» La spécialité Gestion Internationale de Fortune a pour objectif de former des gestionnaires de fortune et des spécialistes de l’ingénierie patrimoniale « , Eric Molay, Co-Responsable du Master Gestion Internationale de Fortune, IAE de Nice.

Est-ce que vous pouvez nous présenter le Master Gestion Internationale de Fortune ?

Le master Gestion Internationale de Fortune a succédé au DESS Techniques de Banque créé à la fin des années 90 à l’IAE de Nice.

Il résulte d’une évolution attendue par les employeurs régionaux et nationaux potentiels.

Combien avez-vous de promotions ?

1 promotion de 20 étudiants par an.

Quel est l’objectif de la formation ?

La spécialité Gestion Internationale de Fortune a pour objectif de former des gestionnaires de fortune et des spécialistes de l’ingénierie patrimoniale, capables d’être opérationnels au sein de toutes institutions financières (banque de gestion privée, société financière …).

Elle a pour vocation de fournir aux étudiants les connaissances essentielles (instruments bancaires et financiers, droit patrimonial, droit bancaire et financier..) pour l’exercice de ces professions. Seule une parfaite maîtrise de tous ces mécanismes tant sur le plan académique que sur le plan opérationnel permet d’exercer ces professions à un très haut niveau.

Quels sont les points forts du programme ?

Les enseignements sont organisés le vendredi et le samedi matin d’octobre à juin. Ceci permet d’entreprendre en parallèle le stage professionnel du lundi au jeudi.

Quels sont les profils des étudiants ?

Majoritairement des étudiants issus du Master 1 Finance-comptabilité de l’IAE de Nice, puis des étudiants d’autres IAE et de formation en économie et management.

Comment est composé le corps enseignants ?

Majoritairement de praticiens : conseillers en gestion de patrimoine indépendants ou dans le secteur bancaire, avocats, experts comptables, notaire.

Quelles sont vos relations avec les entreprises ?

Excellentes relations avec le tissu local de cabinets en gestion de patrimoine et les établissements financiers.

Que deviennent vos anciens ? Est-ce que vous avez des exemples ?

Pour la plupart, Conseillers de patrimoine indépendants ou dans un établissement financier.

Est-ce que votre formation est accessible également en formation continue ?

Oui, coût : 6 000 €.

Comment procédez-vous pour faire évoluer votre programme ?

Le programme est revu annuellement par le conseil de perfectionnement de la formation en relation avec les attentes exprimées par les praticiens et enseignants intervenants dans le master et les entreprises accueillant des stagiaires.


Eric MOLAY, maître de conférences HDR et agrégé d’économie et gestion, est co-responsable des masters Ingénierie Financière et Gestion Internationale de Fortune. Il est directeur-adjoint de l’IAE de Nice où il enseigne la finance principalement en master. Il a une expérience de près de 15 ans dans le secteur bancaire et financier en qualité de cambiste. Ses travaux de recherche académique portent principalement sur la valorisation des titres.

 » Depuis 20 ans, ce diplôme a formé plus de 500 cadres supérieurs « , Eric MOLAY, Co-Responsable du Master Ingénierie Financière, IAE de Nice.

Est-ce que vous pouvez nous présenter le Master Ingénierie Financière ?

La spécialité Ingénierie Financière reprend la philosophie de l’ancien DESS du même nom créé en 1992. Depuis 20 ans, ce diplôme a formé plus de 500 cadres supérieurs qui ont intégré des banques, des cabinets conseil, des directions financières d’entreprise.

Combien avez-vous de promotions ?

1 de 25 étudiants par an, soit 21 promotions depuis sa création en 1992.

Quel est l’objectif de la formation ?

L’objectif de la formation est de donner une aptitude à imaginer et mettre en œuvre des montages financiers parfaitement adaptés aux besoins et aux objectifs spécifiques des agents économiques et au coût minimum.

Le développement de l’ingénierie financière a fait émerger une nouvelle approche bancaire, davantage orientée vers le conseil et les services, qui s’intéresse également aux montages propres à la gestion des patrimoines privés et professionnels, souvent fortement imbriqués.

Quels sont les points forts du programme ?

Une combinaison entre enseignement théorique et pratique par un corps enseignant mixte (praticiens et universitaires). Un stage de 6 mois qui débouche souvent sur une pré-embauche. Une reconnaissance de la part des entreprises accueillants des stagiaires en France, à Monaco, au Luxembourg notamment.

Quels sont les profils des étudiants ?

Majoritairement des étudiants issus du Master 1 Finance-comptabilité de l’IAE de Nice, puis des étudiants d’autres IAE et de formation en économie et management.

Comment est composé le corps enseignants ?

Le corps enseignants est composé pour moitié de praticiens du secteur bancaire et financiers, d’avocats, d’experts comptables et pour moitié d’universitaires.

Quelles sont vos relations avec les entreprises ?

Excellentes relations avec les établissements financiers en France et à l’étranger, existence d’un réseau des anciens du master Ingénierie Financière.

Que deviennent vos anciens ? Est-ce que vous avez des exemples ?

La plupart sont en poste dans des établissements financiers dans divers départements : ingénierie financière, front office, direction d’agence bancaire, conseil en financement pour les entreprises (haut et/ou bas de bilan)…

Est-ce que votre formation est accessible également en formation continue ?

Oui. Coût : 6 000 €.

Comment procédez-vous pour faire évoluer votre programme ?

Le programme est revu annuellement par le conseil de perfectionnement de la formation en relation avec les attentes exprimées par les praticiens et enseignants intervenants dans le master et les entreprises accueillant des stagiaires.


Eric MOLAY, maître de conférences HDR et agrégé d’économie et gestion, est co-responsable des masters Ingénierie Financière et Gestion Internationale de Fortune. Il est directeur-adjoint de l’IAE de Nice où il enseigne la finance principalement en master. Il a une expérience de près de 15 ans dans le secteur bancaire et financier en qualité de cambiste. Ses travaux de recherche académique portent principalement sur la valorisation des titres.