, les techniques et les compétences leur permettant de faire face aux challenges actuels et à venir de /l’Investment Management/.

Grace à cette formation, nos étudiants ne sont pas seulement à même de créer de nouvelles solutions pour les investisseurs, qu’ils soient institutionnels ou privés, mais également d’évoluer dans un ensemble de fonctions pour lesquelles la formation qui est dispensée, donne un véritable avantage ; que ce soit par exemple dans les métiers des salles de marché, de l’audit ou encore M&A.

Quels sont les points forts du programme ?

Les atouts de ce programme sont nombreux. Le format tout d’abord, similaire à celui de l’apprentissage, permet à nos étudiants de réaliser leurs études tout en travaillant en entreprise. Cette volonté d’offrir une formation professionnalisante se perçoit également au travers des cours dont les thématiques sont en totale adéquation avec les besoins exprimés par le marché.

Ce MSc requerrait normalement uniquement un stage de 12 mois mais nous sommes fiers de constater que les qualités de notre formation couplées à l’excellence de nos étudiants, a permis à plusieurs d’entre eux d’obtenir un CDI, dès leur entrée dans ce MSc.

Un second atout est le caractère international du programme. Je ne parle évidemment pas uniquement ici de la langue dans laquelle les cours sont dispensés, étant donné que l’anglais est l’unique langue de nos enseignements de Master. Il s’agit ici de suivre ses cours et de travailler à l’étranger (principalement Singapour et Londres, en fonction du campus d’affectation, mais également dans d’autres pays environnant ces campus).

Le MSc in RIM permet à nos étudiants de s’enrichir d’une nouvelle expérience internationale, complétée également par la diversité des nationalités des professeurs intervenants, tout comme celle des participants (près de 60% de nos participants ne sont pas français).

Quels sont les profils des étudiants ?

Je préfèrerai parler plutôt de participants, ici, étant donné que ce programme accueille à la fois des étudiants de notre programme Grande Ecole, des étudiants étrangers disposant au minimum d’un bac+4 (mais nous accueillons également des étudiants titulaires d’un doctorat dans la promotion actuelle), ainsi que des salariés d’entreprises, venus parfaire leur formation. Nos participants ont une formation initiale en Finance ou une formation d’ingénieur et une expérience moyenne de plus de 12 mois dans le domaine de la Finance.

Comment est composé le corps enseignants ?

Nous l’évoquions précédemment. Le corps enseignant, est composé ici à près de 100% par des enseignants de nationalité étrangère, titulaires du doctorat (PhD).

Nos intervenants sont donc tous des professeurs d’un très haut niveau académique (ayant obtenu leur PhD à Chicago, Wharton, Berkeley, Oxford pour ne citer quelques uns), mais ayant un lien très étroit avec les entreprises ; ce qui répond d’ailleurs parfaitement à notre stratégie exprimée par le Credo : /EDHEC for business/.

Nous avons en effet pour ambition que notre Ecole soit utile aux entreprises, à la société en général. Cela passe par nos formations qui se doivent de répondre à leurs besoins, tout comme pour les recherches que conduisent nos professeurs.

Quelles sont vos relations avec les entreprises ?

A la fois très nombreuses et étroites. Il n’est en effet pas envisageable de développer une formation part time d’un aussi haut niveau sans de très fortes relations avec les entreprises. Celles-ci nous permettent d’aider nos étudiants à trouver des stages ou emplois correspondants à leurs souhaits et en totale adéquation avec les objectifs de nos programmes.

Cela passe également par des interventions de celles-ci auprès de nos étudiants ; que ce soit au sein des cours, ou en marge de ceux-ci. Les entreprises sont également impliquées dans le design de ce MSc, comme sur l’ensemble de ceux que nous proposons.

Ces très fortes relations nouées, depuis très longtemps, avec les entreprises sont d’ailleurs mises en avant lors de la publication des différents classements et réaffirmées encore récemment par le Magazine /Le Point/ qui nous place au premier rang pour notre insertion professionnelle, tout comme le classement réalisée par l’Express/l’Etudiant qui confirme l’importance des liens avec les entreprises, que nous évoquions précédemment.

Que deviennent vos anciens ? Est-ce que vous avez des exemples ?

Même si plusieurs de nos étudiants sont d’ores et déjà en CDI avant même d’avoir quitté nos salles de classe, il n’est pas possible de pouvoir donner des exemples au sens strict, compte tenu du fait que ce programme est dans sa première année. Nous pourrions évidemment extrapoler en prenant quelques exemples d’étudiants issus de notre MSc in Risk and Asset Management, bien moins récent, qui répondait déjà à des objectifs similaires, si ce n’est le format qui était différent.

Néanmoins j’indiquerai que nos étudiants se trouvent, dans le cadre du MSc in Risk and Investment Management, en stage ou en contrat à durée indéterminée, dans des métiers variés allant Gestion de fonds (qu’elle soit traditionnelle ou alternative) au métiers de sales/traders en passant par le risk management, que ce soit chez Barclays, Deutsche Bank, JP Morgan, RBS, pour ne citer que quelques unes des structures accueillant les participants de ce programme.

Est-ce que votre formation est accessible en formation continue ?

C’est en effet, comme nous le rappelions précédemment, une des caractéristiques importantes, puisque nous accueillons, à la fois des étudiants achevant leur cycle d’études, et des professionnels qui souhaitent développer une nouvelle spécialisation, ou encore renforcer leurs compétences dans les fonctions qui sont les leurs au sein de leur entreprise.

Comment procédez-vous pour faire évoluer votre programme ?

Comme pour l’ensemble de nos formations, nous disposons également, dans le cadre de notre filière Financial Economics, d’un Advisory Board composé de personnalités du monde de l’entreprise qui nous aident à revoir l’adéquation de nos programmes avec les attentes du marché, et d’anticiper celles-ci.