Les nominations en banque, finance, assurance.

PriceMinister (groupe Rakuten) : Directeur général adjoint, directeur de la relation clients

Monsieur Philippe Favrot est promu directeur général adjoint, directeur de la relation clients de PriceMinister, à ce poste depuis juin 2014. Il est sous la responsabilité directe de Monsieur Olivier Mathiot, président-directeur général. Il conserve par ailleurs sa fonction de directeur administratif et financier, poste qu’il occupe depuis 2005.

Philippe Favrot, 46 ans, ESC de Dijon (1990), a réalisé le parcours suivant :

* Depuis 2005 : PriceMinister, directeur administratif et financier.

* 1998-2004 : Directeur financier des sociétés Infonie, groupe IXO, Infogrammes Entertainment (holding du groupe Atari).

* PriceWaterhouseCoopers (PwC), fonctions d’audit financier (pendant 7 ans).

Aegide : Responsable financier

Monsieur Brice Fournet est nommé responsable financier du groupe Aegide, à ce poste depuis juin 2013. Il est ainsi en charge de la mise en oeuvre de la stratégie financière du groupe, notamment de la recherche et de la mise en place des financements, de l’étude des dossiers de croissance externe, et plus généralement de l’optimisation de la structure financière d’Aegide.

Il est également en charge du suivi de la relation avec l’ensemble des partenaires financiers du groupe.
Brice Fournet, 34 ans, ESSEC (2004), a réalisé le parcours suivant :

* 2010-2013 : Predica (groupe Crédit agricole), chef de projet Distribution multicanal.

* 2005-2010 : Accenture, début de carrière comme consultant de la division Banque-Assurance.

AkzoNobel : Directeur financier

Madame Maëlys Castella est nommée directeur financier d’AkzoNobel, à ce poste depuis juin 2014.

Maëlys Castella, 47 ans, a travaillé au sein du groupe Air Liquide pendant 14 ans, notamment en tant que directeur financier adjoint, et dernièrement comme directeur financier pour l’Europe et trésorier du groupe.

Banque populaire Bourgogne Franche-Comté : Directeur de l’audit

Monsieur Bertrand Ferreira est promu directeur de l’audit de la Banque populaire Bourgogne Franche-Comté, à ce poste depuis juin 2014, en remplacement de Monsieur Claude Nicpon. Il est sous la responsabilité directe de Monsieur Bruno Duchesne, directeur général. A ce titre, il intègre le comité de direction.

Bertrand Ferreira, DESS contrôle de gestion et audit interne de l’université Bordeaux-IV, a réalisé le parcours suivant :

* 2011-2014 : Groupe BPCE, directeur des risques.

* 2006-NC : Multi Accès Banque (MA Banque, groupe BPCE), directeur des risques et de la conformité puis directeur administratif et financier.

* 2000-2006 : Prédica (filiale assurance du Crédit agricole), chef de mission à la direction de l’audit interne.

* 1997-2000 : Auditeur interne au sein du Crédit agricole Charente Périgord puis du Crédit agricole Aquitaine.

La Martinière Groupe : Directeur général adjoint administration et finances

Madame Céline Marsan est promue directeur général adjoint administration et finances de La Martinière Groupe, à ce poste depuis juin 2014. Elle est sous la responsabilité directe de Monsieur Hervé de La Martinière, président-directeur général. Elle est ainsi en charge des services généraux, de la DSI, du contrôle de gestion et de la direction financière.

Céline Marsan occupait depuis 2013 le poste de directeur financier de La Martinière Groupe.

Avis Recruteur:Christophe Vulliermet , Responsable du reporting financier, Vinci

Christophe VULLIERMET , Responsable du reporting financier, Vinci

Une véritable culture de solidarité

Quel est le bilan de vos années « Vinci Facilities » ?

Je suis chez Vinci Facilities depuis un an seulement, mais grâce au parcours pépinière j’ai déjà beaucoup appris. Ce parcours, dédié aux jeunes embauchés, consiste à être aidé par son superviseur et à suivre des cours à l’académie Vinci Energies, notre centre de formation interne, qui permet aux plus chevronnés de partager leur expérience avec les jeunes recrues. Pour ma part, le parcours pépinière a été formateur car il répond aux problématiques quotidiennes de l’entreprise. J’ai donc la sensation d’avoir progressé dans mes compétences et d’être aujourd’hui un élément intégré et moteur pour le groupe..

« L’objectif de la MSc Finance est de former des professionnels de la Finance qui maitrisent l’ensemble des dimensions liées à la Finance « , Pascale Viala, Responsable de la Filière Financial Economics, EDHEC Business School

Est-ce que vous pouvez nous présenter le MSc in Corporate Finance / MSc Finance ?

Le MSc in Finance, créé en 2002, est avant tout destiné à un public n’ayant pas ou peu de connaissances approfondies en finance mais souhaitant poursuivre une carrière dans ces métiers. Il a pour objet d’apporter une connaissance approfondie – à la fois théorique et opérationnelle – en finance. Il aborde de nombreux aspects de la discipline : finance d’entreprise, marchés de capitaux, gestion de portefeuille, évaluation des titres financiers et dérivés, comme l’économie internationale, les techniques quantitatives en finance, etc.
En tant que CFA Partner programme, le curriculum suit celui du niveau 1 du CFA et offre aux étudiants un large portefeuille d’opportunités de carrières en France et à l’international.
Quant au MSc in Corporate Finance, créé en 2008, il se concentre sur la finance d’entreprise. Les étudiants de cette formation devront maîtriser les concepts et techniques afin de prendre les bonnes décisions concernant tous les aspects de la gestion de trésorerie, des techniques de financement et de gestion des risques de taux et de change, le montage d’opérations de LBO, de fusions-acquisitions et transmissions d’entreprises, ou encore de restructurations.
Il offre aux étudiants la possibilité d’approfondir leur expertise en optant pour un large choix d’électifs et pour l’une des deux majeures proposées : Major in Financial Management ou Major in Financial Intermédiation.
Le MSc in Corporate Finance bénéficie de l’appui et l’expertise de notre corporate programme sponsor, Société Générale. Cela signifié concrètement que des dirigeants et experts de la SG sont intervenants dans le programme académique.
Ces deux programmes d’une durée d’un an sont exclusivement enseignés en anglais et bénéficie de la recherche développée par EDHEC-Risk Institute, centre de recherche en finance leader en Europe.
Combien avez-vous de promotions ?

• 4 promotions en MSc in Corporate Finance

• 10 promotions en MSc in Finance

Quel est l’objectif de la formation ?

L’objectif de la MSc Finance est de former des professionnels de la Finance qui maitrisent l’ensemble des dimensions liées à la Finance d’entreprise (analyse financière, évaluation, …) ou à la Finance de marché et qui peuvent se diriger vers des postes du type analyste financiers ou gestionnaires de portefeuilles.
L’objectif de la MSc in Corporate Finance est de spécialiser nos diplômés en Finance d’Entreprise et leur permettre de se diriger vers des postes en direction financière, vers les différents métiers du financement (financements d’acquisition, restructurations, financements de projets, financements structurés, etc.), ou encore de se diriger vers des métiers de recherche ou d’analyse (analyse financière, M&A, financements structurés, crédit, etc).
Quels sont les points forts du programme ?

– La pertinence des programmes qui répondent aux besoins de l’industrie et du marché de l’emploi.

– L’excellence de notre centre de recherche EDHEC-Risk Institute et celle de nos professeurs-chercheurs.

– La présence de professionnels issus de grandes entreprises comme SGCIB.

– L’enseignement en anglais et la grande diversité internationale des étudiants.

– Le programme d’accompagnement et de développement des carrières (TI&CD) unique en France.
Quels sont les profils des étudiants ?

Le MSc in Finance est composé à 27% d’étudiants français issus de la Grande Ecole et 73% d’étudiants internationaux notamment des Etats-Unis, d’Asie, d’Amérique Latine.
Pour le MSc in Corporate Finance, la tendance s’inverse avec 70% d’étudiants français issus de la Grande Ecole et 30% d’étudiants internationaux.
Les étudiants internationaux sont diplômés d’un Bachelor d’universités étrangères telles l’Université Nationale de Singapore, l’Université de Boston, l’Université de Peking mais aussi les universités de Cologne et Maastricht. Les étudiants français sont quant à eux tous issus de la Grande Ecole et sont tous passés par les classes préparatoires.
Comment est composé le corps enseignants ?

Le corps professoral de l’EDHEC est composé dans sa globalité de plus de 130 professeurs et chercheurs qui allient expertise professionnelle et excellence académique. La majorité d’entre eux ont obtenu leur PhD dans les plus grandes universités au monde telles que Harvard, MIT, Cambridge ou encore Yale et Princeton et sont reconnus pour la qualité de leurs recherches et publications.
Sans oublier, les nombreux intervenants professionnels, experts dans leur domaine, qui animent des cours, des conférences et des électifs tout au long du cursus.
Quelles sont vos relations avec les entreprises ?

L’EDHEC à depuis de nombreuses années tissée de solides relations avec le monde de l’entreprise en France et à l’étranger. Les relations avec les entreprises se retrouvent à tous les niveaux de nos programmes. Tout d’abord, certaines sociétés telles que PwC et la Société Générale, corporate programme sponsor du MSc in Corporate Finance, ont choisi de soutenir un programme en particulier en prise directe avec leur cœur de métier.
D’autres sociétés, quant à elles, animent des cours ou des électifs spécifiques. De nombreux professionnels interviennent également dans nos programmes, sur les thématiques qui requièrent une approche plus pratique que réellement académique, par exemple l’analyse financière. Plus largement, des cycles de conférences avec des professionnels de haut niveau sont organisés autour de sujets clefs.
Sans oublier, les nombreuses sociétés, telles que Nomura, Banque Privée Edmond de Rothschild, Blackrock, BNP paribas, Deloitte, JP Morgan, Deutsche Bank, Morgan Stanley, Natixis ou Oddo & Cie qui recrutent nos étudiants et diplômés lors des nombreux événements, rencontres métiers et sessions de recrutement organisés par l’EDHEC.
Que deviennent vos anciens ? Est-ce que vous avez des exemples ?

De plus en plus de nos diplômés, trouvent leur premier emploi à l’étranger notamment en Suisse, au Royaume-Uni et en Asie. Par exemple, nous avons actuellement un jeune diplômé du MSc in Corporate Finance en poste à New York en fusions & acquisitions pour le Crédit Agricole. Un autre travaille à Singapore chez BNP Paribas et un troisième en fusions & acquisitions chez Pernod Richard à Cuba pour ne citer que ces trois exemples.
Le large portefeuille de Masters of Science proposé par l’EDHEC, qui offre également des spécialisations en audit & contrôle de gestion, management des risques et finance de marché (trading et asset management), répond aux besoins du marché de l’emploi et accroît l’employabilité de nos diplômés que ce soit en France ou à l’étranger.
Est-ce que votre formation est accessible également en formation continue ?

Non.
Comment procédez-vous pour faire évoluer votre programme ?

La pertinence des programmes est également assurée par l’EDHEC Financial Economics Advisory Board, dont la majorité des membres sont des dirigeants de grandes entreprises et institutions financières. Ce comité a pour mission de s’assurer de la cohérence des programmes avec les besoins des entreprises.


Pascale Viala est Responsable du Financial Economics Track de l’EDHEC Business School, et Présidente d’YSAVIE, société du Groupe Yvelin. Auparavant, elle a été Managing Director et Head of European Capital Markets chez CIFG jusqu’en 2008. Avant de rejoindre CIFG en 2001, Pascale a également travaillé chez Moody’s Investors Services Limited à Londres, à la Banque Européenne d‘Investissement à Luxembourg, et à l’Université de Montréal. Pascale est docteur en gestion (Finance) de HEC Paris, titulaire d’un DEA de Finance de l’Université de Paris IX Dauphine, et d’une maitrise d’économie de l’Université de Montpellier I.

Les nominations en banque, finance, assurance.

Humanis : Directeur finances groupe
Monsieur Pierre Nuyts est nommé directeur finances du groupe Humanis, à ce poste depuis mai 2014. Il est sous la responsabilité directe de Monsieur Gilles de Margerie, directeur général adjoint. Il est ainsi en charge de la rationalisation des nombreuses structures du groupe Humanis, qui sort de plusieurs fusions successives.

Pierre Nuyts, 52 ans, a réalisé le parcours suivant:

* 2011-2014 : Malakoff Médéric, directeur général adjoint finance, technique et risque assurances.

* 2009-2014 : Malakoff Médéric, directeur financier et investissements.

* 2008-2009 : Caisse nationale des Caisses d’épargne (CNCE), directeur des finances.

* 2007-2008 : Crédit foncier de France, directeur des finances.

* 2004-2007 : Caisse d’épargne des Pays du Hainaut, membre du directoire en charge des finances et de l’organisation.

* 2000-2004 : CNCE, directeur du contrôle de gestion.

* 1997-2000 : Caisse d’épargne de Flandre, directeur financier.

* 1991-1997 : A3C (filiale de crédit-bail immobilier du groupe Caisse d’épargne), responsable du service Prévision et Contrôle, puis du département Gestion administrative et financière.

* 1987-1991 : Groupe BNP Paribas, responsable du département Finances.

* 1986-1987 : SIS, consultant.

Manitou : Directeur financier du groupe

Monsieur Pierre-Yves Malgogne est promu directeur financier du groupe Manitou, à compter de juillet 2014. Il est sous la responsabilité directe de Monsieur Hervé Rochet, secrétaire général.

Pierre-Yves Malgogne, SKEMA Business School (1998), a réalisé le parcours suivant :

* 2007-2014 : Manitou, notamment directeur financier adjoint.

* 1998-2007 : Valeo, différentes fonctions financières en France et à l’étranger.

Barilla : Chief audit officer

Monsieur Massimo Ferrari est promu chief audit officer du groupe Barilla, à ce poste depuis janvier 2014, sous la responsabilité directe de Monsieur Claudio Colzani, chief executive officer. Il est ainsi en charge de l’audit interne du groupe.

Massimo Ferrari, 50 ans, EMBA de SDA Bocconi School of Management de l’université Bocconi (2005), laurea economia e commercio de l’université de Parme (1989), a réalisé le parcours suivant :

* 2012-2013 : Barilla, group audit senior manager Americas, Asia, Africa, Australia.

* 2010-2012 : Barilla, group audit senior manager Europe.

* 2006-2010 : Barilla, group audit manager.

* 2002-2005 : Barilla, group subsidiaries support and integration manager.

* 1996-2002 : Chiesi Farmaceutici, contrôleur financier.

* 1991-1995 : Arthur Andersen, auditeur senior.

Siemens Healthcare (groupe Siemens) : Directeur de la division Imagerie et Thérapie pour l’Europe du Sud-Ouest, l’Afrique du Nord et de l’Ouest

Monsieur Patrick Debans, directeur financier France, est promu directeur de la division Imagerie et Thérapie pour l’Europe du Sud-Ouest, l’Afrique du Nord et de l’Ouest de Siemens Healthcare, à ce poste depuis juin 2014.

Il est sous la responsabilité conjointe de Messieurs Peter Bichara, directeur général de Siemens France, et Jean-François Bauer, directeur financier Europe du Sud-Ouest, Afrique du Nord et de l’Ouest, secteur Santé de Siemens.

Patrick Debans, 48 ans, executive program de l’INSEAD, DESCF, EM Lyon, a réalisé le parcours suivant :

* Depuis 2010 : Siemens Healthcare France, vice president et chief financial officer.

* 2009-2010 : Siemens Healthcare France, directeur financier de la division Imagerie et Thérapie.

* 2001-2009 : Siemens France, directeur des services financiers corporate comprenant les fusions et acquisitions, la fiscalité et le contrôle central.

* 1995-2001 : Roussel Uclaf (devenue Sanofi-Aventis), différentes fonctions de corporate finance et de direction financière de filiales.

* 1990-1995 : PSA Peugeot Citroën, début de carrière à la direction financière.

Les nominations en banque, finance, assurance.

Convictions Asset Management (Convictions AM) : Directeur général

Monsieur Nicolas Duban est nommé directeur général de Convictions AM, à ce poste depuis juin 2014, en charge plus particulièrement de la stratégie de développement. Il prend à cette occasion une participation significative au capital du groupe aux côtés de Monsieur Philippe Delienne, président.

Nicolas Duban, 55 ans, ITM (1988), ISG (1983), a réalisé le parcours suivant :
* 2012-2014 : NExT AM (groupe La Française), président.

* 2009-2012 : La Française AM, directeur général délégué au développement institutionnel France.

* 2006-2009 : La Française des Placements, directeur du développement.

* 2001-2006 : La Française des Placements, directeur de la gestion obligataire.

* 1990-2000 : BFT Gestion (groupe Crédit agricole), directeur général adjoint en charge de la gestion obligataire.

* 1989-1990 : Manufacturers of Hanover Bank France, responsable des interventions sur les marchés de taux d’intérêt.

* 1988-1989 : AIG France, directeur de la gestion de taux d’intérêt.

* 1985-1988 : Groupe CRI, responsable de la gestion des OPCVM obligataires.

* 1983-1985 : Début de carrière au sein de la Banque La Hénin.

BNP Paribas : Managing Director au sein d’Investment Banking Europe.

Monsieur Thierry Dormeuil est promu Managing Director au sein d’Investment Banking Europe chez BNP Paribas, à ce poste depuis janvier 2014, en charge d’un portefeuille de grands comptes. Il est sous la responsabilité directe de Monsieur Thierry Varène, Responsable d’Investment Banking Europe et délégué en charge des grands clients de BNP Paribas.

Thierry Dormeuil, 54 ans, IEP Paris (1983), Agro Paris-Grignon (1983), a réalisé le parcours suivant :

* 2000-2014 : BNP Paribas, Managing Director Corporate Finance.

* 1985-1998 : Paribas, attaché de Direction Financière.

AP Management (APM) : Directeur associé.

Monsieur Sébastien Dray est promu directeur associé d’AP Management (APM), à ce poste depuis juin 2014. Il est sous la responsabilité directe de Monsieur Pierre-Yves Dargaud, président.

Sébastien Dray, 38 ans, ESLSCA Paris, master spécialisé en ingénierie financière de l’EM Lyon, a réalisé le parcours suivant :
* 2010-2014 : AP Management, directeur.

* 2005-2010 : AP Management, chargé d’affaires senior.

* 2001-2005 : Dôme Close Brothers (devenue DC Advisory), chargé d’affaires en fusions-acquisitions et levées de fonds sur les secteurs Industrie, Automobile et Services au sein de l’équipe Corporate Finance.

* Apax Partners (devenue Altium), début de carrière comme analyste financier en fusions-acquisitions.

La Française Real Estate Partners (La Française REP) : Président.

Monsieur Patrice Genre est nommé président de La Française REP, à ce poste depuis juin 2014.
Il est ainsi en charge du développement de cette nouvelle offre de gestion de mandats immobiliers dédiée aux institutionnels ainsi que du déploiement des stratégies d’investissement Core / Core +, mais également Value Added et Opportunistes.

Patrice Genre, 48 ans, ESSEC (1988), a réalisé le parcours suivant :

* 1999-2013 : DTZ Asset Management (groupe DTZ), directeur général et fondateur.

* 1996-1999 : Goldman Sachs, directeur successivement des équipes d’acquisition, puis de gestion de créances et enfin de gestion de portefeuilles.

* 1992-1996 : Lyonnaise des Eaux (groupe Suez), directeur des investissements immobiliers internationaux.

* 1988-1992 : Ambassade de France au Japon, début de carrière comme attaché financier.

« La spécialité « Contrôle de gestion » est une formation supérieure aux métiers de contrôleur de gestion et de manager de la performance », Patrick Dumas, Responsable du Master Contrôle de gestion, IAE de l’Université Toulouse 1 Capitole.

Est-ce que vous pouvez nous présenter le master Contrôle de gestion ?

Créée en 2003, la spécialité « Contrôle de gestion » est une formation supérieure aux métiers de contrôleur de gestion et de manager de la performance.

Elle cherche à apporter une triple compétence aux étudiants : une compétence en comptabilité financière (normes IFRS, analyse financière de groupe, audit financier), une compétence sur les systèmes de pilotage et les pratiques managériales (budget, tableaux de bord, coûts, prix de transferts, gestion de projet, animation de business review, etc.) et enfin une compétence en informatique (fonctions avancées Excel, VBA).

La première année du master, intitulée Comptabilité-Contrôle, offre une formation plus large sur les domaines de l’expertise comptable, de la finance, du droit, des systèmes d’information et du management notamment. A l’issue de cette première année de master, les étudiants choisissent entre la spécialité « Contrôle de gestion » ou l’autre spécialité « Comptabilité, Contrôle, Audit » (CCA) plus orientée vers l’expertise comptable et le commissariat aux comptes.

Combien avez-vous de promotions ?

Chaque promotion est composée d’un effectif de 25 personnes environ.

Quel est l’objectif de la formation ?

La spécialité forme des généralistes du contrôle de gestion et du pilotage de la performance. Ils s’insèrent dans une large palette de secteurs d’activités (industrie, banque, grande distribution, service, hôpital, université, conseil général, association, etc.). Les études d’insertion montrent également leur capacité à évoluer vers des postes de comptable, d’auditeur (financier ou opérationnel), d’administrateur de système d’information ou de consultant.

Quels sont les points forts du programme ?

Beaucoup de formation en contrôle de gestion mettent l’accent sur les outils de pilotage et informatiques. Nous tenons à conserver, en plus, un haut niveau de formation en comptabilité et finance.

Cette triple compétence est très appréciée par le marché car elle garantit une forte polyvalence et une rapide compréhension par nos étudiants des spécificités du business model de chaque entreprise. Ainsi, des cours en comptabilité et finance sont dispensés en commun avec la spécialité « Comptabilité, Contrôle, Audit ».

Quels sont les profils des étudiants ?

Les étudiants sont majoritairement titulaires d’un Master 1 en Comptabilité-Contrôle, en finance ou en stratégie. La formation attire également quelques étudiants d’école de commerce qui cherchent une compétence en finance et en comptabilité.

Comment est composé le corps enseignants ?

Les enseignements sont dispensés par des professeurs et par des professionnels réputés qui animent soit des conférences (retour d’expériences), soit des séminaires de cours/td. Les enseignements sur les outils décisionnels sont notamment assurés par un expert reconnu tant au niveau national (formateur DFCG) qu’au niveau international.

Quelles sont vos relations avec les entreprises ?

L’IAE organise de nombreuses rencontres avec les entreprises et notamment deux forums permettant aux entreprises à la recherche de compétences (stagiaires ou offres d’emploi) de rencontrer les étudiants.

Le master « Contrôle de gestion » a noué un partenariat avec la DFCG Midi-Pyrénées afin d’organiser chaque année des manifestations (notamment des conférences). Les étudiants ont ainsi l’occasion de rencontrer les directeurs financiers et les contrôleurs de gestion des principales entreprises de la région.

Que deviennent vos anciens ? Est-ce que vous avez des exemples ?

Chaque année l’IAE réalise une enquête d’insertion sur ses diplômés un an après avoir quitté l’IAE. La dernière enquête réalisée indiquait que 90% des diplômés 2012 du master « Contrôle de gestion » avait trouvé un travail un an plus tard. La majorité ayant obtenu un contrat à durée indéterminée.

Voici l’intitulé des postes qu’occupent nos anciens du master 2 « Contrôle de gestion » : contrôleur de gestion, reporting controller, analyste financier, financial controller.

Enfin, certains poursuivent leur Master 2, par un Volontariat International en Entreprises (VIE).

Est-ce que votre formation est accessible également en formation continue ?
Elle est ouverte depuis 3 ans à la formation continue mais nécessite une totale disponibilité de ces personnes puisqu’elles doivent assister à l’intégralité des enseignements au même titre que les étudiants de la formation initiale.

Comment procédez-vous pour faire évoluer votre programme ?

Plusieurs dispositifs instaurent une logique d’amélioration continue de l’offre de formation.

Tout d’abord, il existe un conseil de perfectionnement. Composé du corps enseignants (professeurs et professionnels), il se réunit à la suite des jurys de délibération et formule des améliorations à apporter au programme.

D’autre part, les étudiants évaluent anonymement tous les enseignements du master et peuvent être force de propositions.


Bibliographie :

Après des études d’expertise comptable, Patrick Dumas devient professeur agrégé, spécialisé en contrôle de gestion.

Il débute sa carrière à l’université de Poitiers, puis intègre en 2003, l’Institut d’Administration des Entreprises (IAE) de l’Université Toulouse 1 Capitole.

Il est fortement impliqué dans la formation au DSCG (Diplôme national Supérieur de Comptabilité et de Gestion). Depuis, 2006, il est responsable du master 2 Contrôle de gestion à l’IAE. Ses centres d’intérêts portent notamment sur l’audit interne et sur l’histoire du contrôle de gestion.

Parallèlement à son activité d’enseignement, il réalise ponctuellement des missions d’audit et d’expertise de gestion à la demande de comités d’entreprise.

Les nominations en banque, finance, assurance.

Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC) : Directeur financier et juridique
Monsieur Pierre-Emmanuel Lecerf est promu directeur financier et juridique du CNC, à compter de juin 2014, en remplacement de Madame Aude Accary-Bonnery. Il est sous la responsabilité directe de Madame Audrey Azoulay, directeur général délégué.
Pierre-Emmanuel Lecerf, 33 ans, inspecteur des finances, ENA (2008), a réalisé le parcours suivant:
* 2013-2014 : Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC), directeur des affaires européennes et internationales.

* 2012-2013 : Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP), conseiller auprès du directeur général et parallèlement directeur du projet Hôpital Nord.

* 2008-2012 : Inspection générale des finances, inspecteur, puis chargé de mission auprès du chef de service.

* NC-2008 : Ministère allemand des Affaires étrangères, en poste au sein de la direction des affaires européennes.

* Début de carrière auprès des services culturels de l’ambassade de France aux Etats-Unis.
Orange : Directeur de la fiscalité immobilière

Monsieur Cuong Vo Diep est promu directeur de la fiscalité immobilière d’Orange, à ce poste depuis janvier 2014. Il est ainsi en charge de toutes les taxes locales liées à l’immobilier du groupe. Il est sous la responsabilité directe de Monsieur Jean-Louis Chabannes, directeur en charge de l’administration immobilière et du pilotage de la performance.
Cuong Vo Diep, DESE économie et gestion du CNAM (1982), DUT techniques de commercialisation de l’IUT de Saint-Nazaire (1976), a réalisé le parcours suivant :

* 2012-2014 : Orange, responsable du département Fiscalité immobilière.

* 2006-2012 : France Télécom – Orange France – CGF – CIFRA, responsable contrôle interne financier.

* 1992-1994 : Les appareils ferroviaires, directeur administratif et financier.

Chèque Déjeuner : Directeur financier groupe

Monsieur Philippe Platon est nommé directeur financier du groupe Chèque Déjeuner, à ce poste depuis mai 2014. Il est sous la responsabilité directe de Monsieur Jacques Landriot, président-directeur général.

A ce titre, il intègre le comité exécutif.
Philippe Platon, 44ans, HEC (1991), a réalisé le parcours suivant:

* 2012-2013 : Lafarge, directeur financier, direction Innovation groupe.

* 2010-2011 : Lafarge, directeur de projets de développement, fusions-acquisitions.

* 2006-2010 : Lafarge Ciment Roumanie, directeur administratif et financier.

* 2001-2006 : Lafarge Aso Cement Company (à Fukuoka, Japon), chief financial officer.

* 1998-2001 : Lafarge, deputy project manager.

* 1992-1998 : Ciments français, contrôleur puis responsable du reporting de gestion (1993).

Keolis (groupe SNCF) : Directeur de l’audit et du contrôle interne
Monsieur Louis Soudré est promu directeur de l’audit et du contrôle interne de Keolis, à ce poste depuis avril 2014.
Louis Soudré, 51 ans, EM Lyon (1986), a réalisé le parcours suivant :

* 2005-2014 : Keolis, directeur du financement et de la trésorerie.

* 2000-2004 : BSN Glasspack, directeur du financement et de la trésorerie.

* 1996-2000 : BIC, trésorier groupe.

* 1989-1996 : Pages Jaunes, contrôleur de gestion puis trésorier.

« Un doublement de notre activité gestion d’actifs prévu d’ici 2017 », Chris Hutin, directrice des ressources humaines de SwissLife Banque Privée.

Quelles sont les perspectives actuelles de recrutement de SwissLife Banque Privée ?

Nous avons actuellement pour objectif de recruter entre six et sept nouveaux collaborateurs en France, au poste de banquier privé. SwissLife Banque Privée compte aujourd’hui 120 salariés qui travaillent dans le domaine des services bancaires, de l’ingénierie patrimoniale, du corporate finance et de la gestion d’actifs.

Vers quels types de diplômes orientez-vous vos recrutements au poste de banquier privé ?

Pour ce qui est des jeunes diplômés, nous recrutons au niveau Bac +5, avec quelques cursus privilégiés :

Le DU et Master gestion de Patrimoine de l’AUREP (Association universitaire de recherche et d’enseignement sur le patrimoine, basée à Paris et Clermont-Ferrand), le Master Banque et finance de l’université Paris-Dauphine, le Master spécialisé Ingénierie et gestion internationale de patrimoine de la SKEMA Business school… Mais SwissLife Banque Privée est aussi en capacité d’intégrer des profils plus atypiques. Nous avons par exemple embauché par le passé un ancien journaliste et un collaborateur qui avait eu pour précédente expérience la création d’un family office.

Qu’en est-il des profils plus expérimentés ?

Le niveau de diplôme requis est le même mais nous cherchons pour certains postes une expérience minimale significative de 6 à 8 ans en banque privée et de solides connaissances en ingénierie patrimoniale. Concrètement, les candidats doivent déjà avoir eu un portefeuille sur lequel développer une clientèle.

Où se situe la différence entre un poste junior et un poste senior ?

Un banquier privé junior et un banquier privé senior ne s’adressent tout simplement pas à la même clientèle. Mais SwissLife Banque Privée donne tout de même aux jeunes diplômés recrutés l’opportunité d’envisager une belle carrière chez nous, en évoluant au fil des années vers des postes de développeur ou de gestionnaire de fortune.

Qu’en est-il de l’alternance ?

Nous avons expérimenté pour la première fois cette année l’intégration d’un étudiant de niveau Master en alternance au sein de la direction commerciale banquiers privés. L’expérience s’est avérée très concluante, aussi bien pour la personne concernée que pour nous. Il s’agit donc d’une pratique à renouveler et à développer dans les années à venir.

Quels avantages y a-t-il à intégrer le groupe SwissLife Banque Privée ?

Il s’agit à la fois d’un grand groupe et d’une société à taille humaine, où nos collaborateurs travaillent au plus près des instances gouvernantes, ce qui permet une plus grande réactivité dans les prises de décision. Autre avantage:

Les perspectives de croissance externe annoncées sont extrêmement stimulantes, puisqu’il est prévu un doublement de notre activité gestion d’actifs d’ici 2017. Enfin un dernier avantage non négligeable : des conditions de travail privilégiées dans nos locaux situés en plein cœur de la place Vendôme à Paris.

«Le programme du Master 1 Management Finance offre une double compétence en finance d’entreprise et en finance de marché», Caroline Emonet, Responsable du Master 1 Management – Finance, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne.

Est-ce que vous pouvez nous présenter le « Master 1 Management – Finance » (date et contexte de création) ?

Le master 1 Management – Finance a été lancé en 2005. Il complète une formation solide en gestion ou en économie et permet une spécialisation en finance. Il prépare plus précisément aux métiers supports et d’expertise dans les domaines de la finance d’entreprise ou de marché, de la banque et de l’audit :

• Contrôleur Financier, Credit manager, Directeur administratif et financier, Audit interne et externe, Responsable financements, Risk manager, Compliance officer, Contrôle de gestion, Trésorier d’entreprise, Spécialiste en communication financière, Métiers du capital investissement

• Analyste financier, Opérateur de marché (sales, traders), Directeur des marchés, Gestionnaire d’actifs, Ingénieur financier

• Back office, Chargé d’affaires, Conseiller en fusions-acquisitions, Gestionnaire de patrimoine

• Métiers du conseil.

Combien avez-vous de promotions ?

Nous avons une promotion chaque année composée de 80 étudiants en moyenne.

Quel est l’objectif de la formation ?

Le master 1 Management-Finance fournit des bases à la fois en finance d’entreprise (gestion de trésorerie, entreprises en difficulté, conduite de projet en entreprise, audit…) et en finance de marché (marchés dérivés, décisions financières à long terme, marchés financiers et gestion de portefeuille…).

Cette double compétence permet aux étudiants de préparer et d’accéder aussi bien aux spécialités en corporate et audit (Ingénierie financière, Trésorerie d’entreprise, Gestion financière et fiscalité, Audit contrôle et management public) qu’à celles en finance de marché (Management des risques financiers et d’assurance, Finance de marché) de l’EM Sorbonne.

Quels sont les points forts du programme ?

Le programme du master 1 Management – Finance offre une double compétence en finance d’entreprise et en finance de marché.

En sus de cette double compétence, il permet de s’initier à la culture de l’entreprise et de développer des qualités indispensables à une insertion professionnelle réussie (connaissances de l’environnement économique et juridique de l’entreprise, connaissances en informatique appliquée, langues étrangères, capacité d’analyse et de réflexion, autonomie, travail en groupe, gestion du temps et gestion du stress).

Quels sont les profils des étudiants ?

Les étudiants proviennent principalement de Licence de Management ou d’Economie d’Ile de France et de Province.

Comment est composé le corps enseignants ?

Le corps professoral est composé à la fois d’enseignants chercheurs spécialisés dans différents domaines de finance et auteurs d’ouvrages pédagogiques et/ou d’articles académiques dans des revues internationales et de professionnels reconnus dans leur domaine de compétences.

Quelles sont vos relations avec les entreprises ?

Nos relations avec le monde professionnel sont étroites. Le corps enseignant à travers des partenariats avec des associations de professionnels, l’association des anciens élèves sont en contact durable avec les entreprises et les banques.

Que deviennent vos anciens ? Est-ce que vous avez des exemples ?

A l’issue du Master 1 Management – Finance et d’une sélection, les étudiants intègrent l’une des spécialités proposées en cinquième année comme la Trésorerie d’entreprise, la Finance de marché, ou l’Ingénierie financière.

Globalement, à 2 ans, nous pouvons affirmer que 84 % de nos diplômés occupent un emploi de cadre en entreprise (PME ou GE, en France ou à l’international).
Les débouchés sont liés et en adéquation avec la spécialité choisie en M2 :

 Entreprise : M2 Trésorerie d’Entreprise, Ingénierie financière, Gestion Financière et Fiscalité, Finance d’entreprise

 Administration : Audit Contrôle et management public

 Banque : Finance de Marché, Gestion Financière et Fiscalité, Ingénierie Financière

 Audit : Ingénierie Financière, Gestion Financière et Fiscalité

 Conseil : toutes les spécialités

Est-ce que votre formation est accessible également en formation continue ?

Non

Comment procédez vous pour faire évoluer votre programme ?

L’évolution de notre programme repose sur l’entretien d’un dialogue permanent avec les étudiants du master, la prise en compte de l’environnement économique et des besoins des entreprises (partenariat avec différentes associations professionnelles comme l’AFTE (Association française des trésoriers d’entreprise) et la DFCG (Association nationale des directeurs financiers et de contrôle de gestion), ainsi que l’organisation de réunions avec l’ensemble de l’équipe pédagogique (les comités de perfectionnement) permettant de maintenir la cohérence du projet pédagogique.


Caroline Emonet est maître de conférences à l’Ecole de Management de la Sorbonne et membre du PRISM (Université Paris 1 – Panthéon Sorbonne). Elle a enseigné la finance internationale à l’ESSEC et à l’Université Paris Dauphine. Ses domaines de recherche sont principalement la microstructure des marchés et la réglementation boursière. Elle est co-auteur de deux ouvrages sur la réglementation des marchés financiers et les marchés européens de NYSE Euronext.

« Ce programme repose sur un partenariat institutionnel inédit avec les 5 grandes banques de la place », Sofiane Aboura, Responsable Master Banque d’investissement et des marchés, Université Paris Dauphine

Est-ce que vous pouvez nous présenter le Master Pro Finance – Banque d’investissement et des marchés ?

Ce master forme aux métiers de la banque d’affaires. Il est né de la crise bancaire et financière de 2008, sous l’impulsion des grandes banques françaises. Il s’est rapidement imposé dans le paysage académique grâce à sa formule généraliste enrichie d’un parcours professionnel balisé et sécurisé.

Il constitue ainsi une véritable innovation pédagogique, car c’est peut-être le seul master existant qui dispose d’un partenariat institutionnel, avec tout ce que cela implique en ce qui concerne la trajectoire professionnelle de nos jeunes professionnels (les bimeurs).

D’un point de vue académique, il s’agit master généraliste (comme les MS des grandes écoles) intégralement en apprentissage qui offre une formation panoramique aux métiers de la banque d’affaires. Le programme de cours (théoriques et appliqués) représente un volume horaire de 400h dont 80% est sous la forme d’un tronc commun.

Les spécialisations (capital market, corporate banking, quantitative finance) comptent pour 20%. Les cours appliqués ont pour caractéristique d’être orienté métier ; par exemple, il y a un cours de structuration sales, un cours de coverage etc.

Combien avez-vous de promotions ?

Depuis le lancement du Master, quatre promotions se sont suivies. Chacune porte le nom d’un Président (en exercice) des banques partenaires, notamment Daniel Bouton, Baudoin Prot, Jean Paul Chifflet, Laurent Mignon.

Quel est l’objectif de la formation ?

Il y a un double objectif. Le premier est d’ordre intellectuel puisque la vocation d’un master 2 est d’approfondir la réflexion. Pour cette raison, nous disposons de cours théoriques (finance d’entreprise, finance de marché, informatique, mathématiques).

Le second est d’ordre professionnel puisque l’étudiant diplômé doit être formaté aux métiers de la BFI, c’est une prépa pour la banque d’affaires. Le fait qu’il soit salarié durant cette dernière année d’étude représente de nombreux avantages. Par exemple, après avoir passé l’agrément AMF (100% réussite) et sous réserve de l’acceptation du manager, le bimeur peut traiter directement avec les clients, ce qui est statutairement impossible pour le stagiaire.

Le rythme est très lourd, c’est le prix à payer, il n’y a aucune concession sur ce point. En entrant, les bimeurs signent une charte de bonne conduite.

Quels sont les points forts du programme ?

C’est un master de finance unique qui ne s’est inspiré d’aucun autre et qui ne peut pas être imité tant les coûts organisationnels sont élevés. Il dispose d’une relation avec les banques d’affaire qui est unique :

-un job market privatif
-une implication des patrons de métiers dans l’enseignement
-un financement total des frais de scolarité des étudiants
-un parrainage de prestige du master chaque année par le Président d’une des banques partenaires
-une aide à l’insertion professionnelle dans la mesure du possible

Quels sont les profils des étudiants ?

Les étudiants sont dauphinois pour plus de la moitié. En effet, nous disposons d’étudiants en M1 très bien formés quelle que soit leur filière (gestionnaires, scientifiques, et économistes), ce qui constitue une réserve importante de candidats.

Il est vrai que notre université a une tradition de l’enseignement de la finance. Le reste des étudiants peuvent venir de grandes écoles d’ingénieurs, de commerce ou d’universités françaises. Le taux d’admission au master navigue entre 10 et 15% selon nos besoins.

Comment est composé le corps enseignants ?

Le corps enseignant est composé de patrons de métiers et anciens patrons de banques dans les BFI partenaires pour les cours orientés métiers et d’enseignants-chercheurs à l’université pour les cours théoriques. Nous avons une relation très proche avec notre corps professoral à qui on demande beaucoup d’implication pour que le programme adhère au mieux aux exigences intellectuelles et professionnelles du terrain.

Quelles sont vos relations avec les entreprises ?

Ce programme repose sur un partenariat institutionnel inédit avec les 5 grandes banques de la place (BNP Paribas et Exane, CACIB et Cheuvreux, HSBC, Natixis, SG). De plus JP Morgan nous a rejoint en 2011 et Unicrédit en 2012. L’acceptation d’une nouvelle banque est conditionnée à l’accord des banques fondatrices. Les bénéfices pour les étudiants sont nombreux grâce aux équipes des ressources humaines qui nous accompagnent mais aussi grâce aux managers qui nous font confiance.

Enfin, depuis cette rentrée 2011, nous avons mis en place une alliance unique avec Vendôme Associés, un cabinet de recrutement parisien spécialisé, qui va aider et suivre les bimeurs dans leur trajectoire professionnelle. Ce dispositif est également unique.

Que deviennent vos anciens ? Est-ce que vous avez des exemples ?

En général, le taux d’insertion professionnel en CDD, VIE, CDI est de 50% à la fin de l’année universitaire et de 65% à la fin de l’année civile, ce qui est élevé compte tenu du contexte économique, financier et bancaire. Les autres bimeurs sont en stage soit pour changer de métiers, de banque ou même de place financière (essentiellement à New York ou Londres mais aussi à Singapour, Madrid, Sydney, Dubai ou Hong Kong).

L’insertion professionnelle dépend du contexte macro-économique qui peut affecter certains métiers. Il est à noter que l’année 2012 sera une année délicate étant donné le choc thermique subit par les banques européennes. Néanmoins, nous avons des étudiants flexibles tant d’un point de vue métier de la BFI que géographique.

Est-ce que votre formation est accessible en formation continue ?

Nous avons un projet bien précis pour la formation continue. Nous le lancerons uniquement s’il est positionné comme une formation haut de gamme pour manager. Pour cela il faut rassembler plusieurs conditions.

Comment procédez-vous pour faire évoluer votre programme ?

Le programme est presque totalement déployé puisqu’il repose à la fois sur un partenariat professionnel d’exception mais aussi sur une université exceptionnelle très bien gérée. Malgré les crises de 2008 et 2011, le Master 268 BIM s’est imposé la référence académique en matière d’apprentissage haut de gamme. Le dernier objectif en phase de lancement est l’internationalisation du programme qui est d’ores et déjà en cours de lancement.